Livre Physique Première C Et D
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GAZIERE
COLLECTION
PREMIERE C/D
1
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WICHDA SAMUEL ELEVE INGENIEUR EN EXPLORATION PETROLIERE ET
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Page
AVANT PROPOS……………………………………………………………................................................. 3
MECANIQUE…………………………………………………………………………………………………5
Notions Essentielles……………………………………………................................................. 6
ELECTRICITE……………………………………………………………………………………………………………19
2
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chez le candidat, nous avons pris soin de ne pas souvent proposer des « solutions
3
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QUANTITE DE MOUVEMENT
ENERGIE CINETIQUE
ENERGIE POTENTIELLE
ENERGIE MECANIQUE
PRINCIPE DE L’INERTIE
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NOTIONS ESSENTIELLES
Préfixe Téra Giga méga kilo déci centi milli micro nano pico
Symbole T G M K d c m n p
Facteur 1012 109 106 103 10-1 10-2 10-3 10-6 10-9 10-12
GRANDEURS ET UNITES.
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DEFINITIONS DE BASE
– L’extérieur, c’est-à-dire, tout ce qui n’est pas le système (le reste de l’univers)
Force intérieure : Force exercée par le système sur le système. On a toujours F int 0
Système pseudo isolé : Système soumis aux forces extérieures dont la résultante est nulle :
F ext 0
Théorème de l’énergie cinétique : La variation d’énergie cinétique d’un système entre un état
initial et un état final est égale à la somme algébrique des
travaux des forces extérieures appliquées au système entre ces
deux états : Ec = W
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RELATIONS SIMPLES
B
- La vitesse angulaire est ω et sa vitesse linéaire est V r
r en m ; V en m/s 0 θ
V=rω { ω en rad/s
d
A
- Le nombre de tours effectués est n : θ = 2π n
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QUELQUES ANALOGIES
W = F . AB ou
1 Travail d’une force constante F Travail d’une force constante F W = M ( F ) .
W = F. AB cos
4 W W
Puissance moyenne d’une force Pm Puissance moyenne d’une force Pm
t t
1 1
6 Energie cinétique Ec mv ² Energie cinétique Ec J ²
2 2
8
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Le travail d’une force F est nul si l’une des Le moment d’une force F est nul si l’une des
conditions suivantes est satisfaite : conditions suivantes est satisfaite :
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E–1/
Déterminer le travail de la force F de valeur 15N lors du déplacement AB = 24 cm dans les cinq cas
suivants :
F F F F
A
F 60 °
A B A A 45 ° A
B B B
B
E–2/
Un point matériel soumis à une force F=25N, tangente à la trajectoire, décrit un mouvement circulaire
de rayon R=96cm. Calculer le travail fourni lorsque le point matériel tourne :
a) de 75° b) de 0,157 rad c) de 3 trs.
E–3/
Pour monter un fardeau, un ouvrier exerce perpendiculairement à la manivelle d’un treuil un effort
constant de 20 N. Calculer le travail effectué pour 45 tours de manivelle de longueur 14 cm.
E–4/
Pour maintenir la vitesse d’un camion de marchandises à 108 Km/h, il faut fournir aux roues une
puissance de 40 KW. Calculer l’intensité de la force de traction exercée par le moteur.
E–5/
Un moteur de puissance P = 450 W entraîne à vitesse constante, dans un mouvement de rotation, un
dispositif mécanique. Calculer le moment du couple appliqué au dispositif lorsque la vitesse est de :
a) 30 Hz b) 30 tr/s c) 30 rad/s d) 30 tr/min
E–6/
Un wagon est tiré par deux hommes exerçant des actions représentées
sur la figure ci–contre et telles que : F1=120 N F2=200 N . F1
Le wagon roule sur des rails rectilignes et horizontaux.
1) Calculer le travail total fourni au wagon pour un déplacement de 50 m.
45°
2) Déterminer l’intensité de la force F 3 qui, faisant angle α =30° avec la
60°
direction des rails, fournirait le même travail.
F2
E–7/
F
Une force F agit sur un chariot de masse m = 100g sur un plan
incliné d’angle α = 30° sur l’horizontale. Cette force fait un angle
de 60° avec la ligne de plus grande pente de ce plan incliné. 60°
30°
10
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E–8/
Un petit chariot de 120 Kg roule à la vitesse de 90 Km/h sur une voie rectiligne et horizontale. La
puissance développée par le moteur est de 12 KW. On prendra g = 10 N/Kg.
1) Faire un schéma clair de la situation et y représenter : Le poids de la voiture P , la force de
frottement f , la force motrice F , la réaction normale R n et la réaction totale R .
2) Calculer : a) L’intensité de chaque force.
b) Le travail effectué par chaque force sur une distance de 1,7Km.
c) Le coefficient de frottement λ.
E–9/
Une camionnette de masse M = 800 Kg monte à la vitesse de 72 Km/h une côte de pente 12%. Les
résistances équivalent à une force parallèle au déplacement et d’intensité 300 N.
1) Faire le bilan des forces appliquées à la camionnette et les représenter.
2) Calculer l’intensité de la force motrice et l’intensité de la réaction normale de la route.
3) Calculer la puissance de la force motrice
4) Calculer le travail de toutes les forces pour un déplacement de 2 Km.
5) Déterminer le coefficient de frottement λ. g = 10 m/s²
E–10/
+
Une roue verticale de rayon 20cm est mobile autour d’un axe horizontal (Δ)
A
Passant par son centre 0. Elle est soumise à trois forces F 1 , F 2 F 3 situées
0
dans son plan, comme l’indique la figure ci-contre. On donne : B
F1 60°
F1 = 8N F2 = 12N F3 = 10N
E–12/
11
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E–1/
Calculer la quantité de mouvement des systèmes suivants :
1) Un véhicule de masse 2 t roulant à 60 Km/h.
2) Un électron se déplaçant à la vitesse de 120 Km/s. me = 9,1.10–31 Kg.
3) Un athlète de 85 Kg courant 450 m en 1min.
4) Une balle de Tennis de 100 g au repos.
E–2/
Un petit chariot de manège à quatre roues, de masse 800 g, roule avec une vitesse linéaire
V = 27 m/s. Chaque roue de rayon r = 12 cm a un moment d’inertie J = 0,85 Kgm². Calculer :
1) L’énergie cinétique de translation du chariot.
2) L’énergie cinétique de rotation des quatre roues.
3) L’énergie cinétique totale.
E–3/
L’énergie cinétique d’un solide de masse M=1200Kg vaut 380 KJ. Que vaut son énergie ci nétique
lorsque sa vitesse est doublée ?
E–4/
Le moment d’inertie d’une sphère pleine par rapport à un axe de symétrie Δ s’exprime par :
2
JΔ= mr ² .
5
Une boule de billard, pleine et sphérique, de masse m=750 g, de rayon r = 8 cm,
Δ
roule sans glisser sur une table horizontale à la vitesse de 300 tr/min. Calculer :
1) L’énergie cinétique de translation du centre d’inertie G de la boule.
2) Le moment d’inertie de la boule par rapport à l’axe de rotation Δ.
3) L’énergie cinétique de rotation de la boule.
4) L’énergie cinétique totale de la boule.
E–5/
Le moment d’inertie d’un cylindre creux par rapport à son axe de symétrie Δ s’exprime par : JΔ= mr ² .
Une alliance de masse m et rayon r, roule sans glisser sur une table horizontale à la vitesse Δ
angulaire ω.
1) Donner l’expression de l’énergie cinétique totale EC de l’alliance en fonction de m, r et ω.
2) Calculer E C avec les données suivantes : m =100 g r =7,5 cm ω. = π rad/s.
E–6/
1
Le moment d’inertie d’un cylindre plein par rapport à son axe de symétrie Δ s’exprime par : JΔ= mr ² .
2
Un disque de masse m et rayon r, roule sans glisser sur une table horizontale à la fréquence N.
1) Donner l’expression de l’énergie cinétique totale EC du disque en fonction de m, r et N.
2) Calculer E C avec les données suivantes : m =100 g r =7,5 cm N = 120 tr/min.
12
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E–7/
Le moment d’inertie d’une tige homogène par rapport à son axe de symétrie Δ
Δ
ml ²
s’exprime par : JΔ= .
12
Calculer l’énergie cinétique totale d’une barre de fer de masse 200 g,
de longueur 80 cm, tournant autour de son axe de symétrie à la vitesse de 7200 tr/min.
E–8/
Un solide de masse m 1=2Kg glisse sans frottement à la vitesse constante V 1=30m/s sur une table
horizontale parfaitement lisse. Il vient heurter un autre solide de masse m 2=3Kg initialement au repos.
Calculer la vitesse V prise par l’ensemble des deux solides sachant qu’ils s’accrochent après le choc.
E–9/
Deux petits wagons de train miniature, de masses 100g et 200 g sont envoyés l’un vers l’autre sur une
table horizontale parfaitement lisse avec des vitesses respectives de 30cm/s et 20cm/s. Au moment
du choc, les deux wagons s’accrochent. Calculer leur vitesse immédiatement après le choc.
E–10/
A l’intersection de deux routes à angles droits, un camion de masse m 1=5t roulant à la vitesse de
10Km/h grille le feu rouge et heurte de plein fouet une camionnette de masse m 2=2t roulant à la
vitesse de 30Km/h. Les deux véhicules restent accrochés après le choc. On néglige les frottem ents.
Calculer :
1) La direction prise par l’ensemble après la collision.
E–11/
4 1
Un atome d’hélium ( 2 He ) animé d’une vitesse v rencontre un atome d’hydrogène ( 1 H ) au repos et
le projette suivant la direction de v . On suppose que le choc est parfaitement élastique et qu’il n’y a
pas de frottements. Exprimer en fonction de v , la vitesse prise par chaque atome après le choc.
B
E–12/
4
Un atome d’hélium ( 2 He ) animé d’une vitesse v rencontre un autre
4
30°
atome d’hélium ( 2 He ) immobile. On observe que la particule incidente A 0
arrivant suivant AO est déviée suivant OB , d’un angle de 30°.
1) Calculer l’angle que fait AO avec la direction OC prise
par l’atome atteint. C
2) Calculer le rapport des énergies cinétiques des deux atomes après la collision.
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E–13/
L’étude est effectuée dans un repère x x lié au sol d’une patinoire parfaitement lisse.
'
Joan de masse (m) et Delor de masse (M=3m) ont chaussé des patins à glace. Au cours de l’évolution
sur la patinoire, les deux enfants se dirigent l’un vers l’autre, Joan à la vitesse v 1 4 , 8 m / s et
Delor à la vitesse v 2 2 , 4 m / s . On donne m = 20 Kg.
1) Ils provoquent un choc mou. Le module de leur vitesse après le choc est ( v ).
a) Exprimer le vecteur quantité de mouvement p du système avant le choc.
2) On suppose maintenant que le choc entre les deux enfants est parfaitement él astique. Après
' '
le choc, Joan a une vitesse v 1 et Delor, une vitesse v 2 .
'
a) Exprimer les énergies cinétiques Ec et Ec du système avant et après le choc.
' '
b) Exprimer les vitesses v 1 et v 2 de Joan et de Delor immédiatement après le choc.
c) Calculer leurs valeurs numériques. Conclure.
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E–1/ Cocher les propositions exactes et corriger celles qui sont fausses.
a) La vitesse (v) au sol d’un corps tombant en chute libre dépend du lieu où l’on se trouve, de la
hauteur de chute (h) et de la masse (m) du corps.
b) L’énergie potentielle est une fonction d’état.
c) L’énergie potentielle n’est définie qu’à une constante près.
d) L’énergie mécanique d’un système non isolé diminue au cours du temps.
e) La variation d’énergie mécanique d’un système non conservatif est égale au travail de la force
de frottement : E W
f
E–2/
Un oiseau de 270g vole horizontalement à 320m du sol à la vitesse de 72Km/h. Calculer :
a) L’énergie potentielle de pesanteur du système Terre-Oiseau
b) L’énergie cinétique de l’oiseau.
c) L’énergie mécanique de l’oiseau.
E–3/
Un pigeon de 5Kg situé à 60m d’altitude fonce horizontalement sur une proie à une vitesse de
144Km/h. Calculer l’énergie mécanique totale du système Terre - Pigeon au départ.
Prendre g = 9,8 N/Kg.
E–4/
E–5/
Une bille de masse 500g est abandonnée sans vitesse initiale à partir d’une hauteur de 40m au -
dessus du sol. Calculer les énergies potentielle et cinétique du système Terre-bille lorsque la bille se
trouve :
a) A 40m du sol b) A 30m du sol c) Au niveau du sol.
E–6/
Une caisse à outils de 800g est accrochée à l’extrémité d’un ressort vertical de raideur k=40N/m.
Calculer l’allongement du ressort.
E–7/
Calculer la raideur d’un ressort qui s’allonge verticalement vers le bas de 2,5cm sous l’action d’une
masse de 150g. En déduire l’énergie potentielle élastique du système pour un allongement de 10cm.
15
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E–8/
Une barre AB de 60cm est suspendue en son milieu à un fil de torsion vertical de constante C.
On exerce perpendiculairement à la barre à 10cm de B, une force horizontale de module F=0,16N.
Ce qui fait tourner le fil d’un angle de 45°. Calculer :
a) La constante de torsion du fil.
F
b) L’énergie potentielle du système fil-barre.
c) L’élongation angulaire de la barre lorsque l’énergie potentielle du système
vaut 0,03J.
A M 0 B
E–9/ x
z
Un solide S de masse m=10Kg se déplace sur un plan incliné dont la ligne de
Plus grande pente Ox fait un angle 30 avec l’horizontale.
On repère la position de S sur le plan par son abscisse x.
Le point O sera pris comme origine des abscisses et des altitudes. A
g=10N/Kg. Données : OA = 38,4cm. A est le point le plus haut du plan incliné. S
a) Exprimer l’énergie potentielle de pesanteur Ep du système
En fonction de x.
b) Tracer la courbe Ep = f (x).
c) Déterminer l’énergie potentielle maximale. 0
E–10/
Une automobile est arrêtée sur une descente à 6%. On desserre les freins. Quelle distance la voiture
doit-elle parcourir pour que sa vitesse soit de 36 Km/h ? La résistance au roulement est égale 1,5% du
poids du véhicule. Prendre g = 10 N/Kg.
E–11/
Parti sans vitesse initiale, un skieur de masse m=80Kg descend le long d’une pente de longueur
L=300m, de dénivellation h=50m.
1) Calculer son énergie cinétique lorsqu’il est au bas de la pente. En déduire sa vitesse v.
2) En réalité, la vitesse acquise au bas du plan est v’=72Km/h. A quoi est due cette différence ?
3) Calculer l’intensité supposée constante de la force de frottement.
E–12/
Une platine de tourne disque, de masse m=176g et rayon R=50cm, est lancée à la vitesse de
33 tr/min. On arrête le moteur. La platine effectue 10 trs avant de s’immobiliser.
a. Calculer le moment d’inertie du disque.
b. Calculer le moment de la force de frottement qui s’exerce sur l’axe de rotation.
E–13/
Un chariot aborde le bas d’un plan incliné parfaitement lisse avec une vitesse de 12m/s.
a. Quelle hauteur atteindra-t-il avant de s’arrêter ?
b. Calculer le pourcentage de la côte à la montée si le chariot a parcouru 48m avant de s’arrêter.
E–14/
Un corps parti du repos glisse sans frottement sur un plan incliné de longueur L=AB, faisant en B un
angle avec l’horizontale. Déterminer sa vitesse en B en fonction de L, g et .
E–15/
Une orange de 60g située à une altitude h au-dessus du sol possède une énergie mécanique totale
de 27 J. On l’abandonne sans vitesse initiale.
a. Comment varient ses énergies potentielle et cinétique au cours de sa chute ?
b. Calculer sa vitesse à l’arrivée au sol.
c. Calculer h.
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E–16/
B
Le diagramme ci-contre représente la trajectoire d’un skieur.
Les frottements sont négligeables. D
1) Le skieur placé en B se laisse glisser sans vitesse initiale
Vers la droite. Quelle sera sa vitesse en C ? en D ?
2) Le skieur est en A et on lui donne une vitesse initiale V. A hB
Quelle sera sa Vitesse en B ? hD
3) A quelle condition atteindra-t-elle B ? hA
4) On suppose que la vitesse initiale en A soit suffisante
Pour qu’il dépasse B. Quelle sera sa vitesse en D ?
C
E–17/
E–18/
E–19/
E–20/
Partant du point A sans vitesse initiale, un chariot dévale une pente inclinée de =45° sur
l’horizontale. On néglige les frottements. Le point B est un raccordement convenable entre les plans
AB et BC. AB=2m. g=10N/Kg.
1) Calculer la vitesse du chariot en B.
A C
2) Après le passage en B, le mobile aborde, sans perdre de
vitesse, le plan BC d’inclinaison =30° (voir figure).
hC
Sachant qu’en C il rebrousse chemin, comparer les ha et hc hA
α β
des points A et C, comptées à partir du plan horizontal.
3) Calculer la distance BC parcourue par le chariot. B
E–21/
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Un mobile de masse m=100g descend un plan incliné d’un =30° sur l’horizontale. Un dispositif
permet d’enregistrer la position du mobile toutes les 80ms et leur traitement permet de déterminer sa
Point A0 A1 A2 A3 A4 A5 A6 A7
X (m) 0 0,050 0,125 0,220 0,330 0,455 0,610 0,770
V(m/s) 0 0,78 1,06 1,28 1,47 1,75 1,97 2,25
2) Calculer la variation d’énergie cinétique du mobile entre les positions A 0 et A 7. En déduire que
les frottements ne sont pas négligeables.
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COURANT CONTINU
PILES ET ACCUMULATEURS
INDUCTION MAGNETIQUE
AUTO-INDUCTION
COURANT INDUIT
F.é.m. D’INDUCTION
COURANT ALTERNATIF
ALTERNATEURS
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E : f.é.m en V
Rendement d’un accumulateur :
Courant continu :
Qd
En quantité d’électricité : r q Courant dont l’intensité et
Qc
le sens ne varient pas au
Wd cours du temps.
En énergie : rW
Wc
Les piles et les accumulateurs ont deux bornes : une borne et une borne
Quantité de matière
A la décharge un accumulateur fonctionne comme une pile : consommée au cours des
réactions :
Au pôle : Il y a une réaction de réduction.
Au pôle : Il y a une réaction d’oxydation. n
I .t
x .F
C’est au cours de ces réactions d’oxydoréduction qu’un courant continu
F est le faraday : quantité
Est produit.
d’électricité transportée par
une mole d’électrons.
L’interprétation de ces réactions sera explicitée pendant les séances
Des TD. 1F = 96500 C
Des règles de protection des accumulateurs seront étudiées en séances des TD.
20
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E–1/
E–2/
Quelle ressemblance et quelle différence peut-on établir entre les piles Volta, Leclanché et Daniell ?
E–3/
Pile ou
Pôle (+) Pôle (–) Electrolyte Nature Dépolarisant f. é .m
accumulateur
Volta
Leclanché
Daniell
Zn – Mn02
Plomb
Cd – Ni
E–4/
En insistant sur la fonction et sur la conversion d’énergie, expliquer la charge et la décharge d’un
accumulateur.
E–5/
1. Citer trois (03) règles de protection à observer dans l’utilisation d’un accumulateur au plomb.
2. Citer trois (03) règles de protection à observer dans l’utilisation d’un accumulateur Cd – Ni .
3. Quelle précaution faut-il prendre lors de la première mise en marche d’un accumulateur Cd - Ni ?
4. Donner un avantage et un inconvénient d’un accumulateur au plomb.
5. Donner un avantage et un inconvénient d’un accumulateur Cd – Ni.
E–6/
E–7/
Une pile de type Leclanché a une f .é .m égale à 4,5 V. Elle peut débiter dans une lampe un
courant de 20 mA pendant 45 h.
21
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E–9/
La capacité d’un accumulateur Lithium – Ion d’un téléphone portable est Q = 58 mAh. La
charge de cet accumulateur dure 1 h 30 min. Non utilisé, il se décharge complètement après 3 jours.
Le rendement en quantité d’électricité est 0 , 95 . Calculer les intensités des courants de décharge
et de charge.
E–10/
Une pile alcaline Zn – Mn02 a les caractéristiques suivantes : 6V; 0,1 Ah ; 0,2 W.
E–11/
E–12/
E–13/
L’évolution de la tension aux bornes d’un accumulateur au plomb pendant sa décharge est
donnée par le tableau ci-dessous :
t (h) 0 0,5 1 2 4 6 8 10 12 14 16 17 18
U (V) 11,0 10,4 9,5 9 8,9 8,85 8,84 8,83 8,82 8,81 8,75 8,50 8,00
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THEME II/ LE COURANT ALTERNATIF
Les sources de champ magnétique sont diverses : Lignes de champ d’un Aimant droit
Les aimants
L’écorce terrestre
Les courants électriques S N
////////
Le vecteur champ magnétique B en un point a le sens sud – nord d’une
Aiguille aimantée (boussole) placée en ce point.
Le vecteur champ magnétique terrestre B T est contenu dans le Lignes de champ d’un Aimant en U
plan du méridien magnétique .
S N
Caractéristiques du vecteur champ magnétique B au voisinage
d’un conducteur rectiligne parcouru par un courant I.
7
0 0 4 . 10 : Perméabilité absolue du vide Plan du méridien
I N : nombre de spires r : rayon d’une spire I (en A) magnétique
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{
Un champ magnétique est dit uniforme si son vecteur a même direction,
N : nombre de spires de la bobine
même sens et même Intensité en tous les points de l’espace champ. B : intensité du champ magnétique
Le champ magnétique est uniforme entre les branches d’un aimant en U S : surface d’une spire
et aussi à l’intérieur d’un solénoïde.
n : Vecteur unitaire porté par l’axe
Les lignes de champ sont parallèles à l’intérieur d’un champ uniforme. de la bobine.
Tout circuit fermé orienté (une bobine par exemple), plongé dans un champ Loi de LENZ
magnétique uniforme B est traversé (balayé) par le FLUX MAGNETIQUE
Le sens du courant induit est
tel que, par ses effets
de ce champ. électromagnétiques, il
+ s’oppose à la cause qui lui
B donne naissance.
NBS cos
f.é.m moyenne d’induction
θ
(B, n)
em = –
n t
L’aimant qui crée le champ magnétique est le circuit inducteur. f.é.m d’auto d’induction
Le flux propre p est le flux qui traverse un circuit plongé dans un Energie électromagnétique d’
une bobine induite
champ magnétique crée par lui-même.
1
p
Li
{ i : intensité du courant induit.
L : inductance de la bobine
E
2
Li ²
2 f (en rad/s)
1
+ + + + + t(s)
0
T T
4
Im = s x n s : sensibilité verticale
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E– 1 : Dire si les affirmations suivantes sont vraies ou fausses.
Si tu entres dans mon champ, tu seras traversée par mon ……………………… Et si je fais………….
ce ………….., tu seras le siège d’un …………………. Et d’une ………………….. Tu auras été ainsi
victime d’un phénomène d’ ……………………………
E– 4:
1. Après avoir énoncé la loi de Lenz, indiquer le sens du courant induit dans la bobine en
précisant le circuit inducteur et le circuit induit :
N S N S
Bobine
Bobine
E– 7 : Un solénoïde dont la longueur est l = 50cm et comportant 2000 spires est parcouru par un
courant continu de 3A. Donner les caractéristiques du vecteur champ magnétique B crée par le
courant au centre de la bobine.
E–8 : Sur un cylindre de carton de rayon R=5cm, on enroule à spires jointives un fil conducteur
cylindrique de rayon r = 0,5mm recouvert d’une couche d’émail isolant d’épaisseur e = 0,05mm.
1- Quelle condition doit-on respecter pour obtenir un solénoïde ?
2- Déterminer la longueur L de fil nécessaire à la réalisation d’un solénoïde de longueur 70cm
3- Calculer dans ce cas, l’intensité du champ magnétique à l’intérieur du solénoïde lorsque
l’intensité du courant est I = 0,35A.
E–9 :
1- Un solénoïde de 25cm de longueur est formé par une seule couche de N spires jointives faites
d’un fil conducteur de 0,4mm de diamètre. Représenter le solénoïde en indiquant le sens du
courant dans le solénoïde ainsi que quelques lignes de champ. Calculer N.
2- Un autre solénoïde, de même longueur et de diamètre 5cm, comportant 2500 spires par mètre
de longueur, est parcouru par un courant de 0,5 A.
a. Donner l’expression de l’intensité du champ magnétique au centre de ce solénoïde
puis calculer sa valeur numérique.
b. Un dispositif permet d’annuler le courant dans le solénoïde en Δt = 0,01s. Donner
l’expression de la fém. d’induction dont la bobine est le siège pendant la durée Δt,
puis calculer sa valeur.
E– 10
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Un solénoïde est enroulé à spires non jointives, à raison de 10 spires par centimètre. Le fil conducteur
est en cuivre de 0,2mm de diamètre et de résistivité ρ = 1,6.10–8 Ω m. La longueur du solénoïde est
l =40cm et le rayon d’une spire est r =5cm. On réalise un montage comprenant la bobine et un
générateur de fém. E 1=1,5V et de résistance interne r1=0,5Ω.
E– 11:
La variation du flux magnétique à travers une bobine est Φ(Wb)
représentée sur la figure ci-contre.
E– 12:
Une bobine plate comportant 500 spires de 80cm² de surface est placée dans un champ magnétique
uniforme d’intensité B=0,1T. Les lignes de champ sont perpendiculaires à la surface de la bobine et
de même sens que le vecteur unitaire normal à la surface.
1- Calculer le flux magnétique qui traverse la bobine
2- Quelle est la fém. moyenne em d’induction dans la bobine lorsque l’intensité du champ
diminue de 10% en 10–2 s.
E– 13:
On désire produire un courant alternatif sinusoïdal. A un instant pris comme instant initial (t=0), on
place une bobine plate à l’intérieur d’un solénoïde et on choisit le sens positif tel que la normale n au
plan de la bobine plate soit parallèle et de même sens que le vecteur champ magnétique B dans
lequel est plongée la bobine. On actionne un moteur qui fait tourner la bobine autour d'un axe Δ
contenu dans son plan avec une vitesse angulaire ω = 500 rad/s. L’intensité du champ magnétique
crée par le solénoïde est B = 0,1T.
1- Donner l’expression de la fém. d’induction alternative sinusoïdale (e) dont la bobine est le
siège.
2- Sachant que la bobine comporte N=1000 spires de section moyenne S=40cm². En déduire la
valeur maximale E m de la f.é.m induite.
E– 14 :
Un solénoïde comprend 2000 spires de section moyenne S = 20cm², reparties régulièrement sur une
longueur l = 50cm. Un courant continu d’intensité I = 2A parcourt le fil conducteur.
27
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E–15 :
Une bobine carrée comportant N=500 spires de côté a = 10cm, tourne avec une vitesse angulaire
constante ω autour d’un axe horizontal (Δ). Elle est placée dans un champ B horizontal uniforme et
constant au cours du temps.
1- Exprimer le flux magnétique qui balaye une spire.
2- Exprimer le flux magnétique qui balaye la bobine. U (V)
3- Montrer qu’il apparaît dans la bobine une fém instantanée
d’induction lors de la rotation.
4- On relie les deux bornes de la bobine à celles d’un oscillo-
1
graphe. On observe l’oscillogramme représenté ci-contre : + + + + t (ms)
0 +
20
a. Donner l’expression de la fém. induite et déterminer
son amplitude E m .
b. Calculer la vitesse angulaire de rotation de la bobine.
c. Calculer l’intensité du champ magnétique.
E– 16:
On mesure à l’aide d’un oscillographe, la tension donnée par un générateur de tension alternative.
L’oscillogramme obtenu est représenté sur la figure ci-contre.
1- A combien de divisions correspond une période ?
2- Sachant que le balayage est b = 5ms / div, calculer cette période
et en déduire la fréquence de cette tension. U (V)
3- A combien de divisions correspond la tension maximale ?
4- Sachant que la sensibilité verticale est s = 0,75V / div, en déduire
la valeur Um de cette tension maximale.
5- Calculer la tension efficace U. + + + + + + + + + + +
6- Ecrire l’expression de la tension instantanée u(t) sachant qu’à 0
t (ms)
t = 0, u = Um .
7- Le générateur alimente un résistor de résistance R = 5Ω.
Déterminer l’expression de l’intensité instantanée i(t) du courant
alternatif dans le résistor.
E– 17:
On étudie à l’aide d’une sonde de HALL, le champ magnétique B crée par une bobine plate de N
spires de rayon R, en son centre O. Les résultats sont consignés dans le tableau ci-àprès :
E–18 :
Ecrire l’expression de l’intensité instantanée d’un courant alternatif d’intensité efficace 1,2 mA, de
période 10–2s, et dont la phase initiale est de 36°
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THEME III/ PUISSANCE ET ENERGIE ELECTRIQUES
NOTIONS ESSENTIELLES
Loi de Joule
L’effet Joule est le dégagement de chaleur qui se produit dans un con-
ducteur parcouru par un courant électrique. L’énergie électrique
consommée par effet Joule
dans un conducteur dépend :
La puissance électrique consommée par effet Joule dans un conducteur – de la résistance R du
s’exprime par : conducteur
– de l’intensité I du
W courant électrique
– de la durée t de
j
Pj RI ²
t passage du courant
W j
RI ² t
Un générateur est un dipôle actif : il engendre un courant électrique et
fournit de l’énergie électrique aux autres éléments du circuit appelés ré-
cepteurs. E : f.é.m du générateur
r : Résistance interne du
générateur
Loi d’Ohm pour un générateur : U g
E rI
I ( E, r)
Puissance et énergie fournies par le générateur à l’extérieur ( ou puissance
et énergie utiles du générateur) :
Pu U g
I W u Pu t U g
It Ug
U g
Rendement d’un générateur : g
E
R
Puissance et énergie reçues par un résistor : P UI W UIt I
Pj
Rendement d’un résistor : r 1 car U = RI
P
Moteur : Récepteur électromécanique: Il
transforme l’énergie électrique reçue une
partie en énergie mécanique (énergie utile),
une autre partie en énergie calorifique
U E r I
' '
Loi d’Ohm pour un moteur ou un électrolyseur : (chaleur).
I E’, r’
Pu E I W u Pu t E It
' '
'
E U
Rendement d’un électrolyseur ou d’un moteur : (E’ : f.c.é.m)
U
P kUI
{ K : facteur de puissance (k 1 )
i A
u
B
Un dipôle passif parcouru par un courant continu d’intensité I=15A maintient entre ses bornes une
tension électrique U=7,5V.
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1) Calculer la puissance électrique consommée (reçue).
75 FCFA.
E– 2 :
On branche en série aux bornes d’un générateur (E=12V ; r=1Ω), un électrolyseur (E’=1,5V ; r’=4Ω) ;
un moteur (E’’=4,5V ; r’’=3Ω ) une lampe de résistance R=2Ω.
1) Faire le schéma du montage
2) Calculer :
a) L’intensité I du courant dans le circuit.
b) La puissance du générateur.
c) La puissance consommée dans le circuit extérieur du générateur (puissance reçue
par l’extérieur)
d) La puissance consommée à l’intérieur du générateur.
e) La puissance reçue par chaque élément du circuit.
f) Le rendement de chaque élément du circuit.
E– 3 :
1) Faire le schéma du dispositif en indiquant le sens du courant ainsi que le sens de circulation
des électrons
2) Avec quoi se fait l’ouverture ou la fermeture du circuit ?
3) Calculer E 0, r0, I et U sachant que le moteur tourne et que sa f.c.é.m. vaut 21V.
4) Calculer alors le travail fourni par le moteur en 1 minute. Quel est le rendement de ce
moteur ?
E–4 :
Un dipôle électrique parcouru par un courant alternatif reçoit une puissance électrique P = 1760W.
L’intensité instantanée du courant alternatif est : i (t) = 14,14 cos 314t (en A)
Le dipôle maintient entre ses bornes une tension alternative u(t) = 311,12 cos 314t (en V).
c) En déduire quatre (04) précautions à prendre pour minimiser les pertes d’énergie
dans un réseau électrique.
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E– 5 : La plaque signalétique d’un moteur électrique à courant alternatif est la suivante :
Pm = 2 KW U = 220V r = 0,8 k = 0,75.
E– 7 :
La tension aux bornes d’un électrolyseur a pour expression : U = 2,2 I + 2,4 (I étant l’intensité du
courant traversant l’électrolyseur)
E– 8:
Un fil métallique de résistance R=4 Ω plonge dans un calorimètre de valeur en eau μ =50g contenant
une masse d’eau m = 200g. On fait passer dans le fil un courant d’intensité I = 5 A.
1) Quelle doit être la durée de passage du courant pour que l’élévation de température soit égale
à 10°C si l’on néglige les pertes ?
2) Quelle doit être la durée de passage du courant pour que l’élévation de température soit égale
à 10°C si les pertes d’énergie sous forme de chaleur sont évaluées à 25%.
E– 9:
On dispose de 12 piles identiques ayant chacune une f.é.m. E 0 = 1,5 V et une résistance interne
r0 = 0,15 Ω.
1) On réalise dans un 1er montage, (03) séries de (04) piles chacune et dans un 2 ème montage,
(04) séries de (03) piles chacune. Calculer dans chaque cas, la f.é.m E et la résistance interne
r du générateur équivalent.
2) Le générateur ainsi constitué débite dans un résistor de résistance R = 2, 4 Ω. Quel est le
groupement le plus efficace ?
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ŒIL REDUIT
INSTRUMENTS D’OPTIQUE
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Le faisceau divergent : B
α
Célérité : Vitesse avec laquelle la lumière se propage. Elle varie en O
oeil A
fonction du milieu de propagation :
{ c 3 . 10 m / s : célérité de la lumière
8
0
c dans le vide A’
N v : célérité de la lumière dans le milieu
A
v B’
étudié
AB : Diamètre de l’objet
Air : Na = 1 Eau : N e = 1,33 = 4/3 Verre : Nv = 1,5 = 3/2 A’B’ : Diamètre de l’image
0A : Distance de l’objet à la
NB : Un milieu (1) est plus réfringent qu’un milieu (2) si N1 est supérieur à N2 Chambre
0A’ : profondeur de la chambre
Les phénomènes d’éclipses, des ombres et des pénombres seront élucidés en TD
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E–1/
1) Définir :
a) « Année lumière ». Calculer sa valeur numérique.
b) Rayon incident – Rayon émergent.
c) Objet – Image - Objet réel – Image réelle –- Objet virtuel – Image virtuelle.
2) Expliquer, schéma à l’appui, les termes suivants :
a) Ombre portée – Cône d’ombre - Ombre propre.
b) Eclipse du soleil – Eclipse de la Lune.
c) Diamètre apparent.
E–2/
Un bâton vertical de 2m de longueur projette son ombre, longue de 6m, sur le sol plat et
horizontal. Quelle est à cet instant, la hauteur d’un palmier dont l’ombre portée sur le sol mesure
15m ?
E–3/
1) Concernant les mesures d’angles, écrire la relation entre :
Degré et radian – Degré et minute – Radian et minute.
2) L’œil d’un observateur se trouve à 4m d’un poteau télégraphique de 18cm de diamètre. Quel
angle visuel cache cet obstacle ? L’exprimer en degrés et en radians.
3) Calculer le diamètre apparent du Soleil vu de la Terre.
On donne : Distance Terre-Soleil : D=1,496.108 Km.
Rayon du Soleil : R=6,96.105 Km.
E–4/
1) Une chambre noire donne d’un homme de 1,80m et situé à 2m, une image de 3,6cm de
diamètre. Calculer la profondeur de la chambre.
2) La hauteur d’un monument de 12m vu à travers une chambre noire est de 5cm. Quelle est la
hauteur d’un poteau électrique dont l’image à travers la même chambre est de 2cm ?
E–5/
1) Un carton rectangulaire de longueur L = 20cm et de largeur l = 12,5cm est placé à
équidistance d’une source de lumière ponctuelle et un écran. Calculer les dimensions de
l’ombre portée sur l’écran.
2) Une source de lumière ponctuelle S est située à une distance F d’un écran. A quelle distance
de la source doit-on placer un disque opaque de diamètre d pour en obtenir une image d’aire
8 fois plus grande ?
E–6/
B
L’œil O d’un observateur OH est à 1,58m du sol, et voit sous un angle
de 30° un mât vertical planté à la distance AH=10m. O
Quelle est la hauteur du mât ? 30°
B
A H
E–7/
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Le rayon incident (SI), le rayon réfléchi (IR) et la normale (IN) sont situés i r
dans le même plan.
////////////////////////////////////////////
2ème loi de la réflexion : i=r I
///
L’angle d’incidence (i) est égal à l’angle de réflexion (r).
Le trajet suivi par la lumière n’est pas modifié si on inverse le sens de la Dioptre plan:
propagation
Ensemble de deux milieux
PHENOMENE DE REFRACTION : transparents, d’indices différents
N1 et N 2 , séparés par une surface
plane :
La réfraction est le brusque changement de direction que subit un rayon
lumineux à la traversée d’un dioptre plan. Nappe d’eau au repos, lame de
verre dans l’air ou dans l’eau….
Deux cas se présentent :
N1 > N2 : Milieu 1 plus réfringent que Milieu 2 N1 < N2 : Milieu 1 moins réfringent que Milieu 2
S N S N
i1 i1
N1 N1
N2 I N2 I
i2 i2
i 2 > iR
1 i2 < i1
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N
Air
{
(N 1) Angle de réfraction limite
N1
sin , N1 < N2
I N du dioptre Air / Eau :
2
Eau λ
(N 2) sin λ = 0,75 λ = 48,6 °
R
Incidence normale :
Réflexion totale : La réflexion totale est observée lorsque la lumière Tout rayon incident parallèle à
transite d’un milieu plus réfringent à un milieu moins
la normale n’est pas dévié.
réfringent sous une incidence i > λ
N
Air
(N1)
I
λ
R
r i
Eau
(N2)
I=r
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IMAGE D’UN OBJET A TRAVERS UN MIROIR PLAN : PROPRIETES
S’
Im age virtuelle
intermédiaire
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E–1/ Répondre par vrai ou faux
2) Il existe des cas de réflexion où l’angle d’incidence n’est pas égal à l’angle de réflexion
4) L’indice absolu d’un milieu est défini par le rapport de la célérité de la lumière dans le milieu
considéré à celle de la lumière dans le vide.
5) Le chemin suivi par la lumière n’est pas modifié lorsqu’on inverse le sens de propagation.
E–2/ L’œil d’un observateur est placé en O et regarde dans un miroir circulaire M.
E–3/
1– Un système optique est constitué de deux miroirs perpendiculaires entre eux. Combien d’im ages
d’un point A donne ces deux miroirs ? Comment sont disposées ces images ?
E–4/
Un miroir plan rectangulaire est fixé sur un mur vertical. Sa base se trouve à une haut eur h au-dessus
du sol. Un homme de 1,80m se place devant le miroir. Son œil se trouve à la hauteur H=1,70m du sol .
E–5/
Deux miroirs plans parallèles sont distants d’une distance a. Leurs faces réfléchissantes sont
en regard. Un petit objet lumineux A est placé entre les deux miroirs à la distance b de l’un des
miroirs.
E–6/
1) Calculer la célérité de la lumière dans un verre d’indice Nv=1,5, puis dans le diamant d’indice
Nd =2,42.
2) Calculer l’indice de réfraction nv /d du verre par rapport au diamant par deux méthodes.
E–7/ Un rayon lumineux horizontal se réfléchit sur un miroir plan.
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E–8/
On considère trois milieux : A, B,C.
E–9/ Une cuve parallélépipédique de 8cm de profondeur est remplie d’eau d’indice N e=4/3.
Un rayon lumineux incident passant par A est réfracté et touche le fond de la cuve en un point E, tel
que DE = 3cm.
E–10/
Un rayon lumineux se propage de l’eau dans l’air. Les angles d’incidence sont respectivement :
i1 =30° i2=48,75° i3=60°
Dessiner la marche de ce rayon dans chaque cas. Ne=4/3.
E–11/ y
A1 –
Un rayon lumineux passe de l’air (n1=1) dans le verre (n2=1,5),
au point I (0 ;0). Ce rayon est issu du point A 1(–2 ; 2) et arrive i1 – n1
au point A2( x 2 ; –2). L’unité de longueur est le mètre.
Exprimer sin α 0 en fonction de n1 et n2. (Cette quantité est appelée ouverture numérique de la fibre)
E–13/
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A quelle profondeur semble être un poisson, qui se trouve à 75cm de la surface de l’eau ?
E–14/
Quelle est la position apparente d’un objet situé en dessous d’un bloc de verre rectangulaire d’une
E–15
Un récipient contenant de l’eau et du benzène repose sur un miroir plan. Un rayon lumineux
cheminant dans l’air tombe sur le benzène sous une incidence i=70°.
Première situation :
41
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NOTIONS ESSENTIELLES/
Un prisme est un instrument d’optique en verre transparent limité par deux Spectre d’une lumière :
surfaces planes non parallèles.
Ensemble des radiations
présentes dans cette lumière.
Un prisme est un spectroscope : Il permet d’analyser une lumière afin de
connaître la nature des différentes radiations qui la composent. Le spectre visible de la lumière
blanche présente 7 radiations :
Une lumière monochromatique est formée d’une seule radiation. Elle ne se
(les 7 couleurs de l’arc-en-ciel)
décompose pas.
Violet
Indigo
Une lumière polychromatique est formée de plusieurs radiations. Elle est
Bleu
Vert
décomposable par un prisme. Jaune
Orangé
La lumière blanche est une lumière polychromatique. Rouge
i ’ : Angle d’émergence
Sin i = n sin r i = i’ Dm = 2i – A
r = r’ A = 2r Un prisme est utilisée au
Sin i’=n sin r’
Dm A minimum de déviation si i = i’
A = r + r’ sin
2
n Ce qui implique r = r’.
D = i + i’ – A
A
sin
2
D est alors noté Dm
42
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E– 1/
1) Construire la marche d’un rayon lumineux à travers un prisme dont les deux faces sont en
contact avec l’air. On admettra que ce rayon sort du prisme. Conclure.
2) Soit A l’angle du prisme et n, l’indice du verre. Etablir les formules du prisme. En déduire les
formules d’approximation de Kepler (faible angle du prisme et faible angle d’incidence)
E– 2/
Les caractéristiques d’un prisme dont les deux faces sont en contact avec l’air sont : A=50° n = 1,5.
1) Calculer l’angle d’incidence pour que le rayon sorte du prisme en faisant un angle de 60° avec la face de
sortie.
2) Calculer alors la déviation.
E– 3/
Un rayon lumineux tombe normalement sur la face d’entrée d’un prisme. L’angle d’émergence est
i’=48°.
1) Faire un schéma de la situation en y représentant le trajet du rayon.
2) Calculer l’angle au sommet du prisme sachant que l’indice du verre est n=1,52.
E– 4/
Un rayon de lumière monochromatique tombe sur une face du prisme en verre d’indice N.
3) On réalise le réglage du rayon incident de façon à ce que l’angle d’émergence i’ soit égal à
l’angle d’incidence i = 30°.
La mesure précise de la déviation D et de l’angle du prisme A donne :
D = 27°43’ A = 40°13.
Calculer N et tracer la marche du rayon.
E– 5/
Un rayon lumineux pénètre dans un prisme d’indice n=1,5 et d’angle A, sous une incidence i = 30°.
1) On admettra d’abord que les deux faces sont en contact avec l’air. Construire en se justifiant,
la marche de ce rayon dans les deux cas suivants : 1er cas : A = 60° 2ème cas : A = 90°.
43
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3) Calculer la valeur de D.
E– 7/
Un prisme dont la section principale est un triangle équilatéral est posé sur un miroir plan.
1) Tracer la marche d’un rayon lumineux traversant le prisme et se réfléchissant sur le miroir.
2) Montrer que, dans le cas du minimum de déviation, le rayon réfléchi sur le miroir est parallèle
au rayon qui tombe sur le prisme.
3) La condition de la deuxième question étant réalisée, on constate que le rayon réfléchi fait un
angle de 18° avec le miroir. En déduire l’indice du prisme.
E– 8/
Soit un prisme d’angle au sommet 60°, et d’indice n=1.5.
1) Donner les valeurs des angles d’incidence, d’émergence et de déviation dans les cinq cas
suivants :
1er cas : Incidence rasante 2èmecas : Incidence normale 3ème cas : Minimum de déviation
4ème cas : Emergence rasante 5èmecas : Emergence normale.
E– 9/
Un faisceau lumineux tombe sur un prisme en verre d’indice n= 2 et d’angle A = 60°.
2) Entre quelles limites doit se trouver la valeur de l’angle d’incidence pour 60°
que le faisceau sorte du prisme. 45°
E– 10/
Un faisceau parallèle de lumière rouge tombe sur un prisme d’angle égal à 30° disposé au minimum
de déviation. Quelle est la déviation du faisceau sachant que l’indice du prisme pour la radiation rouge
E– 11/ Un rayon lumineux tombe sur un prisme en verre d’indice n=1,5 et d’angle A = 60°.
1) Calculer la déviation correspondant aux angles d’incidence i suivants : 30° ; 45° ; 60° ; 90°.
2) Tracer la courbe D = f ( i ) et en déduire une valeur approchée de la déviation minimale et de
l’angle d’incidence correspondante.
E– 12/
Le prisme à déviation constante de la figure ci-contre reçoit un rayon C
lumineux sur sa face AB. Ce rayon réfléchi par la face BC, sort par AC. B
1) Montrer que les angles 1 et 2 sont égaux si l’on a c
2
n
sin 1 .
2
2) Quel est alors l’angle entre les deux rayons incident et émergent 1
A
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NOTIONS ESSENTIELLES
Une lentille a deux faces. Une face sera dite :
Formule de position :
Convexe si elle est bombée
Concave si elle est creuse
Plane si elle est rectiligne 1 1 1
C
' '
OF OA OA
Une face est caractérisée par son rayon de courbure R
C : Vergence de la lentille
(en dioptries )
Face convexe Face concave Face plane
R 0 R 0 R
OF ' : Distance focale
Vergence :
Aspect Bords minces Bords épais ( larges )
1 1
C n 1
R
1 R 2
Types
Lentille plan Ménisque Lentille plan Ménisque n : Indice absolu du verre
biconvexe convexe convergent biconcave concave divergent
R1 et R2 : Rayons de courbure
des faces (en m)
Symbole
Formule de grandissement :
OA
'
'
A B
'
divergent
AB : Hauteur de l’objet
Propriété F’
F 0 F’ 0 F
A ' B ' : Hauteur de l’image
: Grandissement
centre optique O.
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Nature de l’objet et de l’image : La nature de l’objet ou de l’image est fonction de leur position
et du sens de propagation de la lumière et non de la nature de la
lentille.
Sens Grandeur
0 0 1 1 1
Foyer principal Foyer principal Plan focal Plan focal Distance focale vergence
image F’ objet F image objet
Plan focal : Un plan focal (objet ou image) est un plan qui contient un foyer principal (objet ou image)
Axe secondaire : Un axe secondaire est une droite, autre que l’axe principal, passant par le
centre optique O
Foyer secondaire : Un foyer secondaire est un foyer, autre qu’un foyer principal et contenu dans un
plan focal.
Définition :
46
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E– 1/ Reproduire les schémas et construire les rayons nécessaires.
1 Image Image
réelle 0 A virtuelle
A’ située au A’ située au
+ + + + foyer + + 0 + + foyer
F 0 F’ principal F’ F principal
0 A B’ 0bjet réel image F’ B’ 0bjet virtuel image F’
2 B
B Image Image
0A 2 0F '
F A’ F’ - réelle A’ - virtuelle
A + + 0 + + - réduite + + + + A - réduite
- renversée F’ 0 - renversée
B’ F
0bjet réel B’ 0bjet virtuel
0 A 20 F '
3
B
B Image 0A 2 0F ' Image
- réelle - virtuelle
A’ A’
A+ + +F’ + - de même + - de même
F 0 + +
grandeur
F’ 0 A grandeur
B’ F
- renversée - renversée
0 A 20 F ' 0bjet réel B’ 0bjet virtuel
4
B 0F ' 0A 2 0F ' B
Image Image
A’ - réelle - virtuelle
+ A + +F’ + A’
F 0 - agrandie + + + + - agrandie
F’ 0 A
B’ - renversée - renversée
0 F ' 0 A 20 F ' 0bjet réel F0bjet virtuel
B’
5
0A 0F '
Image B Image
B virtuelle virtuelle
0
+ A + + à l’infini F’ à l’infini
F F’ + + 0 +
AF +
0A 0F ' 0bjet réel 0bjet virtuel
6 B’
B’ 0A 0F '
Image B Image
0A 0F ' - virtuelle - réelle
B
- agrandie - agrandie
+ + + + + + +
+ - droite F’ 0 A F A’ - droite
A’ F A 0 F’
0bjet réel 0bjet virtuel
7 B
B’ 0A 0 Image
0A 0 Image B B’
- virtuelle
- réelle
+ + + + A + + + - réduite
0 A’ F’ A - réduite 0 +
F F’ F - droite
- droite A’
0bjet virtuel 0bjet réel
E– 2/
47
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1- Tracer la marche des rayons lumineux dans les 2 cas suivants où S est le point objet et S’ son
point image.
S’
S
F O O F’
2- Compléter les figures suivantes en faisant apparaître tous les rayons nécessaires.
F F’
+ 0 + F F’ F F’
+ 0 + + +
0
F’ F F’ F
+ 0 + F’ F
+ + + 0 +
0
E– 3/
a) b) c) d)
Une lentille convergente a pour distance focale 10cm. On place à 15cm devant cette lentille un objet
AB de 2cm de hauteur.
1- Déterminer les caractéristiques (position, nature, sens, grandeur) de l’image A’B’ formée par
cette lentille.
2- Vérifier les résultats à l’aide d’une construction graphique. Préciser les échelles utilisées.
E– 5/
Une lentille divergente a pour distance focale 10cm. On place à 15cm derrière cette lentille un objet
AB de 2cm de hauteur.
1- Déterminer les caractéristiques (position, nature, sens, grandeur) de l’image A’B’ formée
par cette lentille.
2- Vérifier les résultats à l’aide d’une construction graphique. Préciser les échelles utilisées.
E– 6/
E– 7/
On souhaite projeter sur un écran une image agrandie d’une diapositive. On dispose à cet effet d’une
lentille mince de distance focale f ‘ telle que f' = 20 cm.
1- Quel type de lentille doit-on utiliser ?
2- L’écran est à 1 m de la lentille. Calculer la position de l’objet par rapport à la lentille.
E– 8/
Un appareil donne d’un objet AB une image A’B’. Le grandissement est = 1. La distance de l’objet
à l’image est d= 60cm.
1- Si O est le centre optique de la lentille mince équivalente à l’objectif de l’appareil, calculer OA
et OA ' .
2- Calculer la distance focale de l’objectif de cet appareil photographique.
E– 9/
Une lentille convergente de 20cm de distance focale donne d’un objet une image 4 fois plus grande.
Quelles sont les positions de l’objet et de l’image si :
1- l’image est réelle
2- l’image est virtuelle NB. On précisera dans chaque cas la nature de l’objet.
E– 10/
Une lentille divergente de distance focale OF ' = – 10 cm donne d’un objet une image 5 fois plus
grande. Quelles sont les positions de l’objet et de l’image si :
1- l’image est réelle
2- l’image est virtuelle NB. On précisera dans chaque cas la nature de l’objet.
E– 11/
La distance entre la lentille d’un projecteur de diapositives et l’écran est de 4m et la distance focale du
projecteur est de 10cm.
1- A quelle distance de la lentille faut-il placer la diapositive pour que l’image soit nette sur
l’écran ?
2- Calculer le grandissement.
E– 12/
On voudrait déterminer de deux façons différentes la distance focale d’une lentille convergente L, en
utilisant une même lentille divergente L’ de vergence – 8 . Pour cela, on réalise deux expériences :
1ère expérience :
Les deux lentilles sont distantes de 27,5cm, L’ est à droite de L, leurs axes principaux confondus. Une
source ponctuelle S placée sur l’axe principal à 40cm du centre optique de L émet un faisceau
lumineux divergent qui traverse d’abord L et ensuite L’.
1- Sachant que le faisceau qui émerge de L’ est un faisceau parallèle, dans quel plan particulier
de L’ s’est formée l’image S’ de S donnée par L’ ?
2- Calculer la distance focale de L.
2ème expérience :
On accole à la lentille L la lentille L’. Le système obtenu donne d’un objet AB virtuel, une image A’B’
virtuelle, renversée et deux fois plus grande que l’objet. Sachant que la distance de l’objet AB à
l’image A’B’ est 150 cm :
49
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1- Calculer les positions de l’objet et de l’image par rapport au centre optique O du système.
2- Calculer la vergence du système.
3- En déduire la distance focale de la lentille L.
E– 13/
On veut déterminer la distance focale f ’ d’une lentille convergente. Pour cela on dispose d’un objet
lumineux AB et d’un écran E séparés par une distance fixe D. On déplace entre l’objet et l’écran la
lentille dont on cherche la distance focale. On remarque qu’il y a deux positions O1 et O2 de la lentille,
D
symétriques par rapport au milieu I situé à , qui donnent une image nette sur l’écran. La distance
2
entre ces deux positions sera notée d.
1- Faire un schéma de la situation où figureront l’objet AB, l’écran E, leur distance D, le point I et
la distance d.
2- Montrer que les deux positions O 1 et O2 n’existent que si D 4 f ’. Quelles sont ces positions ?
3- Exprimer la distance focale f ‘ de cette lentille en fonction de D et d.
Faire l’application avec D = 2 m et d = 0,8 m.
4- Déterminer le grandissement dans chacune des positions de la lentille.
5- Etudier le cas où D = 4 f ‘. Quel sera alors le grandissement ?
E– 14/
1- Sur un banc d’optique, un objet AB et une lentille sont perpendiculaires au banc, A étant sur
l’axe optique de la lentille. On constate en nettoyant la lentille qu’elle est plus épaisse au
centre que sur les bords. Conclure.
2- La lentille est placée dans une position déterminée puis on déplace l’écran pour obtenir une
image nette. On réalise ainsi plusieurs mesures consignées dans le tableau suivant :
AO cm 13,5 14,5 16 18 20 25 30 40 60
AA ' cm
159 98 69 58 53 50 51,6 58,5 76
OA cm
OA ' cm
1 1
(m )
OA
1
(m–1)
OA '
50
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Les limites de vision distincte d’un œil normal sont telles que le PR est à l’infini et le PP à 25 cm. Lorsque la
vision distincte ne correspond plus à ces limites, l’œil n’est plus normal. Il présente des anomalies ou
défauts d’accommodation. On distingue : La myopie, l’hypermétropie et la presbytie.
1 2 3 4 5 6 7
Perte de Lentille
Presbytie Se forme sur la souplesse et Moins convergente
rétine d’élasticité des convergent Plus pour un œil
muscles que l’œil éloigné nette Floue normal
Ciliaires (due à normal devenu
l’âge) presbyte
NB : Un œil myope ou hypermétrope muni du verre correcteur voit à l’infini sans accommoder
51
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E–1 : Choisir la ou les bonnes réponses.
4- Pour un œil presbyte, la vision des objets rapprochés est : a) Nette b) floue
5- Pour un œil myope la vision des objets rapprochés est : a) nette b) floue
6- Un œil hypermétrope est : a) plus convergent b) moins convergent …que l’œil normal
8- Pour corriger un œil myope on utilise : a) une lentille convergente b) une lentille divergente
12- Un œil dont le PR est à l’infini et le PP est à 80cm est un œil : a)myope b) presbyte c) hypermétrope
13- La distance minimale de vision distincte est la distance entre le centre optique du cristallin et :
a) la rétine b) le PP c) le PR
14- L’image d’un objet dans l’œil se forme sur : a) la cornée b) le cristallin c) la rétine
E– 2 :
Définir : Accommodation – Ponctum proximum – Ponctum remotum – Pouvoir
séparateur de l’œil.
E–3 :
Grouper deux à deux les mots : a) pupille ; b) lentille ;c) rétine ; d) écran ; e) cristallin ; f) diaphragme.
E–4 :
La distance cristallin–rétine d’un œil normal est constante et égale à 15mm. Calculer la vergence
minimale et la vergence maximale du cristallin.
E– 5 : Un œil a pour distance minimale de vision distincte dm =10cm. Son pouvoir séparateur est
=1’. Quelle est la plus petite distance de deux points que cet œil peut séparer ?
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E– 8 :
1- Quel est son défaut ? Quelles sont la nature et la vergence de la lentille correctrice supposée
à 1cm de l’œil qui voit à l’infini ?
2- Quel est le nouveau champ de vision distincte pour cet œil corrigé?
E– 9 :
Un œil est équivalent à une lentille dont le centre optique est à une distance δ =1,52cm du fond de
l’œil et dont la distance focale serait f1 =1,50cm quand il n’accommode pas, f2 =1,415cm quand il
accommode au maximum. Quelles sont les limites de vision distincte ? Conclusion.
E–10 :
Un être dont la vision est normale de 25cm à l’ , porte par fantaisie des verres de vergence C= – 2δ.
E–11 :
La distance minimale de vision distincte d’un œil hypermétrope est à 60cm au lieu de 25cm. Par
ailleurs, quand il regarde un objet à l’infini, l’image se forme derrière la rétine à 18mm derrière le
centre optique du cristallin alors que la rétine est à 16,7mm de celui-ci.
1. Quelle est la vergence de la lentille correctrice qui permet à cet œil de regarder à l’infini sans
accommoder ?
2. Où se trouve son PP lorsqu’il porte ses verres ?
E– 12 :
Une personne âgée ne peut voir les objets distinctement que si ces objets sont éloignés.
1. Quelle est la vergence des verres correcteurs qu’elle devrait porter pour lire sans effort à
25cm ?
2. Si une personne ayant une vue normale portait ces verres, quelles seraient les distances
limites auxquelles elle pourrait voir distinctement les objets ?
E– 13 :
1- Une personne porte des verres correcteurs de vergence – 2δ. De quelle anomalie soufre-t-
elle ?
3- Le PR de l’œil gauche d’un gamin est situé à 4m de l’œil, celui de l’œil droit à 5m. De quelle
anomalie d’accommodation souffre-t-il ? Indiquer les vergences des lentilles de contact
appropriées.
4- Pour ramener le PP de son œil à 25cm, un hypermétrope utilise des verres convergents de
distance focale 2δ. Quelle est la position du PP de cet œil sans lunettes ?
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THEME VI/ LES INSTRUMENTS D’OPTIQUE
Les Objectifs :
NOTIONS ESSENTIELLES/
Mettre au point un appareil
Grandeurs caractéristiques d’un instrument d’optique :
optique c’est amener l’image de
Latitude de mise au point : C’est la distance entre les positions extrêmes
l’objet observé entre le PP et le PR.
de l’objet correspondant à une vision distincte.
'
Grossissement d’un appareil optique : G (α et α’ en rad)
α': diamètre apparent de l’image
'
Puissance d’un appareil optique : P (P en dioptries ) α : diamètre apparent de l’objet
AB
vu par l’œil nu placé au PP
NB : La puissance sera dite intrinsèque si l’image est formée à l’infini.
AB : hauteur de l’objet (en m)
ETUDE DE LA LOUPE :
Une loupe est conçue pour observer les détails difficilement visibles à l’œil nu. Puissance intrinsèque de la loupe:
Pour cela l’objet doit être situé entre la loupe et son foyer principal objet.
B’
+ +
A’ F
A 0 F’
L’oculaire : placé près de l’œil, a une distance focale plus grande. grandissement de l’objectif
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objectif oculaire
L’objectif : placé près de l’objet, a une grande distance focale. Une lunette est dite afocale si
L’oculaire : placé près de l’œil, a une distance focale plus faible. elle donne d’un objet situé à
l’infini.
Principe d’une lunette afocale : F’ 1 ,F2 et A 1 sont tous confondus
Distance entre les centres
optiques d’une lunette
objectif oculaire afocale :
0 10 2
01 F
'
1 0 2
F
'
2
A1
F 1’ F 2 0 10 2 f1 f 2
+ + +
F1 01 02 F2’ Grossissement d’une lunette
afocale :
B1
'
01 F 1 f1
G '
02 F 2 f2
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E– 1 : Dire si les affirmations suivantes sont vraies ou fausses.
2- Une lunette est dite afocale lorsque le foyer image de l’objectif coïncide avec le foyer image
de l’oculaire.
5- Le grossissement d’une lunette afocale est égal à la distance focale de l’oc ulaire divisée par
celle de l’objectif.
1- Le microscope donne une image définitive : (i) Réelle (ii) Agrandie (iii) Droite
3- L’oculaire est le système optique situé près de : (i) L’objet (ii) L’image (iii) L’œil.
E– 4 /
Deux lentilles de distances focales 2 cm et 180 cm sont utilisées pour construire une lunette
astronomique. Attribuer à l’objectif et à l’oculaire la distance focale convenable.
E– 5 /
Dans un microscope, un objectif marqué (x20) est combiné avec un oculaire marqué (x60).
E– 6 /
Le diamètre apparent d’un objet observé à l’œil nu et placé à 25cm de l’œil est α = 3.10 –3rad.
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E– 7 /
La puissance d’un microscope est P=1500 δ. Un objet AB est vu à travers ce microscope sous un
diamètre apparent α’ = 0,25 rad. Calculer :
Une loupe a une distance focale de 3cm. Elle est placée à 2cm d’un objet AB de 8mm de hauteur.
E– 9 /
Une lunette astronomique est constituée d’un objectif de distance focale 200cm et d’un oculaire de
distance focale 4cm. Lorsque la lunette est afocale calculer la distance entre les centres optiques
O1O2 des deux lentilles ainsi que le grossissement de cette lunette.
E– 10/
Un microscope d’intervalle optique Δ = 15cm est constitué d’un objectif de distance focale 2mm et
d’un oculaire de distance focale 3cm. Un globule rouge, invisible à l’oeil nu, a un diamètre apparent
égal à 2,1.10–5rad. Calculer :
E–11/
Une lunette astronomique possède un objectif ayant une distance focale de 1,2m et un oculaire ayant
une distance focale de 12cm. La distance entre les centres optiques des deux lentilles est de 1,48cm.
Un objet ayant une grandeur de 10cm est placé à une distance de 8,4m devant l’objectif.
E–12/
On considère une lunette astronomique dont les caractéristiques sont : Objectif : 100cm ; oculaire : 5cm.
1- Définir « lunette afocale » et calculer la distance entre les centres optiques pour que la lunette
soit afocale.
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M ECANIQUE 1
par : W = M
F x
P
f
avec M F F . R et 2 n
a) 31,4 J b) 3,77 J c) 452,2 J
P
E–3/ W = M
F x =2 n FR = 791,3J y’ :
2) a) Intensité de chaque force
p
P=mg =1,2.103 N. F= 480 N
E–4/ En translation la puissance d’une force v
p D’après le principe de l’inertie : F R n P f 0
s’exprime par P F .v . F= =1,3.103 N
v Suivant y’y : Rn= P = mg =1,2.103 N
E–5/ En rotation la puissance d’une force
Suivant x’x : f = 480 N.
s’exprime par : P M
( F ). avec 2 N
W P W Rn 0
F 2 ,39 N .m F 2 ,39 N .m
b)
a) M
b) M
W F 8 ,16 . 10 J W f 8 ,16 . 10 J
5 5
c) M
F 15 N .m d) M
F 143 ,3 N .m c) Coefficient de frottement :
f
40 %
Rn
f
y’
30° x’
y’ 30° x’ 2) D’après le principe de l’inertie :
P = 6,89°
F Rn P f 0 sin 0 ,12
P Intensité de la force motrice :
Le chariot est en mouvement rectiligne uniforme.
Suivant x’x :F – f –mgsin = 0 . F = 1260 N
D’après le principe de l’inertie F ext 0 .
Intensité de la réaction normale :
F R P 0
Projetons cette relation suivant x’x : Suivant y’y : Rn= P cos = mg cos Rn = 7942 N
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F cos 60° – mg sin 30° = 0
F = 1 N.
W P 1920 KJ P B
f
5) Coefficient de frottement : 3 ,8 %
Rn 2) Travail de R :
W F1 = M
F x F1 R ( 2 n ) W AM( P ) = + mgh or h = 0I = r sin
W F 1 = 20 J.
W AM( P ) = + mg r sin .
W F2 = 0 car F 2 rencontre l’axe de rotation
E–11/
1) Schéma de la situation
0
30° T
A
I
h
B
P
2) Travail de T :
Travail du poids :
W AB( P ) = + mgh or h = 0B – 0I
= L(1–cos 30°)
3) Application numérique:
W AB( P ) = + mg L(1–cos 30°)
W AB ( P ) = 0,525 J
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M ECANIQUE 2
2) Moment d’inertie:
m 1V 1 m 2V2
V .
2 m1 m 2
J mr ² J∆=1,92.10–3 Kg.m²
5 La projection suivant la direction primitive de m 1 donne :
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E–10/ Système étudié: (C1 + C2) E–11/ Système étudié: ( He + H )
(m1+ m2) V = m1 V1 + m2 V2
mHe( V – V1)=mH V2 (1’)
Projection suivant x’x : ( m1+ m2) Vsinα = m1V1+ 0 mHe(V²–V1²) = mH V² (2’)
Projection suivant y’y : ( m1+ m2)Vcosα = m2V2+ 0 La résolution de ce système d’équations conduit à :
m 1V 1 m 2V 2
V
( m 1 m 2 ) sin ( m 1 m 2 ) cos
V = 11,2 Km/h
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E–12/ E–13/
y Système étudié: Joan ( m=20Kg ; V1=4,8m/s) +
1) B Delor (m=60Kg ; V2=2,4m/s)
V1
J v1 v2 D
x
30°
A V 0
x 1) Etude du choc mou :
V2 a) p m ( v 1 3 v 2 )
Avant le choc : C
Après le choc :
b) p' 4m v
P mV P ' mV1 mV 2
c) v 1 / 4 ( v 1 3 v 2 ) V = – 0,6 m/s
Ec = ½ m V² E’c = ½ m V 1² + ½ m V 2²
d) V < 0: Après le choc, les deux enfants
s’accrochent et se dirigent dans la direction primitive de
DELOR.
Il n’y a pas de frottement ; le système (He + He) est
e) Variation d’énergie cinétique du système
pseudo isolé :
Avant le choc EcJ=230,4J et EcD= 172,8J Ec=403,2J
P P ' V V1 V 2 (1) Après le choc E’cJ=3,6 J et E’cD= 10,8J E’c=14,4 J
Ec = – 388,8 J
Le choc est parfaitement élastique :
Il ya perte d’énergie cinétique du système à la suite
Ec = E’c V² = V 1² + V2² (2) du choc.
Projetons la relation (1) suivant y’y : On obtient : Après le choc : p ' m ( v '1 3 v ' 2 )
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M ECANIQUE 3
E–1/
E–5/ a) A 40 m du sol :
a) F b) V c) V d) V e) V
E–2/
a) Ep = + mgh Ep = 864 J
b) Ec = ½ mv² Ec = 54 J h
c) E = Ec + Ep E = 918 J
Niveau de
E–3/ référence
E = Ec + Ep E = mgh + ½ mv² = 7.103J
Ep = mgh = 200 J Ec = 0
E–4/
b) A 30 m du sol :
1) a) L’état de référence est le sol :
Ep = mgh = 150 J Ec = 50 J
h = 5m Ep = + mgh = 300 J
a) Au sol : Ep = 0 Ec = 200 J
Niveau de
référence E–6/
A l’équilibre, T = P ////
Or T = kx et P = mg /
2) a) L’état de référence est à 2 m au-dessus du sol :
mg T
x x = 0,2m.
Ep = + mgh = 180 J k
Niveau de 5m
référence
2m P
E–7/
1
Ep C ² Ep = 1,26.10–2J
Ep = – mgh = – 120 J 2
5m
Ep = 50 x
sol c) Ep est maximale en A. 5–
E–mail : dombesse@yahoo.fr 64
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y
GAZIERE
E–10/ E–13/
B
x’
Rn
A
h
f x
B
A
P
L’automobile doit partir de A à B : VA=0 VB = 36km/h a) Hauteur atteinte :
h=50m
E–14/ VB = 2 gL sin
E–15/
B
A
1) Energie cinétique au point B :
Ec B – 0 = W AB( p ) = mgh EcB = 4.104J h
mgh Ec 2EB
f
B
f = 80 N EB = ½ mV B² VB = VB =30m/s
L m
E–12/ c) E A =mgh h = 45m
a) Moment d’inertie du disque :
E–16/ Appliquer le théorème de l’énergie cinétique.
J∆ =½ m R² J∆ = 0,022 kg.m²
1) Vitesse en C : VC = 2 gh B
b) Moment de la force de frottement :
Vitesse en D: V D = 2 g (hB hD )
D’après le TEC, Ec f – Ec i = W( f )
2) Vitesse en B: : V B = v ² 2 g (hB h A )
0 – ½ J∆ ω² = W( f )
Or W( f ) = – M
f avec 2 n et ω = 2πN 3) Condition pour atteindre B: V B ≥ 0.
v ² 2 g (hB h A ) 0 v 2 g (hB h A )
M
f = J
N ²
n
M
f = 2.10 –3 N.m
4) : VD = v ² 2 g (hD h A )
E–mail : dombesse@yahoo.fr 65
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GAZIERE
E–17/ E–20/
1) Energie mécanique en O : EO = Ec O + EpO
1
1) Vitesse en B : mV B
² 0 mgh A
EO = ½ mV O² + mgLsinα EO = 828 J. 2
VB 2 gAB sin 45 VB =5,3m/s
2) Vitesse du chariot en A :
2) Comparons hA et hC :
1 1
D’après le TEC, mV A
² mV O
² mgL sin f . L
2 2 Appliquons le TEC entre A et C :
f .L
VA V O ² 2 gL sin 2 VA=7,68m/s 1 1
m mV C
²
mV A ² W AC ( P )
3) Energie mécanique en A : EA = Ec A + EpA 2 2
0 0 mg ( hA – hC ) : hA = hC
Mais, E A = Ec A = ½ mV A² car EpA=0 EA = 708J 3) Distance BC :
de frottement. E–21/
0 A0
30° T
A h
I A7
h
B
1) P
½ mV B² – 0 = W AB( p ) + W AB( T ) W A0 A7 ( p ) = +mgh avec h = A 0A7sin
∆Ec=0,253 J
r R
M I
∆Ec < W A0A7( p ) : Les frottements ne sont pas
B négligeables :
P
W( f ) = ∆Ec – W A A7 ( p ) = – 0,132J
1) 0
½ mV M² – 0 = W AM( p ) + W AM( R )
2) Courbe V ² f ( x ) :
or W AM( R ) =0 et W AM( p ) = mgh avec h = OI = r sin
A0 A1 A2 A3 A4 A5 A6 A7
x 0 0,05 0,125 0,220 0,330 0,455 0,610 0,770
VM 2 gr sin . 0 0,608 1,123 1,638 2,160 3,060 3,880 5,060
v²
2) En B, =90°, sin =1 V B 2 gr
VB =5m/s
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V² (m²/s²)
X (m)
4) Forces extérieures:
y
x’
Rn
f x
B
5) Expression de V²: P
1 f
Il vient, mv ² mgx sin f . x . Ce qui donne v ² 2 x ( g sin ).
2 m
6) Coefficient de frottement :
La courbe obtenue est une droite. On peut écrire : v ² K . x avec (K) coefficient directeur ou
pente de la courbe. A = 6,18
f
Théoriquement, v ² 2 ( g sin ). x .
m
f A
Par identification, on obtient A 2 ( g sin ) Enfin, f m ( g sin )
m 2
f = 0,19 N
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ELECTRICITE 1
E–2/ E–8/
Comme ressemblance, ces trois piles sont des 1) Quantité d’électricité Qd fournie à la décharge :
générateurs électrochimiques non rechargeables. Qd Qd
On a r Q d r .I c t c Qd = 54 Ah.
Qc I ctc
Comme dissemblance :
– la pile Volta est une pile facilement polarisable 2) Durée de la décharge :
– la pile Leclanché est une pile à dépolarisant Qd
– la pile Daniell est une pile impolarisable Q d I d .t d t d td = 9h
Id
E–5/ E–9/ Courant de décharge :
1) Qd
Ajouter de l’eau de batterie dans les chambres Q d I d .t d I d Id = 8,05.10–4 A
lorsque le niveau du liquide baisse. td
Maintenir les électrodes toujours immergées. Courant de charge :
Ne pas mettre la batterie en court circuit pour
éviter les surintensités. Qd
Ic I c = 4.10–2A
2) r .t c
Ne pas charger la batterie très longtemps.
Ne pas mettre la batterie en contact avec des E–10/
objets métalliques. 1) Signification des termes :
Ne pas exposer la batterie à un excès de chaleur
ou d’humidité E=6V : indique la f.é.m de la batterie.
Id g.
td = 350 h 3) Durée de fonctionnement de la pile :
E–7/
E E .Q
1) Nombre d’éléments : E = n E 0 n Qd=Id.t d P=E.Id td
E0 P
td =10800s ou 3 h.
Dans une pile Leclanché la f.é.m d’un élément vaut :
4) Masse de zinc et de dioxyde de manganèse :
E0 = 1,5V n = 3 éléments montés en série.
I d td
m Zn .M Zn m Zn = 6.10-3 g.
2) a) Capacité : Q d I d .t d Qd = 0,9 Ah ou 3240 C. 2 .F
I d td
m Mn .M m MnO = 4.10-3 g.
b) Puissance : P = E.Id P = 9.10–2 W O2
4 .F
Mn O 2 2
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E–11/ E–12/
E–13/ 1) Graphe de U = f ( t ) :
U(V) 11
10,4 –
9,5 –
9
t(h)
0
1 2 4 6 8 10 12 14 16 18
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ELECTRICITE 2
I
I Nombre de spires :
l Diamètre du fil x nombre de spires = dxN N=625
N 2) a) Intensité du champ au centre de la bobine :
Intensité : B 0 I
2R N
B 0 I ou encore B 0 nI où n est le nombre de
7 80 L
A.N : B 4 x 3 ,14 . 10 x x2
0 , 06 spires par mètre. B=1,57.10–3T
2) b) F.é.m d’unduction dans la bobine :
B=1,67.10–3 T
E–7/ f i
Par définition, e m
Caractéristiques du vecteur champ magnétique au t t
centre de la bobine
B NBS
i
NBS f
0 em
t
S N On connaît : B et ∆t.
N
I On sait que n N nxL N = 625 spires
L
N
B 0 I B=1,5.10–2T d ²
l On sait également calculer S : S S = 1,96.10–3m²
E–8/ 4
1) Pour obtenir un solénoïde, le rayon d’une spire doit e m = 0,19 V
être négligeable devant la longueur de la bobine. L
E–10/ 1) Résistance de la bobine : R
2) Longueur du fil : s
Posons : – l , la longueur du solénoïde L : longueur du fil. L = 2 π r N avec N = 400 spires
– d , le diamètre du fil : d = 2r d ²
– e , l’épaisseur de l’isolant s : section du fil conducteur . s s = 3,14.10–8m²
4
– N , le nombre de spires du solénoïde L = 125,6 m R=64
– L , la longueur du fil à déterminer.
2) Intensité du champ dans la bobine :
B 0 nI n : nombre de spires divisé par la longueur
e m= – 8 V On a i
NBS NBS ∆Ф= – 0,04 Wb
2) t 1 0 , 5 0 , 5 s 2) b) coefficient d’auto induction ou inductance de la bobine :
(1 ) ( 0 , 5 ) 2 ( 2 ) 4 Wb
e m= 8 V p NBS
L L=2.10–2H
I I
E–12/ 1) Flux magnétique qui balaye la bobine :
2) c) F.é.m moyenne induite :
NBS cos or B , n 0 NBS
4
em e m= 0,8 V
A.N : 500 x 0 ,1 x 80 . 10 =0,4Wb t
2) Calcul de la f.é.m moyenne d’ induction : n
em
f i 1) Flux à travers une spire : =BScosθ or θ = ωt et S=a²
t t Ba²cos ωt
0 , 36 0 , 4 2) Flux à travers la bobine : N Ba²cos ωt
A.N : em 2
e m=+4 V
10
E–13/ 3) Naissance d’une f.é.m d’induction :
1) Expression de la f.é.m instantanée d’induction : Lorsque la bobine tourne, t varie ; ωt varie ; varie. Ce qui
d
entraîne l’apparition d’une f.é.m d’induction :
e or NBS cos ( t ) avec ( t ) =ωt d
dt e
NBS cos ωt dt
Cette f.é.m d’induction apparaît lorsque la variation du
En dérivant cette expression par rapport au temps flux commence et s’annule lorsque cette variation cesse.
On obtient :
e NBS ω sin ωt 4) a) Expression de la f.é.m instantanée d’induction :
2) F.é.m maximale :
Par définition, la f.é.m instantanée s’écrit : e NBa ² ω sin ωt
e = Em sin ωt.
Par identification avec ce qui précède,on a : Amplitude de la f.é.m : Elle correspond à la f.é.m
Em=NBSω Em=200 V.
Maximale. Graphiquement on lit : Em=3V
E–14/
2
1) Caractéristiques du vecteur champ magnétique b) Vitesse angulaire de rotation de la bobine :
à l’intérieur de la bobine : T
La période T peut se déterminer graphiquement :
Point d’application : centre de la bobine
Direction : suivant l’axe de la bobine T=80ms ou 80.10–3s ω = 78,5 rad/s.
Sens : Le sens de B dépend du sens du
courant et est donné par la règle de l’observateur c) Intensité du champ magnétique : Par définition, la f.é.m
d’Ampère. instantanée s’écrit : e = Em sin ωt. On a e = NBa²ω sin ωt
B Par identification,
N S Em
I Em = NBa²ω B B = 7,6.10–3T
Na ²
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E–16/ 4) Détermination graphique de K :
1. Une période correspond à n = 5 divisions. B
2. Valeur de la période : T = n.b T=25ms La pente de la droite obtenue est : A .
I
1
Fréquence : f f = 40Hz 3 A
T A 1 , 5 . 10 or 0 K A K K=1194
0
3. La tension maximale correspond à n=2 div.
4. Tension maximale : Um = n.s Um=1,5V 5) Influence de R sur B : Quand R augmente, B diminue.
Influence de N sur B : Quand N augmente, B augmente.
U
Tension efficace : U m
U=1,06V
2 6) Nombre de spires :
5. Tension instantanée : N
On a obtenu K N 2 KR N=239 spires.
2R
Par définition, u( t ) = Um cos (2πN t + φ )
A t = 0 , u = – Um . On peut écrire que :
E–18/
Um =Um cosφ cos φ = –1 φ = 180° = π . D’où
1) On a i(t) = 10 2 sin (100 t – /4) mA. On a :
u( t ) = Um cos ( 2πN t + π ) u( t ) = 1,5 cos ( 80πt+ π ) i(t) = Im sin ( t + ). Par identification on obtient :
– Im =10 2 mA = 10 2 .10–3A
6. Intensité instantanée du courant alternatif :
3
10 2 . 10
– Ief f = 10–2 A
u (t ) 2
i (t ) i( t ) = 0,3cos 80πt ( A )
R – = 100 rad/s = 314 rad/s
2
E–17/ – T= = 0,02 s
1) Schéma de la bobine :
– f = 50 Hz
B 2
– / 4 rad
2) Intensité à t=0,05s
I i ( 0,05 ) = 10 2 sin (100 x 0,05 – /4) i = 10–2A
3) f .é.m d’induction:
d di
2) Montrons que : B 0 KI : Par définition, e avec Li soit, e L .
dt dt
N Dérivons i :
Pour une bobine plate : B 0 I
2R di
10 2 x 100 cos(100 t – /4)
N dt
En comparant les deux relations, on obtient : K
2R e L x 10 2 x 100 cos(100 t – /4)
3) Graphe de B = f ( I ) :
A t = 0,1s e 0 ,105 x 1000 2 x cos(10 – /4)
e = – 324,5 V
– E–19/
2
– – Pulsation : = 200 rad/s ou 628 rad/s
T
x
36 x
0,1 + – Phase initiale : rad
I( A) 180 5
0 + + + + + + + d’où l’expression de i : i( t ) = 1,7.10–3 cos ( 628t + /5) A.
0,1
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ELECTRICITE 3
P RI ² R = 17,6
E–mail : dombesse@yahoo.fr 73
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P'
Générateur : G G 95%
P
b) La puissance reçue s’écrit : P kUI
2) a) Intensité du courant : U = E’+ r’I. I=2A
La puissance consommée par effet Joule : P J RI ²
E'
En éliminant I entre les deux relations on obtient : b) Rendement : r r=35,3%
U
R E–8/
PJ P ² .
k ²U ² Il convient de rappeler deux formules essentielles
relatives à la colorimétrie :
c) Précautions à prendre pour minimiser les pertes
d’énergie dans un réseau électrique : Chaleur reçue par le liquide :
W = R I² t = U I t
2) a) Puissance électrique absorbée :
t : durée de l’opération (en s)
C’est la puissance reçue par le moteur. I : intensité du courant électrique (en A)
Par définition, le rendement d’un moteur s’écrit : U : d.d.p. aux bornes du calorimètre (en V)
R : résistance du résistor plongé dans le calorimètre (en Ω)
Puissance utile Pm Pm
r P P=2500W Les deux formules sont liées par la relation :
Puissance reçue P r Q
r r est le rendement de l’opération.
b) Puissance apparente du moteur : W
1°) Les pertes sont négligeables : r =1 Q W .
P
P k . Pa Pa Pa=3,3.103W
k Soit (m+μ) C ∆θ = R I² t avec C = 4200(en J/Kg/degré)
c) Intensité efficace du courant: ( m )C
t t = 105 s.
RI ²
Pa 2°) Les pertes sont égales à 25% : r = 75% = 0,75
P a UI I I =15 A
U
E–6/ Soit (m+μ) C ∆θ = 0,75 R I² t
( m )C
E,r E,r t t = 140 s.
0 , 75 RI ²
sr 0
––– –––––- Résistance équivalente : r
p
R R R’
( p = nbre de branches ; s = nbre d’éléments par branche)
1er montage : E I 0 R r
1er montage : s = 4 p = 3 E = 6V r = 0,2Ω
2ème montage : E I 0 R R ' r
2ème montage : s = 3 p = 4 E = 4,5V r = 0,1125Ω
En éliminant E entre les deux relations on obtient
E
r = 2 et E = 100 2°) D’après la Loi de Pouillet, I .
r R
E–7/ 1er montage : I1 = 2,3 A 2ème montage : I2 = 1,8 A
1) La ddp aux bornes d’un électrolyseur s’écrit : Le montage efficace est celui qui fournit le courant le plus
U = E’+ r’I. intense.
Par identification avec U = 2,2 I + 2,4, on obtient :
E–10/
(139) (8470) (2233) (10703) (9730) (668) (10918)
E–mail : dombesse@yahoo.fr en francs CFA 74
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OPTIQUE 1 : LES APPLICATIONS DU PRINCIPE DE PROPAGATION
RECTILIGNE DE LA LUM IERE
E–1/
1) Les definitions: E–2/ Hauteur du palmier :
a) Année lumière : Distance parcourue par la
lumière dans le vide en un an. B1
A1B1=2m
Sa valeur : D = C.t C=3.108m/s t=365 j bâton
NB : il faut convertir les jours en secondes.
D = 9,46.1015 m. A1
A’ 1B’1=6m
b) Rayon incident : Rayon tombant sur un //////////////////////////////////////
A’1 B’ 1
système optique. ///
Rayon émergent : Rayon sortant d’un
système optique.
B2
c) Objet : Un objet est situé au point de
rencontre de deux rayons incidents. poteau
A2
L’objet est réel si ce point se trouve devant le //////////////////////////////////////
système optique. A’2 B’ 2
L’objet est virtuel si ce point se trouve derrière
///
le système optique.
A1 B 1 A2 B 2
tan = ' '
' '
Image : Une image est située au point de A 1B 1 A 2 B 2
2) B
C 3
18
1
cm
A O
d 4m
4
On a la légende suivante : 0 , 045 rad 2 ,6
s A 2 B 2 4,8m.
E–mail : dombesse@yahoo.fr 75
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c) Diamètre apparent d’un objet : Angle sous lequel un
Objet est vu par l’œil. Il s’exprime en radians.
E–5/ Hauteur du mât : h = AB = OH + OI
B C B B’ E–6/
E–6/
B
A D 0 A’
S
Source A 1
ponctuelle
A rad =
100
A' B ' AB OA ' h
A' B ' xAB 2 AB 30°
OA ' OA OA 0
I
L’ombre portée sur l’écran est un rectangle :
Posons : Soit,
AB AB
D ² OS OS = 1000m
A (aire du disque image de diamètre A’B’) : A =
4
OS
h = 500m
d ²
a (aire du disque objet de diamètre AB) : a =
4
D ² d ²
On veut avoir A = 8a = 8x
4 4
D 2d 2
E–6/
10m
B I
69°
30° O
B
81° 1,58m
A H
10m
1 , 58
tan 9
10
E–mail : dombesse@yahoo.fr 76
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OPTIQUE 2 : REFLEXION ET REFRACTION
1) V 2) F 3) V 4) F 5) V 6) F 7)V X1 = 2b
X2 = a + b + a – b = 2a
E–2/ X3 = 2a + b + b = 2a + 2b
2) Nom : Champ du miroir X4 = 3a + b + a – b = 4a.
On constate qu’après un nombre k pair de
E–3/ 90 : Nombre d’images : n = 3 réflexions Xn = k*a
Disposition : Ces trois images forment A’ 3 A
un carré avec l’objet A. 2) Après 2n réflexions X2n = 2na
(n étant in nombre entier).
A’2 E–6/
A’1 3 . 10
8
1) C v 2 . 10 m / s
8
E–4/ N v
8
1) Pour que l’homme aperçoive ses pieds dans le miroir, il faut 3 . 10
Cd 1, 24 . 10 m / s
8
0,1 N C
0 , 62
d
N v /d
m Cv
0 E–7/ 2 24
1,70 I M E–8/
m N
h 1) n A / B
A
1, 5 1 N N
A B
N B
A
Si en plus i , le rayon cheminant dans
OA 1 , 70 A ne pourra pas pénétrer dans B. Il subira
h OI IA 0 , 85 m 85 cm . une réflexion totale.
2 2
N
Conclusion : La base M du miroir doit se située à 85cm du sol. 2) n B / C
B
0 ,8 1 N N :
B C
N C
2) Se voir en entier revient à voir le point B qui est la limite de sa Un rayon cheminant dans B pénètrera
hauteur AB = 1,80m ou 180cm. toujours dans C.
Voir le point B signifie qu’un rayon partant de B doit pénétrer dans E–9/
l’œil O. 1) A D
E–5/ DE 3
tan r r 20 , 6 .
AD 8
Plaçons l’objet A à la distance b du miroir M 1.
2) Angle d’incidence :
M1 M2
N a
sin i N e
sin r , N a
1 i 27 , 9
A3 A1 b A A2 A4
+ + + + + 3)
sin i sin 31
2a + b a sin i N sin r N
sin r sin 20 , 6
E–mail : dombesse@yahoo.fr N = 1,46 77
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GAZIERE sin i 2
n 2 sin i 2 sin i 1 sin i 2 or sin i 1
1
n2 r1
E–10/
2
et r1 2 2 sin i 1
r 2
air
2
On obtient sin i 2 . Cherchons maintenant r2 :
3
i eau
2
r2 x2 4
On a N e sin i sin r
x2 2
1er cas : i i 1 30 Il vient, x 2 1,069m.
sin r 1, 33 x sin 30 2
x2 4 3
Emergence rasante. C C
On a : C 1 C et C2 . On en déduit :
n1 n2
t = t1 + t2 t = 20,77.10–9s ou 20,77 ns.
air
s N2=4/3
La plus grande distance
S’ divisée par le plus grand
60° 60° indice égal la plus petite
distance divisée par le
plus petit indice.
S
E–11/ OS 3
OS ' x 075 OS’ = 0,5625 m ou 56,25 cm
N 2
4
1) Abscisse x 2 de A2 :
E–14/ Il s’agit de dékterminer la position apparente de
y l’objet S c’est-à-dire la distance 0’S2 : Air :1
A1 – 0’
r1 i1 – n1 Eau :4/3
4cm
x2 0
I n2 x S2+
– r2
e= 6cm S1+ Verre :3/2
i2
– A2 +
S
x 2 r 2 sin i 2 . Cherchons alors sin i 2 :
E–mail : dombesse@yahoo.fr 78
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OS OS Il s’agit de calculer l’angle D entre SI1 et I2R
1
Dioptre verre–eau :
(3 / 2 ) (4 / 3)
O 'S1 O'S2
Dioptre eau–air :
(4 / 3) 1
R
D’autre part, O ' S 1 OO ' OS 1
Conclusion : I2
L’objet semble être à 7cm de la surface libre de l’eau ou
encore à 3cm du fond.
D = 70° + 45° D = 115°
E–15/
i=70°
Air (N a =1)
r1
r1 Benzène (Nb)
r2
Eau (Ne)
Miroir plan
N b
sin r1 sin i
sin i
sin r1 r1 39
N b
N e
sin r 2 N b
sin r1 r 2 45
S
i=70°
I1
45° R
45° 45°
I2
E–mail : dombesse@yahoo.fr 79
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OPTIQUE 3 : PRISM E
E–1/ E–4/
1) Construction : Voir cours 1) Une lumière monochromatique est une lumière
Conclusion : Un prisme dévie vers sa formée d’une seule radiation. Elle ne peut pas être
base tout rayon lumineux qui le traverse. décomposée en d’autres radiations.
2) Formules du prisme : Voir cours 2) Un prisme dévie un rayon lumineux qui le travers
vers sa base.
Approximations de KEPLER/ 3) Indice du prisme :
i nr A r r'
2) Déviation : D i i ' A D 29 , 57
r’ i’=48°
30°
2) Angle du prisme :
E–mail : dombesse@yahoo.fr 80
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n sin r ' sin i ' r ' 29 , 27
A r r' A r ' 29 , 27 car r = 0.
57,9°
E–6/
1) Angle d’incidence: i =60° 27,9°
r = 37,58° r’ = 22,40° 90°
Angle d’émergence i’ = 32,76°
2) Construction :
Q
3) D = 32,78°
60°
E–7/ 1) Faisons le tracé :
60°
60°
I I’ R
i I’
r r’
3ème cas : Minimum de déviation :
60° 60° i’ = i et r’ = r
S
Q H – r’ = r A 2r r = 30°
P
– n sin r sin i i = 48,6°
2) Montrons que SI est parallèle à HR : – i’ = i i’ =48,6°
– Dm 2i A Dm = 37,2°
SI // HR si et seulement si
Triangle (SPI) :
120 90 i 180 i 30 60°
Triangle (QHI’) :
120 90 i ' 180 i ' 30
48,6° 48,6°
Au minimum de déviation i = i’ : SI // HR 30° 30°
3) Indice du prisme :
A
On a 18 i 48 r 30
2 4ème cas : Emergence rasante : i’ = 90°:
sin i
D’après la loi de Descartes, n n = 1,486. – n sin r ' sin i ' r’ = 42°
sin r
– A = r + r’ r = 18°
E–8/ A = 60° n = 1,5
– n sin r sin i i = 27,6°
1er cas : Incidence rasante : i = 90° – Dm i i ' A Dm = 57,6°
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5ème cas : Emergence normale : i’ = 0°
GAZIERE
E–11/ 1) Déviation :
Si i’ = 0 alors r’= 0 r = A = 60°
n sin r sin i sin i 1, 299 : Impossible. Aucun angle sin i
On a sin i n sin r sin r . Cette relation
d’incidence ne donne lieu à une émergence normale. n
fournit r.
E–9/ On a : A r r ' Cette relation fournit r’.
1) Angle d’incidence correspondant à une déviation
On a aussi : sin i ' n sin r ' Cette relation fournit i’.
minimale
La déviation minimale correspond à r = r’ = 30°. Enfin, D i i ' A . Cette relation fournit D.
Or sin i n sin r i 45 . 2) La déviation minimale est obtenue en prenant la
Dm 2 i A 2 x 45 60 Dm = 30° tangente à la courbe D = f(i) au point le plus bas.
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OPTIQUE 4 : LENTILLES
E–3/
2) Construction graphique :
1) a et c : lentilles convergentes.
b et d : lentilles divergentes.
2) a et c : bords minces V
b et d : bords larges (épais) B
A’ F’
3) Par définition, la vergence s’exprime par : I I I I I I I I I I I I I I I I
0 F A
1 1 1 1 1
C ( n 1)
R1 R2 2 R1 R2
B’
a b c d E–6/
C ( ) +2 –2,5 +7,5 –2,5
1) Théorème des vergences : Plusieurs lentilles minces
OF '( m ) + 0,5 – 0,4 +13,3 – 0,4 accolées équivalent à une lentille unique de vergence
égale à la somme des vergences de ces lentilles.
E–4/
2) Vergence de la lentille équivalente :
1) Caractéristiques de l’image :
1 1 1 OF 'x OA Les données permettent de calculer la vergence de la
Position : OA ' lentille équivalente :
OA ' OA OF ' OF ' OA
1 1 1
OF ' 10 cm et OA 15 cm OA ' 30 cm . Ce Ce = 4,4
OF ' OA ' OA
Nature : OA ' 0 : Image réelle.
OA ' Le théorème des vergences permettra de calculer C’ :
Sens : 2 0 : Image renversée. Ce = C + C’ C’ = Ce – C. C’ = – 3,6
OA
Grandeur : A ' B ' AB A ' B ' 4 cm : Image E–7/
1) Nature de la lentille :
deux fois plus grande.
Seule une image réelle peut être obtenue sur un écran.
Seule une lentille convergente donne d’un objet réel
2) Construction graphique : I I 5 cm
une image réelle.
2 cm A cet effet, on prendra f = + 20 cm
B
A’ 2) Position de l’objet : On a OA ' 1 m = 100 cm.
+ + + + + + + + + + + +
A F 0 F’
fx OA '
La formule de conjugaison donne : OA
f OA '
B’
OA 25 cm : Objet réel situé à 25 cm devant la lentille.
E–5/
1) Caractéristiques de l’image :
E–8/ 1) Calculons OA ' et OA . On a 1 1 .
1 1 1 OF 'x OA
Position : OA '
OA ' OA OF ' OF ' OA Alors, OA ' OA . Or d AO OA ' d OA OA '
OF ' 10 cm et OA 15 cm OA ' 30 cm . d
Alors, d 2 OA ' OA ' =+30cm et OA –30cm.
Nature : OA ' 0 : Image virtuelle. 2
2) Distance focale de la lentille : On a :
OA '
Sens : 2 0 : Image renversée.
OA 1 1 1 OA x OA '
OF ' = +15cm.
Grandeur : A ' B ' AB A ' B ' 4 cm : Image OF ' OA ' OA OA OA '
deux fois plus grande.
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E–11/
E–9/
1) Position de la diapositive :
1) L’image est réelle : 4 D’après la formule de position :
D’après la formule de grandissement : OA ' 4 OA 1 1 1 OF 'x OA '
OA
OA ' OA OF ' OF ' OA '
D’après la formule de position :
1 1 1 1 1 1 OA –10,2m
2) Grandissement : –39,2
OA ' OA OF ' 4 OA OA OF '
5 1 5 OF ' E–12/ 1ère Expérience :
OA
4 OA OF ' 4 L L’
OA – 25cm 0 : Objet réel.
OA ' +100cm.
2) L’image est virtuelle : 4 S F1 F’1 F’2 F2
+ + + + + + +
01 02 S’
D’après la formule de grandissement : OA ' 4 OA
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AO 2
d AO 1
d AO 1
AO 2
p1 p 2
+
1 d²
Ce qui donne d D ² 4 f 'D f ' D
4 D + +1
f ‘ = 0,42m. + + + + + +
p' 1 –1 0
4) Grandissement : +
p OA
c) Distance focale de la lentille : On constate que
1ère position : p 1 O 1 A p '1 O 1 A '
d D est l’ordonnée à l’origine. Graphiquement on trouve
p 1 O 1 I IA
2 2 1
7 , 9 OF ' 0,125m.
d D OF '
p ' 1 O 1 I IA '
2 2 La vergence obtenue graphiquement C = 7,9 est
p1 = – 1,4 m p’1 = 0,6 m – 0,43 proche de celle gravée sur la monture de la lentille (+8 )
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E–7/ PP à 0,5m OA 0 , 5 m
E–1/ Pour l’œil non corrigé,
1 1
1)a 2)b 3)abc 4)b 5)a 6)b C crist avec OA 50 cm
1
7)a 8)b 9)a 10)a 11)b 12)b OA ' OA 1
13)b 14)c 15)c.
Pour l’œil corrigé,
1 1
E–3/ C crist C verre Avec OA 25 cm
2
OA ' OA 2
(a;d) (c;e) (c;f)
De ces deux relations, on tire :
E–4/ 1 1
C verre Cverre = 2
D’après la formule de position : OA OA
1 2
1 1 1 E–8/
C Avec OA ' 0 , 015 m
OF ' OA ' OA 1) Défaut de l’œil : Myopie car PP rapproché
E–12/
E–10/
1 1 1) Vergence des verres correcteurs :
1) Sans porter des verres : C crist
OA ' 1 OA 1 1
Sans porter des verres : C crist
1 1 OA ' 1 OA
En portant des verres : C crist C verre
OA ' 2 OA Pour OA , l’image se forme sur la rétine
OA ; OA ' 1 0 , 015 m ; OA ' 2 ?
En portant des verres, l’image doit se former en A 1
De ces deux relations, on tire :
tel que OA 1
0 , 25 m . On a
1 1 1
C verre OA ' 2 1 1
OA ' 2 OA ' 1 1 C crist C verre
C verre OA ' 1 OA 1
OA ' 1
De ces deux relations, on tire :
OA ' 2 0 , 0155 m 15 , 5 mm 1
Conclusion : L’image se trouve à 15,5mm du centre C verre C verre - 4
Optique du cristallin, soit à 0,5mm derrière la rétine. OA 1
1 1
Avec des lunettes, C crist C verre E–13/
OA ' 2 OA 2
1) Anomalie de l’œil : Myopie.
OA 2 à déterminer.
1
De ces deux relations, on tire : Dm = OF ' = 0 , 5 m 50 cm .
C
1
OA 2
OA 2
0 , 0167 m = –16,7cm 2) OF ' 0 , 284 m 28 , 4 cm .
1
C verre
OA 1
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OPTIQUE 6 : APPAREILS D’OPTIQUE
2) Position de l’image :
E–1/
1) F 2) F 3) F 4) V 5) F
1 1 1 OF 'x OA
OA ' – 6cm
E–2/
OA ' OA OF ' OF ' OA
1) ii 2) ii 3) iii 4) i et iii 5) iii
Gc Gc 0c
. 0b
A.N : GC= 1200 '
01 F 1
E–6/ Grossissement d’une lunette afocale : G '
= 50
02 F 2
'
Grossissement du microscope : G G = 300 E–10/
1- 1) Puissance intrinsèque :
Puissance du microscope : P = 4 G P = 1200
Pi ' '
Pi = 2500
E–7/ 01 F 1 x0 2 F 2
E–12
E– 8 : 1) Construction graphique :
1) Lunette afocale : Une lunette est dite afocale si elle donne
d’un ob jet situé à l’infini une image située à l’infini.
B’
0 10 2 f1 f 2 0102 = 105 cm
B
+ + + + + + + + + + + + 2) Grossissement d’une lunette afocale :
A’ F A 0
F’
f1
G Gc = 20
f2
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