Bno310308 Fiche 15 Grue Ardelt
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ET D'INDUSTRIE DE CAEN
GREFFE
N/Rf.:
SF/SG.OS.59
Objet:
V/ courrier du 26/02/08 re~ le 27/02/08
concernant le ROD rdatif la gestion de la CCI de Caen
Remis en mains propres contre signature
Monsieur le Prsident,
\
Monsieur Jean LE FOLL
Prsident
.. CHAMBRE REGIONALE DES
COMPTES
Le Chteau de Bnouville
14970BENOUVILLE
Caen,
le 25 mars 2008
Vous nous avez adress par courrier du 26 fvrier le rapport d'Dbservatlons dfinives relaf
la gestion de la Chambre de Commerce et d'Industrie de Caen ..
Nous avons souhait, dans le cadre de la procdure contradictoire prvue par la loi, apporter
un certain nombre de rponses et observaons ce rapport et, vous prions de bien vouloir
trouver ci-joint les fiches et annexes tablies cet effet.
Demeurant votre enre disposition pour toute informaon .complmentaire, nous vous
prions d'agrer, Monsieur le Prsident, l'expression de nos sentiments les meilleurs.
~'d!
1 ent,
r- Serge FT~ ~
~ ..............,
1, RUE REN CASSIN - SAINT-CONTEST - 14911 "CAEN CEDEX 9 FRANCE
TL: 02 31 54 54 54 - FAX: 02 31 544080 - SITE WEB : www.caen.cci.fr
CHAMBRE DE COMMERCE
ET D'INDUSTRIE DE CAEN
D'~SCOMPTES
25
GREFFE
CONTROLE DE LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE BASSE-
NORMANDIE
REPONSES DE LA CCI DE CAEN AU RAPPORT
D'OBSERVATIONS DEFINITIVES DU 26 FEVRIER 2008
CONTROLE DE LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE BASSE .ORMANDIE
REPONSES DE LA CCI DE CAEN AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES
TABLEAU SOMMAIRE
Pl 1 1 0
1 MISSIONS, ORGANISATION ET
COMPOSITION DE LA CCI
11- SITUATION FINANCIERE
III ACTIVITES PORTUAIRES
1.1 Les missions et l'otganlSation de la
CCI
Il.1 Les comptes et la situation
financire de la CCI
Il.2 Les interventions du commISsaire
aux COMptes
P2~
P2 3 2
--
P32
1 3
-
P72
1 4
-..... --
P74
5
P8 1
P83
6
P84
7
P93 8
~
---i
P11 1
10
1 1
P11 2
11
P114
12
P11 5
13
..--.
-... -- ..... -.--
P12 1
14
P134 1 15
- DYSFONCTIONNEMENTS
RELEVES AU SERVICE
PORTUAIRE
1V.1- Un dtournement de fonds
P141
16
-l
P14 2
17
1V.3 - Le traitement d'une facture
P15 5
18
--
P16 2
19
P16 5
20
IV - La gestion de eerta'n. emplois et
P17 1
21
ag,ntsdu rv~p(utQalJ'
.~~
P172
22
P17 5
23
V.1 - Les .diredeursg6n6raux
P18 7
24
P19 1
P22 1
25
P22~
26
1
P226
27 2
P23 2
28
V - GESTIONPES RESSOURCES
P23 3
29
HUMAINES
V.2 - Les autres persoQnels
- -.--~._-..
P234
30 3
P23 7
31
4
._--."-
1-------- ...--....
..-----
P242
32
P24 3
33
P24 6
34
2
CONTROLE DELA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE BASSE-NORMANDIE
REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHE NO
(P1 1)
La Chambre rgionale des comptes de Basse-Normandie a vrifi les comptes et examin certains
aspects de la gestion de la Chambre de Commerce et d'Industrie de Caen (ci"aprlJs CCI) pOUYleS
exercices 2001 et suivants, en application des dispositions des articles L.111-get R.111-1 du code
des juric!ictions financires et des arrits des 17 janvier 2003 et 13 octobre 2006 du premier
prsident de la Cour des comptes.
La Chambre nous ayant notifi dans un premier temps que le contrle portait sur la priode 2001~
2005, puis par courrier du 5 avril 2007 qu'il tait tendu aux exercices 2006 et suivants, il nous
parat ncessaire de prciser qu'il S'agit des exercices 2001 2007.
CONTROLE DE LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE BASSE-NORMANDIE
REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHI! Ni
(P2 2)
La CCI intervient galement en matire de formation, en coopration aveC d'autres compagnies
consulaiTes, en assurant la gestion ouen soutenant financirement plusieurs tablissements,
comme l'Institut Consulaire d'Ens(!:lgnement Professionnel (lCEP CFA), l'cole suprieur de
commerce Sup Europe CESEC (Jusqu'au 31 dcembre 2'Ots),et l'Ecole de Management de
Normandie (EMN).
Rajouter la fin du paragraphe: depuis le 1erjanvier 2007 .
CONTROLE DE LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE BASSE-NORMANDIE
REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHE N2
(P2 3)
La CCI a quitt fin 2002 l'h'Jtelcon.$ulalre qu'elle avait fait construire en 1966auentre de Caen au
profit d'un ensemble immobilier situ la priphrie de la ville et qu'elle partage avec la Chambre
Rgionale de commerce et d'industrie (CRCI). Les services de la CCI SOftt implants sur plusieurs
sites: le sige social, les installations portuaires de Caen-Ouistreham et de PQrl en Bessin,
l'a.roport de Cae~CarPiquet, le centre d'apprentissage ICEP-CFA et jusqu'au .31 dcembre 2006,
l'cole suprieure de commerceSup Europe CESEC.
Rajouter la fin du paragraphe , devenu Ecole de Management de Normandie )}.
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REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHE N3
(P3 2)
Cf La Chambre considre que la. mise en place de commissions permettant aux usagers de dbattre,
Principalement, de problmes techniques et de gestion quotidienne de divers quipements avec des
agents de la CCI, voire des reprsentants d'organismes extrieurs, ne saurait justifier l'absence
d'une instance de rflexion et de proposition forme d'lus consulaires, charge d'examiner
collgia/ement des questions stratgiques relatives, notamment, au dveloppement commercial et
la promotion de l'image du port de commerce et des autres qUipements grs, qui Constituent le
domaine d';:u;tJvits le pius important en termes conomiques et financiers (73,8% du chiffre
d'affaires et 78,9% des oprations en capilal en 2005).
Il existe une instance de rflexion et de proposition dnomme Association pour le dveloppement
du Port de Caen-Ouistreham (ADPCO), compose d'lus consulaires et des lus reprsentants les
collectivits concemes (CR, CG, Communes riveraines) et l'Etat, dont la mission est bien de
mener les tudes, rflexions et orientations stratgiques. Elle se runit en moyenne 8 10 fois par
an et a notamment adopt le plan stratgique de dveloppement portuaire.
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REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHE N4
(P7 2)
A titre d'illustration, les subventions d'exploitation reues en 2005 (6,4 M) ont t attribues,
principalement, aux tabHssements de formation (4,5 Mf) et raroport (1,4 NI).
Il est inexact de dire que l'aroport de Caen-Carpiquet est sUbventionn hauteur de 1.4 M
puisque la majeure partie de cette somme correSpond au remboursement par l'Etat .via le PlATA,
des dpenses exposes par l'exploitant dans le cadre des missions de sret assures par lui
pour le compte de l'Etat.
Trs exactement les subventions d'exploitation comptabilises se sont leves 1 408 776
dont:
PlATA (remboursement par l'Etat des dpenses exposes): 1417219
Rgularisation PEDER : - 8 443
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REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHE Nes
(P7 4 - pa 1)
Les oprations en capital. Le tableau ci-aprs retrace l'volution des oprations en capital de la CCI
au cours de la priode 2001-2006. Entre 2001 et 2006, la CCI a ralis des investissements d'un
montant global de 61,7 M financs hauteur de 58,8 % par subventions (36,3t, de 19,1% par
emprunts (11.8 t) et pour le reste par autofinancement (22,1%). Les emprunts ont t contracts,
principalement, pour financer des quipements du port de Caen-Ouistreham, de l'aroport et du
service de la formation.
Le tableau des oprations en capital (page 8/25) ne fait pas apparatre la ligne Autres mouvements .
que ce soit en ressources ou en emplois. De ce fait, le total des ressoyrces et le total des emplois ne
correspondent pas au cumul des lignes qui prcdent.
Le cumul des oprations en capital de 2001 2006 fait apparatre les sommes suivantes:
Investissements
o Emprunts
o Subventions
o Autofinancement
61663 K
11176 K
36290 K
14197 K
100%
18.1 %
58,9%
23%
Or, il est not dans le rapport: Entre 2001 et 2006, la CCI a ralis des investis.sements ... financs
hauteur ... de 19,1 % par emprunts (11,8 ME) et pour le reste par autofinancement (22,1 %).
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REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES ND1
FICHE N-6
(P8 3)
Les investissements raliss entre 2001 et 2005 se rpartissent entre les services en concession
{42,46 M soit 77,7% dont 37,5 pour le service portuaire} et les services hors concessions (12,18 M
soit 22,3%). Les principales oprations d'investissement ralises au cours des exercices 1999-2005
ont concern la construction d'une arogare (5,4 Men 199912002),l'dification d'un ensemble
immobilier consulaire destin abriter la CCI et la CRCI (6,7 M en 200012003), l'acquisition
d'quipements et la rfection d'Infrastructures pOrt!Jaires (6,3 l'M en 2(0112004), l'amnagement
d'une plate-forme pour les engrais (4,2 M en 2001), des travaux au terminal transmanche (3,2 M en
200212004),des investissements au CESEC(3,2 M M200112005)et des oprations immobilires
dans les zones industrialo-porluaires.
La somme de 6,7 ME indique au titre de l'dification d'un ensemble immobilier consulaire
destin abriter la CCI et la CRCI ) doit tre ventile de la faon suivante :
CCI Htel Consulaire:
CCI Maison des Entreprises et des Territoires:
CRCI:
Total:
2,21 ME
3,36 ME
1,13 ME
6,70 ME
CONTROlE DE LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE BASSE-NORMANDIE
REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHE N7
(P8 4)
La CCI s'est installe dans son nouveau sige ffn dcembre 2002 et la CRCI en mat'$2003. Le cot
global de l'opration, y compris le pn"x du foncier, s'est lev 7,86 M TTC, soit 6,67M HT dont
5,54 M pour la CCI (83%) et 1,13 M pour la CRCI (17%) ; En dfinitive, la CCI a financ la part lui
incombant dans la ralisation du nouvel ensemble immobilier (6,1 Mf), grAce des subventions de
collectivits publiques d'un montant de 2,6 M et une partie du produit de la vente de l'htel
consulaire de Ca~m hauteur de 3,5 M (sur Un mOl1tanttotal de 4,9 M). Ainsi, l'opration de
transfert de l'htel consulaire (cession/construCtion) " permis la CCI de dgager un solde
bnficiaire de 1,4 Mf.
Il est indispensable de distinguer l'htel consulaire de la MET. Cette dernire est, certes, la
proprit de la CCI mais constitue un outil au service de l'ensemble des entreprises et des
partenaires conomiques du dpartement et ne fait donc pas partie de "htel consulaire mme s'il
est, comme la CRCI, situ dans le mme ensemble immobilier.
La vente de l'htel consulaire de centre ville (4893613 ) a donc permis le financement du nouvel
htel consulaire (2,21 ME) qui n'a pas t subventionn.
La MET a fait l'objet de financements et de subventions spcifiques (2,6 ME).
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REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHE N-8
(P9 3)
Pour les: e}(8rclces 2001 2005, les commlssalre$ aux comptes Ol1t certifi la rgularit et la
slm:rlt des comptes annuels qui donnent une Image fidle du tslIltat des opratlol1s,de la
situation financire et du patrimoine de la CCI et n'ont pas formul d'obsenration particulire dans ce
domaine.
Les comptes 2006 ont galement lt certifis par le commissaire aux comptes. Les comptes 2007
sont en cours de certification.
CONTROLE DE LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE BASSE-NORMANDIE
REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHE N9
(P9 7)
Il se situe, pour l'essentiel, sur le domaine public maritime. L'activit et le dveloppement du port
de Caen-Ouistreham se trouvent conditionns par ses caractristiques physiques. Pour accder un
certain nombre d'installations portuaires, les navires sont soumis aux mares et au passage d'une
cluse et doivent faire appel des remorqueurs pOUf remonter un canal dont l'troitesse et la
profondeur limitent le tonnage ds bltiments, les manu~res d'vitage et, plus gnra/~ment, le
trafic.
Le port de Caen-Ouistreham ne se situe pas pour l'essentiel mais exclusivement sur le
domaine public maritime.
Si les caractristiques nautiques du port de Caen-Ouistreham peuvent constituer un handicap en
terme d'accessibilit des navires, il n'est pas exact d'affirmer qu'elles limitent le trafic. Il s'agit d'une
contrainte, mais ce n'est. pas un lment directement li J'volution du trafic. Tous les ports ont
des contraintes physiqLles, ce qui fait qu'ils ont tous des spcificits et leur dveloppement doit se
faire dans ce cadre. D'autres ports aux accs nautiques plus favorables voient leur trafic dcrotre.
Par ailleurs, dans un contexte de renforcement du cabotage maritime, ces caractristiques
peuvent au contraire tre facteur de dveloppement de trafic, travers le feedering, le short sea
shipping et les trafics de niches, dj largement dvelopps par le port.
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REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHE N-10
(P11 1)
La baisse d'activit depuis la fermeture de la SMN, en novembre 1993, dont lese~ts ont fortement
affect le trafic portuaire, ont pu tre compenses, pour partie, par le /tmcement et le dveloppement
dSliaisons maritimes transmanche (terminal de Ofllstreham) partir de 1986.
L'ouverture du terminal aval de Ouistreham, ainsi que la consolidation et le d$veloppement de
trafics l'amont, ont, ce jour, totalement compens la fermeture de la. SMN. En effet, l'anne
record pendant les annes SMN (hors ferries) date de 1973 avec 2,788 MT. L'quivalent de ce
tonnage a t rattrap en 2001 et le trafic n'a cess de croitre depus, pour atteindre 3,95 MT en
2007, c'est--dire un tonnage quasi-gal celui atteint en 1990, l'poque o le trafic SMN co-
,existait avec celui des ferries.
CONTROLE DE LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE BASSE-NORMANDIE
REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHE N11
(P11 2)
Cf Au cours de la priode 2001.2007, le trafic du port de Caen-Ouistreham a globalement progress,
tant en ce qui concerne le fret total (+40,3%) que l'activit du terminal transmanche (passagers: +
12,2%; vhicules: +17,1%; fret: +67,2%). Toutefois, le fret trait par le Port AmQnt a diminu de
17,8%entre 2001et 2007.
Mettre en vidence uhe diminution du trafic du port amont de prs de 18% entre 2001 et 2007 est
rducteur et n'est pas reprsentatif de l'volution du port. Le tonnage du port amont est, de par la
nature alatoire de ses trafics, variable d'une anne sur l'autre, et ce depuis la fermeture de la
SMN (1993).
En prenant du recul depuis 1993, on note que le trafic amont s'tablit au sein d'une fourchette
comprise entre 600000 tonnes et 1 MT. Depuis 2003, cette fourchette tend se resserrer
(730000 - 850 000 T). En poussant l'analyse, on constate que la principale variable d'ajustement
du tonnage du port amont est un trafic sur lequel seule la nature a un pouvoir: le trafic crales.
Ainsi sur la priode 1994-2007, le tonnage de crales trait au port amont s'tablit entre 217 KT
(2002) et 582 KT (1995).
La diminution de trafic de 17,8% entre 2001 et 2007 est donc purement conjoncturelle et non
structurelle: 2001 est la quatrime meilleure anne du trafic crales (430 KT) depuis 15 ans et
2007 est la deuxime moins bonne anne sur 15 ans (270 KT). En dcalant l'observation d'une
anne, on peut aussi crire que le fret trait par le port amont a progress de 10,6% entre 2002 et
2007 ; l'analyse n'en serait pas plus reprsentative.
Par ailleurs, le tableau situ en page 11/25 porte en intitul Evolution de l'activit du port de
Caen Ouistreham (2001-2007) et les informations du tableau lui-mme mentionnent les annes
2001 2006.
Nous disposons des informations qui permettent de complter le tableau conformment son
intitul.
CONTROLE DE LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE BASSENORMANDIE
REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHE N12
(P11 4)
Concessionnaire des installations portuaires et ce titre tributaire des dcisions du Syndicat mixte
rgional des ports, notamment en matire d'investissement, la CCI ne semble pas consacrer les
moyens ncessaires un dveloppement commercial significatif du port de Caen-Ouistreham. En
effet, si les rsultats du port Aval progressent d'anne en anne, il apparat clairement que cette
progression dpend exclusivement du trafic trans-manche des camions et des passagers, assur par
une seule compagnie maritime. En revanche, le fret diversifi trait par le port Amont diminue
sensiblement sur l'ensemble de la priode 2001-2001(-17,8%), notamment en 2001 par rapport
l'exercice prcdent (-13,1%).
Les ports modernes sont aujourd'hui multifonctions. Leurs rsultats ne peuvent donc pas tre
uniquement jugs sur une analyse de leur tonnage annuel. Il est ce titre surprenant que la
Chambre n'intgre pas galement son analyse des lments techniques, sociaux ou encore
financiers (cf. le rsultat budgtaire, en constante progression delOuis 2002) pour juger des
moyens mis en uvre pour le dveloppement du port.
Aprs la fermeture de la SMN (1993), le port s'est astreint dvelopper et consolider le trafic
transmanche pendant 10 ans. Il est aujourd'hui reconnu que cet effort est un rel succs
commercial, le port tant dsormais en situation de saturation d'o la mise en uvre d'un projet
d'extension du terminal aval.
Depuis 2003, le port s'est ensuite astreint renforcer sa rserve foncire. Ainsi entre 2004 et
2008, la concession portuaire de la CCI est paSSede 92 153 hectares de terrain (+66%), et de
48000 142000 m2 (+196%) de surfaces bties..
Aujourd'hui, dvelopper le trafic purement commercial du port amont passe par la ralisation
d'investissements d'infrastructures, que la CCI ne matrise pas (largissement de la zone d'vitage
de Blainville, extension du quai et des terre-pleins de Blainville). Ces projets ont t repris et
programms par le nouveau concdant.
Sans ces ralisations, le trafic du port amont ne peut donc, en l'tat actuel des choses, se
dvelopper qu' la marge, les capacits d'accueil et de stockage arrivant saturation. Il a t
dmontr en observation n 3 que l'volution de ce trafic tait dpendante du trafic de masse
gnr par chacune des saisons cralires, sur lequel aucun effort commercial n'a de prise.
Seule une analyse du trafic, crales exclues, serait alors pertinente pour juger du dveloppement
des autres types de trafic, et donc de l'initiative commerciale. Or, la progression est de 20% depuis
la fermeture de la SMN (cf. tableau ci-dessous).
r-.... --- ......
1
-... .-.----
anne
1
total port
crales
port amont
1
1
amont
hors crales
-
1994
678549 297958 380591
1995
829040 517793 311247
1996
674468 313593 360875
:---.. 603934
307957 295977 1997
1998
675921 333861 342060
_ 1999
978915 582143 396772
2000
958981 460643
498338
2001
887349 430489 456860
2002
659265 217139 442126
2003
786540 321839 464701
2004
775700 339629 436071
2005
733740 338830 394910
2006
839423 368687 470736
2007
729045 269861 459184
En dernire ligne il est indiqu que le fret diversifi trait par le port amont diminue sensiblement. Il
parait souhaitable de nuancer cette apprciation en distinguant le fret captif (crales, engrais)
qui est essentiellement dpendant des alas climatiques, dO fret pour lequel une politique
commerciale peut avoir un impact et souligner le bon dveloppement des activits bois et ferraille,
rsultat de nos actions commerciales.
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REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHEN-13
(P11 5)
Au cours de ces dernires annes, la CCI n'a pas labor une stratgie visible de dveloppement
portuaire en explicitant clairement ses forces et ses faiblesses, en valorisant ses potentialits
(terrains disponibles), en cherchant compenser ses handicaps et elle ne s'est pas dote des
moyens humains pour accompagner une politique commerciale efficace. C'esfainsi que, depuis son
dpart en 2004, le charg de mission pour le dveloppement du port n'a pas t remplac. Par
ailleurs, le port de Caen n'est pas parvenu travailler en syne:rgie avec le port de Che:rbourg alors
que certains quipements et personnels paraissent complmentaires.
Dans l'ensemble, la description du port de Caen-Ouistreham faite par la Chambre est ngative,
alarmiste et partielle. Aucun des rsultats positifs de ces dernires annes ne sont repris:
1er port franais sur le trafic du bois du Brsil ;
croissance constante du trafic;
hausse continue dans le classement des ports franais, pour tre positionn aujourd'hui au
10eme rang franais;
3erne port transmanche, dtroit compris, 1!!t" sur la Manche Ouest;
3me port franais dcentralis;
Acquisition et consolidation du trafic ferrailles: de 3 845 T en 1995 129539 T en 2006 ;
2001 : cration des trafics de sel et de clinkers ;
redressement et amlioration continue de la sant financire de la concession depuis son
renouvellement en 1995.
Par ailleurs, la Chambre relve que le trafic du port amont a baiss de 17,8%, sur une priode o il
y existait un charg de mission pour le dveloppement portuaire, et dans le paragraphe suivant
elle accuse la CCI de ne pas s'tre dot de moyens humains pour une politique commerciale ...
Quant d'ventuelles synergies avec le port de Cherbourg, le prCdant conCdant qu'tait l'Etat
n'a jamais sollicit ce type de synergie. Par ailleurs, la CCI de Caen est lie par un contrat de
concession avec son concdant Ce contrat dfini un primtre de concession et un certain
nombre de missions. Or ce dernier ne prvoit pas d'inteNention de la CCI en dehors du champ
d'application de la concession.
Nanmoins, s'agissant d'une mission hors concession, la CCI de Caen a eu l'occasion de
proposer au port de Cherbourg ses seNices en terme de mutualisation du seNice de remorquage.
Aucune suite n'a t donne cette proposition concrte.
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REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHE N-14
(P12 1)
(f L tableau ci-aprs montre l'volution de l'activit des ports de plaisa"ce de Cae",t de
Ouistreham qui a PfOgt&$s entre 2001 et 2006(visiteurs: +43,5% ; nuites: +184%) mais a diminu
en 2007 (visiteurs: -16,5%; nuites: -10,70-').
La diminution de l'activit visiteurs/nuites en 2007 s'explique par une saison estivale
particulirement dfavorable du point de vue mtorologique.
Mme observation que prcdemment pour les deux premiers tableaux figurant cette page
intituls tort 2001-2007, alors que seules les annes 2001 2006 sont mentionnes
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REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHE Ne15
(P134)
La Chambre constate que l'installation sur le quai de Blainville-sur-Orne, en 200212003,d'une
nouvelle grue portuaire sur rails cr Kranbau Eberswalde n 35 d'une capacit de 45 60 tonnes et
d'un cot global de 2,9 M Hf, qui a fait l'objet avant son acquisition d'une tud prparatoire de
nature technique, n'a, en revanche, donn lieu ni des tudes commerciales (taux d'utilisation et
impact sur le trafic portuaire) ni des tudes de rentabilit ou de tarification pralablement sa mise
en service.
Un tel investissement ne ncessitait pas d'tudes commerciales et tarifaires autres que l'analyse
effectue par la direction des quipements portuaires. La rflexion qui a t mene, avec les
agents et manutentionnaires du port, est la suivante.
Il a t expliqu la Chambre que la grue Peiner 10-25 T, remplace par la grue Kranbau 45-60 T,
devenait inutile compte tenu des trafics traiter. Le quai de Blainville est dot de 3 grues 10-20T
employes principalement au grappin pour la manutention des ferrailles, voire la benne pour les
vracs. Il dispose en outre de 2 grues de 15-26T suffisamment dimensionnes pour travailler les
bois exotiques au crochet. Par consquent, restait la grue Peiner 10-25T qui prsentait quasiment
les mmes caractristiques que les 10-20T, mais 3 grues de ce type taient suffisantes pour traiter
les ferrailles et les vracs. En revanche, elle devenait sous-employe aux bois exotiques car de
force plus faible que les 15-26T.
Il a donc t dcid de transfrer la Peiner 10-25T au Bassin d'Hrouville. Ce site (ancien port
priv de la SMN), qui a t reconverti en 2000 avec une plate-forme multi-vrac, se devait d'tre
dot d'outils adapts. Cette grue convenait alors parfaitement pour assurer la manutention des
vracs (engrais) au Bassin d'Hrouville.
Quant au choix de la force de levage de la nouvelle grue acqurir, il a t dcid eri concertation
avec les usagers du port. Il fallait ncessairement un outil capable de travailler les bois exotiques,
en plus des 2 grues 15-26T, puisque les navires de bois emploient rgulirement trois grues.
Ensuite, pour accrotre l'attractivit du port, il fallait choisir un outil complmentaire l'outillage
existant, mais aussi polyvalent, capable de traiter tous trafics et tous types de colis, y compris les
plus lourds rencontrs habituellement. Le choix s'est donc naturellement port sur une 45-60T,
cette force de levage permettant notamment d'viter les manutentions en grues jumelles,
oprations dlicates et dangereuses pour certains colis, dont les conteneurs 40 pieds.
Ainsi, l'tude commerciale a t mene en interne, de manire pragmatique et en partenariat avec
les usagers concerns. Le taux d'utilisation de la grue avait t ds l'origine estim assez faible,
notamment les premires annes, pour plusieurs raisons:
ce type d'outil connat une priode de neuvage relativement longue;
la technique de conduite, assez diffrente des autres grues du port, ncessite une priode
de formation des grutiers trs longue, seule une pratique intensive leur permettant d'en
matriser tous les aspects;
il Y a une rticence naturelle des manutentionnaires, dans les premires annes,
commander les services d'une grue neuve, car ils estiment que les cadences seront plus
faibles du fait de la moindre maltrise des grutiers ;
Quant l'tude de tarification, le tarif horaire a t simplement fix par comparaison des tarifs
applicables aux autres grues du port, ainsi que des tarifs pratiqus par les ports voisins pour un
outil quivalent. Mme peu utilis, un tel outi.1prsente une rentabilit souvent suprieure aux
autres grues, plus anciennes, dans la mesure o ses coOts d'exploitation sont bien plus faibles.
A ce jour, la CCI ne regrette en rien SOrl investissement, d'autant qu'il satisfait dsormais
pleinement les.clients du port.
CONTROLE DE LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE BASSE-NORMANDIE
REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHE N16
(P14 1)
L.aChambre considre que ces dtournements ont t facilits par la mauvaise organisation de
l'encaissement des recettes des ports de plaisance de Ouistreham ( compter cfe 1997) et de celui de
Caen (depuis le 1er avril 2Q(1). En effet, la facturation tait tablie par le personnel administratif du
port de Caen-Ouistreham, selon des procdures mises en placl!1par la direction des quipements
grs, procdures applicables sur une base de donnes disponible unIquement pour le personnel
affect au port et qui n'tait pas intgre au systme infonnatique de comptabilit de la CCI. Ainsi,
les services de la CCI ont dcel ces dtournements de manire fortuite aprs un minimum de trois
ans et demi de pratiques frauduleuses.
Le premier coupable des dtournements n'est pas la direction des quipements portuaires, comme
le laisse entendre la Chambre, mais bien une agent condamne par un tribunal correctionnel,
laquelle agent n'a pas interjet appel.
Le prjudice subi est en outre dsormais totalement compens puisque la CCI a t intgralement
rembourse des sommes dtoumes et a encaiss pour ce faire un chque de 231 108 .
Par ailleurs, ce n'est pas tant l'organisation du dispositif de facturation mis en place par la direction
des quipements grs qui est en cause dans cette affaire, mais un cumul de fonctions autour
d'un mme agent.
CONTROLE DE LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE BASSE-NORMANDIE
REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHE M017
(P14 2)
La CCI a dclar qu'aucun contrle inopin sur l'encaissement des recettes aux ports de plaisance
de Ouistreham et de Caen n'avait t men par la direction du service portuaire, la direction de
l'administration et des finances ou le commissaire aux comptes, entre 1997 et 2002. Par ailleurs, la
Chambre relve que la CCI a mis en place, par clcisions en date du 12 juin 2002, des rgies de
recettes aux ports de plaisance de Ouistreham /!Jt de Caen dont les titulaires se trouvent places
sous la responsabilit du prsident et clu trl!s<Jrier de la compagnie consulaire. En ngligeant,
pendant cinq ans, d'instituer des rgies de l'$<:ettesdont le fonctionnement est rglement trs
prcisment aux articles 1.41 1.46 de la circulaire budgtaire et comptable n 1111 du 30 mars
1992, l'tablissement public s'est priv de disposer, pendant plUSieurs annes, d'un moyen
supplmentaire de contrle sur les oprations d'encaissement des recettes.
Aucun contrle inopin n'aurait pu avoir lieu sur cette priode pour les encaissements du bassin
de plaisance de Caen dans la mesure o la gestion n'a t accorde la CCI qu'en 2001.
Les rgies sont des dlgations, et non des moyens de contrle oprationnels.
CONTROLE DE LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE BASSE-NORMANDIE
REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHE N18
(P15 5)
Malgr la rgularisation comptable et l'absence de rglement de la dpense en cause, il n'en
demeure pas moins qu'un accord a t pass entre des dirigeants ou cadres suprieurs de la CCI et
des dirigeants d'une association aux fins de faire prendre en charge par le budget de la compagnie
consulaire, tablissement pflblic national, une prestation ralise pour le compte d'un tiers et, de
surcrot, en faisant tablir par l'entreprise prestataire de service des devis et des factures
comportant des indications manifestement errones quant il la nature de la pre$fation, son
bnficiaire et au lieu o elle a t ralise. Par ailleurs, la Chambre constate que cette affaire n'est
pas sans lien avec les dmissions de deux agents de la CCI qui seront examines ci-aprs_
Il est rappel que la participation financire prvue devait se substituer une subvention
supplmentaire pour faire face l'accueil d'un vnement sportif international sur le port. Par
consquent, le budget de la CCI aurait en tout tat de cause t greve de cette somme.
La prestation n'a pas t ralise pour le compte d'un tiers, comme l'affirme la Chambre, mais
pour un bien qui, de toute vidence, fait partie dS biens de la concession du bassin de plaisance
puisqu'il se situe dans son primtre (voir le point IV~2du rapport et la volont du concdant et du
concessionnaire de procder son intgration).
Enfin, la Chambre n'est pas fonde affirmer que cette affaire aurait entran la dmission de
deux agents.
CONTROLE DE LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE BASSE-NORMANDIE
REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHE Ne19
(P16 2)
La Chambre relve une certaine ambiguft dans l'intitul de la fiche dcrivant le poste cr la
direction des quipements grs, en janv;ef 2004, et qui comporte une mission de contrle de
gestion , alors mme que la CCI avait recrut, en janvier 2003, un contrleur de gestion, charg du
contrle interne, plac sous la responsabilit du directeur administratif et financier. La CCI considre
que le poste de co"trle de gestion enviSiI{1 la direction des quipements grs avait un caractre
davantage oprationnel que la mission tranSVersaledu contrleur de gestion rattach la directIon
administrative et financire (DAF).
La CCI juge au contraire que la fiche descriptive du poste est trs claire et sans ambigut. La
mission principale est celle de responsable administratif. Ce poste est dot d'une mission
accessoire de contrle de gestion. Et, outre l'intitul, la fiche est particulirement dtaille sur le
contenu de la mission.
Le contrleur de gestion plac auprs de la DAF est principalement charg de mettre en place des
procdures, tandis que le responsable administratif/contrle de gestion, plac la direction des
quipements grs devait se charger de les mettre en uvre. Les deux missions taient donc
parfaitement complmentaires.
CONTROLE DE LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE BASSE-NORMANDIE
REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHE N20
(P16 5)
(u.) Ainsi cet enchalnement "d'checs successifs" a conduit les responsables de la CCI nOnpas
s'interroger sur la situation existant au sein de la direction des quipements grSet les risque$ qui
en rsultent, mais dporter la solution de problmes organisationnels vers les services centraux de
la CCI.
C'est justement au terme d'une rflexion sur la situation au sein de la direction des quipements
grs qu'il a t dcid de changer de stratgie organisationnelle par la cration en interne d'un
poste d'encadrement davantage polyvalent que celui de responsable administratif. Ce poste
d'attach de direction est assur par un agent de formation juridique bac +5, jusque la doctorant
en entreprise au sein de la direction des quipements portuaires.
Cette rorganisation a, en outre, consist s'appuyer sur certaines comptences dj prsentes
au sein des services centraux, notamment la direction administrative et financire. Celle-ci
travaille dsormais en pleine concertation avec l'encadrement de la direction des quipements
grs, et ce dispositif apporte entirement satisfaction. Par rapport la situation de 2004, la
principale mission transfre concerne les dossiers de subventions. Alors qu'ils taient monts
puis suivis techniquement et financirement par la direction des quipements grs, ils sont
dsormais suivis financirement par la direction administrative et financire.
Les rsultats obtenus dans leur globalit et maintenant par secteurs d'activits portuaires, nous
montre le bien fond de notre organisation.
De plus cette comptence sous l'autorit du Directeur Administratif et Financier et donc du
Directeur Gnral, tendue pour tous les sites avec des rsultats mensuels nous apporte toute
satisfaction et nous montre que cet emploi uniquement sur le port n'aurait pas eu une charge de
travail suffisante.
CONTROLE DE lA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE BASSE-NORMANDIE
REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHE N821
(P17 1)
La Chambre s't()nne que Mme R n'ait pas pu bnficier d'une formation adquate l'initiative de sa
propre hirarchie lorsqu'elle a t nomme "responsable administratif - cadre" en janvier 2002. Sur
les diffrents points mentionns ci-dessus, Mme R. a apport la Chambre les prcisions suivantes:
"aucune description de posten'existatt. Mes fonctions la direction des qUipements portuaires ont
volu trs rgulirement toujours en adquation avec le dveloppement du service. Il faut rappeler
qu' mon arrive dans ce service en 1995, la direction n'existait pas et que le premier poste occup a
t de secrtaire comptable. J'ai assum de plus en piUSde charges de travail, de responsabilit et
d'encadrement (5 personnes), sans jamais avoir accs aucune formation, part une squence
ncessaire au dveloppement du logiciel ACCESSpour la gestion des engagements. "
L'volution des fonctions de Mme R. a suivi d'une part l'volution du volume d'activits de la
direction des quipements portuaires, et d'autre part un principe de promotion interne.
Il a lieu de rappeler qu'il a t procd cette volution selon sa volont et sans demande de
formation, Mme R. ne faisant que confier des collaborateurs des missions qu'elle-mme
excutait auparavant.
Tous services confondus, le budget de la CCI consacr la formation dpasse largement les
obligations lgales.
Quant la direction des quipements, celle-ci a toujours exist la CCI et M. T., lorsqu'il a t
nomm ce poste, n'a fait que remplacer le directeur en poste, lequel a t nomm d'autres
fonctions.
CONTROLE DE LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE BASSENORMANDIE
REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHEN22
(P17 2)
(..,) Aprs avoir t rtrograde, Mme R. a t maintenue dans le ~me service (diret;on des
quipements grs), dci$ion qui, pour la Ct,ambre,n'apparatt pas de bonne ~stion.
Suite la dmission de Mme AH, la CCla dcid de limiter le cot humain el1 ne licenciant pas
galement Mme R pout faute grave. Il a donc t procd sa rtrogradation, sanction que
Mme R a accepte et signe.
Cette dcision constituait un acte de bonne gestion dans la mesure o Mme R tait recentre sur
des missions opratiol1nelles sans en endosser les responsabilits.
CONTROLE DE LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE BASSE-NORMANDIE
REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHE N-23
(P17 5)
La Chambre a reu de Mme R. les explications complmentaires suivantes: "J'ai le sentiment que
la CCI souhaitait que je dmissionne. Eneflet chacune de mes demandes de formations, de
mutations ont t systmatiquement refuses. J'tais rgulirement l'objet d'humiliation de la part
du directeur. Mais une seule volont m'animait, je souhaitais que soit tudie, analyse puis
critique et amliore la gestion de cette direction o de nombreux dysfonctionnements existaient et
persistent"
Il est excessivement rare qu'un employ licenci fasse les loges de son employeur.
Les affirmations de Mme R. n'ont, notre avis, aucun fondement et ne sont confirmes pr aucune
demande verbale ou crite vers sa hirarchie ou les reprsentants du personnel.
CONTROLE DE LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE BASSE-NORMANDIE
REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHE N24
(P18 7 et P19 1)
Par ailleurs, la chambre observe que les conditions du contrat de recrutement dure
indtermine de M. T. L. apparaissent, paradoxalement, offrir de plus grandes garanties l'intress
pendant sa dure d'application (cinq ans) qu'une convention de reCf'Utementde directeur gnral
titulaire, tablie sur le fondement de l'article 41 du statut du personnel administratif des CCI, qui peut
faire l'objet tout moment d'une dnonciation par mesure ul'lilatrale du prsir/fJnt suivie d'un
licenciement sa discrtion exclusive, sans que le prsident de la CCI ait l'Obligation de motiver sa
dcision.
Il ne semble pas inutile de rappeler qu'en cas de licenciement la discrtion exclusive du
Prsident, ceci ouvre droit une indemnit de licenciement prvue par l'article 46 du statut du
personnel.
CONTROLE DE LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE BASSE-NORMANDIE
REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHE ND25
(P22 1)
La Chambre des comptes donne acte au prsidetJt de la CCI que des progrs ont t raliss, au
cours des deux demirJ*sannes, pour mener bien utJe politique des ressources humaines dfinie
par les besoins spcifiques de la chambre consulaires; toutefois, elle relve l'xistnce de tensions
aUsein de l'encadrement et dans les relations de certains d'entre eux avec des membres lus de la
CCI.
La dernire phrase du premier paragraphe voque des tensions au sein de l'encadrement et dans
les relations de certains d'entre eux avec des membres lus de la CCI.
Il n'est pas notre connaissance que de telles tensions existent. Les CCI connaissent
aujourd'hui des volutions majeures dans leur rgime juridique Comme elles n'en n'ont pas connu
depuis plusieurs dizaines d'annes (rformes lectorales des 12 novembre 2003 et 15 avril 2004,
rforme fiscale de la loi de finances 2004 , rformes gnrales sur l'organisation et les missions du
2 aot 2005 et 15 mai 2007, rforme de la cartographie consulaire du 16 mars 2006, rforme des
modalits d'exercice de la tutelle du 19 avril 2007, rforme des classifications du personnel
statutaire du 28 mars 2006, etc ... ) et dans leur environnement proche (loi de dcentralisation de
2003) avec ses consquences en matire de concdants des quipement grs par les CCI).
Il s'agit de rformes structurelles extrmement importantes qui impactent tous les modes de
fonctionnement et de travail des CCI. Il est bien naturel que ceci puisse susciter des interrogations
et remises en cause de modes de travail.
Bien au contraire, la CCI de Caen ne peut que se fliciter de la faon trs positive et constructive
avec laquelle tant les lus que la direction, l'encadrement et l'ensemble des collaborateurs salaris
de la CCI ont pris en compte ces volutions majeures, et ce, dans le meilleur esprit.
CONTROLE DE LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE BASSENORMANDIE
REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES W1
FICHE N26
(P22 3)
Or, il apparart que la CCI a mis en place le document unique avec un retard de l'ordre de deux ans
pour les services implants au sige (octobre 2004),pOlir l'ICEP (dcembre 2004), pour l'EMN (mars
2005), ainsi que pour l'aroport (ff bauche de document en fvrier 2005). En ce qui concerne le
service portuaire de caen-Ouistreham, la Chambre n'a pas obtenu de la CCI la production d'un
ventuel document unique qui aurait t labor, bien que le directeur des quipements g~sait
dclar que "S'agissant des documents uniques, il n'a )lImais t refus de les laborer, et ils ont
d'ailleurs t mis en service dbut 2005.
A partir du moment o la CCI a lanc sa politique d'laboration des documents uniques, cela a pris
plus ou moins de temps selon les sites. Les documents uniques des sites des qUipements grs
ont t ncessairement les plus longs laborer compte tenu de leur complexit.
Le Document Unique du service portuaire existe depuis le 5 janvier 2005 et il n'a jamais t refus
de le communiquer (Annexe 1).
Annexe~ :
Document Unique Evaluation et Prvention des risques professionnels
EVALUATION ET PREVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS
Document unique en application de :
L'article 1..230,2du code du travail,
Le dcret n"2001-1016 du 5 novembre 2001,
La clrculalreDRT n'6 du 18 avril 2002.
Mis . disposition:
Des membres du CHSCTou des Dlgus du Personnel
De la Mdecine du travail
Mis disposition leur demande pour:
L'inspection du travail ou le Contrleur du travail
Les agents de prvention des organismes de Scurit Sociale
L'Organisme Professionnel de Prvention du Btiment et des Travaux Publics
>
=
"T'1
I~
pO
::::r-
r:,
;::l
0 1..J
0-
IDENTIFICATION
Entreprise: CCI PORT DE CAEN OUISTREHAM
Adresse: BassIn d'Hrouville 14200 Hrouville Saint Clair
Tel. 0231 356300
E-mail: port.commerce@caen.ccLfr
Nom du Responsable: P.THIEUW
Activit principale:
Exploitation et Maintenance du Port de Caen Ouistreham
IECTF 1
Bureau: 9
.Atelier: l 20
'.EVOLUTIONDUDQCUMENT
.:
. ~
...
Approbation
.
Vrification llndice
Date
Objet
(Responsable)
!
\ 0
05101/05 Cration
11
03/01/06
Mise jour
,
2
11/01/07
Mise jour
1
3 08/01/08
Mise jour
!
1/ - Rappel rglementaire en matire d'hygine et scurit pour l'employeur
~ Obligation d'assurer la sant et la scurit de "homme au travail,
~ Appliquer les principes gnraux de prvention,
~ Loi du 31/12/91 n 91-1414 : transcription de la directive europenne 89/391/CEE dans laquelle l'employeur doit procder une analyse
des risques et tablir un programme annuel de prvention.
Jusqu'au 5 novembre 2001, l'analyse des risques permettant d'tablir le plan annuel de prvention n'tait pas vraiment une obligation
(aucune sanction pnale prvue) la forme et le contenu n'taient pas dfinis.
Le dcret du 5 novembre 2001 impose dornavant l'employeur de transcrire dans un document unlaue le rsultat de l'valuation des
risaues auxquels est confront le personnel.
Cette valuation comporte un inventaire des risques identifis dans chaque unit de travail.
La circulaire du 18 avril 2002 apporte quelques explications concernant l'application du dcret et sur la mthode d'valuation.
2/ - Mise en uvre
Cette mise en uvre, transcrite dans le document unique, est de la resDonsabiUt de l'emDloveur.
Elle doit tre utilise pour l'laboration du Droaramme annuel de Drventlon qui est une suite logique l'analyse des risques.
3/ - Mthodologie
1re taDe -Identification des danaers Unventaire) :
a) Dfinitions:
Danaer : Proprit ou capacit intrinsque par laquelle une chose peut causer un dommage.
Risaue : Condition d'exposition du salari au danger.
Le risaue = un danaer + un individu
b) La chose pouvant crer un danaer peut tre:
./ Un matriel,
./ Un matriaux,
./ Une machine,
./ Un produit / un fluide
if Une mthode f une organisation
./ L'environnement
c} Le dommaae cr peut tre phvsiaue ou psvcholoaiaue.
Cette premire tape aura donc pour objectif de lister les choses dangereuses et les risques en dcoulant.
2ma tape - Identification des units d~ travail :
La dfinition de l'unit de travail n'est pas vraiment explicite dans la circulaire. Si, pour l'industrie o il existe souvent un process, elle semble assez
aise identifier, il n'en est pas de mme dans le domaine du BTP. Compte tenu de notre organisation oprationnelle, l'unit de travail choisie est
le centre de profit.
3ima tape - Evaluation des riSQues et laboration du document uniaue
Colonne 1 et 2 : le danger et les risques.
Colonnes 3 et 4 : conditions d'exposition.
C'est le niveau du risque (estimation quantitative) il est le produit de la frquence d'exposition et de la gravit du dommage pour l'individu.
La gravit a t fixe par le groupe de travail. La frquence d'exposition dpend de l'activit, elle est fIXer sous la responsabilit du chef de
centre de profit.
Frauence d'exposition CF): 1 4
1 = rare ou trs rare (1 fois par an au moins)
2 = parfois (mensuellement par exemple)
3 = frquente (hebdomadaire voire journalire)
4 = continuellement
Gravit (G)
1 = faible - blessures lgres avec ou sans arrt
2 = moyenne - blessures entranant un arrt de plusieurs jours
3 = importante - arrt probable> 3 mois
4 = trs forte - risque mortel
Colonne 5 : Matrise du risque
Ce sont les actions et les moyens mis en uvre permettant de matriser le risque dcel.
Colonne 6 : coefficient de pondration
En fonction du pourcentage d'avancement de la ralisation des mesures de prvention, un coefficient est attribu:
4 = 0 25% (pourcentage d'avancement)
3 = 25 50%
2::;: 50 75%
1=75100%
Colonnes 7. 8 et 9 : Degr du risque rsiduel
Malgr les actions mises en uvre, il existe un risque rsiduel plus ou moins maftris.
Fort 1 Moyen 1Faible
Degr du risque rsiduel = F x G x coeff. de pondration
Echelle: 1 16 inclus::;: faible
16 32 inclus::;: moyen
32 64 ::;:fort
Colonne 10 : Besoins en actions de prvention
Mesures pouvant tre mises en uvre pour essayer de rduire encore le risque rsiduel. L'objectif tant de rendre celui~ci faible voir inexistant.
C'est partir de cette liste d'actions pouvant tre mises en uvre que le programme annuel de prvention sera labor.
En fonction de la mise en uvre et aprs retour d'exprience par rapport aux actions, le niveau du risque diminue.
IV - Mise jour
}> Au moins une fois par an,
);> A l'apparition de nouveaux risques: dtects par le CHSCT par exemple
);> Suite la mise en uvre de nouveau matriel ou matriaux,
}> Suite aux analyses d'accidents ou aux dclarations de maladies professionnelles,
~ Emploi de nouveaux produits,
~ Etc...
v - Accessibilit du document unique
Il est la disposition:
,/ Du CHSCT
,/ De l'Inspecteur du travail,
,/ Des inspecteurs de la CRAM
,/ Du Mdecin du travail
VI - Conclusions
L'employeur est le responsable auquel il est impos l'laboration du document unique. C'est lui qui sera sanctionn en cas de manquement. C'est
donc lui qu'il appartient de mettre en uvre ce document.
Le Charg de prvention vrifiera "ensemble des documents uniques de sa direction dlgue avant l'approbation par le chef de centre de profit.
SOMMAIRE:
1. ADMINI STRATI ON & ETUDES ................................................................................................................................................................................................ 8
1.1. Etudes Piquetage et suivi de chantier 8
1.2. Administration 9
2. TRAVAUX MAINTENANCE ELECTRIQUE ET MECANIQUE ........................................................................................................................................... 10
2.1.Travauxsur installations lectriques ou a proximit 10
2.2.Travaux avec des outils aliments par l'lectricit 11
2.3.Travaux en bordure de route
2.4. Elagages Abattages 13
2.5.Excution de fouilles et terrassements 14
2.6.Mise en tension manuelle ou mcanique de cbles ............................................................................................................................................................. 15
2.7.Ralisation et mise en place de coffrages 16
2.e.Levage (manutention pose et dpose)
2.9.Conduite des engins de chantier
2.10. Manuvre de Nacelles Elvatrices et de Chariots automoteurs
2.11. Conduite de Vhicules
2.12. Travaux en hauteur 21
2.13. Utilisation de substances contenant des produits chimiques 22
2.14. Utilisation d'arosols
2.15.Meulage Trononnage 24
2.16.Soudage Electrique Oxyacthylnique Au Plomb TIG MIG
2.17. Manutentions 26
2.18.Dplacements pied dans Zones de circulations et Zone de travail 27
2.19. Travaux avec point chaud 28
2.20.Levage et calage Manutentions pour dmontage remontage 29
2.21.Dplacement pied dans les ateliers mcanique, lectrique et magasin .......................................................................................................................... 30
2.22. Tournage Fraisage Perage Pliage Meulage de pices ...................................................................................................................................................... 31
1SE80lN8
8Ul'Pl.EMENTAlRES
EN PREVENnON
C.HERvt::
Indice 3
Date :05/01/01
Page 8/31
Maitrls du risque
IDENTIFICATION
DES RISQUES
Matriel Dispositif
Installations
OPERATION
TACHE
r 1 DOCUMENT UNIQUE JEVALUATION DES RISQUES
1 1 CCI PORT DE CAEN OUISTREHA.M BASSIN HEROUVILLE
i i
1. ADMINISTRATION & ETUDES
1.1.Etudes
1 Conduite d'un VL
Risque de la circUlation
3 2
>
~
2
routire
12
Piquetage et suivi de
Environnement urbain
~i=: -- da dplacement. prparer
chantier
Environnement rural
Chute de plein pied
Raepac:l du coda da 'a r<lUla 1
Environnement
Accident du la circulation
1
entretien dU vhlClll.a
industriel
heurt, .renversement. ..
Tra ..ux <lOl1Ii du paraomala""ri"*lt
Intempries
2 1
Oiapoaardalll.cartographia dl8lU6e du Site
Mi 8!1pil!ICaal,*,"aetra d'une
si,,"ali"IlIol1i8!1l!><)ralte 2
>
IndiVIduelles
2
8
APtiW<la",dlcola
ImCll'll1atiO". F-.tion du pel'OOMlIlllUJ<
rioquao
Port daa EPI adapts :
~ottH da acurft 1
1
_da_ail
i
V_tdap_oo~"'plula
GIIllI
1
Casque
1
1
~.
!
C.HERVE
, 1
DOCUMENT UNIQUE 1 EVALUATION DES RISQUES
-;
Indice 3
1
!
CCI PORT DE CAEN OUISTREHAM BASSIN HEROUVILLE
Date :05/01/01 1
i
1
Page9/31 1
OPERATION 1Matriel DI~positlf IOENTIFICATION Maitrlse du risque o.o:::~aqu. sUP~e:~:A1RES
TACHE 1 Installations OESRISQUES Moyen i Foiblo I!NPRI!VENTION
1.2,
1
L_
, Administration
2
1 2
2
1
8
1 Travaux sur
Problmes posturaux et 1
ordinateur
troubles musculo-
1
Amen~,",,", des bureaw<
i
( P'Wlion Sigeo !ldapl8 bureau, Cnln
Position de
squelettiques reflets sur
et",,)
1
l'ordinateur, poste de
l'cran - fatigue visuelle
1
i
1 travail non adapt,
1
reflets sur l'cran , 1
i
PO$tede travail
1
!
Problmes posturaux et
2 2 2
, 8
(bqreauJ
,
1
troubles musculo-.
Mauvaise position
s<luelettlques (TMS)
,
Surfllces de
Maintien das sur1acea de circulation
Chute de plain-pied du
2 2 dgages. clairage 28
circulation Intrieure
personnel
Encombrement
1
2
Reopect signalisation el vite_
1
2
plan de circulation -
Circulation de
Heurt vhicule personnel marquage au lol
vhicules
tat des surfaces de
1
2
lUlfaces dgagss el enhtIon
2
4
circulations
Chutes de plain pied
Neige glace en hiver
Glissade
1
2
1 1
2
salage """,,Igement
nettoyage
Cartons de DaD/flr
S~ pre du pIlOtocopieur
DOurDhotoCOD('U~
Lombalgies - douleurs Approvllllf'lllOlll8l1t avec patlt ehatlot de
musculaires
1
2
Il\llnuIon1lOr'l
36
Manutention (poidS 12
kgs environ)
EmQ}ol de cutf1lr.
massicot Lame
Coupures aux mains 1 2 1 2
coupante et cassante
Machine ccnrorma
DDlacements VL
Risque de la circulation
Umitll< le nombre ~ dplaoeman~ prparer
1 OreiUlIlIa pour portable
l'Ilinraire
Conduite d'un VL
routire
3
2 2 12
Re.pect du code de la route
1
1 1
~
i
L~.._ ...
C.HERVE
1
DOCUMENT UNIQUE 1 EVALUATION DES RISQUES
Indice 3 !
CCI PORT DE CAEN OUISTREHAM BASSIN HEROUVILLE
Date :05/01/01 i
i
i
Page 10/31 i
i
OPERATION
TACHE
Matriel Dispositif
Installations
IDENTIFICATION
DES RISQUES
Maitrlse du risque
Degr4 du rioqu.
.....-1
Moyen Fdtle
BESOINS
SUPPUiMENTAIRES
I!N PREVI!NTlON
2. TRAVAUX MAINTENANCE ELECTRIQUE ET MECANIQUE
frmvaUXSUT
i
Electrocution
1 1 Installations
2 4
~
~
2 16 Application Procdure
lectriques:
Dotationl de matriel de Scurit: Outillage
DR-DICT
Electrisation
TST
AppIlClltion Pmcdure
installations
Diapotllif do _ d'absence de ATST Ou ITST Plenme
Domestiques
TONionVAT
1
Mi en t8tM8 dG
lectriques ou a
Projection de mtal en
1 Mi en courl-clmJil olia T HTet BT mthode, de travlll
Tertiaire
fusion
1
Engins ilol TST (NJeelles iiv,tri<:os) i adapt lUX risque.
proximit
1
Signalisation de la zone de Travail
1 renoonirtls : (CET TST)
Surveillenco
1
1
!
Industrielles
Mi en placo twentullie (1'_
(voisinage)
!
i
Rseaux HT BT
1
Choix d'outils 81 d'lIl'\g!ns adapt"
1
,
1 1
Postes lectriques
Rseaux EP
i
2
4 2
1
16
1
1
Application de.
1
Rseaux Tlcoms
1
1
), Indlyiduen
i
prncriptians UTE C
1
OQIationl da malfiel de Scurit '1Port de.
1
18-610
EPI
Formation, Information
duparaonnel C 1B510
1
Vtl!emont de Travail
1
RecyClage Interne 18-
1
510
GanUi de _ail
,
Lunelleo de protac:tion
1
CBIKlU8
i
Clllouo . de llIc:urIt
1
i
1
IDENTIFICATION
DES RISQUES
Electrocution
Electrisation
Matriel Dispositif
Installations
Outillage
Machines
Installations
1
i Enceinte conductrice
1 exigu
1
OPERATION
TACHE
r
12.2.Travaux avec des
i outils aliments par
1 l'lectricit
! C.HERVE
DOCUMENT UNIQUE 1 EVALUATION DES RISQUES Indice 3
CCI PORT DE CAEN OUISTREHAM BASSIN HEROUVILLE Date :05/01/01
Page 12/31
i OPERATION Matriel Dispositif IDENTIFICATION ! ~~~~, M Tt 1 d . ! BESOINS
1 i ''''Il''' a r se u risque ! SUPPLEMENTAIRES L-. TACHE Installations DESRISQUES i ,,,_: ."" EN PREVENTION
Voies ouvertes la
Accidents de la circulation,
1 3
>-
~
2 6
lllmptO. Trlflallh sur ,
2,3. Travaux en
circulation routire
matriels et corporels
vhicules (panne.u
Prplll'8lion et orgenlealjon du ch8ntier,
A(5) + feux spciaux
bordure de route
eeli'ag du chantier
(Glrophara)
Matriels
Renversement. chocs,
crasement du personnel
mthodesdetnr.all
!
Vhicules
;
Signal"ltlon complmel'\llira des vhicules
Engins TP
(ba.1d8liIllUges alblend1e$)
).
individuelle.
Outillage main
1
3 Fonnatlon, infQnnation la Scurit
1
3
Barrirage
1
!
Port des EPI
i
Balisage
Chaunuros de Scurit
1
Casque
Vtements de rraVllI
GiletaCelal.e 2 mini}
!
1
i
;
,_..1
DOCUMENT UNIQUE 1 EVALUATION DES RISQUES
C.HERvEi
Indice 3
1
~CI PORT DE CAEN OUISTREHAM BASSIN HEROUVILLE
Date :05/01/01
Page 13 f 31
1 1
! 1 r
OPERATION
TACHE
Matriel Dispositif
Installations
IDENTIFICATION
DES RISQUES
Maftrlse du risque
Fort
~dUri_
rhldwl
Moyen
Faible
BESOINS
SUPPLEMENTAIRES
EN PREVENTION
Installations Chutes de plain- pied
1
31> ~
2
6
2.4.Elagages Environnement des
et de hauteur
1 R-.pICI de, r6g1 de tert
Utiillllion de _lvatrice de
Abattages chantiers
Ecrasement
pr6frence
~1g8rJle!ll Zl:l!18do1laVall et eiraA8Uon
Matriels
Blessures par les outils
Bell'" du chentler
VlIrIflClltlontOlenttetlen. du matriel :
Trononneuses.
et la trononneuse
Necelle
Echelles
outils main
Risque lectrique
Tronon_
EPlel1ll-cl'ule
NaceUes lvatrices
Lsions auditives
1
1
i Lsions par projection de
1
i
Echelles 6
1
dbris
1
1 3 2
i
,.
Indlvldwllee
!
Formation, InlcrmeUon
Formation, informallon du personnellllJX
du ptnOnflel awc
1 ri'que,
rlaque.
AltenUcrI ;>articuUire lU rlaque ilectrlque
1
Attention particulire au
(pt'Oldmltdea ngnea 6lectrique. epplieollon
risque6lectrlque
de, \n$trucliCnI C ts.61Ql
(proximit de,lign
lectriquee opplic:ation
Port des EPi :
dee inelruCllon' C 1e
V6tement de Va.lil
510)
Lunette. anU-proJecllon
Ganta de pIOleClion
Mlhode' de Traval! :
i
Cha . de .curit
1 Hemallde prolecllon
Travaux en hauteur
i
1
1
i ,ceII, par c:.~elle i
1
i
et port du harnais s j
l'uUli~1on de ia n8 11e
lvatrice n'Hl P'" i prvue 1
;
1
i
1
1
1
1
1
1
1
1
L_
i
C.HERVE!
i
DOCUMENT UNIQUE J EVALUATION DES RISQUES Indice 3
1
CCI PORT DE CAEN OUISTREHAM BASSIN HEROUVILLE
Date :05/01/01
Page 14/31 i
OPERATION
TACHE
Matriel Dispositif
Installations
IDENTIFICATION
DES RISQUES
Maltrlse du risque
oegn. drlequi
d-'
Moyen Faible
BESOINS
SUPPLEMENTAIRES
EN PREVENTION
1
Eboulement
1 4
,.
~
3 12 R pect de, dl,tence'
d'approc::he des rseaux
2.5.Excution de Applicetlonp,occbJlll DR-DICT
exiltllnts
i~:
Enfouissement (L renseignements ooncernllnt 1 _eux
fouilles et exIstant.1 doiVlll'll6lre disponible, ,ur le
!
1 terrassements
Engins de travaux Ecrasement
1
chenU.)
!
pUblics
1
~odo' do ~ edapl6es :
1
Explosion BrOlure
Blindege et/ou ~m.nt du foulU Outillage main mpeet de le rgle des 213 et profond8Ul'
pour fouille
Electrisation Electrocution
1,30m.
Installations
Traumatismes dus aux
Consolidation de, ouvrege. environnants
risquent de s'effllndrer (mur ... ) concernes ;
chutes et chocs
OrgonlUUon du chantier et engint edapt4.
Fouilles, fosses
Respiration de poussire C_ da op6rotouro p0u-
l
I"enchel_ des fiche'
Tranches
Lsions auditives
V6rillcatlon et entrotitn dos engins et du
1 m_
i
Terrassements Lsions oculaires
Bali.age barTI6<ago de. fouil",.
Saignes
Encastrements
1
,
1
1
4 h.
1
2
!
8
cuque
1
II'ldM_II
1
1
Lunotlea de protection
i
Formotion. _du p8taonnelli\JX
Protection audfti\18
risq
Port dIS EPI oblIgatoir8$ :
Vitemenf$ de T. O
Genil demlinultlrllJon
!
Ch... de~
1
i
Protection ollli-poullil1l
!
1
1
1
1
1
--'
-r
1
i
C.HERVt::-
DOCUMENT UNIQUE 1 EVALUATION DES RISQUES
Indice 3
CCI PORT DE CAEN OUISTREHAM BASSIN HEROUVILLE
Date :05/01/01
Page 15/31 j
i
L-_
OPERATION
TACHE
Matriel Dispositif
Installations
IDENTIFICATION
DES RISQUES
Matrise du risque
BESOINS
1 _ . 1 .~ __ 1 su::;::v=~s
Droulage de cble
Arrachage et projection du
2 ! 3 )-
~
3
1
18
1
2.6.Mise en tension
sur touret
clou d'attache de la ficelle ApptiC8llon d. m6thodN travlil adaplM
1
manuelle ou
fixe au bout du cble sur le
ml rioque.
mcanique de
Cbles de grues
touret
V'_an et ontraII*, 00 ~riIi de tirage
Conducteurs de lignes
:
cbles
ariennes
1 Treuils
Rupture des cbles et coup
n,...fort, n,...vlta
Cbles souterrains de fouet
Pa'-
i Outillage et dispositifs
Dfaillance des outils de
V,-"," d. Tmall
Casqu.
Ganta d. menutention
CIllI_deHeurit.
i
--
C.HERVE---i
DOCUMENT UNIQUE 1 EVALUATION DES RISQUES
Indice 3
CCI PORT DE CAEN OUISTREHAM BASSIN HEROUVILLE
Date :05/01/01
Page 16/31
ID N IFC ION Dog duri_ BESOINS
1 OPERATION MatrielDispositif 1 . E T 1 AT Maitrisedurlsque dueI SUPPLEMENTAIRES
1 TACHE Installations DeSRISQUES Fort Moyen EN PREVENTION
1 Stockaae :Renversement
~
i
1
i
Chantiers :
1 2
,
2
1
4
et
Entretien des bonchoo et cof!r8ges
1
'Je
Rservoir en
sous J'effet du vent ou
1
bton
de chocs
Mthodes de travailadople8
(manutenllcn,ecco su poste d. travail. 1
mi n_l
Effondrement sous la
Formation alln/omlation aux ri_
charge
Dotation de matriel de scurit
Casque
Chute oprateur lors de
Part dos EPI obllg8tclreo ,
V_do Tr ep
i ta mise en place
Gonto do llI8nutIntion
Ch8tl.ouroado ~,
1
Risaues :
1
1
i 1
1
1
1
Ecrasement
!
1
1
1
;
Traumatismes dus aux
i
1
1
chutes et chocs
1
-
1
2.7.Ralisation
mise en place
coffrages
1
LJ
- 1
DOCUMENT UNIQUE 1 EVALUATION DES RISQUES
CCI PORT DE CAEN OUISTREHAM BASSIN HEROUVILLE
C.HERV
Indice 3
Date :05/01/01
Page 17/31
;
<-----..
OPERATION
TACHE
! Matriel Dispositif
1 Installations
IDENTIFICATION
DES RISQUES
c~
......- ....
Ffiq. 1 Gnlv.
Mattrlse du risque
Fort
Dej'" du riaquo
duo!
Moyon Folblo
BeSOINS
SUPPLEMENTAiReS
EN PREVENTION
Installations Electrocution 3 4
)-
~
2 24
2.B.Levage
oncemes Electrisation
Altenticn pMlculi6<e au risque 1ecltfquo
(manutention pose
(proximit da ligne.) - Respocl do fUTE 16-
Cables
510
etdpose)
Acident du la circulation
Baftaage, ai nCe ..,rra. do la ZQne da ""'oga Ouvrages prfabriqus Traumatismes dus aux
(appl~on <* tonotgne. do Olgnallasllon
1
temporaire y oompritllOU' la olgnall88tlon
Tourets
Chocs porte pOrI.- .ngins)
1
VriflC8UOn atriell. de ngln. da
,
Ecrasement
,
Tuyaux
,
levaga plU' un organ"'''''' agr
1
i
Charges diverses
Rupture d'apparaux de
Vrilieodon ~Ie des apparaux da 1_
;
1
levage
e' surveillance. cI18que udlilllUon.
1 MI.b!
AppIllon do la rlllam8ntollon R ~SO- R
Renversement des Engins
383 - R 38S _, CAGES 81 outoriu'lon dB
1
Grues mobile
eonduit.
1
R 383 modifie 2C
Environnement bruyant PrporoUon 81 cocrdineUOn do la monoouvra
(ftnglogo) Roopacl <* mIhod8a dolravail Grues auxiliaires
prvues.
R 390
Re.pect des prcelurn 81 eonotgnos
d'uIiIlHllon dot moyens do lovagt.
Chariot automoteur
UIiII llon d'qinl81 d'6q;lpem8l1tl
industriel de
adsptl ; (lingue cibla souple pou'
",,"""- ... ) manutention
)-
IndlvJp*I
R 389 Cat3-4
3
4
1
2
24
Formation, Inform811ondu par_na! au
1
!
\
Grues mobiles
i
risque lectrique
!
1 R 383 modifie 1B
Soull. pot'1lQMlII apte, UIl/lBired'uns
i
1
autOril8llon da conduite peul procder 1.
1
1
manuvre da Iov8Q!!
; i
Ca.que
i
1
Na pas et8UOnno. SCUlls ch8/'gll, r '",
1
Yi~
1
1
Portar l. EPI
Vi18-.to delr8vell
Gantsdaproloction
1
Chauuuros do llecurlt6
1
ProtoclIon 8UcfItive
BE80INS
SUPPLEMENTAIRES
EN PREVENTION
C,HERVE 1
Indice 3
1 Date :05/01/01
j Page 18/31
FlIIbl.
lloa"durI_
~
Moyon
Martrise du risque
IDENTIFICATION
DES RISQUES
Matriel Dispositif
Installations
1-- OPERATION
i TACHE
1- DOCUMENT UNIQUE 1 EVALUATION DES RISQUES
1 CCI PORT DE CAEN OUISTREHAM BASSIN HEROUVILLE
1 Installations
Risque de la circulation
2 4
>
~
2 16
2.9.Conduite des
concernes
routire Rospect dU cod. de la roul8
engins de chantier 1 Environnement des
Fausses manuvres
Applicotion da la regt_1ation R 372
chantiers
Chocs
1
V~dMonQINS
Matriels
1
cornot d'.n1l'l1li.n
1
Renversement
1
i
1
RIIP!!Ct dlll1l6tll!>da1 da travoU prVvuos,
R372 Engins de
Ecrasernent
dao r8Q1 de rlWl et dM ccnalgneJ,
i
!
chantier catgorie 4
Utillsallon dM diapoSlIfs pr6vus pour monter
l
Chutes lots de l'accs ou de
ou dalOlltldre da l'engin
la descente des engins
Oolalion 8lClinctours
Lsions auditives
2
4 IndlvldU41II 2
16
1
Forrnsfton.li'\forn1llIiQn dup.r""",,01
Lsions lombaires
rl_ et aplitudelMdicala.
Incendie
SOulie persomol ti_ d'ur . sutorlsotlon
da col1dUil8lleU1 ~retondt.Jl l engins
Information ~ da rllCCUlUsur 1e111.quos
dUohanlier
,
Aoes dU chanIIer
LignO.81--.
1 11
Installations ""'liant
1
i R. Dive",
1
MouVomontsda vhiCUlBlIl da
plIBonnII
Pori d8$ EPI adaPlIlU pollo (E><.
1
P_n/ll.Xlitivl)
1
-
i ,
C.HERVE
i
1
J
DOCUMENT UNIQUE 1 EVALUATION DES RISQUES
Indice 3 i 1
CCI PORT DE CAEN OUISTREHAM BASSIN HEROUVILLE
Date :05/01/01
1
1
L
Page 19/31
1 OPERATION " MatrielDispositif IDENTIFICATION Mattrlsedu risque suPP~e:~::AIRES
~. TACHE Installations DESRISQUES EN PftlM!NT10N
2.
Na
et
au
P.E.M.P R 386
Electrocution 3 4
l>
~
1
2
1
24
R386 PEMP oa1. 38
1
,
O.Manuvre de
Plate-forme Elvatrice
Atlentlonparllc:uJ1e au rloque *Iadtlquo
i
celles Elvatrices
Mobile de Personne
Electrisation
(proximit dallgnas) - Raapoct da rUTE 1So
1 510
r:leChariots
Gnralement sur
Risque de la circulation
vhicule porleur
routire
BlI!lllllll*, si ~. da'" zone
tomoteurs
d'volution (application da COI1lIlgna. do
(PEMP cat. 28)
signalisation temporaire y oompri. pour la
Fausses manauvres
slgna1isation"""'" par lai eng""')
Panne des commandes
VrifiOllicn ,_bielle dei engillO de
1_ par un orgmliome agr. C.rnet Chariots automoteurs
d'en\l'8tlen
Renversement
S'issurer de Il eonlcrmit du mltnel
1
Accs du ohan1l<Ir
1
$llI~!l8e~
1
1
PtMenCiI d'O~
1
1
Ugnaalactric!U
!
1
Installllti<lns exlslllntes
i
1
R6aeauX Dlvors
i
Mouvements de v.hiaJlu el de
i
i
perlOnnel
1
!
Port de. EPI /ldOpte. au poele
1
,
1 r
l
C.HERVE~
DOCUMENT UNIQUE 1 EVALUATION DES RISQUES
Indice 3
CCI PORT DE CAEN OUISTREHAM BASSIN HEROUVILLE
Date :05/01/01
Page 20 /31
OPERATION MatrielDispositif IDENTIFICATION Maitrlsedu risque 1.:.... ' 8UPP~=:rsAiRES TACHE Installations DESRISQUES EN PREVENTION
1
i
Vhicules :PL VL
Accident de la circulation 2 3
>
~
2 12
;
2.11. Conduite de
routire
Reopect du code do 10 route et do.
Vhicules
contilJ'lOl
Fausses Manuvres
Enlrotiorl doo VhiculOl(comot d'onttotior1)
;
;
: Chutes lors de l'accs Ou l
VrlliCallohp4/lQcliqtJo :
1 descente des PL
;
1
ContrOleTo<:hniquo pour VL i
,
Incendie
ContreIe do. Minoo pour PL
~ 1
2
1
24
1
hauteur
Lignes ariennes
Chutes de hauteur
UtBilllllionde NaceIleo l6vlltrices
Opt'aloul"ll _. 8\alllorl
1
Elagages
Survalilanca
Chutes d'objets
Basage. Il neellell'll. de la ZOIlII
i
d''-'olu1ion (application deI oonalgnae d8
1
Eclairage Public
a
Manutention des
ligneU.8\kln 1eml><>n11re y oompri. pour ia
i
aignailsatlon pane par "'" vhicula.)
i
Travaux en faade
chelles
Oi.posltifa vus an (2) contre las risquas
1
l8drique.
!
i
V_dea mawtet. mi. dfaposilion
1
!
Travaux sur toitures
1
j UtlDl8lIon cr_udagaa(lllIblllt da
Electrisation, Electrocution
l'opnItll\ll')
i
i
Mittri!!
Utill.llion cr.-lasllOl".
i
1
dues aux risques
P~lion al . pact de. miJhoda. de
i
!
Nacelles lvatrices
lectriques
_prvuaa
Echelles
EChafaudages
j
Grimpettes
!
2
4
).
Indlyfduen
3
24
Aptiluda mdic8Ja aux trav8UX an _
f Casque avec jugulaire
FllIll1lllion. Info"""tion de. aganta aux
i
riaques
UtilIlllion deo disposltifs d'Intl-chules ad8ptje alliI8 8\ aux t6chat. "'*uIar.
PortdeaEPI:
i
Gantadall'1ll18i1
1
Vl8m8nt d8 TIlI.ail
1
1
i
1
Chau da Scutlt
1
Vrification a.ant chaque In_tion par
l'ulBIIeIN'
i
Util;..uon d ~118I an Ha.rit (arrirn8ge)
i
1
IlOIation Il ~
1
Rospect des consigne. et rgi da travail
i
an8curlt
1
.-
C.HERVE-
DOCUMENT UNIQUE 1 EVALUATION DES RISQUES
Indice 3
CCI PORT DE CAEN OUISTREHAM BASSIN HEROUVILLE
Date :05/01/01
,
Page 22/31
~-
IT
L-_._
i-
l
OPERATION
TACHE
Matriel Dispositif
Installations
IDENTIFICATION
DES RISQUES
Maitrlse du risque
Fort
DeQt du rlsq\l
~
MOyen Falble
BESOINS
SUPPLEMENTAIRES
EN PREVENTION
2.13. Utilisation de
substances
i contenant des
1 produits chimiqu
Produits concerns
1
1
1
,.
~
i
Intoxications 2 2
Solvants
Lsions
Oemonder aux fournlsseunl de la
composition daa PI'ldUlts ac:hets ~
donnUlI q, Sbritl et prendte les mesures
1
Colles
Empoisonnement
ncessairee $81onIe$ rtaqUB$.
1
's
Divers
Allergies
Conser 1. produit dans son embal!ege
d'origine
Lieux concerns
Bien identIfier las produit$. par des tiq\.i8:ttes
i !
RBChe",her des produits correspondant """
Chantier
1
bosoins mais moins nocifa
Atelier mcanique
,
Slod<age et conservlltion suivent 1
,
Magasin
recommandetlons du 1lIbcant. (_ i i
Vhicule
1 Intardictlon dB fulll8f' sur lieux de SlOci<llge) 1
MI en CIlIM"oelon flche technlqu. du
1
fourni_
Collecie BI vecuatlon d.s dchets dBs lieux
de travail
1
1 ;. individuelle. 2 2
1
!
!
!
"-
Utiliselion dan. un pace oufflsemment
ventil
Port daa EPI edal>t's :
GonI8 de prOtsc1Ion
Vtements de Trevoll <;ouvrent
l
Lunelle8 anti;llOjectlon
Acce oiros et outilleges adopts
C.HERVE
Indice 3
Date :05101/01 1
Page23/31 1
0", CI ~. 1 BESOIN8
r6elduel 8UPPLlIII!NTAlRES
Fort 1 MoYen 1 Falbi. eN PRI!VI!NTlON
Maltrlse du risque
IDENTIFICATION
DES RISQUES
1 Matriel Dispositif
i Installations
OPERATION
TACHE
1 DOCUMENT UNIQUE IEV ALUATION DES RISQUES
! CCI PORT DE CAEN OUISTREHAM BASSIN HEROUVILLE
L. _
1 2. 140UtJlisstion
Traage sur chantier
Explosion
1 1
2
>
llIIJlEIxU
1
1
1
2
d'arosols
Atelier meanique
Noled'utilisatIOn
4
1
!
1
R.'~ct IICNpuleuxdei ccnsignee de
!
i
slockllgeetd'utillsatlonl1llll1tlonn6ea Il.lf
!
1
!
tous IH
1
1
1
2 >IndMdll!!l'.
2
1 4
Nllpu_au oolell
1
Ne pe, _"""d'une . de
chal8ur
.DOCUMENT UNIQUE 1 EVALUATION DES RISQUES
CCI PORT DE CAEN OUISTREHAM BASSIN HEROUVILLE
C.HERVE
Indice 3
Dat:5i'01/0 1
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OPERATION
TACHE
Matriel Dispositif
Installations
IDENTIFICATION
DES RISQUES
Mattrl" du risque
SUOINS
SUPPLaMENTAIRES
EN PREVeNTION
2.15.Meulage
Tourets meuler Projection de particul6$2 3
).
~
2
Trononnage
Disqueuse
Coupures
M._ conformeilia r8glementatlon
12
lectrique
U_Uon _le mode cl'emplol
thermique
SCe sol
BrOlure par incendie
EntI'1IIIendu~
Lsions auditives
0isp0Ii1if1VUIen (2) contre , rillqU8l
1
Meuleuse
~~
Risques lectriques
M~'di~i1iCnd'1llltIn<;leura
1
2
3
).
Iftdhrl_
.F-'1nformaIlon dei agenbl8Ul<
212
!
l1tqlM
i
i
l'on.-EPIS :
!
~de~
Genlldt/lCOlO<lllCn
\/tternenll de trlI.aiI_
c_. do scUrit
Pl1llllcliont~
DOCUMENT UNIQUE 1 EVALUATION DES RISQUES
CCI PORT DE CAEN OUISTREHAM BASSIN HEROUVILLE
C.HERVEI
Indice 3 .
Date :05/01/01
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OPERATION
TACHE
Matriel Dispositif
Installations
IDENTIFICATION
DES RISQUES
Maltrls. du risque
DtgN lkl rlaque
....,....
Fort 1 Moyen Faible
BDOIN8
8UPPLIII!HTAIIU!8
lN PRIVENnON
2.16.Soudage
Bouteilles :
Projection de particules2 3
)0
CllII!&IIDt
2
!
-,
i
12
1
Electrique
Oxygne
Lsions aux yeux
V_tiondU BouWIU".dUft~.
1
ctapol A.R. dU ~nla de Mcril
i
Oxyacthylnique
Actylne
BrOh.lres Respect do '0 rglomontation : 1
AuPlomb
Flexibles
Incendie
1
Soudure rorcol~
1
TIGMIG
d'alimentation du gaz
1
ct<::ll QJ 8/1185
1
Chalumeau
SOUdure eu plomb
1 Outillage pour soudure
dctIIl QJ 11/12/<48
lectrique
dctIIl du 1!iIJTT
Fbtian dU~. doneloo ."'
pc)UI'lOlrIirIIpCl(!
Ttav'Ul(~da"'80p8C6.~t
venll/
Milo il ditpCllillCn d'0XI1ncteurt
2
3 )0 lncIIvIdtIolloo
Fonll8tion. lnIorm.tion de. egenlll8\JX
2
12
n.q_
1
POftdUEPI:
1
GhOunurao do S6:\lrft6riIClnlIl\I8
1
1
MosquotO\1IU". do~
1
TIlbIlor
C.HERVE-
DOCUMENT UNIQUE IEVALUATIONOES RISQUES
Indice 3
CCI PORTOE CAEN OUISTREHAM BASSIN HEROUVILLE
Date :05/01/01
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OPERATION
TACHE
, Matriel Dispositif
In.tallations
IDENTIFICAtiON
DES RISQUES
Maitrlse du risque
IIIQOINS
SUPPLIIOtNTAlRES
EN PIVl!NTlON
Environnement des
Lsions diverses
213 ).
~ 2
1
12
2.17.Manutentions
chantiers
1
Mite tdl~de~ et oulI~
Coups adt i
Magasins
i
Ecrasement
Mise dIIpotitklnde rnoyenaodepIts
j
1
Zones de Stockage
~~d"c:hantIItll" 1
Coupure _de~ 1
kdIoel.ZQ/1aM~~.
1
Lombalgies
E~ __
Ter\dinites
2
3
>
IndlvidU"lu
2
12
FflIl'IlIIJonelln!ilnn8llondeo lIpleux
ritqueI.: Caoque
Ge_<lI~
Portd l!l"l:
ClOqUe
GanlIden\llnl.llention
V_dewav.il
~deS~
1
C.HERVt:-
DOCUMENT UNIQUE 1 EVALUATION DES RISQUES
Indice 3
CCI PORT DE CAEN OUISTREHAM BASSIN HEROUVILLE
Date :05/01/01
Page 27/31
OPERATION
TACHE
Matriel Dispositif
Installations
IDENTIFICATION
DESRiSQues
Maitrlse du risque
BUOINS
SUPPLEMI!NTAIRES
EN PREVENTION
Environnement des
Chute de plain- pied
2 2
:.
~
2
8
2. 18.Dplacements
chantiers
Choc
O'I/llU- du zone. de c:lreuIalion
pied dans Zones de
Magasins
OrganlUtlon du cIwItI pour limiter le.
circulations et Zone
Traumatisme dp_nts
de travail
Zone de stockage
Lsions diverses
RdP8Ct des __ dIInIu dans '-' pl." de
pr6ventlcn. PGC, PPSPS .. ,jytll1lUala
Ateliers meaniques
R8Ilg_de'_de~ Il
Bureaux
nelloyllQfl __ ora(ivllCUlltlcn des
*"Ittll}
Quais
lllllinge des ,CIIInl1et1
Mis,,,,p~de~(_.
plllqUllO. IignoI\ll(lumlneulc, penneallX d'lntol'mlllk>l1. cor>$igne... I1-.... }
Moyens de~ (tranc:IIM. foulIa.
10lllli ... )
ProteCllon fOtMOUVIlIte ClIl\lIlIlStisr
"""""iqto
1
1
Ecl8lrtlge $1_
2
2
);
lnell_IM
2
8
FormllllCll\, ~desagents'l8
Scuril*
Port de. EPI adlpl6s. la tj(t,o:
Ganta de proleellon Cuq
_ de S6clJtitj
C_ de S6clJtitj
-.--
1-- -1 DOCUMENT UNIQUE 1 EVALUATION DES RISQUES
1 1 CCI PORT DE CAEN OUISTREHAM BASSIN HEROUVILLE
l 1
C.HERVE-j
Indice 3
--
Date !05101/01
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OPERATION
TACHE
Matriel Dispositif
Installations
IDENTIFiCATION
DES RISQUES
Maitrise du risque
BEIlOlNS
SUPPLEMENTAIRES
EN PREIIl!NTION
Ateliers
1
Incendie
212
;.
~
2 8 j.
2.19. Travaux avec
i
Mthode de traVBi11ld8plee
Engins
1
point chaud
Vrification ~ du maIrief et de
Locaux risques
l'outiUege
OotIItion on lOdirlcleUIa ~
AIIld18;e- CQI1Ilg"" et l1Iquu
(lIlt.rd/cIIon de 1uIner.,. )
1
1
2
2
l>
IndlvldueUM
2
8
FotmIIllot1, infoml.llfon du petoomeI aux
r'_(~"riJq4 et
f
1
'"lervemlonll
1
i
1
Port deI EPI Bdep\61 'a tl:he
1
1 C.HERVE
, Indice 3
Date :05/01/01
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DOCUMENT UNIQUE 1 EVALUATION DES RISQUES
CCI PORT DE CAEN OUISTREHAM BASSIN HEROUVILLE
~~
r' OPERATION Matriel Dispositif IDENTIFICATION ,.="...1 Mattrls8du risque lIUP~:~::A1RES
1 TACHE Installations DESRISQUES _ -1 ENPREVENTION
1
2 13
>
~ 1
1
2.20.Levage et calage
F'rlIplI tion et _lNIIion dei 1
3
18
i
-
Manutentions pour
Matriels
1
lll8I\<lOWtlltl
Fausse manuvre
-
Rlopect do, rnthod do trall8l
rriv- dmontage Palans
Chocsf1"raumatismes
1
-
Roopect dos ~ Il
remontage
,Portique
Renversement
conS1gno1
1
- UtitilOtion dos f11O\IOIlI do l"""lll
Potence d'atelier
Ecrasement
i
et de caI.lIdIPlQ
Crics
Rupture apparaux
.--
D6gsQomenI do la zona do
nvall Chandelles
Rupture du di~positif de
-
Al>P<li' sol slabllrs
!
i
Cafes
levage au calage
- SUlfsca do drculation non
!
gll-
, ,
Chariot lvateur
Chute de plein pied due -
Edd'a;o dllPPQint Ii ncosUire
Leviers
aux corps gras
.. Ulllillllion cIwot ""'-' . poI.r
Apparaux de levage
,LOmo.Jgies
awg,s~
1
-
V6rilicallcn dosl'natriell et
'Tendinites
apparaux dio-levage
-
/lIlC*\li'ldIola """om.fl(ln
R 383 Cal. 18 et R 38Q (Ch8rioI) CAClset ._tIon do ccnduIle.
1
2
3
1>
\ndIy1~ 3 18
,
1
!
-
FOITIlItion,ln_ du
,
i
plIrson~ . rilq,lll. (Gout
el PQltulUj
-
s.tJ11Il Jl*'llOMIl :-;' tltul.l",
d'un.a..Illlrilltion CQnduile plUl\.lllU. un cha/iClt ...
-
Neplll_"""""
,
~ non _do manire i
.....
1
-
Port. III EPI adoptU
!
i
i
1 C.HERVE
DOCUMENT UNIQUE 1 EVALUATION DES RISQUES
1
Indice 3
J
CCI PORT DE CAEN OUISTREHAM BASSIN HEROUVILLE
1 Date :05/01/01 _
1 Page 30 /31
OPERATION
TACHE
! Matriel Dispositif
Installations
IDENTIFICATION
Des RISQUES
Maltrlse du risque
Deg" du rlllq'"
...,.....1
Fort r ...,.... FIIlblo
BESOINS
SUPPLEMeNTAIRES
EH PREVENTION
Prsence de vhicules /Chutes de plein pied dues
4
2
~~
i
2.21.Dplacement
2
16
pied dans les
JSUX corps gras
- ~_._"
, Prsence de pices,
,
cir<:ul8lion
ateliers mcanique,
! partie de matriel
Chocs
-
Su"- do clIculalIon non
gll-
lectrique et
dmont ou
EcloInIgo lUlll nt
magasin
d'quipement
Traumatismes
OIlIoilI~ dos poaIIo' do
llaval! pout"l1!ltar 1ft
monter
d~
-
.R8IlQemtn!. d zan do
Lsions diVerses
l
~
1 1
-
Notlo\'t!go. __ 01 i
J
,
~ondoO_ i
'Envlronnellll~1lt bruyant
,
,
,
,
!
!
i
Lsions auditives
4
2
~Individuel'"
2 16
-
FonnatIOn.lI'lIllIltion _
"Il""'" . , rt_el 1ft conslp.
-
Port doO EPI : 1
C_do~
i
_.u:r_
r .
C.HERVE
1
DOCUMENT UNIQUE 1 EVALUATION DES RISQUES
Indice 3
1
CCI PORT DE CAEN OUISTREHAM BASSIN HEROUVILLE
Date :05/01/01
Page 31/31 !
OPERATION
TACHE
Matriel Dispositif
IMtallatlons
IDENTIFICATION
DES RISQUES
Maltrlse du risque
Cegrf du Ileque
l'\leIdueI
Fort 1 M~ Faible
BeSOINS
SUPPLEMeNTAIRES
I!N PRl!VENTIOH
1
l>
l<llUIdxtl
i
2
12
2.22. Tournage
Disqueuse
Risques lectriques
2 3 -
Malriel conforme la
Fraisage Perage
!glemenlallon
Pliage Meulage de
Perceuse
Projection de particules ou
-
RQpQl d mode$apI'alD!rea
pices
Machine pices
1
1
- lItlllutiM P" pel'IOnnIIl qUllllfi
!
Outil
Coupures, plaies
; Touret meuler
-
UIlIloation lOnle lIlOllt>
1
d'emploi Traumatismes dus aux !
!
1
chocs
1
-
r:nttelJen du ",..,..,.
BrOlure par Incendie
Prillecllon de l'en~
poil' d006crBnS si n6c0sHlm
1
Lsions auditives MIsa di.!llOsitlon d'exlIneurs
1
."
1
~'s'" ~sques
2
3 l> ~lv~~t8
2
12
1
Flln'nalIlln. lnformalIoIl des
!
-
1
1!genlI t1sq\Je.
1 -
Port des EPI..-pts:
!
i
Wtemenl detr8vell
!
couvtanI
G!ults ~011
~ ...~
ou......,t.ciIII
1
r~de~on i
(Mion tAdlel
~ ...
scIrit
ProWcllons lUdltIws
1
1
L___
CONTROLE DE LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE BASSENORMANDIE
REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHE N27
(P22 6)
Sans pouvoir affirmer que l'installation d'un CHS au service portuaire constitue une obligation
rglementaire, la Chambre considre qu'en l'absence de comptence du CHS de la CCI po(Ir ce
service, l'existence d'une instance spcifique ddie aux conditions d'hygine et de scurit des 54
agents travaillant sur le site Caen-Ouistreham(port de commerce, remorqueurs, ports de plaisance
selon l'organigramme 2006) apparat de bonne administration, d'autant que, par leurs fonctions, ces
personnels sont les plus exposs aux risques d'accidfnts et de maladifS professionnelles.
La CCI confirme que le CHS de la CCI ne saurait tre applicable aux salaris de droit priv
appartenant un rgime statutaire autre que le statut CCI. Ce point a notamment t confirm par
l'UPACCIM qui considre que Sur le plan formel, les dispositions de l'accord relatif l'Hygine,
la Scurit du travail et la Prvention mdicale, adopt en CPN le 24 juin 2003, n'ont pas fait
l'objet de ngociations entre l'UPACCIM et les organisations syndicales signataires de la
Convention collective verte , dont relve le personnel portuaire. Ces dispositions ne leur sont
donc pas applicables . Par ailleurs l'UPACCIM rappelle qu'en vertu des dispositions de l'article
L 231-1 du Code du travail, les tablissements publics caractre mixte qui emploient du
personnel de droit priv - tels que les CCI - ne sont pas soumis l'obligation de constituer un
Comit d'Hygine et de Scurit, faute d'un dcret le spcifiant (Annexe 2 : la position UPACCIM
du 6 septembre 2004).
Par ailleurs, la CCI rejoint la position de la Chambre de constituer une instance spcifique. Depuis
le 30 juin 2006, ce comit s'est runi plusieurs reprises, notamment les:
13 dcembre 2007
13 mars 2008
Une autre runion est en outre prvue en mai 2008.
Cette structure non obligatoire et informelle est anime par le responsable scurit et
environnement du port.
Par ailleurs, les 12 marins du remorquage ne sauraient tre intgrs dans l'effectif mentionn dans
la mesure o ils appartiennent un statut bien particulier du ressort des Affaires maritimes.
Annexes:
Position UPACCIM du 6 septembre 2004
Expditeur: 331 4764 1335 Destinataire: <deUo>
Page: 416 Date: OlllOlI200717:32:59
tOt ok
PIU$, le 6 septembre 2004
Annexe 2
,.
\,
DES'rXNATAIRE :
TELECQ:PIE
M. Philippe ALBERT1l'U
D~l'Gu6nl
cr <l~ntill et de Haute-Cone
ORlGJlIlE:
Num!t1) de tlcopie: 049:$ $4 44 45
Bmilie rrtEAT
Uman des Pons Autono~ r:tQe$ Cbambres
dl: ~etd'fu(l_e MarinIDeS
NUMEltODE iBLBcopm: 01 47 4 13 35
NUMERO DE iELEPHO'NJi;: ()142'J:J 52 62
Nomb.1:e de page(s) :
Q.hW: Mise en place d'un CRS Urtique
Monsieur le Direeteur GCnral,
Je fais suite votre lettre du 19 aotdemi~t}rotative il la tn$$ en place d'lm Comit d'Hygine et
de Scurlt wque au sein de la CCl de Basilil el de Haute-C<>J'se.
La constitution d'un Comit d'Hygine ~de Scurit spCifique -l'actiVit pottuBire au $en des
Cel conecssionnairell d'<nttijlage publio n\eparat souhaitable pour les l;Onsdrations suivantes.
Sut le plan formel, les dispositions de l'accord relatif l'Hygine, Ii la Scurit du travail et la
PrvJltioD mdicale, adopt en CPN le 24 juin .2003, n'ont pas fait 1'6bjlrt de ngociations entre
l'UP ACCIM etks organisatioDs syndicales. signataires de la Convention CQnective ({ vEl'tW,dont
relve 10 pmotmel portuaire, Ces dspt,)si1ions ne leur $Ont donc pas applicables. Je vous rappelle
par aillellrs (}l.l'en vertu des dispositions del'arlide L. 231-1 du Code du 1l;llvail,les tablissements
publics caractre miXto qui emploient du pe~Oll1lel de droitprh' tels que les Cel ne sont pas
soumis l'obligation de constituer un Comit d'Hygine et de Scurit, faute d'Un dcret le
Expdileur:331 47641335 Dstinataire:<deUo> Page: 516 Date; 081011200717:33:00
sp~ifiant. Les Comptences attribues la Commission consultative .prvue l'article 35 de la
convention c<)llective verte tant proches de celles d'un Comit d'Hygitl, de Scurit et des
Conditiol1lS de travail, plusieurs CCI maritime$ ont mis en place un CHSCT propre l'activit
, ' pommirc sut Ce fondement converJ.tio~l.
Sur le fond, la COIl!titution de Cmits distincts me parat conforme aux ol?jectifs assigns eet~
instiWtion, qui doit fOnctionner au plus prs des sitqaon:! de l:{ll.vail des salaris et dont les
membres doivent pouvoir ihtexvenir leur gatd le plus f8cilement possible: l'vidence, les
conditions de travail ainsi qne les risques profe$Qlmols ne sQnt pa$. de mnle natute au scin des
services d'administratioil gnrale et au sein des services C4lrlICtre ind11$1rlel et commilrCW grs
par les CCI. L'artile 8 de l'accord du 24 juin 2003 prcit prvoit d'ailleurs la constitution de
COmits spcifi<Iues lOISqti(llanatur de l'ctivitole.illstitie.
A cet ~ il est il, noter que le personnel pOrtuaire peut tre considir comme relevant d'un
tablissernentdistinct au sens de lajurisprudeneo d la Cban1bi'C sociale de la COur de Cassation, qui le
dfmit comme une communaut de ~il ayant des intrts propres,susoepdbles de g.nre.r des
. tcfiutUrtions comm~s et splfiques et travaillant sous-Ia Wection d'un reprsentant de l'employeur,
peu important que celui-ci ait le pouvoir de se prononocr Illlrc$ .r6clamations (Cass. Soc. 29jllnvier
2(03). la ooDectlvit de travail implique la runiol1 de conditionll dotravail COl:llni.l1I18S au groUp~des
salaris et, le cas chant, de conditions statutaires CQtnmuies, ce qui est. le cas des personnols
portuairesrol~ de la.conventioncollective verte ..
Pour conclure, lorsque leS conditions d'effeti.b ne sont pas r~unies au niveau de l'activitcS
~1rc. il moparait prfta'bledeprtlndre appuistll' la Comrriission consu.lnttive de l'article 3.5 de
la Convention conective verte , plutt que de constituer ml CRS unique sur ta base de l'accord
du 24 juin 2003 prcit, dont ne relve pas lepersoMw porluaite.
Restant votre d;position pour tout complment d'analyse, je vous prie d'agrer, Monsieur le
Directeur g6nIal. l'ex.pression de m6BSlu~joIlS distingueS.
BmiliePREAT
CONTROLE DE LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE BASSE-NORMANDIE
REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHE N28
(P23 2)
crLa Chambre s'tonne que le prsident de la CCI ait accept la dmission du directeur gnral de
se$ fonctions de prsident du CHS du service portuaire qui constitue une obligation rglementare
et, par l mme, ait pris sur lui d'eng., la responsabilit qui e" eNcoule, au cas o un contentieux
mettrait en cause la carence de la CCI n matire d'hygine et de scurit, responsabilit aggrave
en raison mme ds mises en garde qui lui ont t adresses.
Affirmer que le CHS du service portuaire constitue une obligation rglementaire est contradictoire
avec la position prise par la Chambre plus haut: Sans pouvoir affirmer que l'installation d'un
CHS au service portuaire constitue une 9bligation rglementaire (... ) .
Aussi, la GCI, dans la fiche 27, s'est efforce de dmontrer que la constitution d'un CHS au port ne
relevait pas d'une obligation rglementaire. Ds lors la constitution ou non d'un tel comit ne
modifiait en rien le niveau de responsabillt du prsident de la CCI, c'est pourquoi il a accept la
dmission du directeur gnral au poste de prsident du CHS portuaire.
CONTROLE DE LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE BASSE-NORMANDIE
REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHEN~9
(P23 3)
Par ailleurs, des incidents ont ponctu la mise en application des dispositions relatives la
rglementation en matire d'hygine et de scurit. Ainsi, l'occasion d'une visite de la CCI
effectue le 20 dcembre 2004, J'inspecteur national hygine et scurit de l'ACFCI a not, dans un
comp.te rendu du 28 janvier 2004 adress la CCI, les observations sUivlilntes; "le directeur des
quipements grs, prsent lors de cette visite m'a fait comprendre que l'exploitation primait sur la
scurit. La situation constate sur l'aroport m'amne donc mettre les plu$ grande$ rserves
quant au respect des conditions et procdures d'hygine et de scurit dans les services portuaires
qui concernent prs de 60 collaborateurs et dont la responsabilit de gestion incombe la m6me
direction des quipements. Dans ce contexte de refus de prise en compte de la scurit des
personnes, J'ai prfr courter ma visite. If Par ailleurs, l'inspecteur national hygine et scurit de
l'ACFCI a considr qu'il tait indispensable qu'un CHS soit mis en place pour l'ensemble des
actiVits portuaires. JI
La CCI a eu l'occasion d'expliquer la Chambre la nature du diffrend qui a oppos l'inspecteur
national de l'ACFCI et le directeur des quipements grs lors de la visite du 20 dcembre 2004.
Les propos de l'inspecteur national, que la Chambre prend soin de rapporter, sans pour autant
rappeler paralllement ceux mis par la CCI au rapport provisoire, sont particulirement
tendancieux. En parlant de situation constate sur l'aroport , l'inspecteur laisse sous-entendre
une mise en pril de l'hygine et de la scurit sur ce site. Or aucun lment concret de cette mise
en pril n'est rapport. La CCI tient rappeler que l'aroport constitue le site gr sur lequel la
gestion de la scurit est une proccupation omniprsente puisqu'il emploie essentiellement des
professionnels de la scurit, que sont les pompiers. L'inspecteur national est donc mal venu
d'affirmer qu'il existe un refus de prise en compte de la scurit des personnes quand un tel
site est gr avec des pompiers professionnels.
S'agissant des plus grandes rserves que l'inspecteur national s'oblige mettre sur les
conditions d'hygine et de scurit dans les services portuaires ainsi que sur le caractre
indispensable de la constitution d'un CHS dans ces services, il parat assez peu habilit se
prononcer, dans la mesure o :
il n'a procd aucune visite d'aucun des services portuaires;
un CHS portuaire, bien que n'adoptant pas la forme rglementaire, existe bel et bien;
un reprsentant de l'ACFCI n'a pas comptence sur des services ressortissant d'un autre
rgime conventionnel (par ex. UPACCIM) que celui des CCI ;
il ressort de l'accord national CPN du 24 juin 2003 que l'inspecteur national n'a aucune
comptence d'injonction ou de sanction l'gard des CGI.
CONTROLE DE LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE BASSE-NORMANDIE
REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHE H030
(P23 4)
~ Quant au pfOCs..verbal de la runion du CHS de la CCI du 8 novembre 2006, il indique que le
dIrecteur ds quipements grs s'est oppos la visite de l'aroport de Caen-Ca",iquet par les
membres du CHS, slorsmfme que le CHS est comptent l'~ des personntl& de l'aroport et
que cette visite tait prvue et alTlite depUisle 7 dcembre 2005. L.prsldent de IaCCI a fait savoir
la Chambre qu~une visite de l'aroport de Caen-Csrpiqu.t avait t programme pour le 13
novembre 2007.
Le directeur des quipements grs s'est oppos la visite de l'aroport par les membres du CHS
le 8 novembre 2006 pour les raisons suivantes:
les responsables de l'aroport avaient t prvenus officiellement d'une runion de CHS
l'aroport, mais aucun moment d'une visite des lieux;
aucun des responsables de l'aroport n'tait disponible ce jour-l pour faire visiter les
membres du CHS, visite qui, se droulant en zone sret , se prpare I!avance.
C'est ainsi que, prpare l'avance, la visite du 13 novembre 2007 a pu avoir lieu normalement et
le procs-verbal (Annexe 3) ne mentionne aucune carence grave quant la scurit sur ce site.
Il est confirm que la visite des installations de l'aroport par le CHS a bien eu lieu l'occasion de
sa runion du 13 novembre 2007.
Annexes:
Rapport de la visite du 13 novembre 2007
Annexe 3
CHS 2007-2
L~~~~~~~a ~UniOn c;~-~~embre 2007 _j
Etaient prsents:
Au titre de la dlgation employeur:
- Monsieur Jean-Franois GOUGET, Directeur de "Institut Consulaire d'Enseignement Professionnel
- Monsieur Frdric GRYCAN, Directeur du Campus de Caen de l'Ecole de Management de Normandie
- Monsieur Jean-Paul TOURVIEILLE, Directeur Gnral CCI CAEN, Prsident du CHS
Au titre de la dlgation salaris:
- Madame Fabienne ALLAIN, Secrtaire, ICEP-CFA
- Monsieur Patrice FOSSE, Chef de Manuvre, Aroport de Can'-Carpiquet
- Monsieur Frdric LACAZE, Conseiller Technique au Tourisme, Htel consulaire
- Monsieur Didier PLANTROSE, Professeur de Cuisine, ICEP-CFA
En qualit d'Inspecteur National Hygine et Scurit:
- Monsieur Yves ABIN
En qualit de Mdecin de Prvention:
- Madame Muriel LABBENS
En qualit de Coordinateur Scurit Htel Consulaire + tablissements de formation:
- Mademoiselle Virginie NORMAND,
Ainsi que:
- Monsieur Serge FOUCHER, Prsident CCI CAEN,
- Madame Christiane RICHARD, Coordinateur Scurit Adjoint. Htel Consulaire
Excus:
- Monsieur Didier MAUDELONDE, Membre Elu en charge des Equipements Aroportuaires
ORDRE DU JOUR PRopos
1. Visite des installations de l'Aroport de Caen-Carpiquet,
2. Validation du compte-rendu de la runion du Comit d'Hygine et de Scurit du 10 mai 2007,
3. Point sur la formation Incendie du 9 novembre 2007,
4. Report Formations fC Sauveteurs Secouristes du Travail ,
5. Collecte de sang du 4 mars 2008 en collaboration avec l'Etablissement Franais du Sang,
6. Point sur la campagne de vaccination anti-grippale du 8 novembre 2007 avec l'Institut inter
Rgional pour la Sant,
7. Bilan national CHS 2006/ Bilan local CHS 2006,
8. Point sur les Documents Uniques et leur mise jour,
9. Questions diverses.
1/4
Philippe THIEUW, Directeur des Equipements Grs, accueille les membres du Comit d'Hygine et de
Scurit.
Il informe les membres du CHS que la visite des installations sera assure par Patrice FOSSE, Chef de
Manuvre au sein de l'Aroport de Caen~Carpiquet et membre du CHS.
1. Visite des installations de J'Aroport de Caen-Carpiquet
Suite la visite des locaux, et en prambule la rUnion, Jean~Paul TOURVIEILLE prsente aux membres
du CHS, Monsieur Yves ABIN, Inspecteur National Hygine et Scurit, invit de droit l'ensemble des
runions.
En fonction depuis 4 ans suite la mise en place de l'Accord Hygine et Scurit adopt en 2003, ce
dernier explique son rle de garant du respect de l'accord, ainsi que sa mission d'accompagnement et de
conseil auprs de l'ensemble des Chambres de Commerce et d'Industrie.
Dans cet esprit, il fait part des quelques observations suivantes, suite la visite des installations :
~les ancien's ateliers et locaux pompiers doivent maintenant tre dbarrasss des quipements obsoltes et
condamns.
- certains quipements dj signals non conformes en 2005, ne le sont toujours pas (meules).
~une vigilance toute particulire doit tre accorde la station de gonflage des bouteilles (en s'assurant de
la qualit de l'air compress),
- la fosse automobile de l'atelier doit tre condamne,
~ les conducteurs d'engins doivent faire l'objet d'une autorisation de conduite de la part du Directeur de
l'Aroport,
- certains quipements utiliss par BRITAIR ne sont pas conformes (notamment les escabeaux).
Avant de poursuivre l'ordre du jour propos, il est voqu un accident de travail, survenu un Agent de
Piste - Pompier d'Arodrome, Jejeudi 8 novembre 2007 lors d'une opration d'effarouchement d'oiseaux.
Jean-Paul TOURVIEILLE prcise les circonstances de l'accident ainsi que ses consquences : lors de son
service, l'intress, Nol DUPONT, aprs Un premier tir, a recharg son arme en vu de procder Un
second effarouchement d'oiseaux, tout en conduisant son vhicule Sur la piste.
Distrait par ces actions menes simultanment, un coup est parti l'intrieur du vhicule lui occasionnant
une brlure au 2me degr la cuisse et au mollet ainsi qu'une perte auditive temporaire du l'effet "caisse
de rsonance".
Toutefois, l'agent qui venait d'effectuer un premier tir, portait toujours seSprotections auditives, ce qui lui a
permit d'viter un clatement des tympans.
Yves ABIN souligne la gravit de cet incident et la ncessit d'effectuer. aprs chaque accident, une
enqute par des membres du Comit en se rfrant il l'arbre des c~uses.
Il rappelle galement l'existence des textes rglementaires concernant la dtention et l'utilisation des armes
feu dans les aroports.
Jean-Paul TOURVIEILLE demande Patrice FOSSE ainsi qu' Christiane RICHARD de procder cette
enqute et de lui remettre leurs conclusions.
214
2. Validation du compte rendu de runion du Comit d'Hygine et de Scurit du 10 mai 2007
Aucune modification n'tant apporte au cOll1pte-rendu de la runion du 10 mai 2007, celui-ci est donc
adopt.
3. Point sur la formation Incendie du 9 novembre 2007
Une formation la manipulation des extincteurs a t assure par la Socit GUERIN et suivie par 15
personnes au sein de l'Htel Consulaire (locataires compris). Cette formation avait pour but la dcouverte et
l'utilisation des diffrents extincteurs se trouvant dans le btiment.
Christiane RICHARD prcise que chaque participant a manipul un extincteur.
Jean-Franois GOUGET, Directeur de l'ICEP-CFA, prcise que des formations similaires ont t organises
au cours du premier trimestre 2007 au sein de son tablissement et que 28 personnes ont pu en bnficier.
4. Report Formations Sauveteurs Secouristes du Travail
Suite un entretien tlphonique avec Monsieur HELARY de l'Union Dpartementale des Sapeurs
Pompiers du Calvados, Christiane RICHARD informe les membres du CHS que certains modules SST ont
t modifis et qu'ils sont actuellement en cours de validation.
Par consquent, Jesformations prvues courant 2007 pour le personnel de l'Htel Consulaire ont donc t
reportes au 15, 22 et 29 janvier 2008
Jean-Franois GOUGET indique qu'au sein de son tablissement, le recyclage du personnel titulaire de
formations SST se fait rgulirement en raison de l'obligation lgale lie la prsence de mineurs et de
public dans ses locaux.
Yves ABIN rappelle aux membres du CHS que les risques les plus importants se trouvent au sein des CFA.
compte tenu des formations dispenses, d'o l'importance de veiller la formation des agents.
Frdric GRYCAN, Directeur du Campus de Caen de "Ecole de Management de Normandie. informe le
Comit que ce type de formation est galement envisag courant 2008 au sein de "tablissement.
5. Collecte du sang du 4 mars 2008
Suite la collecte de sang qui s'est droule au mois de mars 2007, une nouvelle collecte est prvue le
4 mars 2008, en collaboration avec "Etablissement Franais du Sang.
6. Point sur la campagne de vaccination anti-grippale du 8 novembre 2007
Le Prsident du CHS informe les membres du Comit que depuis maintenant 4 ans. une vaccination anti-
grippale totalement gratuite pour le salari, est propose l'ensemble des collaborateurs.
Le nombre de personnes vaccines est quas quivalent celui de l'anne 2006 : 43 personnes contre 40
en 2006. soit 14,93% de l'effectif total de la CCI (tous sites et statuts confondus ~ hors personnel vacataire).
CONTROLE DE LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE BASSE-NORMANDIE
REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHE N31
(P23 7)
Toutefois, depuis sa nomination comme directeur des sfNVices portuaires en 1997, M. T. continue
de relever de la convention collective UPACC/Afet bnficier des avantages particuliers prvus par
cette convention et les accords locaux. Cette situation apparatt irrgulire, la convention UPACCIM
excluant expressment de son champ d'application les directeu,. (cf. convention collective
UPACCIM du 17 Juillet 1947 modlRe, pramb(ll., 2.2: "Sont normalement exclUS de la prsente
convention collective: 1- les directeu,."J. En effet, le statut de directeur d'un sorv/r;e Industriel et
commercial d'une chambre consulaire relve normalement du droit public, pl1nclpe rappel par
l'arrft "Jalenques de Labeau" (CE Sect 8 mars 1957) et M. T. aurait da, 4 ce titre, tre soumis, depuis
sa nomination le 1er Janvier 1997 comme directeur des services portuaires, au statut du personnel
administratif des CCI qui, aux termes de son article premier, "s'applique de plein droit l'ensemble
des agents ayant la qualit d'agent de droit public et occupant un emploi permanent et temps complet
dans les services (.) des Chambres de commerce et d'Industrie". Les conclusions d'une
consultation jurIdIque auprs d'un cabinet priv, communiques la CCIIe 27Juin 2DD6,confirment
en tout point cette analyse.
Il Y a tout d'abord lieu de noter que la question aurait galement trs bien pu se poser dans
l'hypothse o M. T. aurait t rattach au statut CCI avec sa charge une diversit de statuts
grer.
En effet, le statut CCI ne prvoit pas spcifiquement qu'un directeur ayant en charge du personnel
appartenant divers statuts soit rattach ce statut. Seul le cas du directeur gnral est prvu :
ds lors qu'il dirige l'ensemble des services d'une CCI, cet agent se voit appliquer le statut CCI
(articles 28 et 39). Cette approche est corrobore par la jurisprudence administrative. La
jurisprudence Jalenques de Labeau~Level (CE Sect., 8 mars 1957; CE, 15 dcembre 1967) a
consacr le principe de l'application du droit priv aux agents des services publics industriels et
commerciaux, l'exception de l'agent qui est charg de la direction de l'ensemble des services de
l'tablissement. Une solution identique a t retenue pour les services industriels et commerciaux
non personnaliss: est seul un agent public le directeur de l'ensemble du service. Ce qui semble
viser ici le cas du seul directeur gnral d'une CCI.
Dans un arrt rcent (Soc, 3 mai 2007, Adia et CCI de Brest), la Cour de cassation considre que
les CCI sont des tablissements publics administratifs dont certains grent un service public
industriel et commercial. Si leurs agents qui ne sont pas affects au service industriel et
commercial qu'elles grent ont la qualit d'agent public, tel n'est pas le cas, l'exception du
directeur ou du chef de la comptabilit publique ayant la qualit de comptable public, de leurs
employs qui sont affects au service industriel et commercial.
Il ressort de cette jurisprudence que le statut priv d'un agent travaillant au service de plusieurs
services industriels et commerciaux est opportun. Lue en regard d'un autre arrt rcent de la Cour
de cassation (Soc, 27 mars 2007, CCI de Calais), l'exception applicable au directeur s'applique
spcifiquement au directeur gnral .
7. Bilan national Hygine et Scurit 2006/ Bilan local Hygine et Scurit 2006
Yves ABIN et Jean-Paul TOURVIEILLE commentent, respectivement. le bilan national et local Hygine et
Scurit 2006 aux membres du Comit.
8. Point sur les documents uniques et leUr mise jour
Jean-Paul TOURVIEILLE, rappelle aux membres du Comit qu' ce JOUr,4 dOCUmentsuniques ont t
labors ..
Ces documents doivent tre desoutls de travail pour le CHS et doivent faire l'Obj~t de mises jour
rgulires.
Il propose qu' l'occasion des ptohains CHS. nous prenions l'habitude de parcourir ces documents afin de
juger de leur volutioh ainsi que des axes de travail prioritaires.
L'ensemble des questions ayant t abord, la sance est leve.
Sous rserve. de modifications en cours d'anne, la prochaine runion est fixe. su mardi 27 mai 2008
10h00 au sige d laCCI.
Le procs verbal de la prsente sance sera approuv lors de la prochaine runion du Comit.
4/4
--. Message
De Gouville Antoine
De: Emilie PREAT [epreat@wanadooJr]
Envoy: mardi 3 juillet 2007 10:27
: De Gouville Antoine
Objet: Re: Statuts UPACCIM/CCI
Bonjour,
Je fais suite votre courriel du 25 juin, en vous priant de m'excuser pour cette rponse tardive.
Page l ot 'L
Annexe 4
r;:nprincipe, tout employeur li parl.lne convention collective doit l'appliquer tout son personnel, sans
considration des fonctions du salari ou de la nature du contrat de travail, et sous rserve de l'application
d'un statut particulier. Il faut cependant rserver l'hypothse o la convention exclut de son champ une
catgorie de salaris (Cass. soc. 29 avril 1981, n079-41.660), ce qui est le cas de la convention collective
"verte".
l'exclusion des directeurs du champ d'aPPlication de la convention verte pllt cependant tre jusitif par leur
statut particulier: le Code des ports maritimespreise en effet qUe le directeur d'un port autonome est
nomm par dcret en Conseil des ministres, tandis que les fonctions de directeur d'un port non autonome de
commerce ou de pche taient assures, avantladcentralisation des ports d'intrt national, par le
Directeur dpartemental de fEquipementou le directeur du service spcialis du ministre charg des ports
maritimes dans le dpartement o taient situes les principales installations de ces ports. l'exclusion
mentionne au prambule de la convention collective "verte" ne concernerait donc que les seuls directeurs de
ports autonomes, et non pas les directeurs sectoriels.
Cette interprtation est corrobore par une jurisprudence ancienne, qui avaient considr que certains
directeurs de CCI ayant des fonctions spcifiquement portuaires relevaient de la convention collective
"verte" (Conseil de Prud'hommes, 10 septembre 1986, CCI de Brest ci Monchicourt).
La jurisprudence Jalenques de labeau-level que vous citez (CE, 8 mars 1957, CE, 15 dcembre 1967) a
consacr le principe de l'application du droit priv aux agents des services publics indUstriels et commerciaux,
l'exception de l'agent qui est charg de la direction de l'ensemble des services de l'tablissement. Une
solution identique a t retenue pour les services industriels et commerciaux non personnaliss: est seul un
agent public le directeur de l'ensemble du service. Ce qui'semble viser le cas du seul directeur gnral d'une
CCI.
Les dcisions de jurisprudence plus rcentes (TA de Lille, GUIADER, 25 novembre 1987, TC, 3 juin 1996,
Mme Le GAC ci CCI de Saint-Malo) dsignent par des formules gnrales et imprcises comme tant dans
une situation de droit public les agents occupant un emploi de direction (ainsi que les comptables publics).
{, Jusqu' prsent, la doctrine a considr, sur la base de la jurisprudence du Tribunal des co,ntlits et du Conseil \....) d'Etat, que seuls le directeur gnral et le chef comptable d'une CCI avaient la qualit d'agent public. Une
dcision plus rcente du Conseil d'Etat remet en cause cette position, en qualifiant d'agent public le drecteur
d'une concession de port de plaisance administre par une CCI (14 mai 2003, CCI de Nimes ci
M. VIDAL, DMF n639, jullet-aot 2003, commentaires de R. Rezenthel).
Compte tenu de cette volution, il me paraTt ~cessaire d'effectuer une recherche de jurisprudence
plus approfondie, et de solliciter la Sous-Direction des CCI, pour confronter nos analyses.
Je vous tiendrai inform au plus tt des rsultats de ces dmarches
Bien cordialement
Emilie PREAT
---- Original Message ---
From: De G.Q.l,IvilleAntoine
To: epreat@wam;!QQQ.fr
Cc: Thieuw Philipp...
Sent: Monday, June 25, 2007 10:39 AM
Subject: Statuts UPACCIM/CCI
03/07/2007
Interroge sur ce point par l'UPACCIM, la sous-direction des chambres consulaires au MINEFE
n'a pas d'avis tranch sur ce point (pas plus que l'UPACCIM d'ailleurs) et s'en remet la
jurisprudence sus-cite. Elle rajoute que ce n'est qu'au cas o le directeur des quipements grs
a une fonction au sein de la structure administrative de la CCI qu'il pourrait tre considr comme
agent public. (Annexe 4).
Or, ds lors que M. T. a uniquement en charge des services qui sont de manire incontestable de
nature industrielle ou commerciale (ports, aroport), et qu'il n'assume aucune fonction de service
public administratif la CCI, rien ne s'oppose ce qu'il puisse tre rattach la convention
UPACCIM, laquelle lui confre de fait un statut de droit priv. Cela est d'autant plus justifi que
M. T. a t initialement recrut sous convention UPACCIM puisqu'il ne travaillait que pour le port
de commerce au dbut de sa carrire consulaire, et qu'aujourd'hui, le port de commerce occupe
toujours la majeure partie de son temps travail et qu'en outre cet quipement est de loin le plus
important des quipements dont il a la charge (chiffres d'affaires, personnel, investissements,
responsabilits ... ).
Enfin, il est rappel que certaines CCI rattachent l'ensemble de leur personnel, y compris des
chambres qui ne grent aucun port de commerce (ex. CCI Marseille-Provence), la convention
verte . D'ailleurs l'article 51 du statut CCI prvoit que dans untel cas, les CCI, soit maintiennent
en faveur de ce personnel la convention UPACCIM, soit adoptent le statut CCI. Cela signifie que
mme du personnel travaillant pour le service public administratif d'une CCI est rattach une
convention collective de droit priv.
Pour toutes ces raisons, la CCI ne juge pas irrgulire cette situation, c'est pourquoi elle n'a pas
estim bon de suivre les recommandations du cabinet consult.
Quant affirmer que M. T. a continu bnficier des avantages particuliers prvus par cette
convention et les accords locaux, la Chambre ne dmontre pas en quoi ces avantages seraient
plus importants qu'en application du statut CCI.
Annexes:
Mail de l'UPACCIM du 3 juillet 2007.
lvlessage
"
Page 2 of2
(
Bonjour Madame Prat,
Notre tablissement fait actuellement l'objet d'un contrle de la cour des comptes. Un des points soulevs
par la cour, et auquel nous devons formuler une rponse, concerne le rattachement du directeur des
quipements grs au statut UPACCIM et la convention verte. La cour se demande, au regard de la
jurisprudence "Jalenques de Labeau" (CE Secl 8 mars 1957), dans quelle mesure ce directeur peut
bnficier de ce rgime sachant que l'article. 2.2 du prambule exclu normalement "A -les directeurs",
Comment cette exclusion doit..elle tre entendue, saChant que l'annexe du 8 juillet 1$J7() prvoit (groupe III)
un coefficient minimum pour les fondions de "Directeur, Directeur-adjoint ou responsabilits quivalentes" ?
Vous remerciant pour vos claircissements.
Bien ordialement.
/1ntQlle de lhuvilJe
Attach de direction
CCl de CaerJ,Direction des quiPements portiJ8J:'f!s
tJ : 02.$1.35.63.27
fax: 02.31.35.63.06
Oxan~ VOU$ informe que cet e;..rnail at contrl par l'anti-virus mail.
Aucun virus connu ce jour par nos services n'a t dete.c~.
03/07/2007
CONTROLE DE LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE BASSE-NORMANDIE
REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES ND1
FICHE Ne32
(P24 2)
Cf Par ailleurs, la Chambre s'tonne que le directeur des quipements grs ait sign des courriers
valant dcisions pour lesquelles il n'avait pas reu dlgation du prsident de la CCI telles que des
lettres d'embauche concernant Mme H. (courrier du 10 mai 2006) et M. P. (courrier du 23 octobre
2006) rdiges comme suit "Vous avez postul notre recrutement pour un poste de (m). A la suite
de votre entretien avec M. de G. [collaborateur de M. T.} et moi-mme (M. T.} nous avons dcid de
retenir votre candidature. Les conditions d'embauche sont les suivantes (...)" ou une lettre
constatant la dmission de M. K. (30 aot 2006) par laquelle M. T. confirme l'intress que son
contrat prend fin telle date. Il s'agit bien l de courriers qui engagent juridiquement la CCI et pour
lesquels M. T. n'avait pas reu dlgation.
Les lettres cites par la Chambre ne sont pas des lettres d'embauche , Il s'agit de courriers
adresss aux candidats qu'il a t prvu de retenir au terme d'oprations de recrutement. Ces
courriers prcisent par crit les conditions d'embauche proposes ces candidats et impliquent
que le candidat confirme sa volont de contracter.
Le contrat de travail, qui est le seul acte qui engage juridiquement la CCI vis--vis d'un nouveau
collaborateur, est bien entendu sign par le directeur gnral. De mme, les courriers de
titularisation sont galement signs du directeur gnral.
Par ailleurs, les termes suivants repris par la Chambre: Les conditions d'embauche sont les
suivantes ... , sont inexacts puisqu'il a t crit: Les conditions d'embauche que nous vous
proposons sont les suivantes ... . Ces courriers poursuivent: Si ces conditions recueillent votre
agrment, nous vous remerCions de bien voulor nous le confirmer. .. .
S'agissant du courrier adress M. K. suite sa dmission, il s'agissait simplement de lui indiquer
par crit la date de fin de son contrat, aprs coulement du dlai de pravis lgal. Cela n'a donc
donn lieu aucune dcision, mais simplement une information, tout au plus, un accus de
rception.
La CCI estime que tous ces courriers ne sont pas des engagements juridiques au sens strict et
qu'il appartenait bien M. T. en sa qualit de directeur de procder leur envoi, compte tenu de
ses responsabilits en matire de ressources humaines au sein de la direction des quipements
grs. Ainsi, une dlgation au sens formel n'est pas ncessaire dans la mesure o il s'agit
d'actes courants dans la vie de la direction et dans les relations d'un directeur avec son personnel.
CONTROLE OE LA CHAMBRE REGIONALE OES COMPTES DE BASSE-NORMANDIE
REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHE N33
(P24 3)
te De mme, le directeur des quipements grs If .'gn le 3 Janvier 2005 un contrat engageant
juridiquement et finanCirement la CCI vls--.v$d'un intervenant fi)Jt:trieur pour un montant de 11 k,
suprieur. Celui de la dlgation qui lui avait t accord~ (8 k TTC)
Le contrat dont il s'agit est un contrat technique de maintenance. Comme ela est indiqu sur le
contrat, il constitue accus de rception et prise de connaissane des conditions particUI.ires du
contrat-type du prestataire. Rien n'interdisait au directeur des quipements grs, au titre de son
pouvoir de reprsentation de la CCI pour ls affaires de ses services, de signer un tel contrat, dans
la mesure o l'engagement financier respectait bien les seuils de dlgation tablis en interne. En
l'occurrence, l'engagement financier tant suprieur au seuil de dlgation autoriS pour M. T,
c'est bien M. T.L, directeur gnral, qui a sign le bon de commande adress au prestataire.
CONTROLE DE LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE BASSE-NORMANDIE
REPONSES DE LA CCI DE CAEN
AU RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES N1
FICHE N34
(P24 6)
fi M. T. a apport la Chambre 'e8 prcisions suivantes: "toutes mes dmarches concernant ce
dossier talent rgulirement portes Ii la connaissance de M. F., alors prsident de la commission
des quipements grs Ii la CCI, lquel m'a appo"'son accord Seurnos posft/ons. Celles-ci ont
d'ailleurs t confirm Br/t'Air par M. M., alors prsident de la commission aropoTtuaire de la CCI,
lors d'une runion tenue Carpiquet le 18/0512004, Mes lus rfrents taient donc parfaitement au
courant du dossier". Toutefois, 'a Chambre relve qu' l'poque des faits M. M., membre lu de la
CC/, n'tait pas prsident de la commission aroportuaire, rle qu'il n'assumera qu' compter du
mois de mai 2004 et que prcdemment il n'occupait aucune fonction particulire l'aroport de
Caen-Carpiquet.
La CCI estime que la publication dans sa quasi~intgralit de la lettre adresse par M. H M. Test
de nature jeter le trouble sur M. T, alors mme qu'il a agit en ayant respect les rgles de
fonctionnement internes, savoir travailler en concertation avec ses lus rfrents de l'poque,
tous deux galement vice-prsidents, lesquels confirment avoir t informs. Le prsident, pour sa
part, a directement interpell M. T sans s'adresser pralablement aux lus concerns.
Enfin, quand bien mme M. M n'tait pas encore prsident de la commission aroportuaire, il reste
qu'il:
tait un lu de la CCI ayant bien particip une runion sur le sujet avec Brit' Air et a
confirm la position de la CCI ;
tait, en outre, vice~prsident de la CCI ;
tait prsident de commission tourisme, secteur en lien avec le sujet de la runion;
tait sur le point d'tre dsign prsident de la commission aroportuaire (quelques jours
seulement sparent l runion susvise de sa nomination).
Ds lors. le directeur des quipements grs ne peut tre incrimin dans la mesure o il n'a pas
agit en dehors de toute concertation avec ses lus rfrents ou en opposition avec la position
officielle de la CCI. Il faut d'ailleurs souligner que, l'poque, le transfert de la ligne sur Caen-Nice
avait suscit l'entire satisfaction des lus consulaires caennais.