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SyllDSR8403 A2010 VFinal

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École des sciences de la gestion

Département de stratégie, responsabilité sociale et


environnementale
Université du Québec à Montréal

PLAN DE COURS

STRATEGIES D'ORGANISATION &


RESPONSABILITÉ SOCIALE ET ENVIRONNEMENTALE:
DU LOCAL A L'INTERNATIONAL
DSR8403

Automne 2010

Enseignante:

Marie-France Turcotte, Ph.D.


Professeure titulaire, dép. stratégie, responsabilité sociale et environnementale
Téléphone : (514) 987 3000 (4530#)
e-mail : turcotte.marie-france@uqam.ca
Bureau R-3825 (sur rendez-vous)

I. DESCRIPTION DU COURS

Les questions liées à la responsabilité sociale des entreprises se sont imposées au cours des années.
Désormais, la réussite de l’entreprise et sa légitimité dépendent de plus en plus de sa capacité à de
son aptitude à répondre aux attentes des différents acteurs avec qui elle interagit et aux aspirations
2

des sociétés dans lesquelles elle œuvre. En effet, de plus en plus de marchés étant mondialisés,
l’entreprise est appelée à faire affaire avec des parties prenantes issues de différents pays.
L’entreprise multinationale doit œuvrer dans de nombreux environnements locaux. Même
l’entreprise locale doit tenir compte d’acteurs issus de partout dans le monde, notamment lorsqu’on
lui demande des comptes quant à sa chaîne d’approvisionnement. Les gestionnaires doivent donc
intégrer à leurs décisions courantes comme à leur processus de gestion, des variables qui relèvent
des domaines social, politique, juridique, environnemental et éthique, et ce, aux plans local, national
et international. Pour ce faire, les gestionnaires doivent comprendre adéquatement la nature et la
dynamique de l’environnement sociopolitique de l’entreprise et connaître plusieurs modèles
d’interaction de l’entreprise avec son milieu.

II. OBJECTIFS

Ce cours vise à présenter les concepts à la base des politiques et stratégie de responsabilité
sociale (RS) et de développement durable (DD). Il s’agit pour l’étudiant de comprendre non
seulement l’historique et la définition des concepts de responsabilité sociale, de développement
durable et de ceux qui leur sont liés, mais également les tensions qui animent les différents
acteurs sociaux autour de leur définition, ainsi que leur implication concrète au moment de la
prise de décision et de l’action. Au terme de ce cours, l’étudiant aura acquis une connaissance
conceptuelle et théorique de la responsabilité sociale et du développement durable suffisante
pour élaborer sa propre grille de lecture et adopter une position critique lui permettant non
seulement d’évaluer la pertinence et la qualité des politiques et stratégies se réclamant de ces
concepts mais également de développer de façon générale ou dans un secteur particulier, une
perspective et des pistes d’action qui lui soient propres.

III. PÉDAGOGIE

Le cours est conçu autour de trois axes d'apprentissage:

1. Comprendre les concepts fondamentaux en responsabilité sociale et développement


durable par des lectures et des exposés.
2. Intégrer les concepts théoriques à la pratique par des exercices, des analyses de cas
décisionnels, des discussions des films, des simulations.
3. Développer chez l'étudiant(e) les capacités d'observation, de jugement et
d’intervention par des exercices structurés, des études de cas, des mises en situation,
des analyses critiques des connaissances existantes et la production de matériel de
diffusion concernant la RS et le DD.
4. Pour les étudiant(e)s de doctorat et certains étudiant(e)s de maîtrise du profil avec
mémoire, développer une problématique de recherche dans le domaine de la RSE et du
DD qui tienne compte de la dimension internationale.
3

IV. MATÉRIEL PÉDAGOGIQUE

Textes obligatoires (Disponibles à la Coop UQAM, librairie ESG, 335 rue Ste-Catherine Est)

 Turcotte, M.-F. et A. Salmon (2005) La responsabilité sociale et environnementale de


l’entreprise, Presses de l’Université du Québec. (Disponible à la Coop UQAM, librairie
ESG, 335 rue Ste-Catherine Est)
 Turcotte, M.-F., Langelier, L., Hanquez, M. et Allard, M.-C., Desrochers, T., Tirilly, M.
et collaborateurs, 2011, Implanter la responsabilité sociale en entreprise, comprendre et
agir sur la base d’ISO 26000 (en préparation, le texte sera rendu disponible sur Moodle).

La plupart des textes qui ne se trouvent pas dans les livres cités précédemment sont disponibles
via les ressources électroniques du site de la bibliothèque de l’UQAM
(www.bibliotheques.uqam.ca/) ou sur la plateforme Moodle (www.moodle.uqam.ca). Les
étudiant(e)s doivent impérativement être familiarisés avec les fonctions de ces plateformes pour
visionner ou télécharger le reste des documents et des cas. Pour ceux qui auraient des difficultés
dans l’utilisation de ces plateformes, nous vous invitons à communiquer avec le service des
bibliothèques et avec le SITEL (Service de l'informatique et des télécommunications) qui offre
des séances de formation.

V. ÉVALUATION

1. Quiz (20%)1

Un examen individuel aura lieu à mi-session et couvrira la matière vue jusque-là, incluant les
lectures prévues pour ce jour là. L’évaluation se fera selon des critères relevant de la maîtrise du
contenu (connaissance du sujet, intégration des concepts, application des concepts aux situations
concrètes, pertinence des exemples) et de la clarté d’expression (langage clair et qualité adéquate
du français utilisée.)

2. Études de cas

L'expression «méthode de cas» fait référence à un mode interactif d'enseignement et


d'apprentissage d'une pratique. Cette approche pédagogique vise l'apprentissage des réalités

1
Pour les étudiants de doctorat, le quiz pourrait être remplacé par un travail théorique. À discuter avec
l’enseignante.
4

organisationnelles et l'acquisition d'habileté d'analyse, de synthèse et d'action à partir de


situations concrètes sur lesquelles on réagit et réfléchit.

Un « cas » est un document pédagogique qui vise le transfert de connaissances, l'acquisition


d'apprentissages et d'habiletés axés sur la pratique de la profession de gestionnaire. C'est un
document qui relate un plan de la vie d'une organisation ou d'une expérience de gestion,
présentant soit un problème de gestion qui appelle une solution de type prise de décision et plan
d'action, soit une description qui se prête à une analyse visant à illustrer une problématique de
gestion, à poser un diagnostic, à établir un pronostic, etc. Le cas peut prendre la forme d’un
récit ou encore présenter un ensemble de documents fournissant de l’information sur un enjeu.
Dans le cadre du cours, les étudiants réaliseront plusieurs études de cas, dont certaines feront
l’objet d’une évaluation particulière, tel que décrit ci-bas.

2.1 Rédaction d’une étude de cas ou production de matériel d’intervention dans une
entreprise (30%)

Il s’agit du travail final, un travail d’envergure et de longue haleine, qui se réalise en équipe de
2 à 4 personnes. Les étudiants devront y démontrer non seulement leur maîtrise des concepts
vus mais aussi leur habileté à reconnaître dans des phénomènes contemporains les enjeux de RS
et de DD.

II s’agit pour chaque groupe d’étudiants de collecter de l’information sur une entreprise de leur
choix et de soit

- rédiger un cas sur cette entreprise et ses enjeux de RS et DD;

- ou, planifier une intervention dans une entreprise et préparer du matériel de diffusion à cet
effet.

La collecte d’information peut passer par l’analyse documentaire, les interviews et


l’observation. L’analyse doit se baser sur les concepts et théories qui parmi ceux vus en classe
sont les plus pertinents aux situations observées.

Pour s’inspirer quant à la rédaction d’un cas, les étudiants pourront considérer les cas « Avec
Plaisir » et « Osisko » dans Turcotte, Langelier, Hanquez et al. (2010). Ces cas ont été réalisés
par des étudiants des années précédentes. La description du cas pourrait aussi prendre la forme
d’un témoignage, d’un poster ou d’une production vidéo. Ce cas devra aussi être analysé à la
lumière des propositions, concepts, théories et outils vus en classe. L’ensemble du travail, soit
la description et l’analyse, doit faire au maximum 12 pages, la bibliographie et les annexes en
sus.

Dans le cas de la planification d’une intervention, la situation doit être clairement décrite et le
plan d’intervention justifié (aussi sur le plan théorique et des apprentissages vus en classe).
L’ensemble du travail, soit la description et l’analyse de la situation, le plan d’intervention et sa
justification, de même que les outils de communication qui y sont associés, doit faire au
maximum 12 pages, la bibliographie et les annexes en sus. Parmi ces annexes, on peut imaginer
5

des posters, des lettres, mémos, diaporamas, plans d’événements et autres moyens de
communication avec l’auditoire visé.

Que les étudiants choisissent la rédaction de cas ou la production d’un plan d’intervention, ils
devront présenter leur travail en classe le 8 ou le 15 décembre. À cet effet, les étudiants
pourront préparer un diaporama ou d’autres moyens de communication qu’ils jugeront
efficaces.

2.2 Courtes analyses de cas (15%)

L’étudiant devra réaliser une courte synthèse de son analyse pour quatre des cas mentionnés
dans le calendrier. Parmi ceux-ci, il est obligatoire de réaliser les deux synthèses suivantes : (1)
la comparaison entre le cas Osisko et le cas Yves Rocher (5%), de même que (2) l’analyse du
cas Gildan (5%). Les 2 autres cas dont il faut remettre une analyse synthétique sont au choix
des étudiants (2X 2,5%). Chaque synthèse doit être contenue dans une page (au maximum, dans
certains cas, quelques paragraphes peuvent suffire) et être remise à l’enseignante au début de la
journée où le cas sera discuté. Il s’agit d’un travail individuel. Aucune synthèse ne sera
acceptée après la discussion du cas en classe. L’étudiant doit prévoir garder une copie pour lui
en vue de la discussion en classe.

Les critères d’évaluation sont de nature formative (par opposition à des critères de performance
pré-établis) et correspondront aux questions suivantes:

1. L’étudiant a-t-il démontré qu’il avait lu attentivement le cas et compris ses principaux
enjeux?
2. A-t-il participé de manière professionnelle et constructive à l’analyse des données du
cas (dans sa synthèse et en classe)?
3. A-t-il proposé une option stratégique qui soit à la fois efficace du point de vue de
l’atteinte des objectifs et réaliste compte tenu de l’analyse de l’organisation et de son
contexte?

3. Synthèse de texte (20%)


Ce travail individuel consiste en la rédaction d’une2 synthèse de 1 à 2 pages (simple interligne,
times 12) d’un texte parmi ceux présentés en lectures suggérées pour l’un ou l’autre des 5
séminaires. En effet, l’étudiant choisira un texte qui l’interpelle particulièrement.

Le premier objectif de la synthèse sera de rendre compte à un public de gestionnaires d’un texte
académique et spécialisé. Le « jargon » qui pourrait se trouver dans le texte original devra donc
être « traduit ». Le format de la synthèse devra suivre celui des fiches présentées sur le site du
Réseau entreprise et développement durable (REDD) au www.nbs.net.

2
Pour les étudiants de doctorat, un minimum de 4 synthèses seront demandées et pourront remplacer les
courtes études de cas.
6

Le second objectif de la synthèse est de mettre les résultats de la recherche présentée dans le
texte en lien (voire en « dialogue ») avec, d’une part, votre expérience ou vos propres
observations et, d’autre part, les autres textes et théories vus en classe. Il faudra donc ajouter
une section et élaborer sur le sujet par rapport au format des synthèses du REDD.

Le troisième objectif est de rendre compte à vos collègues (et à votre enseignante) du texte. À
cet effet un diaporama ou une autre forme de support à la présentation en classe pourrait être
produite. En effet, chaque étudiant fera une présentation en classe lors du séminaire. Il s’en
suivra une discussion sur le texte avec toute la classe. L’étudiant remettra une copie papier de
son travail, de son diaporama et de tout autre matériel de support à Marie-France Turcotte. Il
mettra aussi le tout à disposition sur Moodle avant 18h la veille du séminaire de sorte que les
collègues puissent y avoir accès.

L’évaluation de ce travail est basée sur les réponses aux questions et points suivants.

1- Tant dans le texte écrit que dans la présentation orale en classe, la problématique du texte
était clairement identifiée de sorte que l’auditeur pouvait facilement comprendre la thèse de
l’auteur, les questions qu’ils se posent et ses résultats principaux.
2- Le positionnement de l’auteur est aussi clairement mis en évidence, particulièrement quant à
a. qui il est ?
b. à quelle organisation il est associé ?
c. quel est son statut ?
d. quel est son objectif sous-jacent ?
e. à quelle école de pensée, courant ou positionnement épistémologique on peut
l’associer ?
3- Dans la présentation orale en classe (et son matériel de support), les concepts, modèles et-ou
relations démontrées par l’auteur sont expliqués avec justesse, simplicité et clarté. Les concepts
sont clairement définis et le cas échéant qu’ils ne le seraient pas dans le texte original, cela est
noté dans la synthèse et lorsque possible l’étudiant tente d’en faire ressortir le sens.
4- Dans la présentation orale en classe (et son matériel de support), l’approche ou la méthode de
l’article est bien décrite et ses résultats sont présentés avec justesse.
5- Dans la présentation orale en classe (et le diaporama qui l’accompagne), l’analyse critique
mettait bien en évidence l’intérêt et la valeur ajoutée du texte de même que les limites de
l’article et l’opinion du présentateur et, ce,
a. par rapport à d’autres textes (et particulièrement aux autres textes du séminaire),
b. au sujet de la valeur ajoutée de l’article, le présentateur a aussi mis l’emphase sur
i. les enseignements du texte qui pourraient être utiles pour différentes
parties prenantes (activistes ou autres agents de changement,
gestionnaires ou autres salariés d’une entreprise, représentants du
secteur public, etc.)
ii. ce qu’il a déjà observé dans sa pratique professionnelle et qui correspond
ou au contraire ne correspond pas aux propos du texte
iii. ce qu’il considère pertinent de retenir de l’article pour une démarche
professionnelle.
6- Le texte est efficace, se lit bien, est écrit avec style et dans un langage de haute qualité.
7

7- La présentation est efficace en ce qu’elle facilite la compréhension de l’auditoire des textes


et est appuyée par des supports aidant la compréhension (voix qui porte, contact visuel avec le
groupe, gestuelle, documents de support, etc.).
8- Respect des consignes (temps alloué, nombre de pages, etc.).

5. Exercices faits en classe (15%)

L’étudiant devra réaliser en clase, seul ou en équipe certains exercices et analyses. Les
consignes seront données en classe. Ces travaux faits en classe seront recueillis et un certain
nombre d’entre eux, choisis au hasard, seront évalués (évaluation formative).

6. Participation, contribution aux discussions et exercices (Ça n’a pas de prix!).

Le succès de ce cours repose sur une contribution personnelle et continuelle de tous(tes) les
participant(es). Le cours sera mené suivant une formule participative selon laquelle on s’attend
à ce que l’étudiant(e) arrive en classe préparé, en ayant lu les textes de références et les cas, et
qu’il s’implique dans les discussions et réalise des exercices en classe et en dehors de la classe.
L’étudiant trouvera plusieurs occasions de participer sur une base volontaire aux réflexions en
classe.

La participation volontaire contribue à l’apprentissage d’excellence, permet d’enrichir nos


connaissances et points de vue et marque le respect pour le travail accompli. À l’occasion, des
étudiants seront aussi interpellés et on s’attendra alors à ce qu’il soit disposé à répondre.

L’étudiant peut évaluer sa propre participation en se posant les questions suivantes :


1- Est-ce que je participe de manière très dynamique en classe et tenu des propos
pertinents? (Notez que des propos sont souvent d’autant plus pertinents qu’ils sont
brefs.)
2- Est-ce que je profite du cours pour évoluer dans sa réflexion sur les différents sujets
abordés et il a contribué à la réflexion collective?
3- À chaque séance, est-ce que j’avais lu et bien compris les textes et étais-je de manière
générale préparé (par exemple avoir préparé certains exercices demandés, avoir en sa
possession les documents requis) ?
4- Ai-je réalisé les différents exercices effectués en classe avec un souci d’excellence et il
a démontré qu’il avait compris les concepts et maîtrisé les techniques?
5- Ai-je remis les travaux écrits à réaliser en classe lorsque demandé ? Ces travaux
reflétaient-ils un excellent effort d’apprentissage ? L’étudiant y démontrait-il la maîtrise
des concepts et des modèles, de même que des habiletés professionnelles?
6- Étais-je présent? Il est en effet impossible de participer en n’étant pas en classe.
8

VI. CALENDRIER ET CONTENUS

Description des séances Cas, exercices, travaux et séminaires

Séance 1 : 8 septembre - Présentation des contenus, des


objectifs du cours et des participants.

Séance 2 : 15 septembre - Responsabilité sociale,


développement durable, et concepts connexes : Cas Monsanto
manœuvrer dans un contexte international et polysémique.

Séance 3 : 22 septembre - Le processus de formation des


enjeux et des normes et l’analyse et la gestion des parties Exercice sur Microsoft Europe
prenantes.

Comparaison du cas Yves Rocher et du


Séance 4 : 29 septembre – Comparaisons interculturelles
cas Osisko
de la RSE
Séminaire I

Prestation de Alpha Ayande


Séance 5 : 6 octobre - L’entreprise et les zones de conflit
Exercices
Cas textiles tunisiens
Séance 6 : 13 octobre – Les organismes internationaux et Prestation de Alpha Ayande
l’ONU Exercices
Présentation d’un cas de commerce
Séance 7 : 20 octobre – Chaîne de valeur, zone équitable par Chantal Hervieux
d’influence et consommation Séminaire II

Séance 8 : 27 octobre - Enjeux de stratégie et Exercice : Patagonia


d’implantation de la RSE dans l’entreprise multinationale Séminaire III

Cas Gildan
Séance 9 : 3 novembre - Les certifications Séminaire IV
Séance 10 : 10 novembre – Marchés des ressources et Cas Azito
marchés en émergence Séminaire V
Séance 11 : 17 novembre - Examen Examen

Séance 12 : 24 novembre – Relâche pour avancement


Pas de cours
des travaux

Présentation à l’enseignant de
er
Séance 13 : 1 décembre - Coaching l’avancement des travaux pour aide et
supervision.

Présentations en classe des travaux finaux


Séance 14 et 15 : 8 décembre et 15 décembre par les étudiants.
9

VII. LECTURES PRÉPARATOIRES ET TRAVAUX POUR CHAQUE SÉANCE

Séance 2 : 15 septembre - Responsabilité sociale, développement durable, et concepts


connexes : manœuvrer dans un contexte international et polysémique.

- Cas Monsanto : Champion, E., Gendron, C. « Le développement durable selon Monsanto :


prémisses d’une privatisation des problèmes environnementaux », dans Turcotte et Salmon
(Éds.), p.10-26.

- Lectures préparatoires :

PASQUERO, J. (2005). « La responsabilité sociale d’entreprise comme objet des sciences de


gestion : un regard historique », In Turcotte et Salmon (Éds.)

Turcotte, Langelier, Hanquez et al. (2010), p. 5-19

Séance 3 : 22 septembre - Le processus de formation des enjeux et des normes et l’analyse et


la gestion des parties prenantes.

- Exercice sur Microsoft Europe (avoir lu le cas en préparation du cours et l’amener en classe
où l’exercice sera réalisé)

- Lectures préparatoires :

PASQUERO, J. (2005). « La responsabilité sociale d’entreprise comme objet des sciences de


gestion : le concept et sa portée », In Turcotte et Salmon (Éds.)

Turcotte, Langelier, Hanquez et al (2010), p. 98-105

Lire et amener en classe les RESEARCH INSIGHTS (www.nbs.net) suivants:


- Sachez distinguer les groupes de pression avec qui il est possible de collaborer
www.nbs.net/KnowledgeDetails.aspx?Id=24e23369-9816-4718-860f-876f3df226fa
- Les compagnies ont besoin de routines pour engager les parties prenantes afin d’exécuter un
changement environnemental réussi
www.nbs.net/KnowledgeDetails.aspx?Id=4d25f296-3f59-4b56-98e3-850e24097866
- Une relation de confiance avec les parties prenantes accroît l'acceptation des produits et
permet de générer des solutions communes
www.nbs.net/KnowledgeDetails.aspx?Id=b4043f3f-2e32-461d-8809-4e2e20267a8d
- La conscientisation des parties prenantes à la responsabilité sociale des entreprises renforce
les liens avec l’entreprise
www.nbs.net/KnowledgeDetails.aspx?Id=a5791ae9-a756-4dfb-a6cc-b180da172e50
10

- Les entreprises qui normalisent leurs politiques environnementales répondent mieux aux
pressions des parties prenantes.
www.nbs.net/KnowledgeDetails.aspx?Id=2df179ec-6d73-464a-bd1f-3b8aea18f400

Séance 4 : 29 septembre – Comparaisons interculturelles de la RSE

- Comparaison entre deux cas :


Cas Osisko dans Turcotte, Langelier, Hanquez et al (2010)
Cas Yves Rocher dans Turcotte et Salmon (2005)

- Lecture préparatoire : Turcotte, Langelier, Hanquez et al (2010), 67-75

- Voir les lectures au choix du séminaire I

Séance 5 : 6 octobre - L’entreprise et les zones de conflit

-Lectures préparatoires :

Turcotte, Langelier, Hanquez et al (2010), p. 28-41

Forrer, J. (2010) « Locating Peace Through Commerce in Good Global Governance », Journal
of Business Ethics, 89, p.449-460.

- Lire et amener en classe les documents suivants en vue de faire en classe les exercices
préparés par A. Ayandé (disponibles sur Moodle).

Séance 6 : 13 octobre – Les organismes internationaux et l’ONU

- Cas Textiles tunisiens dans Turcotte, Langelier, Hanquez et al (2010)

- Lectures préparatoires :

Valley, Guylaine (2005) « Responsabilité sociale d’entreprise et droit de travail », In Turcotte et


Salmon (Éds.), p. 171-200.

Turcotte, Langelier Hanquez et al (2010), domaine III, p.42-52

- Lire et amener en classe les documents suivants en vue de faire en classe les exercices
préparés par A. Ayandé :
 
http://www.unglobalcompact.org/Languages/french/dix_principes.html  
11

http://www.desjardins.com/fr/a_propos/responsabilite/developpement-­‐durable/  
http://www.desjardins.com/fr/a_propos/responsabilite/developpement-­‐durable/agir/gestes.jsp  
http://www.shell.com/home/content/environment_society/
http://infomaniak.ch/ecology/charte/index.php
http://infomaniak.ch/ecology/charte/charte.php

Séance 7 : 20 octobre – Chaîne de valeur et zone d’influence

- Lecture préparatoire : Turcotte, Langelier Hanquez et al (2010), p. 72, 76-85, 108-110.

- Voir les lectures au choix du séminaire II

Séance 8 : 27 octobre - Enjeux de stratégie et d’implantation de la RSE dans l’entreprise


multinationale

- Lectures préparatoires :
http://www.nbs.net/ : « research insights » sur le thème « valuing sustainability » et « business
sustainability »

Rémunérer la performance environnementale des cadres crée des avantages non financiers pour
les entreprises
www.nbs.net/KnowledgeDetails.aspx?Id=a3d34e9d-e2c1-462a-8200-0a5831180a58

Interview with Ray Anderson, (2004), « Nature & the Industrial Enterprise », Engineering
Enterprise, 7 p.

Prince, C. J. (2008) « It’s Not Easy Being Green » Chief Executive, vol. 231, p. 36-39

Luneau, O. (2008) « Le management du développement durable chez Lafarge », Réalités


industrielles, p.68-72

Turcotte, Langelier Hanquez et al (2010), p. 110-120

- Amener l’exercice basé sur le texte de Teulon, , H. (2006) « Patagonia, le succès avec ou
malgré le développement durable », Entreprises et Histoire, 45 :116-134

- Voir les lectures au choix du séminaire III.

Séance 9 : 3 novembre - Les certifications


12

- Le cas Gildan (de Bellefeuille S., Turcotte, M.-F. (2005) « Le code de conduite Guildan Inc.
– Chronique d’une firme du textile aux prises avec les nouveaux mouvements sociaux
économiques », In Turcotte et Salmon (Éds.), p. 27-45.

- Lecture préparatoire : Turcotte, Hanquez, Allard, Bres (2010) « ISO 26000 : derrière le
consensus, les traces de représentations multiples », In Capron, M., Quairel, F., Turcotte, M.-F.
2010 (Eds.). ISO26000 une norme « hors norme » ? Vers une conceptualisation mondiale de la
responsabilité sociétale. Economica (sous presse, rendu disponible sur Moodle)

- Voir les lectures au choix du séminaire IV

Séance 10 : 10 novembre – Marchés des ressources et marchés en émergence

- Cas Azito O&M dans Turcotte, Langelier, Hanquez et al (2010)

-Lectures préparatoires:

Tedmanson, Deirdre (2009) « Book Review: Ciaran O'Faircheallaigh and Saleem Ali Earth
Matters: Indigenous Peoples, the Extractive Industries and Corporate Social Responsibility :
Sheffield:Greenleaf Publishing, 2008, 272pp. ISBN: 978−−1906093167. » Organization
Studies 2009 30: 1009

Turcotte, Langelier et Hanquez et al (2010), domaine VII

- Voir les lectures au choix du séminaire V.

VIII. LECTURES AU CHOIX POUR LES SÉMINAIRES

Séminaire I : Comparaisons interculturelles de la RSE

Welford, Richard (2004) « Corporate Social Responsibility in Europe and Asia: Critical
Elements and Best Practices »The Journal of Corporate Citizenship; Spring; 13

Resick, C. J., Hanges, P. J., Dickson, M. W., & Mitchelson, J. K. (2006). “A Cross-Cultural
Examination of the Endorsement of Ethical Leadership.” Journal of Business Ethics, 63, 345.

Zhang, Y., Straub, C. & Kusyk, S. (2007). “Making a life or making a living? Cross-cultural
comparisons of business students' work and life values in Canada and France”, Cross Cultural
Management, 14 (3), 174-195.
13

Ralston, D. A., Holt, D. H., Terpstra, R. H., & Yu, K. -C. 1997. The impact of national culture
and economic ideology on managerial work values: A study of the United States, Russia, Japan,
and China. Journal of International Business Studies, 28(1): 177–207.

Reynaud, Emmanuelle et al. (2008) « La responsabilité sociale de l’entreprise à l’épreuve de


l’Europe », Revue française de gestion, 34, 180, p.109-130.

Waldman, David A. et al. (2006) « Cultural and leadership predictors of corporate social
responsibility values of top management : a Globe study of 15 countries », Journal of
International Business Studies, vol. 37, p. 823-837.

Husted, Bryan W. et Allen, David B. (2006) « Corporate social responsibility in the


multinational enterprise : strategic and institutional approaches », Journal of International
Business Studies, vol. 37, p.838-849.

Zurawicki, Leon et Moshin, Habib (2010) « Corruption and Direct Investment : What Have We
Learned ? », The International Business & Economics Research Journal, vol. 9, no 7, p. 1-9.

Strike, Vanessa M. et al. (2006) « Being Good While Being Bad : Social Responsibility and
the International diversification of US Firms », Journal of International Business Studies, vol.
37, p. 850-862

Parboteeah, K Praveen John B Cullen. (2003). « Social institutions and work centrality:
Explorations beyond national culture». Organization Science, 14(2): 137-148.

Jackson, G. and R. Deeg (2008) « Comparing Capitalisms: Understanding Institutional


Diversity and Its Implications for International Business», Journal of International Business
Studies, v. 39, pp.540-561

Afaouzi Bensebaa, Amina Béji-Bécheur. (2008) « Pragmatisme et responsabilité sociale de


l'entreprise », Revue Française de Gestion. Paris: Jan 2008. Vol. 34, Iss. 180; pg. 177, 23 pgs

Christopher Baughn, Nancy L Bodie, Mark A Buchanan, Michael B Bixby (2010) « Bribery in
International Business Transactions », Journal of Business Ethics. Dordrecht: Mar 2010. Vol.
92, Iss. 1; pg. 15

De Ruyck, Tom et Niels Schillewaert, Annelies Verhaeghe, Micheal Friedman (2010) « Le


jour le plus long : différences culturelles vis-à-vis de la responsabilité sociale de l’entreprise »,
Revue Française du Marketing. Paris: Jun 2010. , Iss. 227; pg. 9, 17 pgs

Yadong Luo (2006) « Political behavior, social responsibility, and perceived corruption: a
structuration perspective », Journal of International Business Studies. Washington: Nov 2006.
Vol. 37, Iss. 6; pg. 747

Maignan, Isabelle et David A Ralston, (2002) « Corporate social responsibility in Europe and
the U.S.: Insights from businesses' self-presentations », Journal of International Business
Studies. Washington: Third Quarter 2002. Vol. 33, Iss. 3; pg. 497, 18 pgs
14

Séminaire II : Chaînes de valeur et zone d’influence

Darnall, N. et al (2008) « Environmenatal Management and Green Supply Chain Management :


Complements for Sustainability », Business Strategy & Environment, vol. 17, no 1, p. 30-45

Krueger, D.A. (2008) « The Ethics of Global Supply Chains in China – Convergences of East
and West », Journal of Business Ethics, 79:113–120.

Hughes et al. (2007) « Organisational geographies of corporate responsibility: a UK–US


comparison of retailers’ ethical trading initiatives » Journal of Economic Geography 7 pp. 491–
513

Yu, X. (2007) « Impacts of Corporate Code of Conduct on Labor Standards: A Case Study of
Reebok’s Athletic Footwear Supplier Factory in China », Journal of Business Ethics, 81:513–
529

Vercher, Corinne (2010) « Chaînes globales de valeur et responsabilité sociale des firmes de
l’habillement : le cas d’Éthique sur l’éthiquette », Revue française de gestion, no 201, p.177-
193.

Blowfield, M. (2003) « Ethical Supply Chains in the Cocoa, Coffee and Tea Industries »
Greener Management International; Autumn 2003; 43

Levy, D. 2008 « Political Contestation in Global Production Networks », Academy of


Management Review, vol. 33 (4): 943-963.

Hussain-Khaliq, Sehr (2004) « Eliminating Child Labour from the Sialkot Soccer Ball Industry:
Two Industry … » The Journal of Corporate Citizenship; Spring; 13

Westermann-Behaylo (2010) « Institutionalizing Peace through Commerce : Engagement or


Divestment in South African and Soudan » Journal of Business Ethics, vol. 89, p.417-434.

Ou encore des chapitres choisis dans :


 O’Rourke, D. (2004) Community Driven Regulation : Balancing Development and the
Environment in Vietnam, MIT Press. (cas asiatiques)

Séminaire III : Enjeux de stratégie et d’implantation dans l’entreprise multinationale

Acquier, Aurélien (2009) « Du « développement durable » au « développement rentable » :


chronique de la marginalisation d’une démarche de développement durable dans une grande
entreprise », Gérer et comprendre, no 98, p.38-50
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Barin Cruz, Luciano et al. (xxx) « Le processus de formation d’une stratégie intégrée de
développement durable entre siège et filiales : cas de deux groupes français de la grande
distribution », Management International, vol. 12, no 2, p. 81-96.

Durif. Et al. (2009) « L’opérationalisation des principes du développement durable : le cas de


Mountain Equipment Coop », Revue française de gestion, 35 :190, p. 57-79.

Rodriquez, Peter, Klaus Uhlenbruck, Lorraine Eden. 2005. « Government Corruption and the
Entry Strategies of Multinationals. » Academy of Management Review, 30(2): 383.

Dola, C.S., Opondo, M. (2005). « Seeking Common Ground : Multi-stakeholder Processes in


Kenya’s Cut Flower Industry », The Journal of Corporate Citizenship, vol. 18 (12 p.)

Seuring, S. A. & al (2003), « Sustainability Assessment in the German Detergent Industry :


From Stakeholder Involvement to Sustainability Indicators », Sustainable Development, 11 :
199-212

Griffiths, A., Petrick, J.A., (2001) « Corporate Architectures for Sustainability », International
Journal of Operations and Production Management, vol.21, no 12 (13 p.)

Fenwick, T. (2007) « Developing organizational practice of ecological sustainability : A


Learning perspective », Leadership & Organization Development Journal, Vol. 28, no.7, p.
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Ramus, C.A. (2001) « Organizational Support for Employees : Encouraging Creative Ideas for
Environmental Sustainability », California Management Review, vol.43, no3

Hoffman, A.J. (2005) « Climate Change Strategy : The Business Logic Behind Voluntary
Greenhouse Gas Reduction », California Management Review, vol.47, no 3 (27 p.)

Berry, G.R., (2004) « Environmental Management : the Selling of Corporate Culture », The
Journal of Corporate Citizenship, no 16, p.71-84

Hoffman, A.J. (2003) « Linking Social Systems Analysis to Industrial Ecology Framework »,
Organization & Environment, vol. 16, no 1, p.66-86

Cruz, L. B., et al. (2008) « Le processus de formation d’une stratégie intégrée de


développement durable entre siège et filiales : cas de deux groupes français de la grande
distribution », Management International, 12 : 2, p. 81-96

Khanna, Tarun and Krishna G Palepu. (2004) « Globalization and convergence in corporate
governance: evidence from Infosys and the Indian software industry ». Journal of International
Business Studies, 35(6): 484-507.

Gherra, Sandrine (2010) « Stratégies de développement durable: Combiner les parties prenantes
et les ressources et compétences de l'entreprise », Revue Française de Gestion. Vol. 36, Iss.
16

204; pg. 141, 14 pgs

Seitanidi, Maria May (2009) « Missed Opportunities of Employee Involvement in CSR


Partnerships », Corporate Reputation Review. Vol. 12, Iss. 2; pg. 90, 16 pgs

Sobczak, André (2008) « Syndicats et responsabilité sociale des multinationales » Gestion.


Montréal, Vol. 33, Iss. 1; pg. 18, 12 pgs

Cleveland, Margot et Christopher M Favo, Thomas J Frecka, Charles L Owens. (2009)


« Trends in the International Fight Against Bribery and Corruption », Journal of Business
Ethics. Dordrecht, Vol. 90 pg. 199

Denis, J.-L., Langley, A., & Rouleau, L. 2006. The power of numbers in strategizing. Strategic
Organization, 4(4): 349-377.
Miller, P. 2001. Governing by numbers: Why calculative practices matter. Social Research, 68(2): 379-
396.
Scott, W. R. 2008. Lords of the dance: Professionals as institutional agents. Organization Studies,
29(2): 219-238.

Ou encore des chapitres choisis dans les livres suivants :

 Aggeri, F. et al. (2005). Organiser le développement durable, Paris, Vuibert.


(perspective française)

 Hoffman, A.J. (2000), Competitive Environmental Strategy : A Guide to the Changing


Business Landscape, Washington : Island Press. (perspective américaine)

 Dunphy, D. et al. (2003) Organizational Change for Corporate Sustainability. New-


York, Routlege. (perspective australienne – anglo-saxonne)

 Howard-Greneville, J. (2007) Corporate Culture and Environment Practice : Making


Change at a High-Technology Manufacturer, Northampton , Edward Elgar Publishing.
(cas américains)

Séminaire IV Les certifications


Turcotte, M.F. et Gendron, C. « Labels et certifications d’écotourisme et de tourisme : le
contexte et la portée », dans Gagnon, C. et Gagnon, S. (2006) L’écotourisme entre l’arbre et
l’écorce, PUQ, Montréal, 414 p.

Boiral, O. (2008) « Les pays du sud à l’épreuve des normes ISO : vers un sous-développement
durable ? », Management International, Vol. 12, no. 2, p. 49-63
17

Bourque, Reynald, (2008) « Contribution des codes de conduite et des accords cadres
internationaux à la responsabilité sociale des entreprises », Revue de l’IRES, no 57, p.23-51.

Bouslah, K., M'zali, B., Kooli, M., et Turcotte, M.-F. (2006). « Responsabilité sociale et
environnementale, certifications et performance financière », Revue Gestion, vol. 31, no
2, 2006, p. 125-133.

Conroy, M. E. (2005) Branded! How The Certification Revolution is Transforming Global


Corporations. Gabriola Island, BC: New Society Publishers. Chapter 1 and 2. (à commander en
librairie ou à trouver dans des bibliothèques ou prêts entre bibliothèques)

Igalens, J. (2004), « Les codes de conduite : une existence légitime, une efficacité contestable »,
Revue Gestion des Ressources Humaines, vol.54 (17 p.)

Bartley, T. (2007) « Institutional Emergence in an Era of Globalization: The Rise of


Transnational Private Regulation of Labor and Environmental Conditions ». American Journal
of Sociology, 113 (2): 297-351.

O’Rourke, D. (2002) « Outsourcing Regulation: Analyzing Nongovernmental Systems of Labor


Standards and Monitoring », Policy Studies Journal 31(1): 1-29.

Locke, R., F. Qin, and A. Brause, (2007) « Does Monitoring Improve Labor Standards?
Lessons from Nike », Industrial and Labor Relations Review 61(1): 3-31.

McNichol, J. 2008 « Transnational NGO Certification Programs as New Regulatory Forms:


Lessons from the Forestry Sector », in Djelic and Sahlins-Andersson (eds.), Transnational
Governance, chapter 17. (à commander en librairie ou à trouver dans des bibliothèques ou prêts
entre bibliothèques)

Lopez-Fernandez, M.C., Serrano-Bedia, A.M. (2007), « Organizational Consequences of


Implementing and ISO 14001 Environmental Management System : An Empirical Analysis »:,
Organization & Environment, vol.20, no 4 (16 p.)

Christmann, Petra et Glen Taylor (2006) « Firm self-regulation through international certifiable
standards: determinants of symbolic versus substantive implémentation », Journal of
International Business Studies. Washington: Nov 2006. Vol. 37, Iss. 6; pg. 863

Simons, Penelope (2004) « Corporate Voluntarism and Human Rights: The Adequacy and
Effectiveness of Vol... », Relations Industrielles; Winter 2004; 59, 1; ABI/INFORM Global pg.
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Power, M. 2003. Auditing and the production of legitimacy. Accounting, Organizations and Society,
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18

Séminaire V : Marchés des ressources et marchés en émergence

Ben Boubaker Gherib, Jouhaina (2009) « Développement durable et PME dans les pays
émergents : Entre proactivité, opportunisme et compromis », Journal of Small Business and
Entrepreneurship, vol. 22, no 3, p.355-376.

Rifai-Hasan, P A .(2009) « Development, Power, and the Mining Industry in Papua: A Study of
Freeport Indonesia », Journal of Business Ethics. Dordrecht: Nov 2009. Vol. 89 pg. 129

London, Ted and Stuart L Hart. 2004. « Reinventing strategies for emerging
markets: beyond the transnational model. » Journal of International Business
Studies, 35(5): 350-370.

Vaaler, Paul M. (2008) « How do MNCs vote in developing country élections ».


Academy of Management Journal, 51(1): 21.

Cuervo-cazurra, Alvaro and Mehmet Genc. (2008) « Transforming disadvantages into


advantages: developing-country MNEs in the least developed countries ». Journal of
International Business Studies, 39(6): 957-979

Thompson, G. (2000) « Where Do Multinational Corporations Conduct Their Business and


What Are the Consequences for National Systems », in: Sigrid Quack, Glenn Morgan, and
Richard Whitley (eds.), National Capitalisms, Global Competition, and Economic Performance
(Amsterdam/Philadelphia: John Benjamins), 191-212. (réserve de la bibliothèque de McGill)

Perez-Aleman, P. (2010) « Collective Learning in Global Diffusion: Spreading Quality


Standards in a Developing Country Cluster », Organization Science,
doi10.1287/orsc.1090.0514, pp. 1-18

Abraham,Yves-Marie et Emmanuel Raufflet (2009) « Concilier responsabilité sociale et


responsabilité : Grameen, une banque prix Nobel de la paix », Gestion. Montréal: Winter 2009.
Vol. 33, Iss. 4; pg. 14, 11 pgs

Gifford, Blair, Andrew Kestler, Sharmila Anand (2010) « Building local legitimacy into
corporate social responsibility: Gold mining firms in developing nations », Journal of World
Business. Greenwich: Jul 2010. Vol. 45, Iss. 3; pg. 304

Kemp, Deanna (2010) « Corporate Social Responsibility and Environmental Management »


Corp. Soc. Responsib. Environ. Mgmt. 17, 1–14

Duarte, Fernanda (2010) « Social Responsibility as organizational culture in a Brazilian mining


company : a three perspectival narrative », Journal of Organizational Culture, Communication
and Conflict. Cullowhee: 2010. Vol. 14, Iss. 1; pg. 13, 19 pgs

Eweje, Gabriel, (2009) « Labour Relations and Ethical Dilemmas of Extractive MNEs in
Nigeria, South Africa and Zambia: 1950–2000 », Journal of Business Ethics (2009) 86:207–223

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