- Geo-spatial analysis with GIS and GPS, Spatial Modeling, Spatial Analysis, Spatial analysis (Archaeology), LiDAR for Landscape Archaeology, Archaeological GIS, and 5 moreLandscape Archaeology, GIS and Landscape Archaeology, Remote sensing and GIS applications in Landscape Research, Computer Applications & Quantitative Methods in Archaeology (CAA), and Geographic Information Systems (GIS)edit
ABSTRACT
Research Interests:
Research Interests:
ABSTRACT
Sciences de l'Homme et de la Société
ABSTRACT
Research Interests:
La communication présentera l’usage des technologies d’acquisition topographique haute résolution en archéologie afin de détecter des anomalies anthropiques sous couvert forestier. Elle exposera un état de la recherche tant du point de... more
La communication présentera l’usage des technologies d’acquisition topographique haute résolution en archéologie afin de détecter des anomalies anthropiques sous couvert forestier. Elle exposera un état de la recherche tant du point de vue méthodologique que des avancées significatives sur la compréhension des dynamiques de l’occupation humaine et des espaces ruraux sur le temps long à partir d’études menées en Bourgogne.
Research Interests:
The analysis of territorial changes over time raises many methodological questions. Despite a very frequent use of spatial analysis methods, few works underline their methodological shortcomings. This paper considers a comparison and... more
The analysis of territorial changes over time raises many methodological questions. Despite a very frequent use of spatial analysis methods, few works underline their methodological shortcomings. This paper considers a comparison and discussion of exploratory statistical methods (notably Ripley's K function and its derivatives). It is worth noting three parameters in archaeological spatial analysis: scale, quality and quantity of input data. Archaeological data are intrinsically heterogeneous. Therefore, our approach proposes a multiscalar process integrating heterogeneous data. We describe a range of methods for the description and analysis of heterogeneous spatial point patterns in archaeology. These methods are described through the spatial analysis of neolithic sites in the South-East of the Paris Basin (France). We conclude by discussing the problems of the logical link between spatial pattern recognition and the archaeological process.
Research Interests:
CArGOS is a Catalog of Geographical Data in Social and Human Sciences (SHS), on-line since March, 2012. The presentation of this tool will state motivations at the origins of its development for a use at a national level, choices made and... more
CArGOS is a Catalog of Geographical Data in Social and Human Sciences (SHS), on-line since March, 2012. The presentation of this tool will state motivations at the origins of its development for a use at a national level, choices made and progress of work led since 2010. Through feedback experience, will be evoked the subject of the creation of a new version, getting loose from architectural constraints due to free applications, to serve in the best way the SHS community's demands.
Research Interests:
En lien avec les préoccupations actuelles de notre société, le géoréférencement et la géolocalisation des individus, des faits et des objets constituent aujourd’hui des variables incontournables et un paramètre principal de toute... more
En lien avec les préoccupations actuelles de notre société, le géoréférencement et la géolocalisation des individus, des faits et des objets constituent aujourd’hui des variables incontournables et un paramètre principal de toute information. La production de données s’organise, s’accélère, investit de plus vastes échelles, mais toute donnée, de quelque discipline qu’elle relève, n’acquiert toute sa validité que si, d’une part elle a fait l’objet d’une démarche conceptuelle et sémantique, et d’autre part elle est rendue accessible, moissonnable et interopérable. L’intégration des données, leur enrichissement et leur indexation, leur croisement et leur appariement progressent à la mesure de diverses technologies qui tiennent une toute première place, dont celles de la géomatique. L’idée de journées d’études consacrées à la localisation et à la spatialisation s’articula peu à peu dans ce contexte et dans celui plus local du campus dijonnais. Où, d’une part le projet «Dictionnaire topographique »1 expérimentait un outil de géoréférencement des toponymes bourguignons. Où, d’autre part archéologues et historiens sollicitaient la Plateforme technologique géomatique Bourgogne Franche-Comté (GéoBFC) des Maisons des Sciences de l’Homme de Dijon et Besançon pour des projets de recherche très divers mais en toute méconnaissance des expériences des uns et des autres. Alain Guerreau ayant accepté de faire part d’une expérience de géoréférencement sur une documentation bourguignonne et d‘une utilisation du fichier Fantoir2, l’impulsion était donnée. Nous décidions d’ouvrir largement l’atelier bourguignon, et nous souhaitions réunir les acteurs de démarches variées, doctorants, jeunes docteurs, ingénieurs, chercheurs et enseignants, et de mettre en présence résultats, méthodes et outils, et questionnements. Notre proposition reçut un bel accueil, archéologues, historiens, archivistes et géomaticiens se donnèrent rendez-vous à Dijon dans le cadre de deux journées organisées par l’UMR Artehis, la Maison des Sciences de l’Homme de Dijon, le CTHS et sous l’égide du réseau ISA, Information Spatiale et Archéologie.