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Jodorowsky/Arrabal interwiews

Intervista a Fernando Arrabal e Alejandro Jodorowsly http://www.youtube.com/watch?v=LMQ1QRx7Hc&feature=results_video&playnext=1&list=PL67A70A9B564956D6 J:! Pan-ic. Panic. Le Dieu Pan, cʼest le Panic. Cʼest an acte sexuel avec la totalité. Ca cʼest le Panic. A:! La base du Panic cʼest, on peut dire qui est lʼexplosion de la raison. Ce qui on a previe cʼest que aller de venir en évidence pou la science d'aujourd'hui que on été incapable de pouvoir dʼexpliquer le phénomène qui nous entoure avec les seules domaine de la raison. J: ! Nous voulez faire cette spectacle qui jamais se répétez […]. Essayer decir que si le spectacle ne vais pas se répéter jʼai une augmentation de possibilités dʼexpression fantastique! Je pouvais utiliser des gélatines, de la nourriture qui peu rancir, des destruction massive… (a lot of things) A:! Aujourdʼhui nous avons une choix: ou lʼabsurde ou le mystère. Cʼest la choix scientifique: absurde ou mystère. Nous ne somme pas pour lʼabsurde. Nous ne somme pas des fanatiques de lʼabsurd, nous ne somme pas des fanatiques du mystère, ous ne somme pas des soldates de la confusion. Nous dissons… lʼincertitude, lʼimpossibilite dʼexpliquer le fait que lʼespace et le temps sont illusoire. Cette explosion nous montre que nous ne pouvons pas vivre accrochés a cette raison écrasant qui nous empêche de fleurir. J:! [We broke off with surrealism] parce que Breton avait crée une respectabilité surréaliste que on voulait dépasser. Lui voulait pas de la science fiction, voulait le fantastique, poétique. Il nʼaimait pas le rock, il nʼaimait pas… faire la liste… Il nʼaimait pas ce que fait le monde. Le surréalisme a devenu un petit bourgeois incroyable. J:! jʼai commencé en Mexique, un endroit sauvage, avec le theatre d'avant-garde. Mon primier cour au Mexique je commençai a partir par Fin de partie de Samuel Beckett. On a traité de chiens a Samuel Bekett, de [son-of-a-bich]. Ont lui insulté, ont insulté a moi, on mʼai vomit… Tout la critique, tout le monde a dégénéré. Et ils aussi ons été tout rouges parce que Beckett a eu le Nobel, a été un scandal. Je fais Jonesco Le Roi se Meurt… [Those shows lasted for several years, I did about a hundred plays]: Adamof, Beckett, Ionesco, Strindberg et cetera… On a été tous de theatre de lʼabsurd, Arrabal… A:! Jodorowsky a un talent fou. Dans le vrai sense des mots: talent et fou. Mais comme dans touts les foliés, il intervien le systematicisme. Cʼest un fou mathématique, cʼest un fou divin. Cʼest un fou constructiotinalist. Et cette folie, cette intelligence, cet talent, cette folie, cette intelligence (mais il y a pas de talent sans folie…) sʼexprime, spécialement je trouve, dans la misse en scène. J:! Moi je adorai cette pièce là (Fando y Lis ndr), jʼai joué dans le rôle de un des trois personnages qui arrivent et je lʼai aimé ca. Me placé la pièce dʼArrabal parce que il avaient un cote de pureté infantile dans un monde sadomasochiste. Il a été des poésie pour moi. Je produis la pièce, [we made no money] mias je adorais la fair. Et quand la pièce a été finit parce que nous avent pas de lʼargent pour la continuer, je me rappel dʼavoir pleure de tristesse de ne plus la faire, parce que jʼaime cette pièce. Et après je me suis décidé passer au cinema, je nʼai été pas complètement sure de mon monde, alors je proposai à Arrabal de faire librement Fando Y Lis. Ca voule dire partir sans la pièce de theatre et sans un script. Je allai filmer dans les fin de semaines [...] avec mes souvenirs de dialogue que mʼai resté. A:! Cette représentation de Fando y Lis, le film surtout de Fando y Lis, tiens un éclatant mystère en pris. Cʼest un film que nʼai jamais compris [and I dont want to], mais je ne peut pas le comprendre et je ne veux pas le comprendre. Le jour que je le comprendrai je lʼaimerai moins. J:! Aujourdʼhui que je revois Fando y Lis, ça faisait 30 ans que je ne le voyais pas, je suis étonné comment mon désire artistique a été implacable. Sans aucune concessions cʼétait un film artistique, pure, Fando y Lis. Sans mʼoccupé si jʼennuyer le spectateur, si je choqué le spectateur, si il y avait de rythme si il y avait pas de rythme… Tout cette recherche technique on la fait plus tard. De donner de mouvements ou pas les donner en pensant a les spectateurs. Moi je nʼai pas penser a le spectateur. Je le fais de trip, comme ça voient et le résultat est la. Je suis content de ce film. Parce que cʼest noble, cʼest real, cʼest tel que il est. [In Mexico they didnʼt expected such a film] et le jour que je lʼai donné on a voulu littéralement, réellement mʼassassiner […] ils voulait me lyncher. Intervista a Jodorowsky - RadioAlt, 2007 http://www.youtube.com/watch?v=iI3UeIVmztk&feature=related Cuando yo creo cualquier obra de arte no busco nada, simplemente creo. Hay una frase di Picasso que me marcó mucho: “Yo no busco, encuentro”.Y yo estoy en este estado de medianidad y creo. Para mi Absoluto es solo una palabra. […] Pero a veces se confunde lo Absoluto con honestidad artística. Cual es la honestidad artística? Todo que lo que se hace o se dice es esencial no hay ningún adorno. Esto es lo absoluto. Non adornar. […] No voy hacer cine para ganar dinero, si no para perderlo. […] En mi libros de pronto decidí dejar lʼarte que habla solamente de mi y hace un arte yo que sirva para cura, para guarir. Kafka no me cura, pero me volvió neurótico. […] Para que sirven los libros si yo salgo de esos entusiasmado pero tal enfermo como antes? Por otro lado he visto los libros de auto-ayuda que para mi son ridículos porque están escritos en una maniera infantil y se dedican solo a los comerciantes. Y te dicen eres una persona eres una maravilla, vas a ganar mucho dinero explotando a los otros. Lʼauto-ayuda es al servicio de lʼindustria. Como podría yo hacer libros útiles que no sean esos, que sigan siendo arte, bien escrito pero que ayuden a una persona. Un arte che tu lo lee y estas deprimido y lees el libro y te da la gana de vivir por ejemplo, te da respuestas. […]