Saint-Symphorien (Gironde)
Saint-Symphorien | |||||
La mairie (août 2007) | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Langon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Sud Gironde | ||||
Maire Mandat |
Bruno Gardère 2020-2026 |
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Code postal | 33113 | ||||
Code commune | 33484 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Paroupians | ||||
Population municipale |
1 824 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 17 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 25′ 45″ nord, 0° 29′ 20″ ouest | ||||
Altitude | Min. 45 m Max. 86 m |
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Superficie | 106,29 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Bordeaux (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton des Landes des Graves | ||||
Législatives | Neuvième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.mairie-saint-symphorien-gironde.fr | ||||
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Saint-Symphorien (Sent Sefrian en gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.
Ses habitants sont appelés les Paroupians[1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune est située ,sur la rivière La Hure, dans la forêt des Landes au cœur du parc naturel régional des Landes de Gascogne, dans le sud du département de la Gironde, en limite de celui des Landes, à 52 km au sud de Bordeaux, chef-lieu du département, et à 27 km au sud-ouest de Langon, chef-lieu d'arrondissement[2].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes en sont Balizac au nord-est, Saint-Léger-de-Balson à l'est, Bourideys au sud-est, Argelouse (Landes) au sud-sud-ouest, Mano (Landes) au sud-ouest, Le Tuzan à l'ouest, Louchats au nord-ouest et Origne au nord.
Climat
[modifier | modifier le code]Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1954 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[9]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0,7 | 0,7 | 2,4 | 4,5 | 8,2 | 11,3 | 12,9 | 12,6 | 9,5 | 7,5 | 3,6 | 1,5 | 6,3 |
Température moyenne (°C) | 5,3 | 6,2 | 8,9 | 11,1 | 15,1 | 18,4 | 20,3 | 20,1 | 16,9 | 13,5 | 8,5 | 5,8 | 12,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 9,9 | 11,7 | 15,4 | 17,7 | 21,9 | 25,4 | 27,7 | 27,6 | 24,3 | 19,4 | 13,3 | 10,1 | 18,7 |
Record de froid (°C) date du record |
−20 16.01.1985 |
−19 15.02.1956 |
−15 06.03.1971 |
−8 11.04.1973 |
−4 08.05.1974 |
−0,5 02.06.1975 |
0 11.07.1972 |
−1 27.08.1957 |
−3 24.09.1962 |
−8 27.10.1956 |
−11,5 23.11.1988 |
−17 26.12.1962 |
−20 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
20 05.01.01 |
26 23.02.1990 |
28,5 25.03.1981 |
32 30.04.05 |
36 30.05.1996 |
40,5 22.06.03 |
40 20.07.1989 |
41 04.08.03 |
38 08.09.1966 |
32 03.10.1985 |
25 02.11.1970 |
30 19.12.1969 |
41 2003 |
Précipitations (mm) | 92,3 | 78,5 | 70,6 | 92 | 81,6 | 63,5 | 55,1 | 67,2 | 82,5 | 95,9 | 109,3 | 101,5 | 990 |
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Symphorien est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[11]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (82,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (23,9 %), terres arables (13,1 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %), zones urbanisées (1,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Les principales voies de communications routières qui traversent la commune sont la route départementale D3 qui mène, vers l'est, à Villandraut puis Bazas et, vers l'ouest, à Belin-Béliet et au-delà au bassin d'Arcachon, puis la Route départementale D220 qui vers le Sud de la Commune mène Dans le Departement des Landes et a la Commune de Sore et au-delà dans la Région de la Ville de Mont-de-Marsan Prefecture du Departement des Landes.Vers le nord, la route départementale D11 conduit à Balizac et, au-delà, à Podensac et Cadillac-sur-Garonne.
L'accès à l'autoroute A62 peut se faire soit au no 3, dit de Langon, soit au no 2, dit de Podensac, qui sont, l'un comme l'autre, distants de 26 km.
L'accès à l'autoroute A63 se fait au no 21, dit de Salles, distant de 33 km vers l'ouest.
L'accès à l'autoroute A65 se fait au no 1, dit de Bazas, distant de 23 km vers l'est.
La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 28 km vers le nord-est, de Langon sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine.
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Saint-Symphorien est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité très faible)[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].
Saint-Symphorien est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt[17]. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[18],[19].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 62,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 915 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 197 sont en aléa moyen ou fort, soit 22 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 2].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009 et 2020, par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[15].
Histoire
[modifier | modifier le code]Pour l'état de la commune au XVIIIe siècle, voir l'ouvrage de Jacques Baurein[21].
À la Révolution, la paroisse Saint-Symphorien forme la commune de Saint-Symphorien[22].
En 1793, pendant la période révolutionnaire de la Convention, la commune a porté le nom de La Hure ou Lahure, nom du ruisseau qui traverse le village[23].
En 1873, l'ouverture de la ligne de chemin de fer Le Nizan - Saint-Symphorien - Sore, mise en service pour l'exploitation forestière des pins des Landes, entraîne la construction d'un atelier de réparation de wagons et de fabrication et usinage des pièces métalliques. En 1886, cette entreprise privée est vendue à la Société générale des chemins de fer économiques de la Gironde. Cette ligne, très attendue, est capitale pour l'écoulement des produits forestiers. L'atelier, qui assure la maintenance des wagons, est agrandi en 1940. Il restera en activité jusqu'en 1977[24].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de Saint-Symphorien se blasonnent ainsi : Parti, au premier coupé, au I d'azur au bâton de pasteur d'argent posé en barre et au II de sinople aux trois glands renversés d'or, au second de gueules au pin parasol arraché d'or. |
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Le , la Communauté de communes du Pays paroupian ayant été supprimée, la commune de Saint-Symphorien s'est retrouvée intégrée à la Communauté de communes du Sud Gironde siégeant à Mazères.
Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].
En 2021, la commune comptait 1 824 habitants[Note 5], en évolution de −0,44 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Symphorien de style gothique date du XVIe siècle et est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1925[30].
- L'atelier des Chemins de fer économiques de la Gironde, usine de réparation de matériel ferroviaire, (cf. chapitre Histoire) est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1989[24].
- Une grange muletière destinée à héberger les mules et animaux servant au transport du bois brut et manufacturé est inscrite au titre des monuments historiques depuis 2010[31].
- La maison Siclis, de style approchant celui de l'art déco, réalisée entre 1934 et 1938 par l'architecte Charles Siclis, est inscrite au titre des monuments historiques depuis 2007[32].
- Une usine de distillation de produits résineux, un ensemble de bâtiments représentatifs d'une activité industrielle disparue a été plus ou moins détruite par une tempête en 2011 et se trouve dans un état fort délabré ; elle est inscrite au titre des monuments historiques depuis 2000[33].
- La maison Martin-Travet et son four, depuis 2017.
- Le « chalet François-Mauriac », demeure où l'écrivain a vécu une partie de sa jeunesse, est propriété du conseil régional d'Aquitaine et peut être visité.
- La piste cyclable de Villandraut à Mios qui traverse le village a été construite sur l'emplacement de l'ancienne ligne de chemin de fer Le Nizan - Saint-Symphorien - Sore en usage pour l'exploitation forestière (cf. chapitre Histoire).
- Cercle Ouvrier : créé en 1898, il retrace le monde de la gemme et de ses ouvriers disparus de la forêt landaise. Les statuts du Cercle Ouvrier ont fait l’objet de l’arrêté préfectoral du . La liste des fondateurs est établie le . Créé par les propriétaires forestiers de Saint-Symphorien, le Cercle Ouvrier avait pour but « de resserrer les liens de fraternités qui unissent déjà ses membres et de leur faciliter leur pouvoir d’achat ». Ces notables locaux, républicains anti-cléricaux, parfois francs-maçons (?), tenaient à conserver un soutien populaire auprès des bergers et résiniers très pauvres à cette époque qui résidaient dans de nombreuses métairies. Voilà plus de cent ans que le Cercle Ouvrier de Saint-Symphorien existe. C'est un bar associatif qui rassemble plus de 230 membres mais qui est ouvert à tous. C'est aussi un lieu de rencontre qui propose dans sa vaste salle de la rue Carnot de grands festins gourmands et culturels. On s'y rend pour prendre un verre, sonder l'air de la Haute Lande, rencontrer l'inconnu, voir le voisin, discuter avec l'ami. On y retrouve une profonde connaissance des hommes et des femmes de ce pays entre Bordeaux et les Pyrénées et une grande qualité de vie. La maison qui abrite le cercle est une vaste demeure bourgeoise du XIXe siècle toute en pierre de Frontenac entourée d'une belle cour où poussent l'arbre de la sérénité et de la justice, le tilleul paroupian, et des immortelles et autres fleurs du sud. Le cercle est ouvert du mardi au dimanche à partir de 17 heures et en fin de semaine le samedi et le dimanche aux alentours de 12 heures. Cette « maison commune » est l'une des plus anciennes associations ouvrières de France, autogérée, et fonctionne avec des sociétaires bénévoles.
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L'église Saint-Symphorien (juin 2009)
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Le chevet de l'église (fév. 2010)
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L'atelier des chemins de fer (août 2013)
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La grange muletière (août 2013)
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La maison Siclis (août 2013)
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Le chalet François-Mauriac (août 2013)
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Place de la République. Au fond, sur la droite, la mairie (fév. 2010)
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La Hure dans le village (fév. 2010)
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Le monument aux morts, face à l'église (juin 2009)
Problèmes environnementaux
[modifier | modifier le code]- En 2015, un projet d'extension de l'élevage de 7000 à 11000 porcs est mené par la société SAS Le Lay. Ce projet, entraînant une augmentation des surfaces d'épandages de lisier, a reçu un avis défavorable lors de l'enquête publique[34],[35].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- François Mauriac, né à Bordeaux, passe son adolescence dans plusieurs lieux girondins qui marqueront profondément son œuvre : les Landes de Gascogne autour de Langon, Verdelais et Saint-Symphorien, bourgs dominés par la bourgeoisie viticole ou l'exploitation forestière, lourde de secrets étouffés qu'il peindra dans la plupart de ses romans.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Gabriel Karnay, Carte géologique de la France à 1/50 000 - Saint-Symphorien, Éditions du BRGM Service géologique national, Orléans, 1993, (ISBN 2-7159-1875-5) (lire en ligne)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Site officiel de la mairie, consulté le .
- Résultats du recensement de la population de Saint-Symphorien sur le site de l'INSEE, consulté le .
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Symphorien », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
- Saint-Symphorien sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 17 juin 2011.
- Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 46,5 km pour Bordeaux et 23,4 km pour Langon. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 17 juin 2011.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Fiche du Poste 33484002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Symphorien ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Symphorien », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Le risque feux de forêts. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
- « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 3, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne), article 6.X, pages 265-269
- Historique des communes, p. 60, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 8 avril 2013.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Historique et inscription de l'usine de matériel ferroviaire », notice no IA00135937, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 14 février 2010.
- Courte bio de Gérad Lagors sur un blog, consulté le 10 juillet 2014.
- Commune de Saint-Symphorien sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 17 juin 2011.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Inscription de l'église », notice no PA00083810, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 14 février 2010.
- « Inscription de la grange muletière », notice no PA33000135, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 10 juillet 2014.
- « Inscription de la maison Siclis », notice no PA33000097, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 10 juillet 2014.
- « Inscription de l'usine de distillation de produits résineux », notice no PA33000026, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 10 juillet 2014.
- « enquête Publique relative à la demande d'autorisation d'augmenter les effectifs de l'élevage de porcs de la société SAS Le Lay à Saint-Symphorien », Sous-Préfecture de Langon.
- En Gironde, la colère monte contre une ferme-usine de 12 000 porcs, 1°juin 2015, Reporterre, [1]
- Saint-Symphorien (Gironde)
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