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Paul Cadrin

    Paul Cadrin

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    • Enjoying my retirement from Université Laval, in Quebec City, I pursue my research interests in the Polish composer K... moreedit
    An academic directory and search engine.
    Le depart du premier contingent de zouaves a ete l’occasion d’une fete d’une ampleur exceptionnelle, le 18 fevrier 1868. Fastueusement decoree pour l’occasion, l’eglise Notre-Dame de Montreal y a accueilli environ 15 000 personnes, quatre... more
    Le depart du premier contingent de zouaves a ete l’occasion d’une fete d’une ampleur exceptionnelle, le 18 fevrier 1868. Fastueusement decoree pour l’occasion, l’eglise Notre-Dame de Montreal y a accueilli environ 15 000 personnes, quatre eveques et des centaines de pretres venus des quatre coins de la Province. La celebration comprenait les allocutions d’usage et une benediction du Tres Saint-Sacrement, mais, surtout, un long programme musical presente par un choeur et un orchestre formes de plus de 200 interpretes. Trois temoins de l’evenement en ont soigneusement note tous les details, y compris le repertoire interprete, les paroles des chants, et meme les noms de tous les choristes et instrumentistes. Grâce a eux, nous sommes en possession d’un gros plan saisissant d’un sommet de la musique religieuse pratiquee a Montreal dans la deuxieme moitie du dix-neuvieme siecle. Cet episode de l’histoire des zouaves a deja ete etudie par les specialistes de l’histoire religieuse, sociale et politique du Quebec, mais ses aspects proprement musicaux ont echappe a l’attention des musicologues. En analysant en detail les temoignages des contemporains, cet article vise a combler cette lacune et a faire connaitre un evenement qui s’avere avoir ete un moment marquant de la vie musicale quebecoise a l’epoque.
    éruditest un consortium interuniversitaire sans but lucratif composé de l'Université de Montréal, l'Université Laval et l'Université du Québec à Montréal. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la... more
    éruditest un consortium interuniversitaire sans but lucratif composé de l'Université de Montréal, l'Université Laval et l'Université du Québec à Montréal. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche.éruditoffre des services d'édition numérique de documents scientifiques depuis 1998. Pour communiquer avec les responsables d'Érudit:
    Le depart du premier contingent de zouaves a ete l’occasion d’une fete d’une ampleur exceptionnelle, le 18 fevrier 1868. Fastueusement decoree pour l’occasion, l’eglise Notre-Dame de Montreal y a accueilli environ 15 000 personnes, quatre... more
    Le depart du premier contingent de zouaves a ete l’occasion d’une fete d’une ampleur exceptionnelle, le 18 fevrier 1868. Fastueusement decoree pour l’occasion, l’eglise Notre-Dame de Montreal y a accueilli environ 15 000 personnes, quatre eveques et des centaines de pretres venus des quatre coins de la Province. La celebration comprenait les allocutions d’usage et une benediction du Tres Saint-Sacrement, mais, surtout, un long programme musical presente par un choeur et un orchestre formes de plus de 200 interpretes. Trois temoins de l’evenement en ont soigneusement note tous les details, y compris le repertoire interprete, les paroles des chants, et meme les noms de tous les choristes et instrumentistes. Grâce a eux, nous sommes en possession d’un gros plan saisissant d’un sommet de la musique religieuse pratiquee a Montreal dans la deuxieme moitie du dix-neuvieme siecle. Cet episode de l’histoire des zouaves a deja ete etudie par les specialistes de l’histoire religieuse, sociale et politique du Quebec, mais ses aspects proprement musicaux ont echappe a l’attention des musicologues. En analysant en detail les temoignages des contemporains, cet article vise a combler cette lacune et a faire connaitre un evenement qui s’avere avoir ete un moment marquant de la vie musicale quebecoise a l’epoque.
    According to the philosopher Charles Taylor, since the beginning of the nineteenth century, with the advent of Romanticism, the work of art is defined by its epiphanic character. It is a manifestation of something of the highest moral or... more
    According to the philosopher Charles Taylor, since the beginning of the nineteenth century, with the advent of Romanticism, the work of art is defined by its epiphanic character. It is a manifestation of something of the highest moral or spiritual significance; this manifestation is not merely subjective, in which case it would be inaccessible to scholarly inquiry, but it has an objective character. The Third Symphony, op. 27, by Karol Szymanowski is analyzed in the light of Taylor's concept. The Deutsche Motette, op. 62, by Richard Strauss, which is based on a text similar to the one used by Szymanowski, serves as a foil to buttress the findings.
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