Saint-Saturnin (Puy-de-Dôme)
Saint-Saturnin (Sent Sadornin en occitan) est une commune française, située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Saint-Saturnin est située dans l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand[1], à 15 km au sud de Clermont-Ferrand, dans la vallée de la rivière Monne qui, plus bas, se jette dans la Veyre.
Sept communes sont limitrophes de Saint-Saturnin[2] :
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est traversé par les routes départementales 8 (reliant la RD 213 à l'ouest à Saint-Amant-Tallende en passant par le village d'Issac et le bourg), 28 (reliant le bourg à Champeix en direction du sud), 28a (desservant l'abbaye Notre-Dame de Randol sur la commune limitrophe de Cournols), 96 (reliant le bourg à Chadrat et à Nadaillat sur la commune voisine de Saint-Genès-Champanelle), 119 (vers Olloix) et 213 (axe reliant Aydat à l'autoroute A75 en direction de Clermont-Ferrand)[2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 751 mm, avec 9 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Plauzat_sapc », sur la commune de Plauzat à 6 km à vol d'oiseau[5], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 606,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Saturnin est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Amant-Tallende[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[1],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (51,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,4 %), prairies (17,1 %), terres arables (16,7 %), zones agricoles hétérogènes (15,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,9 %), zones urbanisées (3,5 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
[modifier | modifier le code]Saint-Saturnin fut la résidence des barons de la Tour d'Auvergne, qui devinrent comtes d'Auvergne. C'est de cette famille qu'est issue Catherine de Médicis, fille de Laurent II de Médicis et de Madeleine de la Tour d'Auvergne. Elle devint reine de France après son mariage avec Henri II.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune du Crest est membre de la communauté de communes Mond'Arverne Communauté, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le siégeant à Veyre-Monton, et par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[14]. Jusqu'en 2016, elle faisait partie de la communauté de communes Les Cheires[15].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Clermont-Ferrand, à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[11]. Jusqu'en , la commune faisait partie du canton de Saint-Amant-Tallende[16].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Orcines pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[11], et de la troisième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[16].
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Élections de 2020
[modifier | modifier le code]Le conseil municipal de Saint-Saturnin, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[17], pour un mandat de six ans renouvelable[18]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 15[19]. Les quinze conseillers municipaux sont élus au premier tour, le , avec un taux de participation de 71,10 %, se répartissant en : douze sièges issus de la liste de Franck Taleb et trois sièges issus de la liste de Christian Pailloux[20].
Un siège (issu de la liste de Franck Taleb) est attribué à la commune au sein du conseil communautaire de la communauté de communes Mond'Arverne Communauté[20].
Chronologie des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Saint-Saturnin est jumelée avec Jettenbach, ville située en Bavière, en Allemagne.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].
En 2021, la commune comptait 1 164 habitants[Note 5], en stagnation par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Saint-Saturnin dépend de l'académie de Clermont-Ferrand.
Dans l'enseignement public, les élèves commencent leur scolarité à l'école élémentaire publique de la commune[28]. Ils la poursuivent au collège Jean-Rostand des Martres-de-Veyre[29] puis au lycée René-Descartes de Cournon-d'Auvergne[30].
Il existe un collège privé Saint-Joseph[28].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Le village a fait partie de l'association « Les Plus Beaux Villages de France » de 1989 à 2016, mais n'est plus labellisé à ce jour.
Patrimoine civil
[modifier | modifier le code]- Le château de Saint-Saturnin est une importante forteresse médiévale, construite au XIIIe siècle, remaniée aux XIVe et XVe siècles. Le château est agrémenté d'un jardin à la française. Il est classé depuis 1889 au titre des monuments historiques alors que le mur d'enceinte, les douves et les jardins sont inscrits depuis 1992[31]. Dans l'Armorial d'Auvergne, Forez et Bourbonnais de Guillaume Revel, on peut voir sur le dessin figurant la ville de Saint-Saturnin, que les faubourgs débordent largement des remparts de la ville[32].
- Dans le village, la fontaine du XVIe siècle située entre l'église et le château est classée en 1889 au titre des monuments historiques[33].
- La porte des Boucheries, vestige de l'enceinte médiévale, est inscrite en 1988 au titre des monuments historiques[34].
- Dans la rue de la Boucherie, une maison du XVe siècle avec tourelle est également inscrite depuis 1988[35].
- Un ancien logis seigneurial du XVe siècle situé rue des Nobles est inscrit depuis 1992 pour sa tour d'escalier, ses façades et ses toitures[36].
- Répartis dans plusieurs lieux-dits de la commune (le Breuil, Issac, Lachat, Lassalas, les Quatre Chemins et las Rasas), six pigeonniers, dont cinq avec toit en lauzes, sont inscrits depuis 1978[37].
-
Le château.
-
Vue ouest du château.
-
La fontaine du XVIe siècle.
-
La porte des Boucheries.
-
Porte d'une maison du XVe siècle.
-
Maison du XVe siècle rue des boucheries.
-
Maison ancienne rue de la Madeleine.
-
Rue de l'Enfer.
Patrimoine religieux
[modifier | modifier le code]L'église Notre-Dame de Saint-Saturnin fait partie des cinq églises dites « majeures » d'Auvergne avec :
- la basilique Notre-Dame-du-Port à Clermont-Ferrand ;
- la basilique Notre-Dame d'Orcival ;
- l'église Saint-Austremoine d'Issoire ;
- l'église de Saint-Nectaire.
Datant du XIIe siècle, elle est construite en arkose blonde de Montpeyroux et en lave de Volvic, ce qui lui donne un aspect polychrome. Les chapiteaux sont sculptés dans la lave. Son clocher, l'un des mieux conservés d'Auvergne, est octogonal. Elle est classée en 1862 au titre des monuments historiques[38].
Dans le sanctuaire, au rond-point des colonnes, son maître-autel est classé au titre des monuments historiques en 1875[39].
- Juste à côté de l'église, la chapelle Sainte-Magdeleine, romane du XIIe siècle, ainsi que la porte du cimetière attenant, sont classées en 1929 au titre des monuments historiques[40].
- L'église de Chadrat.
- La chapelle Sainte-Anne de Chadrat.
- Une croix de chemin du XVIe siècle, en lave, est classée en 1910 au titre des monuments historiques[41]. Une autre croix en lave du XVIIe siècle est implantée place du Marché[42].
-
L'église Notre-Dame de Saint-Saturnin.
-
Son chevet.
-
L'intérieur de l'église.
-
La chapelle Sainte-Magdeleine.
-
Croix en lave du XVIIe siècle.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Blanche Selva (1884-1942), pianiste, pédagogue et compositrice, est enterrée au cimetière de cette commune.
- Magdeleine Bérubet (1884-1970), dramaturge, résidait de temps en temps dans la commune[43].
- Cécile Coulon (née en 1990), écrivaine, poète, réside dans la commune.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site de la mairie
- Saint-Saturnin sur le site de l'Insee
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Saint-Amant-Tallende comprend trois villes-centres (Saint-Amant-Tallende, Saint-Saturnin et Tallende).
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Maire en 1962.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Carte de Saint-Saturnin sur Géoportail.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Saturnin et Plauzat », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Plauzat_sapc », sur la commune de Plauzat - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Plauzat_sapc », sur la commune de Plauzat - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Saint-Amant-Tallende », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Saturnin ».
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
- « CC Mond'Arverne Communauté (No SIREN : 200069177) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
- « CC des Cheires (No SIREN : 246300982) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
- « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
- Loi no 2013-403 du relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral, article 51, et son décret d'application no 2013-938 du .
- « Election des conseillers municipaux et du maire », sur le site de la DGCL.
- Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- Acte de décès de Thérèse Ursule Pignet (veuve de Jacques Bardoux), mère d'Agénor Bardoux (décédée le 25 mars 1883), site des Archives Départementales du Puy-de-Dôme
- Liste des maires 2014 [PDF], site de la préfecture du Puy-de-Dôme, 9 avril 2014 (consulté le 23 juin 2014).
- « Liste des Maires du Puy-de-Dôme » [PDF], sur mairesruraux63.fr, Association des maires ruraux du Puy-de-Dôme (consulté le ), p. 8.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Annuaire : Résultats de recherche », Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
- « Sectorisation », sur puy-de-dome.fr, Conseil départemental du Puy-de-Dôme (consulté le ). Taper « SAINT-SATURNIN » dans le formulaire de saisie.
- Service académique d'information et d'orientation, « Arrêté rectoral en date du relatif à la répartition des districts scolaires des lycées des départements de l'Allier, du Cantal, de la Haute-Loire et du Puy-de-Dôme » [PDF], Académie de Clermont-Ferrand (consulté le ), p. 36.
- « Ancien château fort », notice no PA00092388, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 25 octobre 2013.
- Valérie Serdon, « Villes et forteresses au Moyen Âge », Moyen Âge, no 125, mai-juin-juillet 2021, p. 30 (ISSN 1276-4159).
- « Fontaine de Saint-Saturnin », notice no PA00092392, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 25 octobre 2013.
- « Porte des Boucheries », notice no PA00092395, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 25 octobre 2013.
- « Maison », notice no PA00092394, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 25 octobre 2013.
- « Ancien logis », notice no PA00092393, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 25 octobre 2013.
- « Six colombiers », notice no PA00092389, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 25 octobre 2013.
- « Église Notre-Dame (ou Saint-Saturnin) », notice no PA00092391, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 25 octobre 2013.
- « Autel, retable, tabernacle, exposition (maître-autel) », notice no PM63000902, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 25 octobre 2013.
- « Chapelle Sainte-Magdeleine », notice no PA00092387, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 25 octobre 2013.
- « Croix de chemin du 16e siècle en pierre », notice no PA00092390, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 25 octobre 2013.
- Panneau « Saint-Saturnin, c'est aussi… » sur la place du Marché, vu le 26 juin 2013.
- La clermontoise Magdeleine Berubet Louis Passelaigue, Le Gonfanon no 85, Argha, 2019.