Candide

Francois-Marie Arouet was a historian, writer, and philosopher known by his pseudonym Voltaire. As being a major contributor of the Enlightenment period, he advocated for freedoms many fellow Frenchmen did not dare, such as freedom of religion, speech, and separating church and state. He was such a key to the French Enlightenment, the period has been called “The Age of Voltaire.” This essay will introduce the main criticisms Voltaire had for the philosophical work by Gottfried Wilhelm Leibniz brought up in his satirical book Candide. The criticisms are against Leibniz’s stances of organized religion, class hierarchies, politics and power, and optimism as an ideal on the basis that this is the best of all possible worlds. Voltaire, in contrast with Leibniz, was against organized religion, class hierarchy, abuse of power in politics, and optimism as a philosophy. I will also provide my support and contentions.

Voltaire’in başyapıtı kabul edilen “Candide ya da İyimserlik” felsefi bir öyküdür. Leibniz’in, kısaca “Her şey mümkün olanın en iyisidir.” şeklinde  özetlenebilecek iyimserlik üstüne kurulu felsefesini eleştirmek niyetiyle kaleme alınmıştır.
Yazarının kimlik ve kişiliği, öykünün zamanının ötesine geçen etkisi ve felsefesi dikkate alındığında, yapısal açıdan da her daim ele alınmayı hak eder Voltaire’in bu ünlü eseri.

Le bonheur est un trait que chaque vie doit consister. Cependant, vous ne pouvez pas toujours attendre le bonheur; Il y a des moments où on est tenu de mettre d'effort pour l'obtenir. Le texte que je vais analyser est Candide de Voltaire (Chapitre XXX). Ce passage concerne principalement un vieil homme qui vit une vie très simple et modeste. Il consacre sa vie à travailler la terre avec ses enfants et à cultiver son jardin. Sa plus grande valeur est le travail. Aux lignes 15 à 16, le vieil homme dit: « le travail éloigne de trois grands maux: l'ennui, le vice et le besoin ». Cependant, dans cet essai, je vais prouver comment le turc se contredit concernant ces trois grands maux et comment il n'est pas vraiment heureux avec sa vie. La première misère dont le vieil homme prétend que le travail l'aide est l'ennui. Dire que le vieil homme ne veut pas être ennuyé suggère qu'il cherche des choses qui sont intéressantes, vivantes et passionnantes. Cependant, utiliser le travail comme une excuse pour contrer l'ennui n'est pas vrai parce que tout au long des explications et des détails qu'il donne au sujet de sa vie, il semble comme si le vieil homme n'a pas beaucoup à faire. Tout ce qu'il fait, c'est du travail. Il admet même d'être antisocial en termes de sa routine quotidienne. Dans les lignes 4 à 5, il dit: « ... je n'ai jamais su le nom d'aucun muphti ni d'aucun vizir. J'ignore absolument l'aventure ne me parlez pas » (ligne 4-5) Dans cette phrase, le turc lui-même dit qu'il ignore l'aventure. Cela contredit son raisonnement au travail parce qu'il fait délibérément sa vie ennuyeuse en ignorant l'aventure. Un autre exemple de l'aliénation du turc est le fait qu'il ne fait pas attention à la vie en dehors de la ferme. Dans la ligne 7, il dit: «je ne n'informe jamais ce fait à Constantinople ». Il évite délibérément le monde extérieur de sa vie au lieu de l'explorer pour que sa routine soit moins ennuyeuse. Utiliser sortir de l'ennui comme une excuse pour continuer à travailler est un mensonge parce que les actions du turc suggèrent qu'il n'est pas à la recherche d'aventure ou d'excitation dans sa vie.

Le parcours initiatique de Candide Au premier chapitre, Candide débute son parcours initiatique, par un fait marquant : il est chassé du château où il a vécu toute son enfance, pour un simple geste innocent où il a montré son amour pour sa cousine Cunégonde. Au second chapitre, la théorie philosophique de l'optimisme commence à perdre sa valeur : « Cette théorie selon laquelle tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles » ne tient plus, puisque Candide va découvrir que le monde n'est pas le château où il a vécu son paradis perdu. Ici Candide, a dû recevoir quatre mille coups de baguette, car il a osé dire qu'il n'aimait pas le roi des bulgares : " Il eut beau dire que les volontés sont libres, et qu'il ne voulait ni l'un ni l'autre, il fallait faire un choix." Au troisième chapitre, l'ironie voltairienne s'affiche dès les premières lignes : « Rien n'était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées. » Comment des armées qui laissent derrière elles des morts, des cadavres, des malheurs sans fin, peuvent être aussi belles et aussi féeriques ? Dans ce chapitre, le monde va mal, l'image de la guerre en est la preuve. Pourtant, Candide répète souvent que « tout cela pouvait être autrement ». Le récit dans un rythme rapide nous informe sur le voyage de Candide en Hollande : un pays riche où il a espéré trouver le bonheur perdu. Il se trouve sans pain. L'église est critiquée ici, à travers l'orateur et sa femme qui refusent de donner à manger à Candide : « Croyez-vous que le pape soit l'Antéchrist ? » Jaques est le seul homme, qui a aidé Candide, ce qui a poussé ce dernier à parler de l'optimisme et de son maître Pangloss malgré la guerre, la prison, les tremblements de terre, les combats sanglants… Malgré l'injustice des hommes : « Maître Pangloss me l'avait bien dit que tout est au mieux dans ce monde, car je suis infiniment plus touché de votre extrême générosité que la dureté de ce monsieur à manteau noir et de madame son épouse. » Ces paroles sont ridicules, car elles montrent que Candide est si naïf et si dure à faire changer d'avis. Ce que l'oeuvre va nous révéler par la suite… Nadia BIROUK-Agadir-Lycée Derfoufi-2008

This book is a narrative by the 17th century philosopher Voltaire with Candide as the protagonist. It was written shortly after the 1755 Lisbon earthquake as a reaction to the philosophy of Alexander Pope "whatever is, is right" and Leibniz’s principle of sufficient reason, that everything has been created to God's purpose therefore it must be the best that it can be.