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2023, Jahrbuch Archäologie Schweiz 106
https://doi.org/10.5281/zenodo.7895496…
2 pages
1 file
Jochen Reinhard, Renata Huber und Gishan Schaeren, Baar ZG, Sternmattstrasse 10 (2610). Jahrbuch Archäologie Schweiz 106, 2023, 181–182.
2012
Un projet de Lotissement initié par le CM-CIC sur la limite ouest du village de Geispolsheim à donné lieu à une fouille préventive réalisé par Antea-Archéologie en novembre et décembre 2010. Cette opération fait suite à un sondage réalisé par l’INRAP quelques mois auparavant sur près de 3,8 Ha. Cette évaluation a permis de mettre en évidence des occupations protohistoriques datées de l’âge du Bronze final, et du 2nd âge du fer. La fouille couvre une superficie de 9300 m² réparties en trois zones distinctes. Au total 141 structures archéologiques ont été découvertes dont 40 pouvant être attribuées à 7 périodes d’occupations. • L’occupation la plus ancienne correspond à la période du néolithique moyen (période dite B.O.R.S.) qui est soulignée sur le terrain par la présence d’au moins 3 fosses. Du mobilier céramique typique de la période Bruebach-Oberbergen du Rhin Supérieur (B.O.R.S. : 4300 – 4000 av. J.-C.) y a été découvert ainsi que des éléments lithiques taillés et polis. • La seconde phase correspond à la période du néolithique final. Elle est matérialisée sur le terrain par la présence d’un probable fond de cabane ainsi que par un ensemble de 4 sépultures relativement mal concervées. Ce groupe funéraire est, à l’heure actuelle, sans équivalent dans le sud de la plaine du Rhin supérieur (mobilier associé : céramique, éléments lithiques taillés et polis, offrande alimentaire etc...). • La phase suivante s’installe après un hiatus de près de 2 millénaires : le Bronze final IIIa. Il s’agit de la phase majeure du site qui est représentée par un ensemble d’habitat composé de 7 fosses polylobées, 11 fosses et/ou silos. Le mobilier recueilli est assez abondant. Il est essentiellement céramique. L’étude de celle-ci a permis de préciser la datation de l’ensemble : le Bronze final IIIa. Par ailleurs, des influences des régions suisses d’une part et du secteur Main-Souabe d’autre part ont également été perçues dans le mobilier. • L’extrême fin de l’âge du Bronze (Bronze final IIIb) est également présente sous la forme de deux structures de type puits ou puisard, découvertes côte à côte et localisées au nord de la zone principale. Peu de mobilier y a été découvert. • Le second âge du Fer n’est représenté que par deux structures ponctuelles : une fosse polylobée de La Tène ancienne ainsi qu’un puits de La Tène finale. Ces ensembles trahissent sans doute une occupation dont ni l’ampleur ni les caractéristiques n’ont été mises en évidence. • La période romaine a laissé des traces sur le terrain bien qu’aucune structure associée ne puisse lui être attribuée. En effet, du mobilier de cette période a été découvert en position secondaire dans des fossés plus tardifs.
BSFN, 2022
Philippe Schiesser, La première obole mérovingienne uniface trouvée en Angleterre et les techniques de fabrication des oboles unifaces, BSFN, décembre 2022, p. 395-398.
Différents auteurs prêtent aux dispositifs d'expertise élargie aux différentes parties prenantes une capacité à réunir les conditions favorables à l'émergence d'états des savoirs partagés utiles pour le choix et la mise en oeuvre de stratégies de prévention de risques collectifs potentiels encore incertains et controversés. Sur la base du modèle de la Gestion contestable, l'article étudie les implications de l'hypothèse que certains agents engagés dans la contestation sociale, poursuivant un objectif d'action sur la collectivité, adoptent des comportements stratégiques dans la gestion de leur participation à l'expertise. L'un des buts alors envisagés est, pour ces agents, de parvenir à l'autonomisation du processus de contestation d'une activité, d'une technique ou d'un produit par rapport à la construction scientifique des faits et des repères. Cette situation doit être prise en compte par les autres agents pour déterminer s'ils ont intérêt à participer à l'expertise collective et a des implications pour l'organisation de l'expertise scientifique.
La plasticité cérébrale est un concept opératoire dans les neurosciences contemporaines. Une enquête sur l'émergence de cette notion et sur son évolution dans le champ des études sur le cérébral révèle qu'elle n'est ni l'apanage, ni une invention contemporaine des neurosciences. L'analyse du cheminement de la notion, depuis la fin du XIX e siècle à nos jours, sert ici de révélateur aux mécanismes de construction des savoirs scientifiques 1 .
Contrôle scientifique et technique : Michel PRESTREAU, Conservateur régional de l'archéologie Intervenants scientifiques : S.R.A : Pierre THION Pôle Archéologie Metz Métropole : Renata DUPOND (responsable du pôle), Gaël BRKOJEWITSCH (archéologue, responsable d'opération) Intervenants techniques : Techniciens de fouille : Brice CHEVAUX, Simon SEDLBAUER Topographes : Pierre KREMER, Rémi LEONARD Rédaction : Gaël BRKOJEWITSCH Édition des cartes : Nathalie TSCHORA Contexte archéologique et recherche documentaire: Brice CHEVAUX DAO : Brice CHEVAUX, Anthony DUMONTET, Simon SEDLBAUER Etude du mobilier céramique : Sandrine MARQUIE Identification de la faune : Guillaume ASSELIN Inventaire du mobilier : Valérie ROTH Terrassement mécanique : Entreprise MULLER TP Intervenant administratif : Pôle Archéologie Metz Métropole : Philippe LECOUTURIER Contexte archéologique
2018
Un mois avant les élections présidentielles anticipées du 24 juin 2018, le président Erdogan a annoncé « la paix urbaine ». Manœuvre politique ou véritable opportunité de sécurisation foncière pour les citadins concernés ?