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Issirac

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Issirac
Issirac
Vue générale avec vue sur le clocher de l'église
Blason de Issirac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Nîmes
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Gard Rhodanien
Maire
Mandat
José Rieu
2020-2026
Code postal 30760
Code commune 30134
Démographie
Gentilé Issiracois
Population
municipale
313 hab. (2021 en évolution de +8,3 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 16′ 21″ nord, 4° 28′ 54″ est
Altitude Min. 93 m
Max. 367 m
Superficie 20,28 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Bagnols-sur-Cèze
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pont-Saint-Esprit
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Issirac
Géolocalisation sur la carte : France
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Issirac
Géolocalisation sur la carte : Gard
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Issirac
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Issirac

Issirac est une commune française située dans le nord-est du département du Gard, en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Valat d'Aiguèze, le ruisseau de Rodières, Valat de Boudouyre, Valat de Saint-Christol et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « forêt de Valbonne ») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Issirac est une commune rurale qui compte 313 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 660 habitants en 1851. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Bagnols-sur-Cèze. Ses habitants sont appelés les Issiracois ou Issiracoises.

Géographie

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Localisation

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Lieux-dits, hameaux et écarts

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Le Sauvan, Saumanas, Les Quittardes, Pierrebrune, La Sabonnadière, Les Alleyrac, Le Vieux Coulon...

Communes limitrophes

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Hydrographie et relief

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En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 915 mm, avec 5,8 jours de précipitations en janvier et 3,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Montclus à 5 km à vol d'oiseau[3], est de 13,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 951,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Voies de communication et transports

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Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « forêt de Valbonne »[8], d'une superficie de 5 052 ha, un milieu boisé avec des formations forestières remarquables. On y recense plus d'une dizaine d'espèces d'orchidées, de nombreux reptiles et amphibiens, oiseaux etc., ainsi qu'une végétation très diversifiée[9].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 2] est recensée sur la commune[10] : le « massif du Bagnolais » (7 716 ha), couvrant 18 communes du département[11].

Au , Issirac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bagnols-sur-Cèze, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (63,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,9 %), zones agricoles hétérogènes (20,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,3 %), cultures permanentes (16,4 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune d'Issirac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le risque nucléaire[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Valat d'Aiguèze. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1998, 2002 et 2018[15],[13].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Issirac.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[16]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 62 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 219 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 202 sont en aléa moyen ou fort, soit 92 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].

Risques technologiques

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En cas d’accident grave, certaines installations nucléaires sont susceptibles de rejeter dans l’atmosphère de l’iode radioactif. La commune étant située dans le périmètre de sûreté autour de la centrale nucléaire du Tricastin, elle est exposée au risque nucléaire. À ce titre les habitants de la commune ont bénéficié, à titre préventif, d'une distribution de comprimés d’iode stable dont l’ingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroïde d’une exposition à de l’iode radioactif. En cas d'incident ou d'accident nucléaire, des consignes de confinement ou d'évacuation peuvent être données et les habitants peuvent être amenés à ingérer, sur ordre du préfet, les comprimés d'iode[19].

Occitan Issirac, du roman Issirac, du bas latin Ysseracum[20].

Ses habitants sont appelés les Issiracois et les Issiracoises.

La commune est mentionnée en 1522, Parochia Beati-Stephani de Ysseraco dans un acte notarial[21].

Époque moderne

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Révolution française et Empire

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Époque contemporaine

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Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires depuis la Libération
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1970 Émilien Couderc    
1970 1977 Edmond Divol    
1977 1989 Gabrielle Pons    
1989 2012 Franck Morand PCF Cadre d'EDF
Vice-président de la Communauté de communes Grands sites des Gorges de l'Ardèche
2012 En cours José Rieu[22] DVG Directeur commercial retraité
Vice-président de la Communauté de communes Grands sites des Gorges de l'Ardèche depuis 2012
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].

En 2021, la commune comptait 313 habitants[Note 4], en évolution de +8,3 % par rapport à 2015 (Gard : +2,49 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
321365516553596607613621660
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
659641645605525560516519509
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
446422405323259246235169176
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
137152150150163180206211220
2015 2020 2021 - - - - - -
289310313------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Manifestations culturelles et festivités

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En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 117 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 274 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 200 [I 5] (20 020  dans le département[I 6]).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 7] 6,5 % 12,4 % 14,6 %
Département[I 8] 10,6 % 12 % 12 %
France entière[I 9] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 176 personnes, parmi lesquelles on compte 73,6 % d'actifs (59 % ayant un emploi et 14,6 % de chômeurs) et 26,4 % d'inactifs[Note 6],[I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Bagnols-sur-Cèze, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 10]. Elle compte 52 emplois en 2018, contre 49 en 2013 et 45 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 106, soit un indicateur de concentration d'emploi de 48,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56,1 %[I 11].

Sur ces 106 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 44 travaillent dans la commune, soit 41 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 78,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,9 % les transports en commun, 7,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 12,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

Activités hors agriculture

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33 établissements[Note 7] sont implantés à Issirac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 8],[I 14].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 33
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
3 9,1 % (7,9 %)
Construction 8 24,2 % (15,5 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
11 33,3 % (30 %)
Activités immobilières 2 6,1 % (4,1 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
5 15,2 % (14,9 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
1 3 % (13,5 %)
Autres activités de services 3 9,1 % (8,8 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (11 sur les 33 entreprises implantées à Issirac), contre 30 % au niveau départemental[I 15].

Agriculture

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La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[27]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 4].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 22 15 14 11
SAU[Note 10] (ha) 369 520 297 246

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 22 lors du recensement agricole de 1988[Note 11] à 15 en 2000 puis à 14 en 2010[29] et enfin à 11 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 50 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[30],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 369 ha en 1988 à 246 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 17 à 22 ha[29].

Culture locale et patrimoine

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Édifices civils

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Édifices religieux

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Patrimoine culturel

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Héraldique

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Blason de Issirac Blason
D'azur, à un pal losangé d'or et de sable[21].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[7].
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  7. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  8. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  9. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  10. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[28].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  2. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bagnols-sur-Cèze », sur insee.fr (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Issirac » (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  7. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Issirac » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Issirac » (consulté le ).
  12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Issirac » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

Autres sources

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Issirac et Montclus », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Montclus » (commune de Montclus) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Montclus » (commune de Montclus) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  8. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Issirac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « site Natura 2000 FR9101398 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Issirac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « ZNIEFF le « massif du Bagnolais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Issirac », sur Géorisques (consulté le ).
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  16. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Issirac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
  20. (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne..., Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 1179 p., 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, BNF 37258238), p. 147, t. 2
  21. a et b Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298 p., in-4 (BNF 30500934), p. 106
  22. « José Rieu l'interimaire élu maire du beau village d'Issirac », Midi Libre,‎ (lire en ligne, consulté le )
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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