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Livre Physique Première C Et D

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WICHDA SAMUEL ELEVE INGENIEUR EN EXPLORATION PETROLIERE ET

GAZIERE

COLLECTION

DOMBESSE 1ere édition

PREMIERE C/D

COURS PHYSIQUE ET EXERCICES

DOCUMENTS CONCU PAR : WICHDA SAMUEL

1
E–mail : dombesse@yahoo.fr
WICHDA SAMUEL ELEVE INGENIEUR EN EXPLORATION PETROLIERE ET
GAZIERE

Page
AVANT PROPOS……………………………………………………………................................................. 3

MECANIQUE…………………………………………………………………………………………………5

Notions Essentielles……………………………………………................................................. 6

THEME 1- TRAVAIL D’UNE FORCE. PUISSANCE D’UNE FORCE………………………………………………10


Enoncés des exercices

THEME 2- ENERGIE CINETIQUE ET QUANTITE DE MOUVEMENT…………………………………………… 12


Enoncés des exercices

THEME 3- THEOREME DE L’ENERGIE CINETIQUE ET ENERGIE MECANIQUE..…………………………... 15


Enoncés des exercices

ELECTRICITE……………………………………………………………………………………………………………19

THEME 1- LE COURANT CONTINU…………………………………………………………………………………..20


Notions Essentielles
Enoncés des exercices……………………………………………………………………………..21

THEME 2- LE COURANT ALTERNATIF……………………………………………………………………………...23


Notions Essentielles
Enoncés des exercices…………………………………………………………………………….26

THEME 3- PUISSANCE ET ENERGIE ELECTRIQUES…………………………………………………………….29


Notions Essentielles
Enoncés des exercices…………………………………………………………………………….31

OPTIQUE GEOMETRIQUE………………………………………………………………………………………… ...33

THEME 1- LA LOI DE PROPAGATION RECTILIGNE DE LA LUMIERE………………………………………… 34


Notions Essentielles
Enoncés des exercices…………………………………………………………………………….35

THEME 2- REFLEXION ET REFRACTION DE LA LUMIERE……………………………………………………...36


Notions Essentielles
Enoncés des exercices…………………………………………………………………………….39
THEME 3- DISPERSION DE LA LUMIERE PAR IN PRISME………………………………………………………42
Notions Essentielles
Enoncés des exercices……………………………………………………………………………..43
THEME 4- LES LENTILLES SPHERIQUES MINCES……………………………………………………………….45
Notions Essentielles
Enoncés des exercices…………………………………………………………………………….47
THEME 5- L’ŒIL REDUIT…………………………………………………………………….....................................51
Notions Essentielles
Enoncés des exercices……………………………………………………………………………..52
THEME 6- LES INSTRUMENTS D’OPTIQUE………………………………………………………………………..54
Notions Essentielles
Enoncés des exercices…………………………………………………………………………….56

RES ULTATS DES EXERCICES ………………………………………………………………………………… 58 – 88

2
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Cet ouvrage est un recueil d’exercices et de problèmes de MECANIQUE, d’


ELECTRICITE et d’OPTIQUE GEOMETRIQUE, mis à la disposition des candidats au
PROBATOIRE C, conformément aux programmes de PHYSIQUE en vigueur au
Cameroun.
Il a été conçu pour satisfaire à un triple objectif :

 Permettre au candidat de mieux exploiter son programme

 Permettre au candidat de maîtriser l’enseignement par objectifs

 Faire de l’élève le principal acteur de sa formation.

Les exercices sont précédés des notions essentielles.

Et dans le souci majeur de susciter l’effort et une volonté réelle de recherche

chez le candidat, nous avons pris soin de ne pas souvent proposer des « solutions

complètes » aux exercices.

En revanche, des solutions guidées et des schémas illustratifs ont été

soigneusement élaborés pour faciliter l’aboutissement aux résultats.

Enfin, nous exhortons les apprenants à participer activement aux

séances des TRAVAUX DIRIGES.

Des observations et autres suggestions sont attendues avec grand intérêt.

3
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 TRAVAIL D’UNE FORCE

 PUISSANCE D’UNE FORCE

 MOMENT D’UNE FORCE

 QUANTITE DE MOUVEMENT

 ENERGIE CINETIQUE

 ENERGIE POTENTIELLE

 ENERGIE MECANIQUE

 PRINCIPE DE L’INERTIE

 THEOREME DE L’ENERGIE CINETIQUE

 LOI DE CONSERVATION DE L’ENERGIE MECANIQUE

4
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NOTIONS ESSENTIELLES

MULTIPLES ET SOUS MULTIPLES.

Préfixe Téra Giga méga kilo déci centi milli micro nano pico

Symbole T G M K d c m  n p

Facteur 1012 109 106 103 10-1 10-2 10-3 10-6 10-9 10-12

CONSTANTES FONDAMENTALES. LES DONNEES.

Célérité de la lumière Charge élémentaire e =1,6.10-19 C


dans le vide C=3.108 m/s Electron-volt 1eV =1,6.10-19 J
Masse de l’électron 9,1.10-31 Kg
Constante d’Avogadro NA = 6,02.1023 mol-1 Intensité de pesanteur g = 9,8 N/Kg
Constante des gaz Masse volumique de l’eau 1000 Kg/m3
parfaits R = 8,31 Pa.m3.mol–1.K–1 Masse volumique de l’air 1,3 Kg/m3
Constante de champ Température normale 0°C = 273 K
magnétique  = 4  .10–7 SI Pression normale 1 atm = 105 Pa

GRANDEURS ET UNITES.

GRANDEURS FONDAMENTALES UNITE SYMBOLE


Longueur (distance) mètre m
Masse kilogramme Kg
Temps seconde s
Intensité du courant électrique ampère A
Température kelvin K
Quantité de matière mole mol
GRANDEURS DERIVEES UNITE SYMBOLE
Aire (surface) Mètre carré m²
Volume Mètre cube m3
Masse volumique Kilogramme par mètre cube Kg/m3
Force Newton N
Vitesse Mètre par seconde m/s
Pression Pascal Pa
Travail, énergie et chaleur Joule J
Puissance Watt W
Moment d’une force Newton mètre N.m
Tension électrique (ddp) Volt V
Quantité d’électricité Coulomb C
Résistance électrique Ohm 
Flux magnétique Weber Wb
Champ magnétique Tesla T
Inductance Henry H
Fréquence Hertz Hz
Moment d’inertie Kilogramme mètre carré Kg.m²
vergence dioptrie δ

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DEFINITIONS DE BASE

Univers mécanique : L’univers est divisé en deux :

– Le système (objet soumis à l’étude)

– L’extérieur, c’est-à-dire, tout ce qui n’est pas le système (le reste de l’univers)

Force extérieure : Force exercée par l’extérieur sur le système.

Force intérieure : Force exercée par le système sur le système. On a toujours  F int  0

Système isolé : Système non soumis aux forces extérieures

Système pseudo isolé : Système soumis aux forces extérieures dont la résultante est nulle :

 F ext  0

Force de frottement : Force de résistance à l’avancement.

Système conservatif : Système non soumis aux forces de frottement

Un système conservatif est soit isolé soit pseudo isolé.

Loi de conservation de l’énergie mécanique : L’énergie mécanique totale d’un système


Isolé ou pseudo isolé est constante.

Principe de l’inertie : Un système soumis à un ensemble de forces extérieures dont la résultante


est nulle est soit au repos, soit en mouvement rectiligne uniforme
(V = constante)

Théorème de l’énergie cinétique : La variation d’énergie cinétique d’un système entre un état
initial et un état final est égale à la somme algébrique des
travaux des forces extérieures appliquées au système entre ces
deux états :  Ec = W

6
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DEUX MOUVEMENTS FONDAMENTAUX EN MECANIQUE

Le mouvement de translation Le mouvement de rotation


 Un solide est animé d’un mouvement de
rotation autour d’un axe fixe (  ) si chaque
point du solide décrit un cercle centré sur cet
axe.
Un solide est animé d’un mouvement de
 Les points de l’axe de rotation sont immobiles.
translation si tous ses points ont à chaque instant
la même vitesse linéaire V (en direction, sens et  Tous les points du solide ont la même vitesse
module) angulaire ω.

 Tous les points du solide n’ont pas la même


vitesse linéaire V

 Le mouvement de rotation est dit uniforme


 Le mouvement de translation est dit uniforme si la vitesse angulaire ω est constante.
si la vitesse linéaire V est constante.
 Distance parcourue : d = v.t  Un mouvement de rotation uniforme est
périodique :
 Le mouvement de translation est dit - de période T (en seconde : s).
rectiligne si la trajectoire est une droite.
- de fréquence N (en tr/s ou hertz :
Hz).
2
ω = 2π N =
T

RELATIONS SIMPLES

Considérons un point matériel qui décrit un arc de cercle AB de


centre 0 et de rayon r. A un instant t quelconque :

- L’angle décrit est θ et la distance parcourue est d


d et r en unité de longueur
d=rθ { θ en rad

B
- La vitesse angulaire est ω et sa vitesse linéaire est V r
r en m ; V en m/s 0 θ
V=rω { ω en rad/s
d

A
- Le nombre de tours effectués est n : θ = 2π n

7
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QUELQUES ANALOGIES

Les formules utilisées en MECANIQUE présentent des analogies simples à exploiter :


 Une force est remplacée par son moment
 Une distance est remplacée par un angle
 Une vitesse linéaire est remplacée par une vitesse angulaire
 Une masse est remplacée par un moment d’inertie
 Une constante de raideur est remplacée par une constante de torsion

MOUVEMENT DE TRANSLATION MOUVEMENT DE ROTATION

W = F . AB ou
1 Travail d’une force constante F Travail d’une force constante F W = M ( F ) .
W = F. AB cos 

2 Travail du poids P  mg W =  mgh

3 Puissance instantanée d’une


P = F .v Puissance instantanée d’une force F P = M ( F ) .
force F

4 W W
Puissance moyenne d’une force Pm  Puissance moyenne d’une force Pm 
t t

5 Vecteur quantité de mouvement


p  m .v

1 1
6 Energie cinétique Ec  mv ² Energie cinétique Ec  J ²
2 2

7 Force de rappel d’un ressort F  K .x Moment du couple de rappel d’un M  C .


fil
1 1
8 Energie potentielle élastique d’un Epe  Kx ² Energie potentielle élastique d’un Epe  C ²
ressort 2 Fil de torsion 2

9 Energie potentielle de pesanteur Epp   mgh

10 Energie mécanique totale Em  Ec  Ep Energie mécanique totale Em  Ec  Ep

8
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TRAVAIL NUL W=0


MOMENT NUL M (F ) = 0

Le travail d’une force F est nul si l’une des Le moment d’une force F est nul si l’une des
conditions suivantes est satisfaite : conditions suivantes est satisfaite :

 La force est  au déplacement  La force est // à l’axe de rotation


 La force agit mais ne se déplace pas  La force rencontre l’axe de rotation

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THEME I/ TRAVAIL D’UNE FORCE. PUISSANCE D’UNE FORCE

Objectif : – Apprendre à calculer le travail et la puissance d’une force.


– Appliquer le principe de l’inertie

E–1/
Déterminer le travail de la force F de valeur 15N lors du déplacement AB = 24 cm dans les cinq cas
suivants :

F F F F
A
F 60 °
A B A A 45 ° A
B B B
B

E–2/
Un point matériel soumis à une force F=25N, tangente à la trajectoire, décrit un mouvement circulaire
de rayon R=96cm. Calculer le travail fourni lorsque le point matériel tourne :
a) de 75° b) de 0,157 rad c) de 3 trs.

E–3/
Pour monter un fardeau, un ouvrier exerce perpendiculairement à la manivelle d’un treuil un effort
constant de 20 N. Calculer le travail effectué pour 45 tours de manivelle de longueur 14 cm.

E–4/
Pour maintenir la vitesse d’un camion de marchandises à 108 Km/h, il faut fournir aux roues une
puissance de 40 KW. Calculer l’intensité de la force de traction exercée par le moteur.

E–5/
Un moteur de puissance P = 450 W entraîne à vitesse constante, dans un mouvement de rotation, un
dispositif mécanique. Calculer le moment du couple appliqué au dispositif lorsque la vitesse est de :
a) 30 Hz b) 30 tr/s c) 30 rad/s d) 30 tr/min

E–6/
Un wagon est tiré par deux hommes exerçant des actions représentées
sur la figure ci–contre et telles que : F1=120 N F2=200 N . F1
Le wagon roule sur des rails rectilignes et horizontaux.
1) Calculer le travail total fourni au wagon pour un déplacement de 50 m.
45°
2) Déterminer l’intensité de la force F 3 qui, faisant angle α =30° avec la
60°
direction des rails, fournirait le même travail.

F2
E–7/ 

F
Une force F agit sur un chariot de masse m = 100g sur un plan
incliné d’angle α = 30° sur l’horizontale. Cette force fait un angle
de 60° avec la ligne de plus grande pente de ce plan incliné. 60°

Calculer l’intensité de la force F pour que le chariot gravisse


la pente d’un mouvement rectiligne uniforme.

30°

10
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E–8/
Un petit chariot de 120 Kg roule à la vitesse de 90 Km/h sur une voie rectiligne et horizontale. La
puissance développée par le moteur est de 12 KW. On prendra g = 10 N/Kg.
1) Faire un schéma clair de la situation et y représenter : Le poids de la voiture P , la force de
frottement f , la force motrice F , la réaction normale R n et la réaction totale R .
2) Calculer : a) L’intensité de chaque force.
b) Le travail effectué par chaque force sur une distance de 1,7Km.
c) Le coefficient de frottement λ.

E–9/

Une camionnette de masse M = 800 Kg monte à la vitesse de 72 Km/h une côte de pente 12%. Les
résistances équivalent à une force parallèle au déplacement et d’intensité 300 N.
1) Faire le bilan des forces appliquées à la camionnette et les représenter.
2) Calculer l’intensité de la force motrice et l’intensité de la réaction normale de la route.
3) Calculer la puissance de la force motrice
4) Calculer le travail de toutes les forces pour un déplacement de 2 Km.
5) Déterminer le coefficient de frottement λ. g = 10 m/s²

E–10/
+
Une roue verticale de rayon 20cm est mobile autour d’un axe horizontal (Δ)
A
Passant par son centre 0. Elle est soumise à trois forces F 1 , F 2 F 3 situées
0
dans son plan, comme l’indique la figure ci-contre. On donne : B
F1   60°
F1 = 8N F2 = 12N F3 = 10N

Calculer le travail de chacune de ces forces en deux tours de roue.


F2 F3
E–11/

Un pendule simple est constitué par un point matériel de masse m = 500 g


suspendu à un fil 0A , de longueur L = 80 cm et de masse négligeable. 0
On écarte le pendule de sa position d’équilibre d’un angle α = 30° puis 30°
A
on lâche. Le point matériel est soumis à l’action du fil T et à son poids P .
1) Reproduire le schéma et y représenter les deux forces.
2) Exprimer les travaux de ces deux forces pour le déplacement
de A en B. B

3) Calculer le travail de P au cours de ce déplacement. Prendre g=9,8N/Kg.

E–12/

Un solide S assimilable à un point matériel de masse m = 10g peut glisser


sans frottement à l’intérieur d’une demi sphère de centre 0 et de rayon
0
r = 1,25m. On le lâche à partir d’un point A sans vitesse initiale. A
Sa position est repérée à chaque instant par l’angle θ. Le point matériel est θ

soumis à l’action de la sphère R et à son poids P . r


1) Reproduire le schéma et y représenter les deux forces. M
2) Exprimer les travaux de ces deux forces au cours du déplacement AM.
3) Calculer le travail de P au cours du déplacement AB. Prendre g=9,8N/Kg. B

11
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THEME II/ QUANTITE DE MOUVEMENT ET ENERGIE CINETIQUE

Objectif : – Apprendre à calculer la quantité de mouvement et l’énergie cinétique d’un


système.
– Utiliser les lois de conservation de la quantité de mouvement et de l’énergie
cinétique pour résoudre un problème de choc.

E–1/
Calculer la quantité de mouvement des systèmes suivants :
1) Un véhicule de masse 2 t roulant à 60 Km/h.
2) Un électron se déplaçant à la vitesse de 120 Km/s. me = 9,1.10–31 Kg.
3) Un athlète de 85 Kg courant 450 m en 1min.
4) Une balle de Tennis de 100 g au repos.

E–2/
Un petit chariot de manège à quatre roues, de masse 800 g, roule avec une vitesse linéaire
V = 27 m/s. Chaque roue de rayon r = 12 cm a un moment d’inertie J = 0,85 Kgm². Calculer :
1) L’énergie cinétique de translation du chariot.
2) L’énergie cinétique de rotation des quatre roues.
3) L’énergie cinétique totale.

E–3/
L’énergie cinétique d’un solide de masse M=1200Kg vaut 380 KJ. Que vaut son énergie ci nétique
lorsque sa vitesse est doublée ?

E–4/
Le moment d’inertie d’une sphère pleine par rapport à un axe de symétrie Δ s’exprime par :
2
JΔ= mr ² .
5
Une boule de billard, pleine et sphérique, de masse m=750 g, de rayon r = 8 cm,
Δ
roule sans glisser sur une table horizontale à la vitesse de 300 tr/min. Calculer :
1) L’énergie cinétique de translation du centre d’inertie G de la boule.
2) Le moment d’inertie de la boule par rapport à l’axe de rotation Δ.
3) L’énergie cinétique de rotation de la boule.
4) L’énergie cinétique totale de la boule.

E–5/
Le moment d’inertie d’un cylindre creux par rapport à son axe de symétrie Δ s’exprime par : JΔ= mr ² .

Une alliance de masse m et rayon r, roule sans glisser sur une table horizontale à la vitesse Δ
angulaire ω.
1) Donner l’expression de l’énergie cinétique totale EC de l’alliance en fonction de m, r et ω.
2) Calculer E C avec les données suivantes : m =100 g r =7,5 cm ω. = π rad/s.

E–6/
1
Le moment d’inertie d’un cylindre plein par rapport à son axe de symétrie Δ s’exprime par : JΔ= mr ² .
2
Un disque de masse m et rayon r, roule sans glisser sur une table horizontale à la fréquence N.
1) Donner l’expression de l’énergie cinétique totale EC du disque en fonction de m, r et N.
2) Calculer E C avec les données suivantes : m =100 g r =7,5 cm N = 120 tr/min.

12
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E–7/

Le moment d’inertie d’une tige homogène par rapport à son axe de symétrie Δ
Δ
ml ²
s’exprime par : JΔ= .
12
Calculer l’énergie cinétique totale d’une barre de fer de masse 200 g,

de longueur 80 cm, tournant autour de son axe de symétrie à la vitesse de 7200 tr/min.

E–8/

Un solide de masse m 1=2Kg glisse sans frottement à la vitesse constante V 1=30m/s sur une table

horizontale parfaitement lisse. Il vient heurter un autre solide de masse m 2=3Kg initialement au repos.

Calculer la vitesse V prise par l’ensemble des deux solides sachant qu’ils s’accrochent après le choc.

E–9/

Deux petits wagons de train miniature, de masses 100g et 200 g sont envoyés l’un vers l’autre sur une

table horizontale parfaitement lisse avec des vitesses respectives de 30cm/s et 20cm/s. Au moment

du choc, les deux wagons s’accrochent. Calculer leur vitesse immédiatement après le choc.

E–10/

A l’intersection de deux routes à angles droits, un camion de masse m 1=5t roulant à la vitesse de

10Km/h grille le feu rouge et heurte de plein fouet une camionnette de masse m 2=2t roulant à la

vitesse de 30Km/h. Les deux véhicules restent accrochés après le choc. On néglige les frottem ents.

Calculer :
1) La direction prise par l’ensemble après la collision.

2) La vitesse prise par l’ensemble après la collision.

E–11/
4 1
Un atome d’hélium ( 2 He ) animé d’une vitesse v rencontre un atome d’hydrogène ( 1 H ) au repos et

le projette suivant la direction de v . On suppose que le choc est parfaitement élastique et qu’il n’y a

pas de frottements. Exprimer en fonction de  v  , la vitesse prise par chaque atome après le choc.
B

E–12/
4
Un atome d’hélium ( 2 He ) animé d’une vitesse v rencontre un autre
4
30°
atome d’hélium ( 2 He ) immobile. On observe que la particule incidente A 0
arrivant suivant AO  est déviée suivant  OB  , d’un angle de 30°. 
1) Calculer l’angle  que fait  AO  avec la direction  OC  prise
par l’atome atteint. C

2) Calculer le rapport des énergies cinétiques des deux atomes après la collision.

13
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E–13/

L’étude est effectuée dans un repère x x lié au sol d’une patinoire parfaitement lisse.
'

Joan de masse (m) et Delor de masse (M=3m) ont chaussé des patins à glace. Au cours de l’évolution

sur la patinoire, les deux enfants se dirigent l’un vers l’autre, Joan à la vitesse v 1  4 , 8 m / s  et
Delor à la vitesse  v 2  2 , 4 m / s  . On donne m = 20 Kg.

1) Ils provoquent un choc mou. Le module de leur vitesse après le choc est ( v ).
a) Exprimer le vecteur quantité de mouvement p du système avant le choc.

b) Exprimer le vecteur quantité de mouvement p ' du système après le choc.

c) Exprimer le vecteur vitesse v du système après le choc.

d) Dans quel sens se déplacent les deux enfants après le choc ?

e) Calculer la variation d’énergie cinétique du système à la suite de ce choc.

2) On suppose maintenant que le choc entre les deux enfants est parfaitement él astique. Après
' '
le choc, Joan a une vitesse v 1 et Delor, une vitesse v 2 .
'
a) Exprimer les énergies cinétiques Ec et Ec du système avant et après le choc.

' '
b) Exprimer les vitesses v 1 et v 2 de Joan et de Delor immédiatement après le choc.
c) Calculer leurs valeurs numériques. Conclure.

14
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THEME III/ THEOREME DE L’ENERGIE CINETIQUE. ENERGIE MECANIQUE TOTALE

Objectifs : – Apprendre à appliquer le théorème de l’énergie cinétique.


– Apprendre à calculer l’énergie potentielle et l’énergie mécanique totale d’un
système.
– Apprendre à appliquer la loi de conservation de l’énergie mécanique.

E–1/ Cocher les propositions exactes et corriger celles qui sont fausses.

a) La vitesse (v) au sol d’un corps tombant en chute libre dépend du lieu où l’on se trouve, de la
hauteur de chute (h) et de la masse (m) du corps.
b) L’énergie potentielle est une fonction d’état.
c) L’énergie potentielle n’est définie qu’à une constante près.
d) L’énergie mécanique d’un système non isolé diminue au cours du temps.
e) La variation d’énergie mécanique d’un système non conservatif est égale au travail de la force
de frottement :  E  W
f

E–2/
Un oiseau de 270g vole horizontalement à 320m du sol à la vitesse de 72Km/h. Calculer :
a) L’énergie potentielle de pesanteur du système Terre-Oiseau
b) L’énergie cinétique de l’oiseau.
c) L’énergie mécanique de l’oiseau.

E–3/

Un pigeon de 5Kg situé à 60m d’altitude fonce horizontalement sur une proie à une vitesse de
144Km/h. Calculer l’énergie mécanique totale du système Terre - Pigeon au départ.
Prendre g = 9,8 N/Kg.

E–4/

1) Déterminer l’énergie potentielle du système Terre-Objet de masse 6Kg situé 5m au-dessus du


sol dans chacun des cas suivants :
a) Le niveau de référence est le sol.
b) Le niveau de référence est à 2m au-dessus du sol.
c) Le niveau de référence est à 7m au-dessus du sol.
2) Calculer la variation d’énergie potentielle du système lorsque l’objet passe de 5m au-dessus
du sol à 8m au-dessous du sol.

E–5/
Une bille de masse 500g est abandonnée sans vitesse initiale à partir d’une hauteur de 40m au -
dessus du sol. Calculer les énergies potentielle et cinétique du système Terre-bille lorsque la bille se
trouve :
a) A 40m du sol b) A 30m du sol c) Au niveau du sol.

L’état de référence est pris au sol et g = 10 N/Kg.

E–6/
Une caisse à outils de 800g est accrochée à l’extrémité d’un ressort vertical de raideur k=40N/m.
Calculer l’allongement du ressort.

E–7/
Calculer la raideur d’un ressort qui s’allonge verticalement vers le bas de 2,5cm sous l’action d’une
masse de 150g. En déduire l’énergie potentielle élastique du système pour un allongement de 10cm.

15
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E–8/

Une barre AB de 60cm est suspendue en son milieu à un fil de torsion vertical de constante C.
On exerce perpendiculairement à la barre à 10cm de B, une force horizontale de module F=0,16N.
Ce qui fait tourner le fil d’un angle de 45°. Calculer :
a) La constante de torsion du fil.
F
b) L’énergie potentielle du système fil-barre.
c) L’élongation angulaire de la barre lorsque l’énergie potentielle du système
vaut 0,03J.
A M 0 B

E–9/ x
z
Un solide S de masse m=10Kg se déplace sur un plan incliné dont la ligne de
Plus grande pente Ox fait un angle   30  avec l’horizontale.
On repère la position de S sur le plan par son abscisse x.
Le point O sera pris comme origine des abscisses et des altitudes. A
g=10N/Kg. Données : OA = 38,4cm. A est le point le plus haut du plan incliné. S
a) Exprimer l’énergie potentielle de pesanteur Ep du système
En fonction de x.
b) Tracer la courbe Ep = f (x). 
c) Déterminer l’énergie potentielle maximale. 0
E–10/

Une automobile est arrêtée sur une descente à 6%. On desserre les freins. Quelle distance la voiture
doit-elle parcourir pour que sa vitesse soit de 36 Km/h ? La résistance au roulement est égale 1,5% du
poids du véhicule. Prendre g = 10 N/Kg.

E–11/

Parti sans vitesse initiale, un skieur de masse m=80Kg descend le long d’une pente de longueur
L=300m, de dénivellation h=50m.
1) Calculer son énergie cinétique lorsqu’il est au bas de la pente. En déduire sa vitesse v.
2) En réalité, la vitesse acquise au bas du plan est v’=72Km/h. A quoi est due cette différence ?
3) Calculer l’intensité supposée constante de la force de frottement.

E–12/
Une platine de tourne disque, de masse m=176g et rayon R=50cm, est lancée à la vitesse de
33 tr/min. On arrête le moteur. La platine effectue 10 trs avant de s’immobiliser.
a. Calculer le moment d’inertie du disque.
b. Calculer le moment de la force de frottement qui s’exerce sur l’axe de rotation.

E–13/
Un chariot aborde le bas d’un plan incliné parfaitement lisse avec une vitesse de 12m/s.
a. Quelle hauteur atteindra-t-il avant de s’arrêter ?
b. Calculer le pourcentage de la côte à la montée si le chariot a parcouru 48m avant de s’arrêter.
E–14/

Un corps parti du repos glisse sans frottement sur un plan incliné de longueur L=AB, faisant en B un
angle  avec l’horizontale. Déterminer sa vitesse en B en fonction de L, g et  .

E–15/

Une orange de 60g située à une altitude h au-dessus du sol possède une énergie mécanique totale
de 27 J. On l’abandonne sans vitesse initiale.
a. Comment varient ses énergies potentielle et cinétique au cours de sa chute ?
b. Calculer sa vitesse à l’arrivée au sol.
c. Calculer h.

16
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E–16/
B
Le diagramme ci-contre représente la trajectoire d’un skieur.
Les frottements sont négligeables. D
1) Le skieur placé en B se laisse glisser sans vitesse initiale
Vers la droite. Quelle sera sa vitesse en C ? en D ?
2) Le skieur est en A et on lui donne une vitesse initiale V. A hB
Quelle sera sa Vitesse en B ? hD
3) A quelle condition atteindra-t-elle B ? hA
4) On suppose que la vitesse initiale en A soit suffisante
Pour qu’il dépasse B. Quelle sera sa vitesse en D ?
C
E–17/

Un solide S glisse sur un plan incliné d’un angle  sur l’horizontale.


Les frottements de vecteur unique f ont une valeur constante 0
f  20 N . Le solide S passe en O avec une vitesse V 0=3m/s.
On donne  =30° OA= L= 6m m=24Kg g=10N/Kg. 
1) Exprimer l’énergie mécanique E 0 du chariot en O.
Faire l’application numérique. A
2) Calculer la vitesse Va du chariot en A en fonction de f, m, V 0, L,
 Et g. Faire l’application numérique.
3) Calculer Ea, puis conclure.

E–18/

Un pendule simple est constitué par un point matériel de masse m = 500 g


suspendu à un fil 0A , de longueur L = 80 cm et de masse négligeable. 0
On écarte le pendule de sa position d’équilibre d’un angle α = 30° puis 30°
on lâche sans vitesse initiale. A
1) Exprimer sa vitesse V B au passage par sa position d’équilibre.
2) Faire l’application numérique avec g=9,8N/Kg.
B

E–19/

Un solide S assimilable à un point matériel de masse m = 10g peut glisser 0


A θ
sans frottement à l’intérieur d’une demi sphère de centre 0 et de rayon
r = 1,25m. On le lâche à partir d’un point A sans vitesse initiale.
r
Sa position est repérée à chaque instant par l’angle θ. M
1) Exprimer sa vitesse en M en fonction de g, r et θ.
2) Calculer la vitesse au point B avec g=10N/Kg.
B

E–20/

Partant du point A sans vitesse initiale, un chariot dévale une pente inclinée de  =45° sur
l’horizontale. On néglige les frottements. Le point B est un raccordement convenable entre les plans
AB et BC. AB=2m. g=10N/Kg.
1) Calculer la vitesse du chariot en B.
A C
2) Après le passage en B, le mobile aborde, sans perdre de
vitesse, le plan BC d’inclinaison  =30° (voir figure).
hC
Sachant qu’en C il rebrousse chemin, comparer les ha et hc hA
α β
des points A et C, comptées à partir du plan horizontal.
3) Calculer la distance BC parcourue par le chariot. B

E–21/
17
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Un mobile de masse m=100g descend un plan incliné d’un  =30° sur l’horizontale. Un dispositif

permet d’enregistrer la position du mobile toutes les 80ms et leur traitement permet de déterminer sa

vitesse à chaque position. On a les résultats suivants :

Point A0 A1 A2 A3 A4 A5 A6 A7
X (m) 0 0,050 0,125 0,220 0,330 0,455 0,610 0,770
V(m/s) 0 0,78 1,06 1,28 1,47 1,75 1,97 2,25

1) Déterminer le travail du poids du mobile entre les positions A 0 et A7.

2) Calculer la variation d’énergie cinétique du mobile entre les positions A 0 et A 7. En déduire que
les frottements ne sont pas négligeables.

3) Tracer la courbe v² = f (x).

Echelles : Abscisses : 1cm pour 0,1m. Ordonnées : 1cm pour 0,5m²/s².

4) Représenter toutes les forces extérieures qui s’exercent sur le mobile.

5) En appliquant le théorème de l’énergie cinétique, exprimer v² en fonction de m, g, x,  et f.


(f étant l’intensité de la force de frottement)

6) Calculer le coefficient directeur de la droite v² = f(x) et en déduire l’intensité supposée


constante de la force de frottement.

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 COURANT CONTINU

 PILES ET ACCUMULATEURS

 INDUCTION MAGNETIQUE

 AUTO-INDUCTION

 COURANT INDUIT

 F.é.m. D’INDUCTION

 COURANT ALTERNATIF

 ALTERNATEURS

 PUISSANCE ET ENERGIE ELECTRIQUES

 RENDEMENT D’UN DIPOLE ELECTRIQUE

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THEME I/ LE COURANT CONTINU

Objectifs : – Connaître le mécanisme de production d’un courant continu par les


piles et les accumulateurs.
– Expliquer la charge et la décharge d’un accumulateur.
– Calculer la capacité et le rendement d’un accumulateur.
– Connaître les règles de protection des accumulateurs.

NOTIONS ESSENTIELLES Les unités :

Une pile est un générateur électrochimique, non rechargeable, de courant continu.  I en A, t en s

Un accumulateur est un générateur électrochimique, rechargeable, de courant continu.  Q en C.

Au cours de la charge, l’accumulateur fonctionne en récepteur ; il reçoit de l’énergie  I en A, t en h


électrique qu’il convertit en énergie chimique.

Le courant qu’il reçoit est appelé courant de charge (Ic).  Q en Ah.


La quantité d’électricité reçue à la charge est :
1Ah = 3600 C
Qc = Ic.tc (tc étant la durée de charge).

Au cours de la décharge, l’accumulateur fonctionne en générateur ;


il transforme l’énergie chimique stockée durant la charge en énergie électrique. Energie :
La capacité d’un accumulateur est la quantité d’électricité qu’il peut fournir W= EI t
au cours de la décharge. La capacité s’exprime par : ou

Qd = Id.td td : durée de décharge Id : courant de décharge. W= EQ

E : f.é.m en V
Rendement d’un accumulateur :
Courant continu :
Qd
En quantité d’électricité : r q  Courant dont l’intensité et
Qc
le sens ne varient pas au
Wd cours du temps.
En énergie : rW 
Wc

Les piles et les accumulateurs ont deux bornes : une borne    et une borne   
Quantité de matière
A la décharge un accumulateur fonctionne comme une pile : consommée au cours des
réactions :
Au pôle    : Il y a une réaction de réduction.
Au pôle    : Il y a une réaction d’oxydation. n 
I .t
x .F
C’est au cours de ces réactions d’oxydoréduction qu’un courant continu
F est le faraday : quantité
Est produit.
d’électricité transportée par
une mole d’électrons.
L’interprétation de ces réactions sera explicitée pendant les séances
Des TD. 1F = 96500 C

Au cours de la charge d’un accumulateur les réactions chimiques


Sont inversées au niveau des électrodes. x : valence du métal déposé.

Des règles de protection des accumulateurs seront étudiées en séances des TD.
20
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E–1/

Définir : – Pile – Accumulateur – Phénomène de polarisation – Générateur électrochimique.


– Courant continu – Capacité d’un accumulateur

E–2/

Quelle ressemblance et quelle différence peut-on établir entre les piles Volta, Leclanché et Daniell ?

E–3/

Compléter le tableau comparatif des générateurs électrochimiques suivant :

Pile ou
Pôle (+) Pôle (–) Electrolyte Nature Dépolarisant f. é .m
accumulateur
Volta
Leclanché
Daniell
Zn – Mn02
Plomb
Cd – Ni

E–4/

En insistant sur la fonction et sur la conversion d’énergie, expliquer la charge et la décharge d’un
accumulateur.

E–5/

1. Citer trois (03) règles de protection à observer dans l’utilisation d’un accumulateur au plomb.
2. Citer trois (03) règles de protection à observer dans l’utilisation d’un accumulateur Cd – Ni .
3. Quelle précaution faut-il prendre lors de la première mise en marche d’un accumulateur Cd - Ni ?
4. Donner un avantage et un inconvénient d’un accumulateur au plomb.
5. Donner un avantage et un inconvénient d’un accumulateur Cd – Ni.

E–6/

Une batterie d’accumulateurs porte les indications suivantes : 12 V 3500 Ah 10 A


1. Donner la signification de chaque terme.
2. Calculer la durée totale de la décharge.

E–7/

Une pile de type Leclanché a une f .é .m égale à 4,5 V. Elle peut débiter dans une lampe un
courant de 20 mA pendant 45 h.

1. Combien d’éléments comporte cette pile ?


2. Déterminer :
a) Sa capacité.
b) Sa puissance.
c) L’énergie totale libérée au cours de son fonctionnement.
E–8/

On charge un accumulateur pendant 12 h sous un courant continu d’intensité I = 5A. Le


rendement en quantité d’électricité de cet accumulateur est r = 90%. Calculer :
1. La quantité d’électricité fournie au cours de la décharge.
2. La durée de la décharge lorsque celle-ci s’effectue à courant continu d’intensité I = 6 A.

21
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E–9/

La capacité d’un accumulateur Lithium – Ion d’un téléphone portable est Q = 58 mAh. La
charge de cet accumulateur dure 1 h 30 min. Non utilisé, il se décharge complètement après 3 jours.
Le rendement en quantité d’électricité est   0 , 95 . Calculer les intensités des courants de décharge
et de charge.

E–10/

Une pile alcaline Zn – Mn02 a les caractéristiques suivantes : 6V; 0,1 Ah ; 0,2 W.

1. Donner la signification de chaque terme


2. Qu’est-ce qu’une pile alcaline ?
3. Quelles sont les masses minimales de zinc et de dioxyde de manganèse qu’elle doit
contenir ?
4. Combien de temps peut-elle fonctionner à pleine puissance ?
5. Elle débite un courant de 20 mA durant 15 min. Calculer les masses de zinc et de dioxyde de
manganèse qui ont réagi.

E–11/

Une pile a une anode en zinc.


1. Définir « anode », donner sa polarité et écrire la réaction qui s’y produit.
2. Quelle quantité d’électricité peut fournir cette pile si la masse de l’anode est de 5g ?
3. Sa f .é .m est de 1,14 V et sa résistance interne est 0,2  .
a) Quelle puissance maximale peut-elle développer ?
b) Pendant combien de temps peut-elle débiter ?

E–12/

Une pile a pour caractéristiques : 1,4 V 0,4 Ah 2 mA.


1. Calculer la durée de fonctionnement de cette pile.
2. Calculer la puissance moyenne fournie au circuit extérieur.
3. Calculer l’énergie totale emmagasinée dans cette pile.

E–13/

L’évolution de la tension aux bornes d’un accumulateur au plomb pendant sa décharge est
donnée par le tableau ci-dessous :

t (h) 0 0,5 1 2 4 6 8 10 12 14 16 17 18
U (V) 11,0 10,4 9,5 9 8,9 8,85 8,84 8,83 8,82 8,81 8,75 8,50 8,00

1. Tracer le graphe de la variation de U en fonction de t. Echelles : 0,5cm pour 1h ; 1cm pour 1V


2. Donner la valeur moyenne de la tension correspondant au palier de décharge.
3. Au bout de combien de temps doit-on arrêter la décharge ?
4. Calculer la capacité de l’accumulateur sachant qu’il débite un courant continu de 2 A.
5. Calculer sa puissance moyenne.
6. Calculer l’énergie électrique totale fournie pendant la décharge.

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THEME II/ LE COURANT ALTERNATIF

Objectifs : – Connaître les sources et les caractéristiques du champ magnétique.


– Connaître les conséquences de la variation du flux magnétique dans un circuit.
– Expliquer les notions d’induction magnétique et d’auto –induction.
– Expliquer le mécanisme de production d’un courant alternatif.

NOTIONS ESSENTIELLES Une ligne de champ magnétique est


une courbe dont la tangente en chaque
Le champ magnétique existe en tout point où une aiguille aimantée point est un vecteur champ magnétique.
est soumise à une force d’origine magnétique. Elle a même sens que B

Les sources de champ magnétique sont diverses : Lignes de champ d’un Aimant droit
 Les aimants
 L’écorce terrestre
 Les courants électriques S N
////////
Le vecteur champ magnétique B en un point a le sens sud – nord d’une
Aiguille aimantée (boussole) placée en ce point.
Le vecteur champ magnétique terrestre B T est contenu dans le Lignes de champ d’un Aimant en U
plan du méridien magnétique .
S N
Caractéristiques du vecteur champ magnétique B au voisinage
d’un conducteur rectiligne parcouru par un courant I.

 Point d’application : Le point M


B (entrant)  Direction : Perpendiculaire au plan de
+ la figure. Lignes de champ d’un Solénoïde
0 M  Sens : Donné par la règle de
l’observateur d’Ampère (dépend du
S N
I sens du courant)
7 I
 Intensité : B  2 . 10 x
OM
Cham p magnétique terrestre :
Caractéristiques du vecteur champ magnétique B au centre d’une bobine Plan du méridien
plate parcourue par un courant I. géographique
 Point d’application : Le point O
 Direction Suivant l’axe de la bobine
B 0
I
 Sens : Donné par la règle de l’observateur
d’Ampère (dépend du sens du courant) B0
B cos Iˆ 
N B v
BT
 Intensité : B   0 I
2r B T

7
0  0  4  . 10 : Perméabilité absolue du vide Plan du méridien
I N : nombre de spires r : rayon d’une spire I (en A) magnétique

Déclinaison ( D̂ ) : Angle entre le plan


Caractéristiques du vecteur champ magnétique B au centre d’une bobine du méridien magnétique et le plan du
longue (solénoïde) parcourue par un courant I. méridien géographique.

B  Point d’application : Le point O Inclinaison ( Iˆ ) : Angle entre le vecteur


 Direction Suivant l’axe de la bobine
champ magnétique terrestre B T et sa
0  Sens : Donné par la règle de l’observateur
S N d’Ampère (dépend du sens du courant) composante horizontale B 0 .
N
I  Intensité : B   0 I
L
L : longueur du solénoïde

23
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{
Un champ magnétique est dit uniforme si son vecteur a même direction,
N : nombre de spires de la bobine
même sens et même Intensité en tous les points de l’espace champ. B : intensité du champ magnétique

Le champ magnétique est uniforme entre les branches d’un aimant en U S : surface d’une spire
et aussi à l’intérieur d’un solénoïde.
n : Vecteur unitaire porté par l’axe
Les lignes de champ sont parallèles à l’intérieur d’un champ uniforme. de la bobine.

Tout circuit fermé orienté (une bobine par exemple), plongé dans un champ Loi de LENZ
magnétique uniforme B est traversé (balayé) par le FLUX MAGNETIQUE
Le sens du courant induit est
tel que, par ses effets
 de ce champ. électromagnétiques, il
+ s’oppose à la cause qui lui
B donne naissance.
  NBS cos 
f.é.m moyenne d’induction
θ
  (B, n) 
em = –
n t

REGLE DU FLUX MAXIMAL/ f.é.m instantanée

Une bobine plongée dans un champ magnétique uniforme est en équilibre d


e=–
stable si le flux magnétique qui la traverse est maximal :  m a x  NBS dt

L’INDUCTION MAGNETIQUE résulte de la variation du flux magné- Intensité du courant induit


tique à travers un circuit.
e
Cette variation de flux entraîne l’apparition d’un courant induit et i=
d’une f.é.m d’induction dans le circuit. R
Le courant induit est instantané : il apparaît lorsque la variation du flux Quantité d’électricité induite
commence et disparaît lorsque la variation du flux cesse.

Le sens du courant induit est donné par la Loi de LENZ. Q=
R

L’aimant qui crée le champ magnétique est le circuit inducteur. f.é.m d’auto d’induction

La bobine qui abrite le courant induit est le circuit induit. d p di


e= – = –L
Le circuit induit fonctionne en générateur. Il est caractérisé par : dt dt

Loi d’Ohm pour une bobine


 Sa résistance interne (R) (résistance totale du fil constituant induite
la bobine )
 Sa f.é.m appelée f.é.m d’induction (e).
i
L’AUTO INDUCTION résulte de la variation du flux magnétique à tra-
vers un circuit plongé dans un champ magnétique crée par lui-même. u
u  ri  e

Le flux propre  p est le flux qui traverse un circuit plongé dans un Energie électromagnétique d’
une bobine induite
champ magnétique crée par lui-même.
1

 p
 Li
{ i : intensité du courant induit.

L : inductance de la bobine
E 
2
Li ²

Les sources de courant alternatif c’est-à-dire les générateurs de


24
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courant alternatif sont les alternateurs.

Un alternateur est formé par deux parties essentielles :

– le rotor : Aimant (ou bobine) tournant (lié à l’axe)


– le stator : Aimant (ou bobine) fixe

On distingue : – Les alternateurs de bicyclette

– Les alternateurs industriels (les centrales hydroélec-


Expression du courant alternatif :
triques, les centrales thermiques, les centrales

à fuel lourd). i  I m cos( 2  ft   )


– Les alternateurs domestiques (les groupes électro-
gènes) i : intensité instantanée du courant
alternatif (en A)
Le courant alternatif est un courant induit dont l’intensité et le sens
varient périodiquement. Im : intensité maximale du courant
alternatif (en A)
L’intensité instantanée du courant alternatif est une fonction sinusoïdale Im
I  : intensité efficace du
2
du temps.
courant alternatif(en A)
Sa courbe représentative (graphe) est une sinusoïde.
f : fréquence du courant alternatif
(en hertz : Hz)
1
Période du courant : T  (en s)
i (A) f
Pulsation du courant alternatif :

  2  f (en rad/s)
1
+ + + + + t(s)
0
T T
4

Détermination graphique de la période :

T=bx n b : balayage n : nombre de divisions correspondant à


la période

Détermination graphique de l’intensité maximale (amplitude) :

Im = s x n s : sensibilité verticale

n : nombre de divisions correspondant à l’intensité


maximale

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E– 1 : Dire si les affirmations suivantes sont vraies ou fausses.

1- Deux lignes de champ magnétique peuvent se croiser


2- Les lignes de champ magnétique sont orientées dans le sens Sud – Nord de l’aiguille
exploratrice
3- Les lignes de champ magnétique sont orientées du pôle Nord vers le pôle Sud de l’aimant
source
4- Le champ magnétique est uniforme à l’intérieur d’un solénoïde et entre les branches d’un
aimant en U
5- Plus les lignes de champ sont resserrées, plus l’intensité du champ magnétique est faible.

E–2 : Définir les termes et expressions suivantes :


– Induction magnétique – Auto-induction – Courant induit
– Courant alternatif – Flux propre d’une bobine – Alternateur.

E– 3 : Compléter cette mise en garde d’un champ magnétique à une bobine.

Si tu entres dans mon champ, tu seras traversée par mon ……………………… Et si je fais………….
ce ………….., tu seras le siège d’un …………………. Et d’une ………………….. Tu auras été ainsi
victime d’un phénomène d’ ……………………………

E– 4:
1. Après avoir énoncé la loi de Lenz, indiquer le sens du courant induit dans la bobine en
précisant le circuit inducteur et le circuit induit :
N S N S
Bobine
Bobine

2. Expliquer le mécanisme de fonctionnement d’un alternateur.

E– 5 : Exprimer l’inductance L d’un solénoïde de longueur l comportant N spires de surface S.


Calculer L avec les données suivantes : l = 60cm N = 1000 S = 7 cm².
E– 6 : Une bobine plate a un rayon de 6cm et comporte 80 spires. Elle est traversée par un courant
continu de 2A. Donner les caractéristiques du vecteur champ magnétique B crée par le courant au
centre de la bobine.

E– 7 : Un solénoïde dont la longueur est l = 50cm et comportant 2000 spires est parcouru par un
courant continu de 3A. Donner les caractéristiques du vecteur champ magnétique B crée par le
courant au centre de la bobine.

E–8 : Sur un cylindre de carton de rayon R=5cm, on enroule à spires jointives un fil conducteur
cylindrique de rayon r = 0,5mm recouvert d’une couche d’émail isolant d’épaisseur e = 0,05mm.
1- Quelle condition doit-on respecter pour obtenir un solénoïde ?
2- Déterminer la longueur L de fil nécessaire à la réalisation d’un solénoïde de longueur 70cm
3- Calculer dans ce cas, l’intensité du champ magnétique à l’intérieur du solénoïde lorsque
l’intensité du courant est I = 0,35A.
E–9 :
1- Un solénoïde de 25cm de longueur est formé par une seule couche de N spires jointives faites
d’un fil conducteur de 0,4mm de diamètre. Représenter le solénoïde en indiquant le sens du
courant dans le solénoïde ainsi que quelques lignes de champ. Calculer N.
2- Un autre solénoïde, de même longueur et de diamètre 5cm, comportant 2500 spires par mètre
de longueur, est parcouru par un courant de 0,5 A.
a. Donner l’expression de l’intensité du champ magnétique au centre de ce solénoïde
puis calculer sa valeur numérique.
b. Un dispositif permet d’annuler le courant dans le solénoïde en Δt = 0,01s. Donner
l’expression de la fém. d’induction dont la bobine est le siège pendant la durée Δt,
puis calculer sa valeur.
E– 10
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Un solénoïde est enroulé à spires non jointives, à raison de 10 spires par centimètre. Le fil conducteur
est en cuivre de 0,2mm de diamètre et de résistivité ρ = 1,6.10–8 Ω m. La longueur du solénoïde est
l =40cm et le rayon d’une spire est r =5cm. On réalise un montage comprenant la bobine et un
générateur de fém. E 1=1,5V et de résistance interne r1=0,5Ω.

1- Quelle est la résistance R de la bobine ?


2- Calculer l’intensité du champ magnétique dans la bobine.

E– 11:
La variation du flux magnétique à travers une bobine est Φ(Wb)
représentée sur la figure ci-contre.

Calculer la fém. moyenne induite :


t(s)
+ + +
1. Dans l’intervalle de temps : 0 < t < 0,5 s. 0 0,5
–2
2. Dans l’intervalle de temps : 0,5 < t < 1 s.

E– 12:
Une bobine plate comportant 500 spires de 80cm² de surface est placée dans un champ magnétique
uniforme d’intensité B=0,1T. Les lignes de champ sont perpendiculaires à la surface de la bobine et
de même sens que le vecteur unitaire normal à la surface.
1- Calculer le flux magnétique qui traverse la bobine
2- Quelle est la fém. moyenne em d’induction dans la bobine lorsque l’intensité du champ
diminue de 10% en 10–2 s.

E– 13:
On désire produire un courant alternatif sinusoïdal. A un instant pris comme instant initial (t=0), on
place une bobine plate à l’intérieur d’un solénoïde et on choisit le sens positif tel que la normale n au
plan de la bobine plate soit parallèle et de même sens que le vecteur champ magnétique B dans
lequel est plongée la bobine. On actionne un moteur qui fait tourner la bobine autour d'un axe Δ
contenu dans son plan avec une vitesse angulaire ω = 500 rad/s. L’intensité du champ magnétique
crée par le solénoïde est B = 0,1T.

1- Donner l’expression de la fém. d’induction alternative sinusoïdale (e) dont la bobine est le
siège.
2- Sachant que la bobine comporte N=1000 spires de section moyenne S=40cm². En déduire la
valeur maximale E m de la f.é.m induite.

E– 14 :
Un solénoïde comprend 2000 spires de section moyenne S = 20cm², reparties régulièrement sur une
longueur l = 50cm. Un courant continu d’intensité I = 2A parcourt le fil conducteur.

1- Donner les caractéristiques du vecteur champ magnétique crée à l’intérieur de la bobine.


2- On annule l’intensité du courant en Δt = 5.10–2 s.
a. Quelle est, pendant ce temps, la variation du flux magnétique à travers la bobine ?
b. Calculer le coefficient d’auto-induction (inductance) de la bobine.
c. Quelle est, pendant la rupture du courant, la valeur moyenne de la fém. induite ?

27
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E–15 :

Une bobine carrée comportant N=500 spires de côté a = 10cm, tourne avec une vitesse angulaire
constante ω autour d’un axe horizontal (Δ). Elle est placée dans un champ B horizontal uniforme et
constant au cours du temps.
1- Exprimer le flux magnétique qui balaye une spire.
2- Exprimer le flux magnétique qui balaye la bobine. U (V)
3- Montrer qu’il apparaît dans la bobine une fém instantanée
d’induction lors de la rotation.
4- On relie les deux bornes de la bobine à celles d’un oscillo-
1
graphe. On observe l’oscillogramme représenté ci-contre : + + + + t (ms)
0 +
20
a. Donner l’expression de la fém. induite et déterminer
son amplitude E m .
b. Calculer la vitesse angulaire de rotation de la bobine.
c. Calculer l’intensité du champ magnétique.
E– 16:
On mesure à l’aide d’un oscillographe, la tension donnée par un générateur de tension alternative.
L’oscillogramme obtenu est représenté sur la figure ci-contre.
1- A combien de divisions correspond une période ?
2- Sachant que le balayage est b = 5ms / div, calculer cette période
et en déduire la fréquence de cette tension. U (V)
3- A combien de divisions correspond la tension maximale ?
4- Sachant que la sensibilité verticale est s = 0,75V / div, en déduire
la valeur Um de cette tension maximale.
5- Calculer la tension efficace U. + + + + + + + + + + +
6- Ecrire l’expression de la tension instantanée u(t) sachant qu’à 0
t (ms)
t = 0, u = Um .
7- Le générateur alimente un résistor de résistance R = 5Ω.
Déterminer l’expression de l’intensité instantanée i(t) du courant
alternatif dans le résistor.
E– 17:
On étudie à l’aide d’une sonde de HALL, le champ magnétique B crée par une bobine plate de N
spires de rayon R, en son centre O. Les résultats sont consignés dans le tableau ci-àprès :

I (A) 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6


B(mT) 0,15 0,32 0,45 0,60 0,73 0,90

1- Dessiner la bobine en précisant le sens du courant et celui du vecteur champ magnétique B .


2- Montrer qu’il existe un nombre K tel que l’intensité du champ magnétique vérifie la relation :
B = μ0 K I où μ0 = 4 π.10–7 SI
3- Construire la courbe B = f ( I ) Echelles : 1cm / 0,1 A 1cm / 0,1 mT
4- Calculer graphiquement K.
5- Quelle est l’influence de R sur B ? Quelle est l’influence de N sur B ?
6- Calculer le nombre de spires sachant que R = 10 cm.
E–18 :
L’intensité instantanée d’un courant alternatif s’exprime par : i(t) = 10 2 sin (100  t –  /4) mA.
1– Calculer dans le Système International des unités, l’intensité maximale, l’intensité efficace, la
pulsation, la fréquence, la période et la phase initiale de ce courant
2– Déterminer l’intensité à la date t = 0,05s.
3- Ce courant traverse une bobine d’inductance L=0,105 H. Calculer la f.é.m d’induction à t = 0,1s

E–18 :
Ecrire l’expression de l’intensité instantanée d’un courant alternatif d’intensité efficace 1,2 mA, de
période 10–2s, et dont la phase initiale est de 36°

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THEME III/ PUISSANCE ET ENERGIE ELECTRIQUES

Objectifs : – Exprimer l’énergie et la puissance électriques reçues par un dipôle


– Enoncer et formuler la loi de Joule
– Exprimer la loi d’Ohm pour quelques dipôles électriques
– Calculer le rendement de quelques dipôles électriques
– Connaître les précautions à prendre pour réduire les pertes d’énergie dans un
réseau électrique.

NOTIONS ESSENTIELLES

Loi de Joule
L’effet Joule est le dégagement de chaleur qui se produit dans un con-
ducteur parcouru par un courant électrique. L’énergie électrique
consommée par effet Joule
dans un conducteur dépend :
La puissance électrique consommée par effet Joule dans un conducteur – de la résistance R du
s’exprime par : conducteur
– de l’intensité I du
W courant électrique
– de la durée t de
j
Pj   RI ²
t passage du courant

W j
 RI ² t
Un générateur est un dipôle actif : il engendre un courant électrique et
fournit de l’énergie électrique aux autres éléments du circuit appelés ré-
cepteurs. E : f.é.m du générateur

r : Résistance interne du
générateur
Loi d’Ohm pour un générateur : U g
 E  rI

Puissance et énergie d’un générateur : P  EI W  Pt  EIt

Puissance et énergie consommées Symbole d’un générateur :


P j  rI
2
par effet Joule dans un générateur : W j
 P j t  rI ² t

I ( E, r)
Puissance et énergie fournies par le générateur à l’extérieur ( ou puissance
et énergie utiles du générateur) :
Pu  U g
I W u  Pu t  U g
It Ug

U g
Rendement d’un générateur :  g

E

Loi d’Ohm pour un résistor : U  RI


Symbole d’un résistor
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R
Puissance et énergie reçues par un résistor : P  UI W  UIt I

Puissance et énergie consommées


P j  RI
2
par effet Joule dans un résistor : W j
 P j t  RI ² t

Pj
Rendement d’un résistor : r  1 car U = RI
P
Moteur : Récepteur électromécanique: Il
transforme l’énergie électrique reçue une
partie en énergie mécanique (énergie utile),
une autre partie en énergie calorifique
U  E  r I
' '
Loi d’Ohm pour un moteur ou un électrolyseur : (chaleur).

Puissance et énergie électriques


reçues par un moteur ou un électrolyseur : P  UI W  UIt Electrolyseur : Récepteur électrochimique: Il
transforme l’énergie électrique reçue une
partie en énergie chimique (énergie utile), une
autre partie en énergie calorifique (chaleur).
Puissance et énergie consommées
par effet Joule dans un moteur ou un électrolyseur :
E’ : force contre électromotrice (f.c.é.m.)
 P j t  r I ²t
'
PJ  r ' I ² W j
r’ : résistance interne

Puissance et énergie utiles.


(chimique pour l’électrolyseur, mécanique pour le moteur) : Symbole d’un électrolyseur :

I E’, r’
Pu  E I W u  Pu t  E It
' '

'
E U
Rendement d’un électrolyseur ou d’un moteur :   (E’ : f.c.é.m)
U

Symbole d’un moteur :


Puissance électrique reçue par un dipôle AB parcouru par un
courant alternatif : I E’, r’
M

P  kUI
{ K : facteur de puissance (k  1 )

U : Tension efficace du courant


Alternatif
I : Intensité efficace du courant
alternatif
U

Dipôle AB en régime alternatif :

i A

u
B

Les précautions à prendre pour minimiser les pertes d’énergie sous


forme de chaleur seront explicitées dans E-4 pp 62–63.
E–1 :

Un dipôle passif parcouru par un courant continu d’intensité I=15A maintient entre ses bornes une
tension électrique U=7,5V.
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1) Calculer la puissance électrique consommée (reçue).

2) Calculer l’énergie électrique consommée au bout de 29j 1h 45min 36s.

3) Calculer le prix de revient de la consommation sachant que le kilowattheure (KWh) coûte

75 FCFA.

E– 2 :

On branche en série aux bornes d’un générateur (E=12V ; r=1Ω), un électrolyseur (E’=1,5V ; r’=4Ω) ;
un moteur (E’’=4,5V ; r’’=3Ω ) une lampe de résistance R=2Ω.
1) Faire le schéma du montage
2) Calculer :
a) L’intensité I du courant dans le circuit.
b) La puissance du générateur.
c) La puissance consommée dans le circuit extérieur du générateur (puissance reçue
par l’extérieur)
d) La puissance consommée à l’intérieur du générateur.
e) La puissance reçue par chaque élément du circuit.
f) Le rendement de chaque élément du circuit.

E– 3 :

Un accumulateur de f.é.m. E=24V et résistance interne r = 6 Ω alimente un moteur électrique de


résistance r’ = 4 Ω dont la tension aux bornes est U. L’accumulateur est formé de 3 éléments de piles
groupés en série, de f.é.m. E0 et de résistance interne r0.

1) Faire le schéma du dispositif en indiquant le sens du courant ainsi que le sens de circulation
des électrons
2) Avec quoi se fait l’ouverture ou la fermeture du circuit ?
3) Calculer E 0, r0, I et U sachant que le moteur tourne et que sa f.c.é.m. vaut 21V.
4) Calculer alors le travail fourni par le moteur en 1 minute. Quel est le rendement de ce
moteur ?

E–4 :

Un dipôle électrique parcouru par un courant alternatif reçoit une puissance électrique P = 1760W.
L’intensité instantanée du courant alternatif est : i (t) = 14,14 cos 314t (en A)
Le dipôle maintient entre ses bornes une tension alternative u(t) = 311,12 cos 314t (en V).

1) Qu’est-ce qu’un courant alternatif ? Calculer le facteur de puissance.

2) Le dipôle étudié est un conducteur ohmique de résistance R.

a) Définir « conducteur ohmique » puis calculer R.

b) Etablir l’expression de la puissance consommée par effet Joule (P j) en fonction de la


puissance reçue P, la tension efficace U aux bornes du dipôle, le facteur de
puissance et R.

c) En déduire quatre (04) précautions à prendre pour minimiser les pertes d’énergie
dans un réseau électrique.

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E– 5 : La plaque signalétique d’un moteur électrique à courant alternatif est la suivante :
Pm = 2 KW U = 220V r = 0,8 k = 0,75.

1) Donner la signification de chaque terme.


2) Calculer :
a. La puissance électrique absorbée par le moteur.
b. La puissance apparente.
c. L’intensité du courant de fonctionnement.
E– 6 :
Un générateur (E,r) débite dans un résistor de résistance R =23  un courant d’intensité I0 = 4A.
Lorsque le même générateur débite dans l’association formée par ce résistor et un autre résistor de
résistance R’ = 15  , montée en série, l’intensité du courant est I = 2,5 A. Calculer E et r.

E– 7 :
La tension aux bornes d’un électrolyseur a pour expression : U = 2,2 I + 2,4 (I étant l’intensité du
courant traversant l’électrolyseur)

1) Calculer la f.c.é.m. E’ et la résistance interne r’ de cet électrolyseur.


2) On branche l’électrolyseur sous une prise de tension U’ = 6,8V.
a) Que vaut l’intensité du courant qui traverse l’électrolyseur?
b) Calculer le rendement de cet électrolyseur.

E– 8:
Un fil métallique de résistance R=4 Ω plonge dans un calorimètre de valeur en eau μ =50g contenant
une masse d’eau m = 200g. On fait passer dans le fil un courant d’intensité I = 5 A.
1) Quelle doit être la durée de passage du courant pour que l’élévation de température soit égale
à 10°C si l’on néglige les pertes ?
2) Quelle doit être la durée de passage du courant pour que l’élévation de température soit égale
à 10°C si les pertes d’énergie sous forme de chaleur sont évaluées à 25%.

E– 9:
On dispose de 12 piles identiques ayant chacune une f.é.m. E 0 = 1,5 V et une résistance interne
r0 = 0,15 Ω.
1) On réalise dans un 1er montage, (03) séries de (04) piles chacune et dans un 2 ème montage,
(04) séries de (03) piles chacune. Calculer dans chaque cas, la f.é.m E et la résistance interne
r du générateur équivalent.
2) Le générateur ainsi constitué débite dans un résistor de résistance R = 2, 4 Ω. Quel est le
groupement le plus efficace ?

E– 10: Compléter la quittance d’électricité suivante, délivrée par AES SONEL


s
FACTURE DETAILLEE Ancien index Nouvel index Quantité en Kwh Tarif Montant
Energie totale 8624 8763
Tranche 1 en FCFA 110 77
Tranche 2 en FCFA 29 77
Montant total
consommation
Montant contribution –973
pouvoirs publics
Montant contribution
client
Location compteur 668
TVA Location compteur 19,25 129
TVA contribution pouvoirs 19,25 –39
publics
TVA contribution client 19,25 430
Montant total à payer

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 LOI DE PROPAGATION RECTILIGNE DE LA LUMIERE

 LOI DE DESCARTES DE LA REFLEXION

 LOI DE SNELL–DESCARTES DE LA REFRACTION

 MIROIRS PLANS – DIOPTRES PLANS – LAMES A FACES PARALLELES

 DISPERSION DE LA LUMIERE PAR UN PRISME

 LENTILLES SPHERIQUES MINCES

 ŒIL REDUIT

 INSTRUMENTS D’OPTIQUE

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THEME I/ LE PRINCIPE DE PROPAGATION RECTILIGNE DE LA LUMIERE

Objectifs : – Interpréter les observations permettant de montrer que la


lumière se propage en ligne droite
– Expliquer les notions d’ombres et de pénombres
– Expliquer le phénomène d’éclipse
– Connaître les caractéristiques d’une image à travers une chambre noire
– Définir et calculer un diamètre apparent

NOTIONS ESSENTIELLES/ Milieu transparent :


Milieu qui se laisse parfaitement
Principe de propagation rectiligne de la lumière : traversé par la lumière : le vide, l’air,
l’eau, le verre…
Dans un milieu transparent et homogène , la lumière se propage en Milieu opaque :
ligne droite. Milieu qui ne se laisse pas traversé
par la lumière : le bois, la terre…
Rayon lumineux : Trajet rectiligne de la lumière.
Milieu translucide :
Faisceau lumineux : Ensemble des rayons lumineux. On distingue : Milieu mi–opaque mi-transparent : le
papier huilé…
 Le faisceau cylindrique ou parallèle :
Diamètre apparent d’un objet AB :
AB
 
 Le faisceau convergent : d

Angle, exprimé en radian, sous lequel


l’objet est vu entièrement par l’œil.

 Le faisceau divergent : B

α
Célérité : Vitesse avec laquelle la lumière se propage. Elle varie en O
oeil A
fonction du milieu de propagation :

Dans le vide et dans l’air : C=3.108 m/s d


Une chambre noire donne
d’un objet réel, une image
Dans l’eau : V=2,25.108 m/s
réelle, réduite et renversée.
Dans le verre : V=2.108 m/s A' B ' AB

0 A' 0A
Indice absolu d’un milieu : Tout milieu transparent est caractérisé par un
B Chambre
indice absolu noté N ou n tel que :

{ c  3 . 10 m / s : célérité de la lumière
8

0
c dans le vide A’
N  v : célérité de la lumière dans le milieu
A
v B’
étudié
AB : Diamètre de l’objet
Air : Na = 1 Eau : N e = 1,33 = 4/3 Verre : Nv = 1,5 = 3/2 A’B’ : Diamètre de l’image

0A : Distance de l’objet à la
NB : Un milieu (1) est plus réfringent qu’un milieu (2) si N1 est supérieur à N2 Chambre
0A’ : profondeur de la chambre
Les phénomènes d’éclipses, des ombres et des pénombres seront élucidés en TD

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E–1/
1) Définir :
a) « Année lumière ». Calculer sa valeur numérique.
b) Rayon incident – Rayon émergent.
c) Objet – Image - Objet réel – Image réelle –- Objet virtuel – Image virtuelle.
2) Expliquer, schéma à l’appui, les termes suivants :
a) Ombre portée – Cône d’ombre - Ombre propre.
b) Eclipse du soleil – Eclipse de la Lune.
c) Diamètre apparent.

E–2/
Un bâton vertical de 2m de longueur projette son ombre, longue de 6m, sur le sol plat et
horizontal. Quelle est à cet instant, la hauteur d’un palmier dont l’ombre portée sur le sol mesure
15m ?

E–3/
1) Concernant les mesures d’angles, écrire la relation entre :
Degré et radian – Degré et minute – Radian et minute.
2) L’œil d’un observateur se trouve à 4m d’un poteau télégraphique de 18cm de diamètre. Quel
angle visuel cache cet obstacle ? L’exprimer en degrés et en radians.
3) Calculer le diamètre apparent du Soleil vu de la Terre.
On donne : Distance Terre-Soleil : D=1,496.108 Km.
Rayon du Soleil : R=6,96.105 Km.
E–4/
1) Une chambre noire donne d’un homme de 1,80m et situé à 2m, une image de 3,6cm de
diamètre. Calculer la profondeur de la chambre.
2) La hauteur d’un monument de 12m vu à travers une chambre noire est de 5cm. Quelle est la
hauteur d’un poteau électrique dont l’image à travers la même chambre est de 2cm ?

E–5/
1) Un carton rectangulaire de longueur L = 20cm et de largeur l = 12,5cm est placé à
équidistance d’une source de lumière ponctuelle et un écran. Calculer les dimensions de
l’ombre portée sur l’écran.
2) Une source de lumière ponctuelle S est située à une distance F d’un écran. A quelle distance
de la source doit-on placer un disque opaque de diamètre d pour en obtenir une image d’aire
8 fois plus grande ?

E–6/
B
L’œil O d’un observateur OH est à 1,58m du sol, et voit sous un angle
de 30° un mât vertical planté à la distance AH=10m. O
Quelle est la hauteur du mât ? 30°
B
A H

E–7/

S Un ballon sphérique de centre S, de diamètre égal à 10m


1 possède, pour un observateur O, un diamètre apparent de
rad 1
100 radian . Calculer son altitude, si la droite OS fait avec le
100
30° plan horizontal un angle de 30°.
O

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THEME II/ REFLEXION ET REFRACTION DE LA LUMIERE

Objectifs : – Expliquer le phénomène de réflexion et de réfraction de la lumière


– Connaître les lois de Descartes de la réflexion et de la réfraction
– Expliquer le phénomène de réfraction limite et de réflexion totale
– Connaître les caractéristiques d’une image à travers un dioptre plan ou une
lame à faces parallèles

NOTIONS ESSENTIELLES/ Miroir plan:

PHENOMENE DE REFLEXION : Surface plane réfléchissante :


eau au repos, glace, lame m étallique…
La réflexion est le renvoi de la lumière par un miroir plan dans une
direction privilégiée. N
S R
1ère loi de la réflexion :

Le rayon incident (SI), le rayon réfléchi (IR) et la normale (IN) sont situés i r
dans le même plan.
////////////////////////////////////////////
2ème loi de la réflexion : i=r I
///
L’angle d’incidence (i) est égal à l’angle de réflexion (r).

Loi du retour inverse de la lumière :

Le trajet suivi par la lumière n’est pas modifié si on inverse le sens de la Dioptre plan:
propagation
Ensemble de deux milieux
PHENOMENE DE REFRACTION : transparents, d’indices différents
N1 et N 2 , séparés par une surface
plane :
La réfraction est le brusque changement de direction que subit un rayon
lumineux à la traversée d’un dioptre plan. Nappe d’eau au repos, lame de
verre dans l’air ou dans l’eau….
Deux cas se présentent :

N1 > N2 : Milieu 1 plus réfringent que Milieu 2 N1 < N2 : Milieu 1 moins réfringent que Milieu 2
S N S N

i1 i1
N1 N1

N2 I N2 I

i2 i2
i 2 > iR
1 i2 < i1

Le rayon réfracté IR s’éloigne de la normale IN Le rayon réfracté IR se rapproche de la normale IN

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LOIS DE LA REFRACTION/ Autre formulation de la 2 ème


loi de la réfraction :
1ère loi de la réfraction :
sin i 1 N
  n 2 /1
2
Le rayon incident (SI), le rayon réfracté (IR) et la normale (IN) sont situés
sin i 2 N1
dans le même plan.
n2/1 est un indice relatif.
2ème loi de la réfraction : N1sin i 1 = N2sin i 2
C’est l’indice du milieu II par
Réfraction limite : La réfraction limite est observée lorsque la lumière rapport au milieu I.
transite d’un milieu moins réfringent à un milieu
plus réfringent sous une incidence i = 90° C1
On montre que : n 2 / 1 
(Incidence rasante) C2
C1 : Célérité de la lumière
dans le milieu 1
Ces conditions étant remplies, l’angle de réfraction prend sa plus grande valeur
C2 : Célérité de la lumière
et est appelé angle de réfraction limite noté λ. dans le milieu 2

N
Air

{
(N 1) Angle de réfraction limite
N1
sin   , N1 < N2
I N du dioptre Air / Eau :
2
Eau λ
(N 2) sin λ = 0,75 λ = 48,6 °
R

Incidence normale :

Réflexion totale : La réflexion totale est observée lorsque la lumière Tout rayon incident parallèle à
transite d’un milieu plus réfringent à un milieu moins
la normale n’est pas dévié.
réfringent sous une incidence i > λ

Exemple : Passage de l’eau dans l’air.

Dans ces conditions, le rayon lumineux incident ne pénètre pas dans le


second milieu : il est totalement réfléchi dans le premier milieu.

N
Air
(N1)
I

λ
R
r i
Eau
(N2)
I=r

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IMAGE D’UN OBJET A TRAVERS UN MIROIR PLAN : PROPRIETES

* Un miroir plan donne


/ d’un objet réel, une image
/ virtuelle, symétrique de l’objet
/ I’ par rapport à la surface
/ réfléchissante.
/
* Un miroir plan donne d’un
/ objet virtuel, une image
/I réelle symétrique de
/ l’objet par rapport à la
S / S’ surface réfléchissante.
Point objet réel H / Point im age virtuelle
* Un rayon incident et le plan
La symétrie Objet–Image à travers un miroir est vérifiée par l’expérience dite d’incidence restant fixes,
des deux bougies. quand un miroir plan tourne
d’un angle  autour d’un axe
IMAGE D’UN OBJET A TRAVERS UN DIOPTRE PLAN : situé dans son plan, le rayon
réfléchi tourne d’un angle
N 2  dans le même sens.
O
0eil de l’observateur
r * Quand un miroir plan tourne
N1 I d’un angle  autour d’un axe
0
N1 < N2 situé dans son plan, l’image
N2 d’un point objet fixe tourne
S’ i d’un angle 2  , autour du
Rapprochement apparent : même axe, dans le même sens.
 N1 
SS '  0 S  1   * Un dioptre plan donne d’un
 
S  N2  objet réel S, une image
Point objet réel virtuelle S’ rapprochée ou
éloignée.
IMAGE D’UN OBJET A TRAVERS UNE LAME A FACES PARALLELES :
* Une lame à faces parallèles
est un milieu transparent limité
O
par deux faces planes et
0eil de parallèles.
l’observateur
air Ex : Une lame de verre dans
l’air
n
e verre Indice absolu
de la lam e * lame à faces parallèles donne
d’un objet réel S, une image
air définitiveS’’virtuelle
rapprochée ou éloignée.
S’’
Im age virtuelle Rapprochement apparent :
définitive  1 
S SS ' '  e  1  
Point  n  * Lorsque les deux faces sont en
Objet contact avec le même milieu le
réel rayon émergent est parallèle
au rayon incident

S’
Im age virtuelle
intermédiaire

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E–1/ Répondre par vrai ou faux

1) Les objets lumineux sont des sources de lumière.

2) Il existe des cas de réflexion où l’angle d’incidence n’est pas égal à l’angle de réflexion

3) La réfraction s’accompagne toujours d’une réflexion partielle.

4) L’indice absolu d’un milieu est défini par le rapport de la célérité de la lumière dans le milieu
considéré à celle de la lumière dans le vide.
5) Le chemin suivi par la lumière n’est pas modifié lorsqu’on inverse le sens de propagation.

6) Le champ d’un miroir est indépendant de la position de l’œil de l’observateur.


3
7) L’angle 5°30’, vaut radians.
100

E–2/ L’œil d’un observateur est placé en O et regarde dans un miroir circulaire M.

1) Déterminer à l’aide d’un tracé l’espace visible depuis O en regardant le miroir.


2) Quel nom donne-t-on à cet espace ?

E–3/

1– Un système optique est constitué de deux miroirs perpendiculaires entre eux. Combien d’im ages
d’un point A donne ces deux miroirs ? Comment sont disposées ces images ?

2– Même question si l’angle entre les deux miroirs est   60 

E–4/

Un miroir plan rectangulaire est fixé sur un mur vertical. Sa base se trouve à une haut eur h au-dessus

du sol. Un homme de 1,80m se place devant le miroir. Son œil se trouve à la hauteur H=1,70m du sol .

1) Calculer h pour que l’homme aperçoive ses pieds dans le miroir ?

2) Calculer le diamètre minimal du miroir permettant à l’homme de se voir en entier.

E–5/

Deux miroirs plans parallèles sont distants d’une distance a. Leurs faces réfléchissantes sont

en regard. Un petit objet lumineux A est placé entre les deux miroirs à la distance b de l’un des

miroirs.

1) Déterminer la distance de l’objet à l’image après 4 réflexions.

2) En déduire la distance de l’objet à l’image après 2n réflexions.

E–6/

1) Calculer la célérité de la lumière dans un verre d’indice Nv=1,5, puis dans le diamant d’indice

Nd =2,42.

2) Calculer l’indice de réfraction nv /d du verre par rapport au diamant par deux méthodes.
E–7/ Un rayon lumineux horizontal se réfléchit sur un miroir plan.
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On tourne le miroir d’un angle   12  . Déterminer l’angle de rotation du rayon réfléchi.

E–8/
On considère trois milieux : A, B,C.

On connaît les indices relatifs suivants : n A/B =1,5 ; n B/C = 0,8

1) Un rayon lumineux chemin cheminant dans A peut- il toujours pénétrer dans B ?


2) Un rayon lumineux chemin cheminant dans B peut- il toujours pénétrer dans C ?

E–9/ Une cuve parallélépipédique de 8cm de profondeur est remplie d’eau d’indice N e=4/3.

Un rayon lumineux incident passant par A est réfracté et touche le fond de la cuve en un point E, tel
que DE = 3cm.

1) Calculer l’angle de réfraction. A B

2) Calculer l’angle d’incidence du rayon qui pénètre dans l’eau.

3) On remplace l’eau par un liquide d’indice N. On envoie un


rayon lumineux qui passe par A sous une incidence de 31°,
D +
E C
On constate que le rayon réfracté passe par E. Calculer N.

E–10/

Un rayon lumineux se propage de l’eau dans l’air. Les angles d’incidence sont respectivement :
i1 =30° i2=48,75° i3=60°
Dessiner la marche de ce rayon dans chaque cas. Ne=4/3.

E–11/ y
A1 –
Un rayon lumineux passe de l’air (n1=1) dans le verre (n2=1,5),
au point I (0 ;0). Ce rayon est issu du point A 1(–2 ; 2) et arrive i1 – n1
au point A2( x 2 ; –2). L’unité de longueur est le mètre.

1) Trouver l’abscisse x 2 du point A 2. I n2 x


2) Calculer en nanosecondes, le temps mis par la lumière –
pour aller du point A 1 au point A 2. i2
– A2
E–12/

Une fibre optique est constituée d’une gaine d’indice n2,


n2
entourant un cœur d’indice n1. n1

Un rayon lumineux qui se propage dans la gaine pénètre


n1
n2
α0
dans le cœur sous une incidence rasante.

Il sort de la fibre en faisant un angle α 0 avec l’axe de la fibre.

Exprimer sin α 0 en fonction de n1 et n2. (Cette quantité est appelée ouverture numérique de la fibre)

Calculer α0 On donne : n1  n2=1,53 et n2-n1= – 0,0068.

E–13/

40
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A quelle profondeur semble être un poisson, qui se trouve à 75cm de la surface de l’eau ?

E–14/

Quelle est la position apparente d’un objet situé en dessous d’un bloc de verre rectangulaire d’une

épaisseur de 6 cm, si une couche d’eau de 4 cm d’épaisseur recouvre le verre ?

Indices : eau n = 4/3 verre n =3/2.

E–15

Un récipient contenant de l’eau et du benzène repose sur un miroir plan. Un rayon lumineux

cheminant dans l’air tombe sur le benzène sous une incidence i=70°.

On considère les deux situations suivantes :

Première situation :

On suppose que la lumière qui arrive au fond du récipient

est totalement absorbée.


Air
Calculer les angles correspondants

et tracer d’une façon exacte la marche des différents rayons Benzène

lumineux issus du rayon incident.


Eau
Deuxième situation :
Miroir plan
On suppose maintenant que la lumière qui arrive au fond du

récipient est totalement réfléchie.

Calculer la déviation D entre le rayon incident et le rayon émergent.

Benzène : nb=1,5 Masse volumique ρb= 880 Kg/m3

Eau : ne=1,33 Masse volumique ρe= 1000 Kg/m3

41
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THEME III/ DISPERSION DE LA LUMIERE PAR UN PRISME

Objectifs : – Définir « lumière monochromatique » et « lumière polychromatique »


– Tracer la marche d’un rayon lumineux à travers un prisme
– Appliquer les formules du prisme

NOTIONS ESSENTIELLES/

Un prisme est un instrument d’optique en verre transparent limité par deux Spectre d’une lumière :
surfaces planes non parallèles.
Ensemble des radiations
présentes dans cette lumière.
Un prisme est un spectroscope : Il permet d’analyser une lumière afin de
connaître la nature des différentes radiations qui la composent. Le spectre visible de la lumière
blanche présente 7 radiations :
Une lumière monochromatique est formée d’une seule radiation. Elle ne se
(les 7 couleurs de l’arc-en-ciel)
décompose pas.
 Violet
 Indigo
Une lumière polychromatique est formée de plusieurs radiations. Elle est
 Bleu
 Vert
décomposable par un prisme.  Jaune
 Orangé
La lumière blanche est une lumière polychromatique.  Rouge

Un prisme dont les deux faces


LES FORMULES DU PRISME : sont en contact avec l’air dévie
vers sa base tout rayon
Face d’entrée Face de sortie lumineux qui le traverse.
A Légende :
N N’
S I : rayon incident
I I’ D
i I’ R : rayon émergent
Air
r i’ Air
r’
A : Angle du prisme
S D : Déviation totale du rayon
R
Incident
n
i : Angle d’incidence

i ’ : Angle d’émergence

n : Indice absolu du verre


Cas général Cas de déviation minimale

 Sin i = n sin r i = i’  Dm = 2i – A
r = r’  A = 2r Un prisme est utilisée au
 Sin i’=n sin r’
 Dm  A  minimum de déviation si i = i’
 A = r + r’ sin  
 2 
n  Ce qui implique r = r’.
 D = i + i’ – A
 A
sin  
 2 
D est alors noté Dm

42
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E– 1/
1) Construire la marche d’un rayon lumineux à travers un prisme dont les deux faces sont en
contact avec l’air. On admettra que ce rayon sort du prisme. Conclure.

2) Soit A l’angle du prisme et n, l’indice du verre. Etablir les formules du prisme. En déduire les
formules d’approximation de Kepler (faible angle du prisme et faible angle d’incidence)

3) A quelle condition la déviation D est-elle minimale ?

4) Exprimer alors l’angle du prisme et la déviation minimale dans ces conditions.

E– 2/
Les caractéristiques d’un prisme dont les deux faces sont en contact avec l’air sont : A=50° n = 1,5.

1) Calculer l’angle d’incidence pour que le rayon sorte du prisme en faisant un angle de 60° avec la face de
sortie.
2) Calculer alors la déviation.

E– 3/

Un rayon lumineux tombe normalement sur la face d’entrée d’un prisme. L’angle d’émergence est
i’=48°.
1) Faire un schéma de la situation en y représentant le trajet du rayon.

2) Calculer l’angle au sommet du prisme sachant que l’indice du verre est n=1,52.

E– 4/

Un rayon de lumière monochromatique tombe sur une face du prisme en verre d’indice N.

1) Qu’est-ce qu’une lumière monochromatique ?

2) Comment un prisme dévie-t-il un rayon de lumière monochromatique qui le traverse ?

3) On réalise le réglage du rayon incident de façon à ce que l’angle d’émergence i’ soit égal à
l’angle d’incidence i = 30°.
La mesure précise de la déviation D et de l’angle du prisme A donne :
D = 27°43’ A = 40°13.
Calculer N et tracer la marche du rayon.

E– 5/

Un rayon lumineux pénètre dans un prisme d’indice n=1,5 et d’angle A, sous une incidence i = 30°.

1) On admettra d’abord que les deux faces sont en contact avec l’air. Construire en se justifiant,
la marche de ce rayon dans les deux cas suivants : 1er cas : A = 60° 2ème cas : A = 90°.

2) On plonge maintenant le prisme dans l’eau d’indice 4/3. Q


Calculer l’angle d’émergence i’ et la déviation angulaire D en prenant A = 60°.
E– 6/
On fait tomber sur la face d’entrée d’un prisme PQR en verre d’indice n=1,42 60°
et d’angle au sommet Q égal à 60°, un rayon SI tel que celui-ci fasse avec I
PQ un angle de 30°.

1) Calculer les angles nécessaires . S

2) Effectuer le tracé et représenter la déviation angulaire D. P R

43
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3) Calculer la valeur de D.
E– 7/

Un prisme dont la section principale est un triangle équilatéral est posé sur un miroir plan.

1) Tracer la marche d’un rayon lumineux traversant le prisme et se réfléchissant sur le miroir.

2) Montrer que, dans le cas du minimum de déviation, le rayon réfléchi sur le miroir est parallèle
au rayon qui tombe sur le prisme.

3) La condition de la deuxième question étant réalisée, on constate que le rayon réfléchi fait un
angle de 18° avec le miroir. En déduire l’indice du prisme.
E– 8/
Soit un prisme d’angle au sommet 60°, et d’indice n=1.5.
1) Donner les valeurs des angles d’incidence, d’émergence et de déviation dans les cinq cas
suivants :

1er cas : Incidence rasante 2èmecas : Incidence normale 3ème cas : Minimum de déviation
4ème cas : Emergence rasante 5èmecas : Emergence normale.

2) Faire un schéma correspondant à chaque cas de figure.


3) Tracer la courbe de variation de la déviation en fonction de l’angle d’incidence.

E– 9/
Un faisceau lumineux tombe sur un prisme en verre d’indice n= 2 et d’angle A = 60°.

1) Pour quelle valeur de l’angle d’incidence, la déviation est-elle minimale ?


Calculer cette déviation. A

2) Entre quelles limites doit se trouver la valeur de l’angle d’incidence pour 60°
que le faisceau sorte du prisme. 45°

3) On accole à ce prisme une cuve en forme de prisme et d’angle A’=45°,


A’
remplie d’eau d’indice 1,33.
Le rayon incident frappe normalement la face d’entrée. Calculer la déviation.

E– 10/
Un faisceau parallèle de lumière rouge tombe sur un prisme d’angle égal à 30° disposé au minimum

de déviation. Quelle est la déviation du faisceau sachant que l’indice du prisme pour la radiation rouge

considérée est nR =1,51

E– 11/ Un rayon lumineux tombe sur un prisme en verre d’indice n=1,5 et d’angle A = 60°.

1) Calculer la déviation correspondant aux angles d’incidence i suivants : 30° ; 45° ; 60° ; 90°.
2) Tracer la courbe D = f ( i ) et en déduire une valeur approchée de la déviation minimale et de
l’angle d’incidence correspondante.

E– 12/
Le prisme à déviation constante de la figure ci-contre reçoit un rayon C
lumineux sur sa face AB. Ce rayon réfléchi par la face BC, sort par AC. B
1) Montrer que les angles  1 et  2 sont égaux si l’on a c
2
n
sin  1  .
2
2) Quel est alors l’angle entre les deux rayons incident et émergent 1
A

44
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THEME IV/ LES LENTILLES SPHERIQUES MINCES

Objectifs : – Connaître les caractéristiques des lentilles convergentes et divergentes


– Déterminer les caractéristiques de l’image d’un objet à travers une lentille p ar
une méthode graphique
– Déterminer les caractéristiques de l’image d’un objet à travers une lentille par
une méthode algébrique

NOTIONS ESSENTIELLES
Une lentille a deux faces. Une face sera dite :
Formule de position :
 Convexe si elle est bombée
 Concave si elle est creuse
 Plane si elle est rectiligne 1 1 1
C   
' '
OF OA OA
Une face est caractérisée par son rayon de courbure R
C : Vergence de la lentille
(en dioptries  )
Face convexe Face concave Face plane
R  0 R  0 R  
OF ' : Distance focale

OA ' : Position de l’image

Lentille convergente Lentille divergente


OA : Position de l’objet

Vergence :
Aspect Bords minces Bords épais ( larges )
 1 1 
C   n  1   
 
R
 1 R 2 

Types
Lentille plan Ménisque Lentille plan Ménisque n : Indice absolu du verre
biconvexe convexe convergent biconcave concave divergent


R1 et R2 : Rayons de courbure
des faces (en m)

Symbole
 
Formule de grandissement :

 
OA
'


'
A B
'

Transforme un faisceau lumineux incident Transforme un faisceau lumineux OA AB


parallèle en un faisceau convergent incident parallèle en un faisceau


divergent
AB : Hauteur de l’objet


Propriété F’
F 0 F’ 0 F
A ' B ' : Hauteur de l’image

  : Grandissement

L’axe principal perce la lentille au


point O appelé centre optique de la
lentille.
0 F   0 F ' : Les foyers principaux image (F’) et objet (F) sont symétriques par rapport au

centre optique O.
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Nature de l’objet et de l’image : La nature de l’objet ou de l’image est fonction de leur position
et du sens de propagation de la lumière et non de la nature de la
lentille.

Objet réel : 0A  0 Objet virtuel : 0 A  0


Sens de Axe principal
Lentille propagation
Image virtuelle : 0 A '  0 Image réelle : 0 A '  0

Sens et grandeur de l’image :

Sens Grandeur

  0   0   1  1  1

Image de même Image plus petite Image plus


Image renversée Image droite Grandeur que que l’objet grande
l’objet que l’objet

Foyers et plans focaux :

Foyer principal Foyer principal Plan focal Plan focal Distance focale vergence
image F’ objet F image objet

LC réel réel réel réel ' C  0


0F  0

LD virtuel virtuel virtuel virtuel ' C  0


0F  0

Plan focal : Un plan focal (objet ou image) est un plan qui contient un foyer principal (objet ou image)

et est perpendiculaire à l’axe principal.

Axe secondaire : Un axe secondaire est une droite, autre que l’axe principal, passant par le
centre optique O

Foyer secondaire : Un foyer secondaire est un foyer, autre qu’un foyer principal et contenu dans un
plan focal.
Définition :

Deux lentilles minces sont dites


Théorème des vergences : accolées si leurs centres optiques
sont confondus.
Plusieurs lentilles minces accolées équivalent à une lentille unique
de vergence égale à la somme des vergences de ces lentilles. Grandissement total :

C = C1+ C2+… Le grandissement total de deux


lentilles minces non accolées est
égal au produit des grandissements
de ces lentilles.

46
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E– 1/ Reproduire les schémas et construire les rayons nécessaires.

1 Image Image
réelle 0 A   virtuelle
A’ située au A’ située au
+ + + + foyer + + 0 + + foyer
F 0 F’ principal F’ F principal
0 A   B’ 0bjet réel image F’ B’ 0bjet virtuel image F’

2 B
B Image Image
0A  2 0F '
F A’ F’ - réelle A’ - virtuelle
A + + 0 + + - réduite + + + + A - réduite
- renversée F’ 0 - renversée
B’ F
0bjet réel B’ 0bjet virtuel
0 A  20 F '

3
B
B Image 0A  2 0F ' Image
- réelle - virtuelle
A’ A’
A+ + +F’ + - de même + - de même
F 0 + +
grandeur
F’ 0 A grandeur
B’ F
- renversée - renversée
0 A  20 F ' 0bjet réel B’ 0bjet virtuel

4
B 0F '  0A  2 0F ' B
Image Image
A’ - réelle - virtuelle
+ A + +F’ + A’
F 0 - agrandie + + + + - agrandie
F’ 0 A
B’ - renversée - renversée
0 F '  0 A  20 F ' 0bjet réel F0bjet virtuel
B’

5
0A  0F '
Image B Image
B virtuelle virtuelle
0
+ A + + à l’infini F’ à l’infini
F F’ + + 0 +
AF +
0A  0F ' 0bjet réel 0bjet virtuel

6 B’
B’ 0A  0F '
Image B Image
0A  0F ' - virtuelle - réelle
B
- agrandie - agrandie
+ + + + + + +
+ - droite F’ 0 A F A’ - droite
A’ F A 0 F’
0bjet réel 0bjet virtuel

7 B
B’ 0A  0 Image
0A  0 Image B B’
- virtuelle
- réelle
+ + + + A + + + - réduite
0 A’ F’ A - réduite 0 +
F F’ F - droite
- droite A’
0bjet virtuel 0bjet réel
E– 2/

47
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1- Tracer la marche des rayons lumineux dans les 2 cas suivants où S est le point objet et S’ son
point image.
S’
S
F O O F’

2- Compléter les figures suivantes en faisant apparaître tous les rayons nécessaires.

F F’
+ 0 + F F’ F F’
+ 0 + + +
0

F’ F F’ F
+ 0 + F’ F
+ + + 0 +
0

E– 3/

a) b) c) d)

1- Classer les lentilles ci-dessus en lentilles convergentes et divergentes. Donner un nom à


chaque lentille.
2- Comment peut-on les distinguer au toucher ?
3- Leurs rayons de courbure sont : a) 12,5cm et 25 cm ; b) 20cm ; c) 10cm et 20 cm ; d) 10cm et
20cm. Calculer la vergence et la distance focale de chaque lentille sachant que l’indice du
verre vaut n=1,5.
E– 4/

Une lentille convergente a pour distance focale 10cm. On place à 15cm devant cette lentille un objet
AB de 2cm de hauteur.
1- Déterminer les caractéristiques (position, nature, sens, grandeur) de l’image A’B’ formée par
cette lentille.
2- Vérifier les résultats à l’aide d’une construction graphique. Préciser les échelles utilisées.

E– 5/

Une lentille divergente a pour distance focale 10cm. On place à 15cm derrière cette lentille un objet
AB de 2cm de hauteur.

1- Déterminer les caractéristiques (position, nature, sens, grandeur) de l’image A’B’ formée
par cette lentille.

2- Vérifier les résultats à l’aide d’une construction graphique. Préciser les échelles utilisées.

E– 6/

1- Enoncer le théorème des vergences.


48
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2- On accole une lentille convergente de vergence C = 8 δ à une lentille divergente de vergence
C’. La lentille équivalente donne d’un objet AB une image A’B’ réelle et renversée telle que :
OA = – 37cm et OA ' =+ 58cm. Calculer C’.

E– 7/

On souhaite projeter sur un écran une image agrandie d’une diapositive. On dispose à cet effet d’une
lentille mince de distance focale f ‘ telle que f' = 20 cm.
1- Quel type de lentille doit-on utiliser ?
2- L’écran est à 1 m de la lentille. Calculer la position de l’objet par rapport à la lentille.

E– 8/
Un appareil donne d’un objet AB une image A’B’. Le grandissement est  = 1. La distance de l’objet
à l’image est d= 60cm.
1- Si O est le centre optique de la lentille mince équivalente à l’objectif de l’appareil, calculer OA
et OA ' .
2- Calculer la distance focale de l’objectif de cet appareil photographique.

E– 9/

Une lentille convergente de 20cm de distance focale donne d’un objet une image 4 fois plus grande.
Quelles sont les positions de l’objet et de l’image si :
1- l’image est réelle
2- l’image est virtuelle NB. On précisera dans chaque cas la nature de l’objet.
E– 10/
Une lentille divergente de distance focale OF ' = – 10 cm donne d’un objet une image 5 fois plus
grande. Quelles sont les positions de l’objet et de l’image si :
1- l’image est réelle
2- l’image est virtuelle NB. On précisera dans chaque cas la nature de l’objet.

E– 11/

La distance entre la lentille d’un projecteur de diapositives et l’écran est de 4m et la distance focale du
projecteur est de 10cm.
1- A quelle distance de la lentille faut-il placer la diapositive pour que l’image soit nette sur
l’écran ?
2- Calculer le grandissement.
E– 12/
On voudrait déterminer de deux façons différentes la distance focale d’une lentille convergente L, en
utilisant une même lentille divergente L’ de vergence – 8  . Pour cela, on réalise deux expériences :

1ère expérience :

Les deux lentilles sont distantes de 27,5cm, L’ est à droite de L, leurs axes principaux confondus. Une
source ponctuelle S placée sur l’axe principal à 40cm du centre optique de L émet un faisceau
lumineux divergent qui traverse d’abord L et ensuite L’.
1- Sachant que le faisceau qui émerge de L’ est un faisceau parallèle, dans quel plan particulier
de L’ s’est formée l’image S’ de S donnée par L’ ?
2- Calculer la distance focale de L.

2ème expérience :

On accole à la lentille L la lentille L’. Le système obtenu donne d’un objet AB virtuel, une image A’B’
virtuelle, renversée et deux fois plus grande que l’objet. Sachant que la distance de l’objet AB à
l’image A’B’ est 150 cm :
49
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1- Calculer les positions de l’objet et de l’image par rapport au centre optique O du système.
2- Calculer la vergence du système.
3- En déduire la distance focale de la lentille L.

E– 13/

On veut déterminer la distance focale f ’ d’une lentille convergente. Pour cela on dispose d’un objet
lumineux AB et d’un écran E séparés par une distance fixe D. On déplace entre l’objet et l’écran la
lentille dont on cherche la distance focale. On remarque qu’il y a deux positions O1 et O2 de la lentille,
D
symétriques par rapport au milieu I situé à , qui donnent une image nette sur l’écran. La distance
2
entre ces deux positions sera notée d.

1- Faire un schéma de la situation où figureront l’objet AB, l’écran E, leur distance D, le point I et
la distance d.
2- Montrer que les deux positions O 1 et O2 n’existent que si D  4 f ’. Quelles sont ces positions ?
3- Exprimer la distance focale f ‘ de cette lentille en fonction de D et d.
Faire l’application avec D = 2 m et d = 0,8 m.
4- Déterminer le grandissement dans chacune des positions de la lentille.
5- Etudier le cas où D = 4 f ‘. Quel sera alors le grandissement ?

E– 14/

1- Sur un banc d’optique, un objet AB et une lentille sont perpendiculaires au banc, A étant sur
l’axe optique de la lentille. On constate en nettoyant la lentille qu’elle est plus épaisse au
centre que sur les bords. Conclure.
2- La lentille est placée dans une position déterminée puis on déplace l’écran pour obtenir une
image nette. On réalise ainsi plusieurs mesures consignées dans le tableau suivant :

a. Compléter le tableau en prenant comme sens positif, le sens de la propagation de la lumière


1 1
b. Représenter graphiquement  f ( ) . Echelle : 1 cm pour 1 m -1.
OA ' OA

c. En déduire la vergence et la distance focale de cette lentille. Le résultat obtenu est-il en


accord avec le nombre +8 gravé sur la monture de cette lentille ?

AO cm 13,5 14,5 16 18 20 25 30 40 60

AA ' cm
159 98 69 58 53 50 51,6 58,5 76

OA cm
OA ' cm
1 1
(m )
OA
1
(m–1)
OA '

50
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THEME V/ L’cŒIL REDUIT


2
SCHEMA DE L’ŒIL REDUIT :
1
Intervalle de vision distincte ou
3
P.R zone d’accommodation P.P
Axe visuel
+ +
Vision
Vision nette
floue 1 = Pupille ou diaphragme
de l’œil
dm 2 = Cristallin ou lentille
Vision convergente de l’oeil
floue 3 = Rétine ou écran de l’oeil
Dm

 Accommodation : Modification de la vergence du cristallin pour permettre la formation des images


nettes sur la rétine.
 P.R = Punctum Remotum: Point le plus éloigné que l’œil voit nettement sans accommoder. Il est
situé à la distance maximale de vision distincte (Dm)
 P.P = Punctum Proximum: Point le plus rapproché que l’œil voit nettement en accommodant au
maximum. Il est situé à la distance minimale de vision distincte (dm)
 Pouvoir séparateur de l’œil : Plus petite distance angulaire de deux points vus séparément. Il est
encore appelé « limite de résolution de l’œil »

DEFAUTS D’ACCOMMODATION DE L’ŒIL :

Les limites de vision distincte d’un œil normal sont telles que le PR est à l’infini et le PP à 25 cm. Lorsque la
vision distincte ne correspond plus à ces limites, l’œil n’est plus normal. Il présente des anomalies ou
défauts d’accommodation. On distingue : La myopie, l’hypermétropie et la presbytie.

1 2 3 4 5 6 7

L’image d’un Qualité attribuée Convergence PP Vision Vision des Correction


objet situé à à l’œil des objets
l’infini objets rapprochés
éloignés

Se forme en Plus Lentille


Myopie avant de la L’œil de Plus rapproché Floue nette divergente
rétine profondeur trop convergent de distance
longue que l’œil focale
normal OF’ = – Dm

Se forme en Moins Lentille


Hyperm étropie arrière de la Œil de profondeur convergent Plus convergente
rétine trop courte que l’œil éloigné Floue Floue
normal

Perte de Lentille
Presbytie Se forme sur la souplesse et Moins convergente
rétine d’élasticité des convergent Plus pour un œil
muscles que l’œil éloigné nette Floue normal
Ciliaires (due à normal devenu
l’âge) presbyte

NB : Un œil myope ou hypermétrope muni du verre correcteur voit à l’infini sans accommoder
51
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E–1 : Choisir la ou les bonnes réponses.

1- Le cristallin de l’œil est une lentille : a) convergente b) double c) divergente

2- Le PR correspond à : a) un minimum de la vergence du cristallin b) un maximum de la


vergence du cristallin.

3- La presbytie peut affecter un œil : a) normal b) myope c) hypermétrope

4- Pour un œil presbyte, la vision des objets rapprochés est : a) Nette b) floue

5- Pour un œil myope la vision des objets rapprochés est : a) nette b) floue

6- Un œil hypermétrope est : a) plus convergent b) moins convergent …que l’œil normal

7- Le PP d’un œil myope est : a) rapproché b) plus éloigné

8- Pour corriger un œil myope on utilise : a) une lentille convergente b) une lentille divergente

9- Pour corriger l’hypermétropie on utilise des lentilles : a) convergentes b) divergentes

10- Entre le PP et le PR la vision des objets est : a) nette b) floue

11- Un œil dont le PR est à 5m est : a) normal b) myope c) hypermétrope

12- Un œil dont le PR est à l’infini et le PP est à 80cm est un œil : a)myope b) presbyte c) hypermétrope
13- La distance minimale de vision distincte est la distance entre le centre optique du cristallin et :
a) la rétine b) le PP c) le PR

14- L’image d’un objet dans l’œil se forme sur : a) la cornée b) le cristallin c) la rétine

15- Un œil myope est un œil de profondeur : a) courte b) moyenne c) longue

E– 2 :
Définir : Accommodation – Ponctum proximum – Ponctum remotum – Pouvoir
séparateur de l’œil.

E–3 :
Grouper deux à deux les mots : a) pupille ; b) lentille ;c) rétine ; d) écran ; e) cristallin ; f) diaphragme.

E–4 :
La distance cristallin–rétine d’un œil normal est constante et égale à 15mm. Calculer la vergence
minimale et la vergence maximale du cristallin.

E– 5 : Un œil a pour distance minimale de vision distincte dm =10cm. Son pouvoir séparateur est
 =1’. Quelle est la plus petite distance de deux points que cet œil peut séparer ?

E– 6: Pour l’œil d’un enfant, le PP est situé à 10cm et le PR à 5m.

1- De quelle anomalie souffre-t-il ? Donner la nature, la distance focale et la vergence du


verre correcteur.
2- Schématiser la situation avant et après la correction.
3- Quelle est alors la nouvelle position du PP de l’œil corrigé ?
E– 7 :
L’hypermétropie est le défaut d’un oeil peu profond ou encore, d’un oeil dont le cristallin n’est pas
assez convergent. La distance minimale de vision distincte d’un œil hypermétrope est de 0,50 m.
Quelle est la vergence de la lentille à lui adjoindre pour la lecture d’un journal à 25cm.
Schématiser la situation avant et après la correction.

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E– 8 :

L’œil d’un observateur voit nettement entre 8,5cm et 21 cm.

1- Quel est son défaut ? Quelles sont la nature et la vergence de la lentille correctrice supposée
à 1cm de l’œil qui voit à l’infini ?
2- Quel est le nouveau champ de vision distincte pour cet œil corrigé?

E– 9 :
Un œil est équivalent à une lentille dont le centre optique est à une distance δ =1,52cm du fond de
l’œil et dont la distance focale serait f1 =1,50cm quand il n’accommode pas, f2 =1,415cm quand il
accommode au maximum. Quelles sont les limites de vision distincte ? Conclusion.

E–10 :

Un être dont la vision est normale de 25cm à l’  , porte par fantaisie des verres de vergence C= – 2δ.

1- Où se trouve l’image à travers ces verres d’un objet situé à l’infini ?

2- Pour quelle position de l’objet a-t-on une image située au PP ?

On rappelle que la profondeur d’un œil normal est de 15mm.

E–11 :
La distance minimale de vision distincte d’un œil hypermétrope est à 60cm au lieu de 25cm. Par
ailleurs, quand il regarde un objet à l’infini, l’image se forme derrière la rétine à 18mm derrière le
centre optique du cristallin alors que la rétine est à 16,7mm de celui-ci.

1. Quelle est la vergence de la lentille correctrice qui permet à cet œil de regarder à l’infini sans
accommoder ?
2. Où se trouve son PP lorsqu’il porte ses verres ?

E– 12 :
Une personne âgée ne peut voir les objets distinctement que si ces objets sont éloignés.

1. Quelle est la vergence des verres correcteurs qu’elle devrait porter pour lire sans effort à
25cm ?

2. Si une personne ayant une vue normale portait ces verres, quelles seraient les distances
limites auxquelles elle pourrait voir distinctement les objets ?

E– 13 :

1- Une personne porte des verres correcteurs de vergence – 2δ. De quelle anomalie soufre-t-
elle ?

Quelle est sa distance maximale de vision distincte sans lunettes ?

2- L’œil d’une personne souffrant d’hypermétropie a un PP situé à 2,10m. Calculer la distance


focale de la lentille de contact nécessaire pour ramener ce PP à 25cm.

3- Le PR de l’œil gauche d’un gamin est situé à 4m de l’œil, celui de l’œil droit à 5m. De quelle
anomalie d’accommodation souffre-t-il ? Indiquer les vergences des lentilles de contact
appropriées.

4- Pour ramener le PP de son œil à 25cm, un hypermétrope utilise des verres convergents de
distance focale 2δ. Quelle est la position du PP de cet œil sans lunettes ?

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THEME VI/ LES INSTRUMENTS D’OPTIQUE

Les Objectifs :

- Définir les grandeurs caractéristiques d’un instrument d’optique


- Décrire quelques appareils optiques et expliquer leur principe
- Construire l’image d’un objet à travers un instrument d’optique
- Calculer le grossissement et la puissance d’un instrument d’optique

NOTIONS ESSENTIELLES/
Mettre au point un appareil
Grandeurs caractéristiques d’un instrument d’optique :
optique c’est amener l’image de
Latitude de mise au point : C’est la distance entre les positions extrêmes
l’objet observé entre le PP et le PR.
de l’objet correspondant à une vision distincte.

'
Grossissement d’un appareil optique : G  (α et α’ en rad)

α': diamètre apparent de l’image
'
Puissance d’un appareil optique : P  (P en dioptries  ) α : diamètre apparent de l’objet
AB
vu par l’œil nu placé au PP
NB : La puissance sera dite intrinsèque si l’image est formée à l’infini.
AB : hauteur de l’objet (en m)
ETUDE DE LA LOUPE :

Une loupe est conçue pour observer les détails difficilement visibles à l’œil nu. Puissance intrinsèque de la loupe:

Une loupe est une lentille convergente de faible distance focale. 1


Pi 
0F '
Une loupe donne d’un objet réel, une image virtuelle, droite et agrandie.

Pour cela l’objet doit être situé entre la loupe et son foyer principal objet.

B’

+ +
A’ F
A 0 F’

Puissance d’un microscope :


ETUDE DU MICROSCOPE :
P  Poc .  ob
Un microscope est conçu pour observer les objets invisibles à l’œil nu.
P0c : puissance de l’oculaire
Un microscope est constitué de 02 lentilles convergentes :

 L’objectif : placé près de l’objet, a une faible distance focale.  0b


: Valeur absolue du

 L’oculaire : placé près de l’œil, a une distance focale plus grande. grandissement de l’objectif

L’oculaire joue le rôle de loupe.

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objectif oculaire

AB : objet réel invisible à


B
l’œil nu
A’ F 1’ F 2 A 1
+ + + + A1B1 : image intermédiaire
A 01 F2’
F1 02
A’B’ : image définitive,
B1
virtuelle et agrandie

B’ Puissance intrinsèque d’un


microscope:

Puissance intrinsèque d’un microscope: 


Pi  ' '
L’image définitive A’B’ est formée à l’infini. Pour cela A1B1 doit être formée au foyer 01 F 1 x0 2 F 2

principal objet de l’oculaire.


Δ = F’1F’2 : Intervalle optique
Grossissement commercial d’un microscope:

Le grossissement commercial correspond au grossissement de l’objet situé à la Grossissement commercial


distance minimale de vision distincte d’un œil normal . d’un microscope:

L’objet est alors situé au PP (d =25cm=1/4m)


P
Gc  ou
ETUDE DE LA LUNETTE ASTRONOMIQUE : 4
Gc  Gc 0c
. 0b
Une lunette astronomique est conçue pour observer les objets situés à l’ 

Une lunette astronomique est constituée de 02 lentilles convergentes : Lunette afocale :

 L’objectif : placé près de l’objet, a une grande distance focale. Une lunette est dite afocale si

 L’oculaire : placé près de l’œil, a une distance focale plus faible. elle donne d’un objet situé à

L’oculaire joue le rôle de loupe. l’infini une image située à

l’infini.
Principe d’une lunette afocale : F’ 1 ,F2 et A 1 sont tous confondus
Distance entre les centres
optiques d’une lunette
objectif oculaire afocale :

 0 10 2
 01 F
'
1  0 2
F
'
2

A1
F 1’ F 2 0 10 2  f1  f 2
+ + +
F1 01 02 F2’ Grossissement d’une lunette
afocale :
B1
'
01 F 1 f1
G  '

02 F 2 f2

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E– 1 : Dire si les affirmations suivantes sont vraies ou fausses.

1- L’objectif est le système optique situé près de l’œil.

2- Une lunette est dite afocale lorsque le foyer image de l’objectif coïncide avec le foyer image
de l’oculaire.

3- Dans un microscope l’objectif joue le rôle de loupe.

4- La puissance d’un microscope est égale au produit de la valeur absolue du grandissement de


l’objectif par la puissance de l’oculaire.

5- Le grossissement d’une lunette afocale est égal à la distance focale de l’oc ulaire divisée par
celle de l’objectif.

E– 2 / Choisir la (ou les) bonne(s) réponse(s)

1- Le microscope donne une image définitive : (i) Réelle (ii) Agrandie (iii) Droite

2- Le grossissement commercial d’un appareil d’optique correspond une observation à :

(i) 15cm (ii) 25cm (iii) 50cm.

3- L’oculaire est le système optique situé près de : (i) L’objet (ii) L’image (iii) L’œil.

4- La puissance et le grossissement commercial d’un microscope sont liés par :

(i) Pi = 4Gc (ii) Pi = Gc/4 (iii) 0,25Pi = Gc

5- La distance focale de l’objectif d’une lunette astronomique est de l’ordre du :


(i) mm (ii) cm (iii) m

E–3 / Définir les mots et expressions suivantes :

Mise au point – Grossissement – Lunette afocale

Puissance d’un appareil d’optique – Puissance intrinsèque.

E– 4 /

Deux lentilles de distances focales 2 cm et 180 cm sont utilisées pour construire une lunette
astronomique. Attribuer à l’objectif et à l’oculaire la distance focale convenable.

E– 5 /
Dans un microscope, un objectif marqué (x20) est combiné avec un oculaire marqué (x60).

1. Donner la signification de chaque indication.

2. Calculer le grossissement de ce microscope.

E– 6 /

Le diamètre apparent d’un objet observé à l’œil nu et placé à 25cm de l’œil est α = 3.10 –3rad.

Le diamètre apparent du même objet à travers un microscope est α’ = 0,9 rad.

Calculer le grossissement et la puissance de ce microscope.

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E– 7 /

La puissance d’un microscope est P=1500 δ. Un objet AB est vu à travers ce microscope sous un
diamètre apparent α’ = 0,25 rad. Calculer :

1- Le grossissement commercial du microscope

2- Le diamètre apparent de l’objet observé à l’œil nu à 25 cm.


E– 8 :

Une loupe a une distance focale de 3cm. Elle est placée à 2cm d’un objet AB de 8mm de hauteur.

1- Faire à l’échelle 1/1, la construction de l’image de cet objet.

2- Donner la position, la nature et la grandeur de l’image. Calculer la puissance de cette loupe.

E– 9 /

Une lunette astronomique est constituée d’un objectif de distance focale 200cm et d’un oculaire de
distance focale 4cm. Lorsque la lunette est afocale calculer la distance entre les centres optiques
O1O2 des deux lentilles ainsi que le grossissement de cette lunette.

E– 10/

Un microscope d’intervalle optique Δ = 15cm est constitué d’un objectif de distance focale 2mm et
d’un oculaire de distance focale 3cm. Un globule rouge, invisible à l’oeil nu, a un diamètre apparent
égal à 2,1.10–5rad. Calculer :

1- La puissance intrinsèque puis le grossissement commercial du microscope.

2- Le diamètre apparent du globule rouge observé à travers le microscope.

E–11/

Une lunette astronomique possède un objectif ayant une distance focale de 1,2m et un oculaire ayant
une distance focale de 12cm. La distance entre les centres optiques des deux lentilles est de 1,48cm.
Un objet ayant une grandeur de 10cm est placé à une distance de 8,4m devant l’objectif.

1- Quelle est la position de l’image formée par l’objectif de la lunette astronomique.

2- Quelle est la position de l’image observée dans l’oculaire de la lunette.

E–12/

On considère une lunette astronomique dont les caractéristiques sont : Objectif : 100cm ; oculaire : 5cm.

1- Définir « lunette afocale » et calculer la distance entre les centres optiques pour que la lunette
soit afocale.

2- Calculer le grossissement dans ces conditions.

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M ECANIQUE 1

E–8/ 1) Schéma de la situation :


E–1/ En translation le travail de la force F
y
R
s’exprime par : W = F.d.cos ( F , AB )

a) 3,6 J b) –3,6J c) 1,8 J d) 0 e) –2,5 J. R n

E–2/ En rotation le travail de la force F s’exprime x’ F x

par : W = M 
F x 
 
P
f
avec M  F  F . R et   2  n
a) 31,4 J b) 3,77 J c) 452,2 J
P

E–3/ W = M 
F x  =2  n FR = 791,3J y’ :
2) a) Intensité de chaque force
p
P=mg =1,2.103 N. F=  480 N
E–4/ En translation la puissance d’une force v
p D’après le principe de l’inertie : F  R n  P  f  0
s’exprime par P  F .v . F= =1,3.103 N
v Suivant y’y : Rn= P = mg =1,2.103 N
E–5/ En rotation la puissance d’une force
Suivant x’x : f = 480 N.
s’exprime par : P  M 
( F ). avec   2  N
W P  W Rn  0
F   2 ,39 N .m F   2 ,39 N .m
b)
a) M 
b) M 
W F  8 ,16 . 10 J W f   8 ,16 . 10 J
5 5

c) M 
F   15 N .m d) M 
F   143 ,3 N .m c) Coefficient de frottement :  
f
  40 %
Rn

E–6/ 1°) W = W d( F 1 ) + W d( F 2 ) d) Réaction totale : Rn = Rn ²  f ² Rn =1292 N.


W d( F 1 ) = F1.d. cos45° et W d( F 2 )=F2.d. cos30° E–9/ 1) Bilan des forces extérieures :
W = 9242 J.
– Poids de la camionnette :
– Force motrice :
2°) W d( F 3 )=F3.d. cos30° F3 = 213 N – Réaction normale de la route
P
– Force de frottementF :
E–7/ : Rn

y f
F x
y
x
F
60° R R n

f
y’  
30° x’
y’ 30° x’ 2) D’après le principe de l’inertie :
P  = 6,89°
F  Rn  P  f  0 sin   0 ,12
P Intensité de la force motrice :
Le chariot est en mouvement rectiligne uniforme.
Suivant x’x :F – f –mgsin  = 0 . F = 1260 N
D’après le principe de l’inertie  F ext  0 .
Intensité de la réaction normale :
 F  R  P  0
Projetons cette relation suivant x’x : Suivant y’y : Rn= P cos  = mg cos  Rn = 7942 N

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F cos 60° – mg sin 30° = 0

F = 1 N.

3) Puissance de la force motrice : E–12/

P = F. v P = 25,2 KW 1) Schéma de la situation :

4) Calcul des travaux des forces :


0
A θ
a) W R n  0 b) W F  2520 KJ h
c) W f   600 KJ d) W P   mgd sin  r R I
M

W P   1920 KJ P B
f
5) Coefficient de frottement :     3 ,8 %
Rn 2) Travail de R :

E–10/ W AB( R ) = 0 car R  au déplacement

Calculons les travaux des forces : Travail du poids :

W F1 = M 
F x   F1 R ( 2  n ) W AM( P ) = + mgh or h = 0I = r sin 
W F 1 = 20 J.
 W AM( P ) = + mg r sin  .
W F2 = 0 car F 2 rencontre l’axe de rotation 

2) Application numérique: En B  = 90°


W F3 = M 
F x 
3
 F 3 R ( 2  n ) sin 60 

W F 3 = 21,75 J. W AM( P ) = 0,1225 J

E–11/

1) Schéma de la situation
0
30° T
A
I
h
B
P
2) Travail de T :

W AB( T ) = 0 car T  au déplacement.

Travail du poids :

W AB( P ) = + mgh or h = 0B – 0I
= L(1–cos 30°)
3) Application numérique:
 W AB( P ) = + mg L(1–cos 30°)

W AB ( P ) = 0,525 J

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M ECANIQUE 2

E–1/ Quantité de mouvement : P = mv E–6/


1) Ec = Ec T + Ec R  Ec = 3 π² m r² N²

P1=3,3.104 Kg.m/s P3=637,5 Kg.m/s 2) Ec = 6,6.10–2J.

P2=1,092.10–25 Kg.m/s P4=0 Kg.m/s 1


E–7/ Ec  mL ²  ² N ² Ec= 3,03 KJ
E–2/ 6
E–8/ Système étudié: (m 1 + m 2)
1 m2
1) En translation, Ec T = mv ² Ec T = 2,92.102J m1 V1
2
1 v
2) En rotation, Ec R = J ² avec   . x’ x
2 r  Avant le choc, la quantité de mouvement du système
1 v² est : P  m 1 V
Pour une roue, Ec R = J .2 1 0
2 r  Aprè le choc, la quantité de mouvement du système
Pour quatre roues, Ec R =8,6.104J est : P '  ( m 1  m 2 )V
3) Au total Ec = Ec T + Ec R Ec =86354,5 J  Il n’ya pas de frottement ; le système est pseudo
isolé : P '  P   m 1  m 2  V  m 1 V 1
E–3/
m1
Ec =
1
mv ²  V  .V 1
Lorsque la vitesse est v, on a : m1  m 2
2
Lorsque la vitesse est 2v, on a : 2
 La projection suivant x’x donne : V  V 1  12 m / s .
5
1 E–9/ Système étudié: (m 1 =100g + m 2=200g)
E’c = m ( 2 v )²  2 mv ²
2
On a alors E’c = 4 Ec E’c = 1520 KJ V1
m2
m1 V2
E–4/

1) Energie cinétique de translation : Avant le choc : P  m 1 V 1  m 2V 2

1 Après le choc : P '  ( m 1  m 2 )V


Ec T = mv ² avec v =r  or   2  N
2
 Ec T = 2m  ² r ² N² EcT = 2,36 J Le système étant pseudo isolé on a : P'  P

2) Moment d’inertie:
m 1V 1  m 2V2
 V  .
2 m1  m 2
J  mr ² J∆=1,92.10–3 Kg.m²
5 La projection suivant la direction primitive de m 1 donne :

3) Energie cinétique de rotation : m 1V 1  m 2 V 2


 V  Numériquement, V = –3,3 cm/s.
m1  m 2
1
Ec R = J   ² or   2  N
2 Conclusion :
 Ec R = 2 J∆ π² N² soit EcR =0,946 J
V  0 : Juste après le choc, les deux mobiles s’accrochent et
4) Au total Ec = Ec T + Ec R Ec = 3,3 J glissent dans la direction primitive de m 2 avec une vitesse de
3,3cm/s.
E–5/ 1) Ec = Ec T + Ec R  Ec = m r² ω²
2) Ec = 5,5.10–3J.

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E–10/ Système étudié: (C1 + C2) E–11/ Système étudié: ( He + H )

Faisons un schéma de la situation comportant les mHe V mH


deux routes x’x et y’y ainsi que la direction
(angle α) par rapport à y’y prise par les deux x’ x
camions immédiatement après la collision.
posons : V1 la vitesse de He après le choc et
y’
V2 celle de H après le choc.
m2
V2 Quantité de
mouvement Energie cinétique
m1 V1
x’ x
Avant le Ec =1/2 m HeV²
p = m He V
choc

m 1+ m 2 Après le p’ = m HeV1 + m HV2 Ec’ =1/2m HeV1²+1/2m HV2²
choc

V Le système est pseudo isolé : il y a conservation de la

y quantité de mouvement : m HeV1 + m HV2 = m He V (1)

1) Direction : Le choc est parfaitement élastique : il y a conservation de

Avant le choc : P  m 1 V 1  m 2V 2 l’énergie cinétique :


Après le choc : P '  ( m 1  m 2 )V 1/2m HeV1² + 1/2m HV2² = 1/2 m HeV² (2)

Le système étant pseudo isolé on a : P'  P


En arrangeant les équations (1) et (2), on aboutit au
système d’équations suivant :

 (m1+ m2) V = m1 V1 + m2 V2
mHe( V – V1)=mH V2 (1’)
Projection suivant x’x : ( m1+ m2) Vsinα = m1V1+ 0 mHe(V²–V1²) = mH V² (2’)

Projection suivant y’y : ( m1+ m2)Vcosα = m2V2+ 0 La résolution de ce système d’équations conduit à :

Le rapport membre à membre donne : m  m 2m


He H He
V1 = V V2 = V
m He
 m H
m He
 m H
m 1V 1
tan     =39,8°
m 2V 2
Conclusion : Après le choc, les deux camions V1=1,6 V V2 =0,6 V
s’accrochent et glissent dans une direction
faisant un angle de 39,8° avec la direction
primitive du camion 2. Conclusion :
Après le choc He s’avance avec une vitesse de
2) Vitesse : 1,6 V et H s’éloigne avec une vitesse de 0,6 V.

Chacune des deux relations précédentes fournit :

m 1V 1 m 2V 2
V  
( m 1  m 2 ) sin  ( m 1  m 2 ) cos 

V = 11,2 Km/h

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E–12/ E–13/
y Système étudié: Joan ( m=20Kg ; V1=4,8m/s) +
1) B Delor (m=60Kg ; V2=2,4m/s)
V1
J v1 v2 D
x
30°
A V 0
x 1) Etude du choc mou :

V2 a) p  m ( v 1  3 v 2 )
Avant le choc : C
Après le choc :
b) p'  4m v
P  mV P '  mV1  mV 2

c) v  1 / 4 ( v 1  3 v 2 ) V = – 0,6 m/s
Ec = ½ m V² E’c = ½ m V 1² + ½ m V 2²
d) V < 0: Après le choc, les deux enfants
s’accrochent et se dirigent dans la direction primitive de
DELOR.
Il n’y a pas de frottement ; le système (He + He) est
e) Variation d’énergie cinétique du système
pseudo isolé :
Avant le choc EcJ=230,4J et EcD= 172,8J  Ec=403,2J
P  P '  V  V1  V 2 (1) Après le choc E’cJ=3,6 J et E’cD= 10,8J  E’c=14,4 J
 Ec = – 388,8 J
Le choc est parfaitement élastique :
Il ya perte d’énergie cinétique du système à la suite
Ec = E’c  V² = V 1² + V2² (2) du choc.

D’après (1) V² = V 1² + V2² + 2 V1 . V2


(3) x2) 2) Etude du choc élastique :
En comparant (2) et (3), on constate que : V 1. V 2 = 0
a) Avant le choc : p  m ( v 1  3 v 2 )
 V1  V 2  V ,V   90 
1 2
   60 
Ec = ½ m (V 1² + 3V 2²)
2) Rapport des énergies :

Projetons la relation (1) suivant y’y : On obtient : Après le choc : p '  m ( v '1  3 v ' 2 )

V2 sin 30  1 E’c = ½ m (V’1² + 3V’2²)


V2sin   V1sin30°   
V1 sin 60  3
D’où le rapport des énergies :

2 b) V 1 ' =3/2 v 2 – 1/2 v 1


Ec 1 / 2 mV V2 1
  ( )² 
2 2
2 V 2 ' =1/2 v 1 + 1/2 v 2
Ec 1 1 / 2 mV 1
V1 3

c) V’ 1 = – 6 m/s V’ 2 = 1,2 m/s

Juste après le choc, Joan recule avec une vitesse de


6m/s et Delor s’avance avec une vitesse de 1,2m/s.

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M ECANIQUE 3

E–1/
E–5/ a) A 40 m du sol :
a) F b) V c) V d) V e) V

E–2/
a) Ep = + mgh Ep = 864 J
b) Ec = ½ mv² Ec = 54 J h
c) E = Ec + Ep E = 918 J
Niveau de
E–3/ référence
E = Ec + Ep E = mgh + ½ mv² = 7.103J
Ep = mgh = 200 J Ec = 0
E–4/
b) A 30 m du sol :
1) a) L’état de référence est le sol :
Ep = mgh = 150 J Ec = 50 J
h = 5m Ep = + mgh = 300 J
a) Au sol : Ep = 0 Ec = 200 J
Niveau de
référence E–6/

A l’équilibre, T = P ////
Or T = kx et P = mg /
2) a) L’état de référence est à 2 m au-dessus du sol :

mg T
 x  x = 0,2m.
Ep = + mgh = 180 J k
Niveau de 5m
référence
2m P
E–7/

Raideur du ressort : k = 60 N/m


2) a) L’état de référence est à 7 m au-dessus du sol :
1
Energie potentielle élastique : Ep = kx ² Ep = 0,3 J
Niveau de 2
2m référence E–8/
a) Constante de torsion du fil : M 
F   F .OM  C
h = 7m F .OM 0 ,16 x 0 , 2
5m  C  A.N : C 
 0 , 785
C= 0,041N.m
b) Energie potentielle du système :

1
Ep  C ² Ep = 1,26.10–2J
Ep = – mgh = – 120 J 2

2) Variation de l’énergie potentielle : ∆E sera 2 Ep


c) Elongation angulaire :     1, 2 rad
comptée négativement car le corps descend. C
E–9/
∆Ep = – mgh = – 600 J a) Ep = mgxsinα b) Ep(J)

5m
Ep = 50 x
sol c) Ep est maximale en A. 5–

5m Epmax= 19,2 J x(m)


0 +
0,1

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y
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E–10/ E–13/
B
x’
Rn

A
h
f x
B
  A
P
L’automobile doit partir de A à B : VA=0 VB = 36km/h a) Hauteur atteinte :

D’après le T.E.C., ½ m V B² – 0 = W AB( p ) + W AB( f )


D’après le T.E.C., ½ mV B² – ½ m V A² = W AB( P )
 ½ m V B² = mgxsin  – f.x
0 – ½ m V A² = W AB( P ) or W AB( P ) = – mgh
Or f =1,5%mg et sin  = 0,06  x = 111m.
VA²
h  h = 7,2m
E–11/ 2g
A b) Pourcentage de la côte à la montée :
h
Sin  = sinα =15%
L

h=50m
E–14/ VB = 2 gL sin 
 E–15/
B
A
1) Energie cinétique au point B :
Ec B – 0 = W AB( p ) = mgh EcB = 4.104J h

Vitesse en B : ½ mV²B = Ec B VB =31,6 m/s B Niveau de


référence
2) La vitesse réelle est inférieure à la vitesse obtenue
Théoriquement. Ceci est due à la présence des forces de
Frottement. a) Au cours de sa chute, il y a conversion
3) Intensité de la force de frottement : d’énergie potentielle en énergie cinétique, qui
devient maximale au sol.
D’après le T.E.C, Ec B – 0 = W AB( p ) + W AB( f ) b) Vitesse au sol : Le système est conservatif :
Ec B = mgh – f .L son énergie mécanique en A est la même en B

mgh  Ec 2EB
f 
B
f = 80 N EB = ½ mV B²  VB = VB =30m/s
L m
E–12/ c) E A =mgh h = 45m
a) Moment d’inertie du disque :
E–16/ Appliquer le théorème de l’énergie cinétique.
J∆ =½ m R² J∆ = 0,022 kg.m²
1) Vitesse en C : VC = 2 gh B
b) Moment de la force de frottement :
Vitesse en D: V D = 2 g (hB  hD )
D’après le TEC, Ec f – Ec i = W( f )
2) Vitesse en B: : V B = v ²  2 g (hB  h A )
0 – ½ J∆ ω² = W( f )

Or W( f ) = – M 
f  avec   2  n et ω = 2πN 3) Condition pour atteindre B: V B ≥ 0.
 v ²  2 g (hB  h A )  0  v  2 g (hB  h A )

 M 
 f = J 
N ²
n
M 
 f  = 2.10 –3 N.m
4) : VD = v ²  2 g (hD  h A )

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E–17/ E–20/
1) Energie mécanique en O : EO = Ec O + EpO
1
1) Vitesse en B : mV B
²  0  mgh A
EO = ½ mV O² + mgLsinα EO = 828 J. 2
 VB  2 gAB sin 45  VB =5,3m/s
2) Vitesse du chariot en A :
2) Comparons hA et hC :
1 1
D’après le TEC, mV A
² mV O
²  mgL sin   f . L
2 2 Appliquons le TEC entre A et C :
f .L
 VA  V O ²  2 gL sin   2 VA=7,68m/s 1 1
m mV C
²
mV A ²  W AC ( P )
3) Energie mécanique en A : EA = Ec A + EpA 2 2
 0  0  mg ( hA – hC ) :  hA = hC
Mais, E A = Ec A = ½ mV A² car EpA=0  EA = 708J 3) Distance BC :

Conclusion : EA – EO = – 120 J On a : hA = ABsin45° et hB = BCsin30° or hA = hC


 E = W OA ( f ) : La variation d’énergie mécanique d’un sin 45 
 BC  . AB BC=2,8m
système non conservatif est égale au travail de la force sin 30 

de frottement. E–21/

E–18/ 1) Travail du poids entre A 0 et A 7 :

0 A0

30° T
A h
I  A7
h
B 
1) P
½ mV B² – 0 = W AB( p ) + W AB( T ) W A0 A7 ( p ) = +mgh avec h = A 0A7sin 

or W AB( T ) =0 et W AB( p ) = mgh avec h=L(1 – cos  ) W A0 A7 ( p ) = 0,385 J


 VB  2 gL (1  cos  ) 2) VB =1,45m/s
2) Variation d’énergie cinétique entre A 0 et A7 :
E–19/
0 1 1 1
A ∆Ec = mV ² mV ²= mV ² car V 0=0
θ 2
7
2
0
2
7

∆Ec=0,253 J
r R
M I
∆Ec < W A0A7( p ) : Les frottements ne sont pas
B négligeables :
P
W( f ) = ∆Ec – W A A7 ( p ) = – 0,132J
1) 0

½ mV M² – 0 = W AM( p ) + W AM( R )
2) Courbe V ²  f ( x ) :
or W AM( R ) =0 et W AM( p ) = mgh avec h = OI = r sin 
A0 A1 A2 A3 A4 A5 A6 A7
x 0 0,05 0,125 0,220 0,330 0,455 0,610 0,770
 VM  2 gr sin  . 0 0,608 1,123 1,638 2,160 3,060 3,880 5,060

2) En B,  =90°, sin  =1  V B  2 gr
VB =5m/s

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V² (m²/s²)

X (m)

4) Forces extérieures:
y

x’
Rn

f x
B

5) Expression de V²: P

Appliquons le TEC au système entre A 0 et Ax :


∆Ec = W AoAx ( p ) + W AoAx ( f ) or Ec A = 0 et Ec Ax = ½ mv²  ∆Ec =½ mv².
0

1 f
Il vient, mv ²  mgx sin   f . x . Ce qui donne v ²  2 x ( g sin   ).
2 m
6) Coefficient de frottement :

La courbe obtenue est une droite. On peut écrire : v ²  K . x avec (K) coefficient directeur ou
pente de la courbe. A = 6,18
f
Théoriquement, v ²  2 ( g sin   ). x .
m
f A
Par identification, on obtient A  2 ( g sin   ) Enfin, f  m ( g sin   )
m 2
f = 0,19 N

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ELECTRICITE 1

E–2/ E–8/
Comme ressemblance, ces trois piles sont des 1) Quantité d’électricité Qd fournie à la décharge :
générateurs électrochimiques non rechargeables. Qd Qd
On a r    Q d  r .I c t c Qd = 54 Ah.
Qc I ctc
Comme dissemblance :
– la pile Volta est une pile facilement polarisable 2) Durée de la décharge :
– la pile Leclanché est une pile à dépolarisant Qd
– la pile Daniell est une pile impolarisable Q d  I d .t d  t d  td = 9h
Id
E–5/ E–9/ Courant de décharge :
1) Qd
 Ajouter de l’eau de batterie dans les chambres Q d  I d .t d  I d  Id = 8,05.10–4 A
lorsque le niveau du liquide baisse. td
 Maintenir les électrodes toujours immergées. Courant de charge :
 Ne pas mettre la batterie en court circuit pour
éviter les surintensités. Qd
Ic   I c = 4.10–2A
2) r .t c
 Ne pas charger la batterie très longtemps.
 Ne pas mettre la batterie en contact avec des E–10/
objets métalliques. 1) Signification des termes :
 Ne pas exposer la batterie à un excès de chaleur
ou d’humidité E=6V : indique la f.é.m de la batterie.

Qd=0,1Ah : indique la capacité de la batterie.


3) Au cours de la 1ère mise en marche, faire subir à l’
accumulateur Cd–Ni, 3 charges et décharges complètes P=0,2W : indique la puissance de la batterie.
afin de conserver la capacité de charge.
2) Masse minimale de zinc :
4) Inconvénient : très lourd et encombrant m Zn  n Zn . M Zn or
Avantage : durable
5) Inconvénient : très cher et peu durable I d .t d Qd
n Zn   m Zn  .M m Zn = 0,12g
Avantage : léger, facile à transporter. 2 .F 2 .F
Zn

E–6/ Masse minimale de dioxyde de manganèse (MnO2) :


1) 12 V : f.é.m de la batterie
3500Ah : Capacité de l’accumulateur Qd
m Mn O  n MnO . M avec n MnO 
10 A : Intensité maximale que l’accumulateur peut 2 Mn O 2 2
2
4 .F
supporter 4 étant la valence du manganèse dans MnO 2.

Qd On trouve m MnO = 0,08


2) Durée de la décharge : Q d  I d .t d  t d  2

Id g.
td = 350 h 3) Durée de fonctionnement de la pile :
E–7/
E E .Q
1) Nombre d’éléments : E = n E 0  n  Qd=Id.t d P=E.Id  td 
E0 P
td =10800s ou 3 h.
Dans une pile Leclanché la f.é.m d’un élément vaut :
4) Masse de zinc et de dioxyde de manganèse :
E0 = 1,5V  n = 3 éléments montés en série.
I d td
m Zn  .M Zn m Zn = 6.10-3 g.
2) a) Capacité : Q d  I d .t d Qd = 0,9 Ah ou 3240 C. 2 .F
I d td
m Mn  .M m MnO = 4.10-3 g.
b) Puissance : P = E.Id P = 9.10–2 W O2
4 .F
Mn O 2 2

c) Energie totale : W = P.t d W =4,05 Wh ou 14580 J.

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E–11/ E–12/

1) Anode : Electrode de la pile où a lieu l’oxydation.


L’anode porte une charge négative. 1) D 1) Durée de fonctionnement :
2 
Oxydation anodique : Zn  Zn  2e
Qd= Qd= Id.t d Qd=0,4Ah et Id=2.10–3A  td =200h
Qd
2) Quantité d’électricité : On a m Zn  .M 2) Puissance moyenne :P=E.I  P=2,8.10–3W
Zn
2 .F 3)
2 . m Zn . F 4) 3) Energie totale emmagasinée :
 Qd  Qd =14755 C ou 4,1Ah
M Zn W= W = E Id.td = E.Qd W = 0,56 Wh ou 2016 J.
3)a) Puissance maximale :
E E²
P=E.I or I  (Loi de Pouillet)  P  P=6,5W
r r
3)b) Durée de fonctionnement : t = 25887 s

E–13/ 1) Graphe de U = f ( t ) :

U(V) 11
10,4 –

9,5 –
9

t(h)
0
1 2 4 6 8 10 12 14 16 18

2) Valeur moyenne de la tension Elle correspond au palier de décharge.


Graphiquement elle est égale à Um = 8,84 V ( c’est la f.é.m de la batterie)
3) Arrêt de la décharge :
On doit arrêter la décharge lorsque la tension tend à chuter considérablement c’est -à-dire vers td = 16 h.

4) Capacité de l’accumulateur : Qd = t d.Id. A.N. Qd = 16x2 Qd = 32 Ah

5) Puissance moyenne de l’accumulateur : Pm = Um.Id A.N. Pm = 8,84x2 Pm = 17,68 W

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ELECTRICITE 2

6) Energie totale fournie à la décharge : W d = Pm .td A.N. W d = 17,68x16 W d = 106,08 Wh.


E–1/ 1) F 2) V 3) F 4) V 5) F.
E-3/ Flux – Varier – Flux – Courant induit – fém d’induction l  Diamètre du conducteur x nombre de spires
Induction magnétique. L  Circonférence d’une spire x nombre de spires.
E–5/ Expression de l’inductance :
p N  l   d  2 e  xN et L  2  RxN
L  or  p  NBS et B   0 i
i l 2 R
De ces 2 relations, on tire : L  l L=200m
 0 N ²S d  2e
Ce qui donne : L  L=1,46.10–3H 3) Intensité du champ magnétique :
l
E–6/
N N 1 0I
Caractéristiques du vecteur champ magnétique au B  0 I or   B 
centre de la bobine : l l d  2e d  2e
 Point d’application : centre de la bobine
 Direction : suivant l’axe de la bobine B=4.10–4 T
 Sens : Le sens de B dépend du sens du E–9/
courant et est donné par la règle de l’observateur 1) Représentons le solénoïde :
d’Ampère.
B
S N

I
I Nombre de spires :
l  Diamètre du fil x nombre de spires = dxN N=625
N 2) a) Intensité du champ au centre de la bobine :
 Intensité : B   0 I
2R N
B  0 I ou encore B   0 nI où n est le nombre de
7 80 L
A.N : B  4 x 3 ,14 . 10 x x2
0 , 06 spires par mètre. B=1,57.10–3T
2) b) F.é.m d’unduction dans la bobine :
B=1,67.10–3 T
E–7/   f  i
Par définition, e m    
Caractéristiques du vecteur champ magnétique au t t
centre de la bobine
B NBS
 i
 NBS  f
 0  em 
t
S N On connaît : B et ∆t.
N
I On sait que n   N  nxL N = 625 spires
L
N
B  0 I B=1,5.10–2T d ²
l On sait également calculer S : S  S = 1,96.10–3m²
E–8/ 4
1) Pour obtenir un solénoïde, le rayon d’une spire doit e m = 0,19 V
être négligeable devant la longueur de la bobine. L
E–10/ 1) Résistance de la bobine : R 
2) Longueur du fil : s
Posons : – l , la longueur du solénoïde L : longueur du fil. L = 2 π r N avec N = 400 spires
– d , le diamètre du fil : d = 2r d ²
– e , l’épaisseur de l’isolant s : section du fil conducteur . s  s = 3,14.10–8m²
4
– N , le nombre de spires du solénoïde L = 125,6 m R=64 
– L , la longueur du fil à déterminer.
2) Intensité du champ dans la bobine :
B   0 nI n : nombre de spires divisé par la longueur

e e du solénoïde exprimée en mètres.


d
E E
l sI   B   0n
E–mail : dombesse@yahoo.fr r1  R r1  R70
B=2,9.10–5T
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E–11/ Calcul de la f.é.m moyenne d’ induction :


    N
B=10–2T
f i
Par définition, e m     Intensité : B   0 I
t t l
1)  t  0 , 5  0  0 , 5 s 2) a) Variation du flux magnétique à travers la bobine :
   ( 0 , 5 )   ( 0 )  2  (  2 )  4 Wb Lorsqu’on annule le courant I = 0, B = 0   f
 0

e m= – 8 V On a  i
 NBS     NBS ∆Ф= – 0,04 Wb
2)  t  1  0 , 5  0 , 5 s 2) b) coefficient d’auto induction ou inductance de la bobine :
   (1 )   ( 0 , 5 )   2  (  2 )   4 Wb
e m= 8 V  p NBS
L   L=2.10–2H
I I
E–12/ 1) Flux magnétique qui balaye la bobine :
2) c) F.é.m moyenne induite :
  NBS cos  or   B , n  0    NBS   
4
em   e m= 0,8 V
A.N :   500 x 0 ,1 x 80 . 10 =0,4Wb t
2) Calcul de la f.é.m moyenne d’ induction : n

Lorsque l’intensité du champ diminue de 10%, E–15 :


ωt
le flux magnétique diminue aussi de 10% de sa
valeur initiale.
B
∆ a
 i
 0 , 4 Wb ;  f
  i
 10 %  i
 0 , 36 Wb

   
em    
f i 1) Flux à travers une spire :  =BScosθ or θ = ωt et S=a²
t t    Ba²cos ωt
0 , 36  0 , 4 2) Flux à travers la bobine :   N Ba²cos ωt
A.N : em   2
e m=+4 V
10
E–13/ 3) Naissance d’une f.é.m d’induction :
1) Expression de la f.é.m instantanée d’induction : Lorsque la bobine tourne, t varie ; ωt varie ;  varie. Ce qui
d
entraîne l’apparition d’une f.é.m d’induction :
e   or   NBS cos  ( t ) avec  ( t ) =ωt d
dt e  
   NBS cos ωt dt
Cette f.é.m d’induction apparaît lorsque la variation du
En dérivant cette expression par rapport au temps flux commence et s’annule lorsque cette variation cesse.
On obtient :
e  NBS ω sin ωt 4) a) Expression de la f.é.m instantanée d’induction :
2) F.é.m maximale :
Par définition, la f.é.m instantanée s’écrit : e  NBa ² ω sin ωt
e = Em sin ωt.
Par identification avec ce qui précède,on a : Amplitude de la f.é.m : Elle correspond à la f.é.m
Em=NBSω Em=200 V.
Maximale. Graphiquement on lit : Em=3V
E–14/
2
1) Caractéristiques du vecteur champ magnétique b) Vitesse angulaire de rotation de la bobine :  
à l’intérieur de la bobine : T
La période T peut se déterminer graphiquement :
 Point d’application : centre de la bobine
 Direction : suivant l’axe de la bobine T=80ms ou 80.10–3s  ω = 78,5 rad/s.
 Sens : Le sens de B dépend du sens du
courant et est donné par la règle de l’observateur c) Intensité du champ magnétique : Par définition, la f.é.m
d’Ampère. instantanée s’écrit : e = Em sin ωt. On a e = NBa²ω sin ωt

B Par identification,
N S Em
I Em = NBa²ω  B  B = 7,6.10–3T
Na ² 

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E–16/ 4) Détermination graphique de K :
1. Une période correspond à n = 5 divisions. B
2. Valeur de la période : T = n.b T=25ms La pente de la droite obtenue est : A  .
I
1
Fréquence : f  f = 40Hz 3 A
T A  1 , 5 . 10 or  0 K  A  K  K=1194
0
3. La tension maximale correspond à n=2 div.
4. Tension maximale : Um = n.s Um=1,5V 5) Influence de R sur B : Quand R augmente, B diminue.
Influence de N sur B : Quand N augmente, B augmente.
U
Tension efficace : U  m
U=1,06V
2 6) Nombre de spires :
5. Tension instantanée : N
On a obtenu K   N  2 KR N=239 spires.
2R
Par définition, u( t ) = Um cos (2πN t + φ )
A t = 0 , u = – Um . On peut écrire que :
E–18/
Um =Um cosφ  cos φ = –1  φ = 180° = π . D’où
1) On a i(t) = 10 2 sin (100  t –  /4) mA. On a :
u( t ) = Um cos ( 2πN t + π ) u( t ) = 1,5 cos ( 80πt+ π ) i(t) = Im sin (  t +  ). Par identification on obtient :
– Im =10 2 mA = 10 2 .10–3A
6. Intensité instantanée du courant alternatif :
3
10 2 . 10
– Ief f =  10–2 A
u (t ) 2
i (t )  i( t ) = 0,3cos 80πt ( A )
R –  = 100  rad/s = 314 rad/s
2
E–17/ – T= = 0,02 s

1) Schéma de la bobine : 
– f  = 50 Hz
B 2
–     / 4 rad

2) Intensité à t=0,05s
I i ( 0,05 ) = 10 2 sin (100  x 0,05 –  /4) i = 10–2A
3) f .é.m d’induction:
d di
2) Montrons que : B   0 KI : Par définition, e   avec   Li soit, e   L .
dt dt
N Dérivons i :
Pour une bobine plate : B  0 I
2R di
 10 2 x 100  cos(100  t –  /4)
N dt
En comparant les deux relations, on obtient : K 
2R  e   L x 10 2 x 100  cos(100  t –  /4)
3) Graphe de B = f ( I ) :
A t = 0,1s e   0 ,105 x 1000 2 x  cos(10  –  /4)

e = – 324,5 V
– E–19/

x Par définition, i(t) = Im cos (  t +  ),



B ( mT ) – Intensité maximale : Im = Ief f 2 Im = 1,7.10–
x
– 3A

2
– – Pulsation :    = 200  rad/s ou 628 rad/s
T
x
36  x  
0,1 + – Phase initiale :     rad
I( A) 180  5
0 + + + + + + + d’où l’expression de i : i( t ) = 1,7.10–3 cos ( 628t +  /5) A.
0,1

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ELECTRICITE 3

E–1/ Lampe :  L  100 %


1) Puissance électrique consommée : En effet, une lampe est un récepteur thermique pur.
E' E'
P=U I P=112,5W Electrolyseur :  E    E
=38,46%
2) Energie électrique consommée : U e
E ' r ' I
E '' E ''
W=P t = U I t NB : Convertir t en s Moteur :  E    M =71,43%
U m
E ' ' r ' ' I
t = 2,5.106 s W=2,8.108J ou W=77,8 KWh E–3/
1) Schéma du circuit :
3) Prix de revient de la consommation :
p  nombre de KWh x prix d ' un KWh I
A
P=5835 FCFA
E–2/
1) Montage : e–
U
E,r
I
M
K
Ug
2) A l’aide d’un interrupteur (K)
UL R
3) Les éléments sont montés en série :
E’’, r’’ E = n E 0 r = n r0 E0=8V r0 =2 
E’, r’ I
M I est donnée par la Loi de Pouillet : I=0,3 A

Ue Um U est donnée par la Loi d’Ohm : U=E’+r’ I U=22,2V

2) a) Intensité du courant dans le circuit : 4) Travail fourni par le moteur :

E  E ' E ' ' C’est l’énergie mécanique : W u = E’I t W u =378 J


LOI DE POUILLET : I  I=0,6A
r  r ' r ' ' R 5) Rendement du moteur :
b) La puissance du générateur. E'
P=E I P=7,2W rm = rm=94,6%
c) La puissance reçue par l’extérieur U
E–4/
P’=UgI = ( E–r I ).I P’=6,84W 1) Facteur de puissance :
Par définition, la puissance reçue est :
d) La puissance consommée par le générateur P
P  kUI  k 
UI
PJ =r.I² PJ=0,36W
On a :
e) La puissance reçue par chaque élément du U m ax 311 ,12
U    220 V
circuit. 2 1 , 414

Lampe : PL=RI² PL =0,72W I m ax 14 ,14


I    10 A k = 0,8
2 1 , 414
Electrolyseur : Pe=UeI =(E’+ r’I)I Pe=2,34W
2) a) « conducteur ohmique» : dipôle qui
transforme intégralement l’énergie électrique
Moteur : Pm =Um I =(E’’+ r’’I)I Pm=3,78W
reçue en chaleur (énergie calorifique). C’est un
résistor.
f) Le rendement de chaque élément du circuit.
Calculons la résistance R du résistor :

P  RI ² R = 17,6 
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P'
Générateur :  G   G  95%
P
b) La puissance reçue s’écrit : P  kUI
2) a) Intensité du courant : U = E’+ r’I.  I=2A
La puissance consommée par effet Joule : P J  RI ²
E'
En éliminant I entre les deux relations on obtient : b) Rendement : r  r=35,3%
U
R E–8/
PJ  P ² .
k ²U ² Il convient de rappeler deux formules essentielles
relatives à la colorimétrie :
c) Précautions à prendre pour minimiser les pertes
d’énergie dans un réseau électrique : Chaleur reçue par le liquide :

 Utiliser les câbles de faible résistance. Q = (m+μ) C ∆θ ou Q = (mC+K) ∆θ


 Utiliser les câbles de grande section
 Transporter l’énergie sous haute tension. K : capacité calorifique du calorimètre (en J/degré)
 Augmenter le facteur de puissance C : chaleur massique du liquide (en J/Kg/degré)
μ : valeur en eau du calorimètre (en Kg)
E–5/ ∆θ : variation de température (en degré)
1) Pm : Puissance mécanique ; r : rendement du m : masse du liquide (en Kg)
moteur ; k : facteur de puissance ; U tension
efficace aux bornes du moteur Energie électrique reçue par le calorimètre :

W = R I² t = U I t
2) a) Puissance électrique absorbée :
t : durée de l’opération (en s)
C’est la puissance reçue par le moteur. I : intensité du courant électrique (en A)
Par définition, le rendement d’un moteur s’écrit : U : d.d.p. aux bornes du calorimètre (en V)
R : résistance du résistor plongé dans le calorimètre (en Ω)
Puissance utile Pm Pm
r    P  P=2500W Les deux formules sont liées par la relation :
Puissance reçue P r Q
r  r est le rendement de l’opération.
b) Puissance apparente du moteur : W
1°) Les pertes sont négligeables : r =1  Q  W .
P
P  k . Pa  Pa  Pa=3,3.103W
k Soit (m+μ) C ∆θ = R I² t avec C = 4200(en J/Kg/degré)
c) Intensité efficace du courant: ( m   )C  
 t  t = 105 s.
RI ²
Pa 2°) Les pertes sont égales à 25% : r = 75% = 0,75
P a  UI  I  I =15 A
U
E–6/ Soit (m+μ) C ∆θ = 0,75 R I² t
( m   )C  
E,r E,r  t  t = 140 s.
0 , 75 RI ²

I0 E–9/ 1°) f.e.m équivalente : E  sE


I 0

sr 0
––– –––––- Résistance équivalente : r 
p
R R R’
( p = nbre de branches ; s = nbre d’éléments par branche)
1er montage : E  I 0 R  r 
1er montage : s = 4 p = 3  E = 6V r = 0,2Ω
2ème montage : E  I 0  R  R ' r 
2ème montage : s = 3 p = 4  E = 4,5V r = 0,1125Ω
En éliminant E entre les deux relations on obtient
E
r = 2 et E = 100  2°) D’après la Loi de Pouillet, I  .
r  R
E–7/ 1er montage : I1 = 2,3 A 2ème montage : I2 = 1,8 A
1) La ddp aux bornes d’un électrolyseur s’écrit : Le montage efficace est celui qui fournit le courant le plus
U = E’+ r’I. intense.
Par identification avec U = 2,2 I + 2,4, on obtient :
E–10/
(139) (8470) (2233) (10703) (9730) (668) (10918)
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OPTIQUE 1 : LES APPLICATIONS DU PRINCIPE DE PROPAGATION
RECTILIGNE DE LA LUM IERE

2,2 I = r’ I r’= 2,2  et E’= 2,4 V

E–1/
1) Les definitions: E–2/ Hauteur du palmier :
a) Année lumière : Distance parcourue par la
lumière dans le vide en un an. B1
A1B1=2m
Sa valeur : D = C.t C=3.108m/s t=365 j bâton
NB : il faut convertir les jours en secondes.
D = 9,46.1015 m. A1 
A’ 1B’1=6m
b) Rayon incident : Rayon tombant sur un //////////////////////////////////////
A’1 B’ 1
système optique. ///
Rayon émergent : Rayon sortant d’un
système optique.
B2
c) Objet : Un objet est situé au point de
rencontre de deux rayons incidents. poteau

A2
L’objet est réel si ce point se trouve devant le //////////////////////////////////////
système optique. A’2 B’ 2
L’objet est virtuel si ce point se trouve derrière
///
le système optique.
A1 B 1 A2 B 2
tan  = ' '
 ' '
Image : Une image est située au point de A 1B 1 A 2 B 2

rencontre de deux rayons émergents


'
A '2 B 2
L’image est réelle si ce point se trouve derrière  A2 B 2  ' '
x A1 B 1 A2 B 2  5m
le système optique. A 1B 1

L’image est virtuelle si ce point se trouve devant le E–3/


système optique.   x
1) Relation : Degré–radian :  ( rad ) 
2) a) Considérons un corps opaque C placé 180 
entre une source de lumière ponctuelle et un écran. Degré–minute : 1° = 60’
5
2 Radian–minute : 1’ = 3.10–4 rad

2) B

C 3
18
1
cm

A O
d  4m
4
On a la légende suivante :   0 , 045 rad   2 ,6 

1= source ponctuelle 2 = écran d’observation E–4/


3 = ombre portée sur l’écran A' B ' AB
1) Profondeur de la chambre : 
4 = ombre propre de C 5 = cône d’ombre de C. OA ' OA
A' B '
b) Eclipse de soleil : Il y a éclipse du soleil lorsque la  OA '  xOA OA’= 4cm.
lune empêche les rayons solaires d’atteindre la terre. AB
La terre pénètre le cône d’ombre de la lune. 2) Dans des positions bien définies, le rapport des
grandeurs Objet–Image est constant :
Eclipse de lune : Il y a éclipse de lune quand la terre A1 B 1 A2 B 2 A '2 B
'
2
empêche les rayons solaires d’atteindre la lune.   A2 B 2  x A1 B 1
' ' ' ' ' '
A 1B 1 A 2 B 2 A 1B 1

s A 2 B 2  4,8m.
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c) Diamètre apparent d’un objet : Angle sous lequel un
Objet est vu par l’œil. Il s’exprime en radians.
E–5/ Hauteur du mât : h = AB = OH + OI

1) Dimensions de l’ombre portée du carton sur l’écran


BI BI
Ona : tan 69    OI   3 , 84 m
AB = CD = L = 20 cm BC = AD = l = 12,5 cm OI tan 69 
h = 5,42m

B C B B’ E–6/
E–6/
B
A D 0 A’
S
Source A 1
ponctuelle
A rad = 
100

A' B ' AB OA ' h
  A' B ' xAB  2 AB 30°
OA ' OA OA 0
I
L’ombre portée sur l’écran est un rectangle :

– de longueur L’ = 2L= 40cm Il s’agit de déterminer l’altitude h : h = IS = OS sin 30°


– de largeur l’ = 25cm
B B’ Cherchons OS.
2)
D
d Par définition,
S A’
A diamètre de l ' objet
 
F dis tan ce de l ' oeil à l ' objet

Posons : Soit,
AB AB
D ²    OS  OS = 1000m
A (aire du disque image de diamètre A’B’) : A =
4
OS 
h = 500m
d ²
a (aire du disque objet de diamètre AB) : a =
4
D ² d ²
On veut avoir A = 8a  = 8x
4 4
 D  2d 2

Le rapport entre l’objet et l’image s’écrit :s


D d SA ' xd F
  SA   SA = .
SA ' SA D 8

E–6/
10m
B I
69°
30° O
B
81° 1,58m
A  H
10m
1 , 58
tan      9
10

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OPTIQUE 2 : REFLEXION ET REFRACTION

Posons X1, la distance qui sépare l’objet et


E–1/ l’image après n réflexions :

1) V 2) F 3) V 4) F 5) V 6) F 7)V X1 = 2b
X2 = a + b + a – b = 2a
E–2/ X3 = 2a + b + b = 2a + 2b
2) Nom : Champ du miroir X4 = 3a + b + a – b = 4a.
On constate qu’après un nombre k pair de
E–3/   90  : Nombre d’images : n = 3 réflexions Xn = k*a
Disposition : Ces trois images forment A’ 3 A
un carré avec l’objet A. 2) Après 2n réflexions X2n = 2na
(n étant in nombre entier).

A’2 E–6/
A’1 3 . 10
8

1) C v   2 . 10 m / s
8

E–4/ N v
8
1) Pour que l’homme aperçoive ses pieds dans le miroir, il faut 3 . 10
Cd   1, 24 . 10 m / s
8

qu’un rayon issu de son pied A pénètre dans son œil O N d

B 2) Indice relatif de réfraction :

0,1 N C
  0 , 62
d
N v /d
m Cv
0 E–7/   2   24 

1,70 I M E–8/
m N
h 1) n A / B 
A
 1, 5  1  N  N
A B
N B
A
Si en plus i   , le rayon cheminant dans
OA 1 , 70 A ne pourra pas pénétrer dans B. Il subira
h  OI  IA    0 , 85 m  85 cm . une réflexion totale.
2 2
N
Conclusion : La base M du miroir doit se située à 85cm du sol. 2) n B / C 
B
 0 ,8  1  N  N :
B C
N C
2) Se voir en entier revient à voir le point B qui est la limite de sa Un rayon cheminant dans B pénètrera
hauteur AB = 1,80m ou 180cm. toujours dans C.
Voir le point B signifie qu’un rayon partant de B doit pénétrer dans E–9/
l’œil O. 1) A D

Il s’agit de calculer le diamètre MN du miroir. r


OB
MN  IO   85 cm  5 cm  90 cm . D
2 E C

E–5/ DE 3
tan r    r  20 , 6  .
AD 8
Plaçons l’objet A à la distance b du miroir M 1.
2) Angle d’incidence :
M1 M2
N a
sin i  N e
sin r , N a
 1  i  27 , 9 
A3 A1 b A A2 A4
+ + + + + 3)
sin i sin 31 
2a + b a sin i  N sin r  N  
sin r sin 20 , 6 
E–mail : dombesse@yahoo.fr N = 1,46 77
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n 2 sin i 2  sin i 1  sin i 2  or sin i 1 
1

n2 r1
E–10/
2
et r1  2 2  sin i 1 
r 2
air
2
On obtient sin i 2  . Cherchons maintenant r2 :
3
i eau
2
r2  x2  4
On a N e sin i  sin r
x2 2
1er cas : i  i 1  30  Il vient,   x 2  1,069m.
sin r  1, 33 x sin 30  2
x2  4 3

r = 42° 2) Durée du trajet A1 I A2 :

42° air Le trajet A 1IA2 se découpe en deux morceaux :


r1
– A1I = r1 parcouru en un temps t 1 
30° eau C1
r2
– I A2 = r2 parcouru en un temps t 2 
C
2ème cas : i  i 2  48 , 69   r  90  2

Emergence rasante. C C
On a : C 1   C et C2  . On en déduit :
n1 n2
t = t1 + t2 t = 20,77.10–9s ou 20,77 ns.
air

E–12/ sin   0 ,144    8 ,3 


48,69° eau 0 0

E–13/ Profondeur apparente du poisson :

3ème cas : sin r  1, 33 x sin 60   1,15  1 :

Impossible :On observera une réflexion totale.


N1=1 0 I

s N2=4/3
La plus grande distance
S’ divisée par le plus grand
60° 60° indice égal la plus petite
distance divisée par le
plus petit indice.
S
E–11/ OS 3
OS '   x 075 OS’ = 0,5625 m ou 56,25 cm
N 2
4
1) Abscisse x 2 de A2 :
E–14/ Il s’agit de dékterminer la position apparente de
y l’objet S c’est-à-dire la distance 0’S2 : Air :1
A1 – 0’
r1 i1 – n1 Eau :4/3
4cm
x2 0
I n2 x S2+
– r2
e= 6cm S1+ Verre :3/2
i2
– A2 +
S
x 2  r 2 sin i 2 . Cherchons alors sin i 2 :

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OS OS Il s’agit de calculer l’angle D entre SI1 et I2R

1
Dioptre verre–eau :
(3 / 2 ) (4 / 3)
O 'S1 O'S2
Dioptre eau–air : 
(4 / 3) 1
R
D’autre part, O ' S 1  OO '  OS 1

De ces trois relations, on tire : O ' S 2 =7cm 70° 45°

Conclusion : I2
L’objet semble être à 7cm de la surface libre de l’eau ou
encore à 3cm du fond.
D = 70° + 45° D = 115°
E–15/

1ère situation : Le rayon incident est totalement absorbé

i=70°
Air (N a =1)

r1
r1 Benzène (Nb)

r2
Eau (Ne)
Miroir plan

N b
sin r1  sin i
sin i
sin r1   r1  39 
N b

N e
sin r 2  N b
sin r1  r 2  45 

2ème situation : Le rayon incident est totalement réfléchi

S
i=70°

I1

45° R
45° 45°

I2

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OPTIQUE 3 : PRISM E

E–1/ E–4/
1) Construction : Voir cours 1) Une lumière monochromatique est une lumière
Conclusion : Un prisme dévie vers sa formée d’une seule radiation. Elle ne peut pas être
base tout rayon lumineux qui le traverse. décomposée en d’autres radiations.
2) Formules du prisme : Voir cours 2) Un prisme dévie un rayon lumineux qui le travers
vers sa base.
Approximations de KEPLER/ 3) Indice du prisme :
i  nr A  r  r'

i '  nr ' D  i  i ' A On a : D  27  43 '  27 , 7  ; A  40  13 '  40 , 2 


I = i’ : On est au minimum de déviation.
3) Au minimum de déviation, i = i’.et r = r’ Dm  2 i  A A  2 r
 Dm  A 
Ce qui conduit à : A = 2r Dm =2i – A sin  
sin i  2 
E–2/ 1) Angle dincidence N sin r  sin i  N   N 
sin r A
sin
2
Face d’entrée Face de sortie N = 1,605.
A E–5/ 1) Contact avec l’air :
N N’ i = 30° n = 1,5
Pour construire, il faut faire tous les calculs
I I’ nécessaires.
i 1er cas : A = 60°
r i’=30°
r’
60° n sin r  sin 30   r  19 , 47 
S r '  A  r  r '  40 , 53  . D’autre part ,
R
Air Air sin i '  n sin r '  i '  77 ,1  .
n

– n sin r '  sin i '  r '  19 , 47 


– A  r  r '  r  30 , 53  30° 77,1°
– n sin r  sin i  i  49 , 57 

2) Déviation : D  i  i '  A  D  29 , 57 

E–3/ 2ème cas : A = 90° r = 19,47° r’ = 70,53°

1) Incidence normale : i=0


sin i '  n sin r '  sin i '  1, 4  1 : Impossible.
Conclusion : Le rayon incident est totalement
réfléchi sur la face de sortie. Il ne sortira du prisme.

r’ i’=48°

30°
2) Angle du prisme :

n sin r  sin i  r  0 car i = 0.

E–mail : dombesse@yahoo.fr 80
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n sin r '  sin i '  r '  29 , 27 
A  r  r' A  r '  29 , 27  car r = 0.
57,9°
E–6/
1) Angle d’incidence: i =60° 27,9°
r = 37,58° r’ = 22,40° 90°
Angle d’émergence i’ = 32,76°

2) Construction :
Q

2ème cas : Incidence normale : i = 0°


60° Si i = 0 alors r = 0  r’ = A = 60°
I D sin i '  n sin r '  sin i '  1, 23 : Impossible.
Le rayon incident ne sort pas du prisme. Il
30° est totalement réfléchi.
S
P R

3) D = 32,78°
60°
E–7/ 1) Faisons le tracé :
60°

60°

I I’ R
i I’
r r’
3ème cas : Minimum de déviation :
 60° 60°   i’ = i et r’ = r
S
Q H – r’ = r  A  2r r = 30°
P
– n sin r  sin i i = 48,6°
2) Montrons que SI est parallèle à HR : – i’ = i i’ =48,6°
– Dm  2i  A Dm = 37,2°
SI // HR si et seulement si   
Triangle (SPI) :
  120  90  i  180     i  30  60°
Triangle (QHI’) :
  120  90  i '  180     i '  30 
48,6° 48,6°
Au minimum de déviation i = i’     : SI // HR 30° 30°

3) Indice du prisme :
A
On a   18   i  48  r   30 
2 4ème cas : Emergence rasante : i’ = 90°:
sin i
D’après la loi de Descartes, n  n = 1,486. – n sin r '  sin i ' r’ = 42°
sin r
– A = r + r’ r = 18°
E–8/ A = 60° n = 1,5
– n sin r  sin i i = 27,6°
1er cas : Incidence rasante : i = 90° – Dm  i  i '  A Dm = 57,6°

n sin r  sin i r = 41,8° = 


A  r  r' r’ = 18,2° 60°
n sin r '  sin i ' i’ = 27,9°
D  i  i ' A D = 57,9°
27,6°
18° 42°

E–mail : dombesse@yahoo.fr 81
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5ème cas : Emergence normale : i’ = 0°
GAZIERE
E–11/ 1) Déviation :
Si i’ = 0 alors r’= 0  r = A = 60°
n sin r  sin i  sin i  1, 299 : Impossible. Aucun angle sin i
On a sin i  n sin r  sin r  . Cette relation
d’incidence ne donne lieu à une émergence normale. n
fournit r.
E–9/ On a : A  r  r ' Cette relation fournit r’.
1) Angle d’incidence correspondant à une déviation
On a aussi : sin i '  n sin r ' Cette relation fournit i’.
minimale
La déviation minimale correspond à r = r’ = 30°. Enfin, D  i  i '  A . Cette relation fournit D.
Or sin i  n sin r  i  45  . 2) La déviation minimale est obtenue en prenant la
Dm  2 i  A  2 x 45  60 Dm = 30° tangente à la courbe D = f(i) au point le plus bas.

2) Conditions sur i pour que le rayon sorte du prisme : D = 37° i = 50°


Le rayon sort du prisme si et seulement si 0  i '  90  E–12/
– Pour i’ = 90° on a nsin r’ = 1  r '  45 
n
Ce qui donne r = A – 45° = 15°  i  21 , 47  1) Montrons que si sin  1  alors  1   2
2
– Par ailleurs, un angle d’incidence est toujours
Inférieur ou égal à 90°.
D’où les limites : 21,7°  i  90°.
3) Calculons la déviation : M B’ C
75° 15°
B  r2

75° r1
1,33
I A’ 2

60°
1
r1
A
i1’ i’
i2’
D’après la loi de Descartes : – sin  1  n sin r1
45° – sin  2  n sin r 2
1,414 Montrer que  1   2 revient à montrer r1  r 2 .
Cherchons r1 :
n 1
sin  1  n sin r1   sin r1   r1  30 
sin 0   1, 33 sin r1  r1  0 2 2
A  r1  r '1  r ' 1  45  Montrons alors que r2 = 30°.
Dans le triangle ( IBM ) : 75°+  + 90° – r1 = 180°
1 , 33
1 , 33 sin r ' 1  1 , 414 sin i ' 1  sin i ' 1  sin r ' 1    180   r1  165     45  .
1 , 414
Dans le triangle ( A ' B ' M )  + r2+ (180° – 75°) = 180°
 i '1  41 , 69   i ' 2  60  41 , 69  18 , 31 
   r 2  105   180   r 2  180   105   
sin i '  1, 414 sin 18 , 31   i '  26 , 37 
 r 2  75    .
D  r '1  i '  60 Dm = 11,37°.
Or   45   r 2  75   45   30    1   2 .
E–10/
2) Déviation :
sin i
n   sin i  n sin( A / 2 )  i  23  La déviation est D =    2 ou encore D =    1
sin( A / 2 )
Dm = 2i – A Dm= 16°.  
Or    1  D   1   2 D = 90°.
2 2

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OPTIQUE 4 : LENTILLES
E–3/
2) Construction graphique :
1) a et c : lentilles convergentes.
b et d : lentilles divergentes.
2) a et c : bords minces V
b et d : bords larges (épais) B
A’ F’
3) Par définition, la vergence s’exprime par : I I I I I I I I I I I I I I I I
0 F A
 1 1  1  1 1 
C  ( n  1)       
   
 R1 R2  2  R1 R2 
B’ 
a b c d E–6/
C ( ) +2 –2,5 +7,5 –2,5
1) Théorème des vergences : Plusieurs lentilles minces
OF '( m ) + 0,5 – 0,4 +13,3 – 0,4 accolées équivalent à une lentille unique de vergence
égale à la somme des vergences de ces lentilles.
E–4/
2) Vergence de la lentille équivalente :
1) Caractéristiques de l’image :
1 1 1 OF 'x OA Les données permettent de calculer la vergence de la
Position :    OA '  lentille équivalente :
OA ' OA OF ' OF '  OA
1 1 1
OF '  10 cm et OA   15 cm  OA '   30 cm . Ce    Ce = 4,4 
OF ' OA ' OA
Nature : OA '  0 : Image réelle.
OA ' Le théorème des vergences permettra de calculer C’ :
Sens :     2  0 : Image renversée. Ce = C + C’  C’ = Ce – C. C’ = – 3,6 
OA
Grandeur : A ' B '   AB  A ' B '  4 cm : Image E–7/
1) Nature de la lentille :
deux fois plus grande.
Seule une image réelle peut être obtenue sur un écran.
Seule une lentille convergente donne d’un objet réel
2) Construction graphique : I I 5 cm
une image réelle.
2 cm A cet effet, on prendra f = + 20 cm

B
A’ 2) Position de l’objet : On a OA '  1 m = 100 cm.
+ + + + + + + + + + + +
A F 0 F’
fx OA '
La formule de conjugaison donne : OA 
f  OA '
B’
OA   25 cm : Objet réel situé à 25 cm devant la lentille.
E–5/
1) Caractéristiques de l’image :
E–8/ 1) Calculons OA ' et OA . On a   1     1 .
1 1 1 OF 'x OA
Position :    OA ' 
OA ' OA OF ' OF '  OA Alors, OA '   OA . Or d  AO  OA '  d   OA  OA '
OF '   10 cm et OA   15 cm  OA '   30 cm . d
Alors, d   2 OA '  OA '  =+30cm et OA  –30cm.
Nature : OA '  0 : Image virtuelle. 2
2) Distance focale de la lentille : On a :
OA '
Sens :     2  0 : Image renversée.
OA 1 1 1 OA x OA '
   OF '  = +15cm.
Grandeur : A ' B '   AB  A ' B '  4 cm : Image OF ' OA ' OA OA  OA '
deux fois plus grande.

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E–11/
E–9/
1) Position de la diapositive :
1) L’image est réelle :    4 D’après la formule de position :
D’après la formule de grandissement : OA '   4 OA 1 1 1 OF 'x OA '
   OA 
OA ' OA OF ' OF '  OA '
D’après la formule de position :
1 1 1 1 1 1 OA  –10,2m
     2) Grandissement :   –39,2
OA ' OA OF ' 4 OA OA OF '
 5 1  5 OF ' E–12/ 1ère Expérience :
   OA 
4 OA OF ' 4 L L’

OA  – 25cm  0 : Objet réel.
OA '  +100cm.
2) L’image est virtuelle :    4 S F1 F’1 F’2 F2
+ + + + + + +
01 02 S’
D’après la formule de grandissement : OA '   4 OA

D’après la formule de position :


1 1 1 1 1 1 
    
OA ' OA OF ' 4 OA OA OF ' 1) Si le faisceau qui émerge de L’ est un faisceau
 3 1  3 OF ' parallèle, alors l’image définitive S’ est située dans le
   OA  plan focal objet de la lentille divergente L’.
4 OA OF ' 4
OA  – 15cm  0 : Objet réel. 2) Distance focale de L :
Utilisons la formule de conjugaison entre S et S’ pour L :
OA '  – 60cm.
1 1 1 O 1 S 'x O 1 S
E–10/    O 1 F1 ' 
3) L’image est réelle :    5 O 1 F1 ' O1S ' O1S O1S  O1S '

D’après la formule de grandissement : OA '   5 OA 1


On a O 1 S '  O 1 O 2  O 2 S ' or O 2 S '  O 2 F 2 
8
D’après la formule de position :
 O 1 S '  27 , 5  12 , 5  40 cm . On connaît
1 1 1 1 1 1
    
 +20cm
'
O 1 S   40 cm O1 F 1
OA ' OA OF ' 5 OA OA OF '
 4 1  4 OF '
   OA  2ème Expérience : 1) Positions de l’objet et l’image :
5 OA OF ' 5
L’image est renversée (    2 )  OA '   2 OA
OA  + 8cm  0 : Objet virtuel.
On a A ' A  A ' O  OA ou encore A ' A   OA '  OA
OA '  +40cm.
Ce qui donne A ' A  3 OA . On connaît A ' A  150 cm
4) L’image est virtuelle :    5
On en déduit : OA  + 50cm  0 : Objet virtuel.
D’après la formule de grandissement : OA '   5 OA
OA '  – 100 cm  0 : Image virtuelle.
D’après la formule de position :
2) Vergence du système :
1 1 1 1 1 1
     1 1 1 1 1
OA ' OA OF ' 5 OA OA OF ' Ce     Ce =  =–3 
OF ' OA ' OA 1 0 ,5
 6 1  6 OF ' 3) Distance focale de la lentille L :
   OA 
5 OA OF ' 5 D’après le théorème des vergences :
Ce  C  C '  C  Ce  C '   3  8  5 
OA  + 12,5cm  0 : Objet virtuel.
1
OA '  – 62,5cm. D’où OF '   0,2m ou 20cm.
Ce

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1ère position : p 2  O 2 A p '2  O 2 A '


E–13/
d D
p 2  O 2 I  IA   
1) Schéma de la situation : 2 2
d D
d E p ' 2  O 2 I  IA '   
B 2 2
I
+ + + P2 = – 0,6 m p’1 = 1,4 m   –2,3
A 02 01
D 5) Cas particulier : Si D = 4 f ’ alors ∆ = 0.
D
2) Les deux positions de la lentille : Pour cela, Dans cette situation, p 1  p 2   : la lentille est
2
placée au milieu I
Posons : p  OA ( p  0 car l’objet est réel) D
 d  0  f ' . On a alors
p '  OA ' ( p '  0 car l’image est réelle) 4
f '  OF ' . D D
p  OA   et p '  OA '    –1
2 2
On a : AO  OA  D   p  p '  D  p '  D  p
E–14/
1 1 1
D’après la formule de position,  
D  p p f ' 1) Nature de la lentille : Lentille convergente car ses
bords sont minces.
Ceci conduit à : p ²  Dp  f ' D  0 2) a) Complétons le tableau :
C’est une équation du second degré d’inconnue p . 1 1 1 1
b) Graphe :  f ( )  
Cette équation admet solutions si et seulement si le
OA ' OA OA OF '
discriminant   D ²  4 f ' D  0 soit D  4f’.
1
Les deux valeurs possibles de p sont :
 D  D²  4 f 'D OA ' + 1
p1  et
2 OF '
+
 D  D²  4 f 'D
p2  +
2
p1  p 2 D
   p0 +
2 2
Ceci prouve que p1 et p2 sont symétriques par rapport +
à p0 c’est-à-dire par rapport à I.

3) Distance focale de la lentille : D’après le schéma, +

AO 2
 d  AO 1
 d  AO 1
 AO 2
  p1  p 2
+
1  d²
Ce qui donne d  D ²  4 f 'D  f ' D  
4  D  + +1
f ‘ = 0,42m. + + + + + +
p' 1 –1 0
4) Grandissement :   +
p OA
c) Distance focale de la lentille : On constate que
1ère position : p 1  O 1 A p '1  O 1 A '
d D est l’ordonnée à l’origine. Graphiquement on trouve
p 1  O 1 I  IA  
2 2 1
 7 , 9  OF '  0,125m.
d D OF '
p ' 1  O 1 I  IA '  
2 2 La vergence obtenue graphiquement C = 7,9  est
p1 = – 1,4 m p’1 = 0,6 m   – 0,43 proche de celle gravée sur la monture de la lentille (+8  )

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OPTIQUE 5 : L’ŒIL REDUIT

E–7/ PP à 0,5m  OA   0 , 5 m
E–1/ Pour l’œil non corrigé,
1 1
1)a 2)b 3)abc 4)b 5)a 6)b C crist   avec OA   50 cm
1
7)a 8)b 9)a 10)a 11)b 12)b OA ' OA 1
13)b 14)c 15)c.
Pour l’œil corrigé,
1 1
E–3/ C crist  C verre   Avec OA   25 cm
2
OA ' OA 2
(a;d) (c;e) (c;f)
De ces deux relations, on tire :
E–4/ 1 1
C verre   Cverre = 2 
D’après la formule de position : OA OA
1 2
1 1 1 E–8/
C    Avec OA '  0 , 015 m
OF ' OA ' OA 1) Défaut de l’œil : Myopie car PP rapproché

 Pour un objet situé au PR :


Lentille
OA    C = 66,7  correctrice – Lentille divergente
 Pour un objet situé au PP : – OF '   Dm  1   20 cm
1 1
OA   25 cm  C    70,7  – Vergence : C  – 5
L’œil muni du verre correcteur, voitverrel’image d’un objet à
OA ' OA
l’infini à la distance maximale de vision distincte, soit 21cm
E–5/
de l’œil c’est-à-dire 20 – 1 = 20cm en avant du verre.
B
2) Nouveau champ de vision :
AB 1 1
 = Pour l’œil non corrigé, C crist  
dm
 OA ' OA 1
A
dm avec OA 1   8 , 5 cm en avant de l’œil.
Pour l’œil corrigé,
4
  1 '  3 . 10 rad ; d m  0 ,1 m  AB = 3.10–5 m 1 1
C crist  C verre   OA 2
à déterminer.
OA ' OA 2
E–6/
De ces deux relations, on tire :
1) Anomalie de l’œil : Myopie car PP rapproché. 1 1 1
C verre    OA 2

OA OA 1
– Lentille divergente 1 2  C verre
verre correcteur – OF '   Dm   5 m OA 1

– Vergence : C = – 0,2  Comme le verre est supposé se trouver à 1cm de l’œil, on


doit prendre OA 1
  7 , 5 cm . Ce qui donne une nouvelle
3) PP de l’œil corrigé :
position du PP égale à  12 cm en avant du verre.
Pour l’œil non corrigé, Soit OA   13 cm en avant de l’œil.
2
1 1 Conclusion : Nouveau : PP à 13cm et nouveau PR à l’infini.
C crist   avec OA 1
  10 cm
OA ' OA 1
E–9/ Recherche du PR : Il n’accommode pas.
1 1 1
1 1   OA '  1 , 52 cm
Pour l’œil corrigé, C crist  C verre   f1 OA ' OA 1
OA ' OA 2

De ces deux relations, on tire : OA 1


: Position de l’objet au PR OA 1
= – 114 cm
Recherche du PP : Il accommode au maximum.
1 1 1 1 1
C verre    OA 2   10 , 2 cm   OA '  1 , 52 cm
OA 1
OA 2
f2 OA ' OA 2

Le PP de l’œil corrigé est à 10,2cm du cristallin.


OA: Position de l’objet au PP
2
OA 2
= – 20,5 cm
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Il s’agit d’un œil myope. 86
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E–12/
E–10/
1 1 1) Vergence des verres correcteurs :
1) Sans porter des verres : C crist  
OA ' 1 OA 1 1
Sans porter des verres : C crist  
1 1 OA ' 1 OA
En portant des verres : C crist  C verre  
OA ' 2 OA Pour OA   , l’image se forme sur la rétine
OA   ; OA ' 1  0 , 015 m ; OA ' 2  ?
En portant des verres, l’image doit se former en A 1
De ces deux relations, on tire :
tel que OA 1
  0 , 25 m . On a
1 1 1
C verre    OA ' 2  1 1
OA ' 2 OA ' 1 1 C crist  C verre  
 C verre OA ' 1 OA 1
OA ' 1
De ces deux relations, on tire :
OA ' 2  0 , 0155 m  15 , 5 mm 1
Conclusion : L’image se trouve à 15,5mm du centre C verre  C verre  - 4 
Optique du cristallin, soit à 0,5mm derrière la rétine. OA 1

E–11/ 2) Nouvelle position du PP


Sans lunettes,
1) Vergence de la lentille correctrice : 1 1
C crist   Avec OA 1
  0 , 25 m
OA ' OA 1
1 1
Sans lunettes : C crist   Avec des lunettes,
OA ' 1 OA 1 1
C crist  C verre   OA  ?
Pour OA   , OA ' 1  0 , 018 m OA ' OA
2
2

De ces deux relations, on tire :


1 1 1
Avec des lunettes, C crist  C verre   OA  OA  –12,5cm
2 2
OA ' 2 OA 1
 C verre
Pour OA   , OA ' 2  0 , 0167 m OA 1

De ces deux relations, on tire : Nouvelle position du PR


1 1 Sans lunettes,
C verre   C verre  + 4,32  1
OA ' 2 OA ' 1 C crist 
OA '
2) Nouvelle position du PP : Avec des lunettes,
1 1
C crist  C verre   OA 2
 ?
1 1 OA ' OA
Sans lunette : C crist   2

OA ' 2 OA 1 De ces deux relations, on tire : OA  + 25cm


2

Pour OA   60 cm   0 , 6 m , OA ' 2  0 , 0167 m Un objet à l’infini ne sera pas vu.


1

1 1
Avec des lunettes, C crist  C verre   E–13/
OA ' 2 OA 2
1) Anomalie de l’œil : Myopie.
OA 2 à déterminer.
1
De ces deux relations, on tire : Dm =  OF ' =   0 , 5 m  50 cm .
C
1
OA 2
 OA 2
  0 , 0167 m = –16,7cm 2) OF '  0 , 284 m  28 , 4 cm .
1
 C verre
OA 1

E–mail : dombesse@yahoo.fr 87
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OPTIQUE 6 : APPAREILS D’OPTIQUE

2) Position de l’image :
E–1/
1) F 2) F 3) F 4) V 5) F
1 1 1 OF 'x OA
   OA '  – 6cm
E–2/
OA ' OA OF ' OF '  OA
1) ii 2) ii 3) iii 4) i et iii 5) iii

E–3/ Nature de l’image : OA '  0 : Image virtuelle.


Pour les définitions, voir Notions essentielles sur
les Instruments optiques. OA '
Grandeur de l’image :    3  A ' B '  3 AB
E–4/ OA
Objectif : 180 cm Oculaire : 2 cm AB  24cm
Puissance intrinsèque de la loupe :
E–5/
3. Signification de chaque indication.
1
Pi  Pi = 33,3 
(x20) : Valeur absolue du grandissement de 0F '
L’objectif. E–9/
(x60) : grossissement commercial de l’oculaire.
Distance entre les centres optiques d’une lunette afocale :
4. Grossissement de ce microscope. 0 10 2  0 1 F
'
1  02 F
'
2 0102 = 204 cm

Gc  Gc 0c
. 0b
A.N : GC= 1200 '
01 F 1
E–6/ Grossissement d’une lunette afocale : G  '
= 50
02 F 2
'
Grossissement du microscope : G  G = 300 E–10/
 1- 1) Puissance intrinsèque :
Puissance du microscope : P = 4 G P = 1200  
Pi  ' '
Pi = 2500
E–7/ 01 F 1 x0 2 F 2

3- Le grossissement commercial du microscope


Grossissement commercial du microscope.
P P
Gc  Gc = 375 Gc  Gc = 625
4 4

4- Le diamètre apparent de l’objet observé à 2- Diamètre apparent du globule rouge observé à


l’œil nu à 25 cm. travers le microscope.

' ' '


On a Gc       6,7.10–4 rad. Gc    '   Gc  '  1,3.10–2 rad
 Gc 

E–12
E– 8 : 1) Construction graphique :
1) Lunette afocale : Une lunette est dite afocale si elle donne
d’un ob jet situé à l’infini une image située à l’infini.
B’
0 10 2  f1  f 2 0102 = 105 cm

B
+ + + + + + + + + + + + 2) Grossissement d’une lunette afocale :
A’ F A 0
F’
f1
G  Gc = 20
f2

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