Political sciences and economy

Le langage politique est souvent insondable.  Il est souvent destiné à donner l’apparence de véracité à ce qui ne l’est pas, celle de la cohérence à l’incongruence,  et  de pertinence à ce qui n’est que vent. A l’approche des échéances électorales  minuscules ou grandes, les promesses d’interventions publiques abondent, chacun des candidats se définit comme le meilleur et prétend que son programme de société, s’il en dispose, est une panacée. Les opinions sont peu éclairées, car les idées embellies séduisent facilement  et celles complexes peuvent susciter mépris et indifférence. Chacun des candidats veut vendre son programme de société et les promesses s’enchainent, c’est la guerre des chiffres et des mots qui s’ensuit. Les plus ingénieux du nombre des politiciens donnent l’apparence de cohérence à leurs idées. Le mensonge pourrait s’apparenter  à la vérité, s’il est enjolivé. La vérité, elle, pourrait s’épanouir. Et ceux des candidats qui la déclarent  peuvent se faire punir et récolter chichement
Fort de ces réalités, notre pays pour devenir une forte démocratie a besoin de ceux qui  évaluent les programmes de société de nos partis de manière  à éclairer les opinions. Ceux-là,  doivent être le plus neutres que possible. Ils doivent être animés que par le désir désintéressé d’éclairer les opinions et de faire triompher la vérité du mensonge. 
«  Les élections n’ont  rien changé  aux conditions des peuples », avions-nous entendu. Mais comment  le pouvoir obtenu sans préparation pourrait-il être le  médium  d’implémentation  des réformes pouvant conduire au salut populaire ?  Comment les votes  sans conviction pourraient-ils conduire à l’élection du meilleur des candidats ?  Mon dessein par ces analyses, est de permettre à chacun de faire la part  du faux  de la vérité, de la pseudo-solution de la vraie, de l’orge de l’ivraie .  En vérité, il fallait que nous analysions sans préjugé aucun, sans parti pris, les programmes de société de nos candidats.

Faire le bilan  d’un dirigeant n’est pas une tâche aisée.  Faire celui d’un  dirigeant guinéen de la troisième République  est encore plus compliqué.    La Guinée est un pays de paradoxes et celui des scandales.  Faire le bilan  suppose de bien comprendre le passé , de le diagnostiquer avec rigueur et puis d’évaluer les actions, les choix et leurs  résultats  des politiques du dirigeant  en suivant un référentiel spatiotemporel . 
Ainsi, les comparaisons spatiale  et temporelle seront  faites.  Le bilan  des cinq années  de gestion du président Alpha  Condé  sera fait en tenant compte de notre passé, de l’antériorité  .Il sera aussi  confronté à celui des dirigeants des  pays limitrophes  venus au pouvoir à la même année qu’Alpha  Condé.

"Dès le lancement du XXIe siècle, les institutions de l’UE n’ont pas hésité à investir dans le domaine de la connaissance, cependant que ce dernier assurément, fut interprété comme le synonyme de l’assurance d’une croissance économique stable. De manière officielle donc, les premières années du deuxième millénaire s’ouvrent en Europe par l’élaboration d’un discours « subpolitique » à travers lequel se démarque une opposition fondamentale, qui transforme les débats éthiques, outils normalement heuristiques résumés par des questions, en préaccords économiques sur des prospections fondées, réponses en réalité non-nommées, mais dont la comparaison avec les systèmes américains et japonais fournit une clé d’interprétation primordiale…" (p.223.).

The first interview educational/text (nonfiction) Book entitled, "The Nigerian Dependent Management & Leadership Development In The Post World War II Colonial Nigeria. Publisher: authorhouse. USA/UK-2013. authored by Dr. Anthony Kenechukwu Offu. Sr & the Lt. Nigerian Army General. Rtd  & the contemporary United Nations-Military Adviser in the peacekeeping Division. Hon. Chikadibia Isaac Obiakor. rtd in the year february, 2011.

This crucial organized inspiring, educating, informative & entertainment learning global experience between these two scholars were formally held in the year of February 2011; shortly & post General Obiakor's retirement.
The interview primarily covers the overall spectrum of the Nigerian & global iconic Leadership & Management paradigms in today's high level civil & military democratic skills experience, which was embodied as the subsidiary researched essay/article paper of the aforementioned published intellectual enigma nonfiction book thesis of no less than "552" pages.
As per the interview purportedly espouses, the Army General Obiakor's advised Dr. Offu, toward his limitation of only specified five (5) major questions, due to predominantly time constraints & global challenging issues facing the world community, including but not limited to the Nigerian Management & Leadership ascribes.

Cuarta parte, Tiempo, del libro IMAGINARIOS, MEMORIA Y TIEMPO EN PARAGUAY, ISBN 978-99967-836-1-6. Contiene dos artículos: Cambio de hora oficial: Ahorro, confort, suministro y globalización (1931-2016) y Economía y feriados nacionales (1990-2015). El primero registra el adelanto o retraso de la hora oficial según criterios económicos dentro de un proceso global y el segundo la perspectiva económica de sectores empresariales y Estado sobre la cantidad, contenido y movilidad de los feriados.

Resumes-abstracts.
http://www.septentrion.com/fr/livre/?GCOI=27574100494900

"Peut-on encore parler d’une régulation maîtrisée des sociétés ? C’est à cette question qu’il est entrepris de répondre dans L’échelle des régulations politiques en sollicitant une pluralité de disciplines de sciences sociales et une grande diversité de domaines d’observation. Situé dans le temps et l’espace, un tableau exceptionnel des transformations des sociétés contemporaines peut alors être dressé. Face à l’ampleur de ces transformations touchant au statut des États, aux rôles des institutions, aux usages des savoirs scientifiques et techniques, aux pratiques des acteurs en rapport avec la question stratégique de la citoyenneté, s’accroissent les tensions entre des logiques de domination et d’autres démocratiques. Dans ce maelstrom, une politique de régulation des sociétés doit, au préalable, se penser, à partir de nouvelles formes de mobilisation des savoirs : moins comme faite d’équilibres préservés, maintenus ou retrouvés que constituée de tensions, de ruptures et de contradictions."

Réunissant les contributions de 28 chercheurs en SHS, français, européens et canadiens :
Virginie Albe, Anthony Amicelle, François Audigier, Michela Barbot, Jérôme Baudry, Emmanuelle Bernheim, Christian Bessy,  Jacques Commaille, Hervé Champin, Elisabeth Claverie, Cynthia Colmellere, Claude Didry, Vera Fritz, Gabriel Galvez-Behar, Guy Gilbert, Nicole Kerschen, Stéphanie Lacour, Brice Laurent, Florent Le Bot, Alexandre Marchant, Arnaud Mias, Emmanuel Naquet, Guillaume Ouellet, Emmanuelle Perin, Rachel Roumet, Max Silverman, Morgan Sweeney et Patrick Verley.