TP2 Electronique de Puissance
TP2 Electronique de Puissance
TP2 Electronique de Puissance
Compte rendue TP2:
Redressement
commandé
Réalisé par :
Bennouna Oumaima
Azelmad Taha Encadré par :
Trirach Khawla
Mr. SAYOUTI
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Faculté des sciences et techniques – Mohammedia
Sommaire
Introduction
Conclusion
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Objectif :
Introduction :
Un montage redresseur commandé permet d’obtenir une tension continue réglable (de
valeur moyenne non nulle) à parti d’une tension alternative sinusoïdale (de valeur
moyenne nulle). L’utilisation de commutateurs commandables tels que les thyristors
permet de réaliser des redresseurs dont la tension moyenne de sortie peut varier en
fonction de l’angle d’amorçage δ des commutateurs.
Il existe de nombreuses applications industrielles mettant en œuvre ce type de
redressement : - Variateur de vitesse de moteur à courant continu.
- Commande de puissance (chauffage….).etc
Nous avons vu que, la plupart du temps, l'énergie électrique était fournie par le réseau,
Etdonc par l'intermédiaire d'une tension sinusoïdale. Or, dans de nombreuses applications
(unebonne partie de l'électronique notamment), l'énergie est utilisée sous forme de signaux
continus. Il est donc nécessaire de disposer d'un système effectuant cette conversion. Ce
dispositif est appelé redresseur. Nous verrons que la tension délivrée présente une ondulation
de tension non négligeable (surtout dans les redresseurs commandés) ce qui nécessite
d'associer un filtre au redresseur, afin d'obtenir un signal continu utilisable. Compte tenu des
charges souvent inductives, l'ondulation de tension en sortie conduit à une ondulation de
courant très faible dans la charge. Ce courant sera donc fréquemment supposé constant dans
la
charge.
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Comme on a déjà mentionné les redresseurs convertissent une tension alternative en une
tension continue variable.
Exemple : variateur de vitesse monophasé pour moteur à courant continu Leroy Somer
DMV201
‘’Rappel’’:
Le thyristor est une diode commandable. Il suffit de commander la gâchette G (faire circuler
un courant iG) pour que le thyristor devienne passant. Dès que le thyristor est amorcé, la
gâchette n’a plus aucune action sur lui.On peut faire l’analogie avec la gâchette d’un
revolver. Quand on a appuyé sur la gâchette, la balle part et rien ne peut plus l’arrêter (le
courant i circule et ne peut pas être coupé par la gâchette).
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Le retard à l'amorçage des thyristors permet de régler la valeur moyenne de la tension aux
bornes de la chargeet donc la vitesse d'un moteur à courant continu par exemple. Le retard à
l'amorçage α est réglable entre 0 et T/2 ( 0 et 180° ), T étant la période de la tension u de la
source.(Souvent 20 ms si c'est la fréquence 50 Hz du réseau EDF).
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a/
On obtient pour α =30° et L=2.4H .les graphes suivant :
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c/- et d/- :
On varieα de 30° jusqu’à 150° pour les deux valeurs de l’inductance L ,et on obtient les
résultats suivants :
L=2.4H L=0.8H
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On peut conclure que les caractéristiques pour le choix des composants et :
I0 : le courant direct moyen à l’état passant
IT (RMS) : le courant efficace à l’état passant
VRM: la tension inverse de crête répétitive
VDRM : la tension directe de crête répétitive à l’état bloqué
Les temps d’amorçage et de désamorçage
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Avec :Veff=120V
R=300Ω
Remarque :
En comparent les résultats théorique aux résultats expérimentaux, on déduit que pour les deux
valeurs de α (30° et 60°) les résultats théorique sont identique aux résultats expérimentaux.
Mais à partie de α=90° c’est différent.
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L’étude théorique :
Un redresseur monophasé à pont mixte comporte un nombre égal de diodes et de thyristors.
On n'a pas représenté les deux générateurs d'impulsions connectés chacun entre Gâchette et
cathode du thyristor. On remarque qu'il comporte deux branches en parallèle de deux semi
conducteurs, d'où son appellation
Dans un premier temps, supposons que le courant dans la charge est nul.
On peut écrire la loi de maille : - u + vT1 = 0
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A partir de ces deux instants chaque générateur d'impulsions attend une durée θ avant de
délivrer sa première impulsion. qui va, bien évidemment réussir à rendre son thyristor
passant.
Remarque :
- si c'est une diode, elle devient immédiatement passante, on le porte dans le
diagramme des conductions
- si c'est un thyristor, alors on attend θ pour marquer la mise en conduction dans le
diagramme des conductions
on dessine la courbe de la tension aux bornes de la charge directement à partir du diagramme
des conductions
En effet, les semi conducteurs ont un comportement d'interrupteur ; lorsqu'on regarde le
diagramme des conductions, trois cas peuvent se produire :
1. conduction simultanée de T1 et D2 : alors uCh = + u
2. conduction simultanée de D1 et T2 : alors uCh = - u
3. conduction simultanée de D1 et D2 : alors uCh = 0 ( roue libre )
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D'où l'allure de la courbe uCh . Compte tenu de la position des diodes, il est normal que
lorsque la tension aux bornes de la charge veut devenir négative, elles deviennent passantes.
D’après la courbe on a T = π
π
< t <¿ ) UCh = 0
2
π
( + α ) < t < 2π UCh = Vs
2
3π
2
1
UCh Moyen =
π
∫ Um sin ( wt ) dwt
π
+α
2
UCh Moyen =
√ 2 U (1 + cos)
On obtient alors : π
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Avec :
R=300
L=2 ,4 H
= 30°
Iin = f(t)
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Vth1 = f(t)
Ith1 = f(t)
Vout = f(t)
Iout= f(t)
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Um
< Vout>= (1 + cos)
π
Um=170V
<Vout>= 81,16 V
2. La valeur moyenne de Iout
81,16
<Iout>=¿ Vout > ¿ = ¿
R 300
<Iout>= 0,27 A
3. La valeur efficace de Iin
In eff =0 ,219 A
Le tableau suivant représente les valeur obtenue a l’aide du simulateur PSIM :
Valeur Valeur max Valeur min Valeur crête à
moyenne crête
Le facteur de puissance :
P
Fp =
S
Iout eff = 0,27 A (d’après PSIM)
Avec P = R I²outeff = 21,87
S= Vin eff× Iineff = 26,28 VA
21,87
P= =0,83
26,28
Le tableau ci-dessous résume les différentes valeurs du facteur de puissance pour
30°<<150° à l’aide de PSIM :
30 60 90 120 150
b-) le tableau suivant présente les valeurs des tensions moyennes pour 30°<<150°
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30 60 90 120 150
Pour un montage mixte nous avons remarqué que le facteur de puissance est plus améliorer
que celui du montage tout thyristor
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Remarque :
On constate que les valeurs théoriques sont très proches des valeurs obtenue par PSIM
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Partie théorique :
=161.22v
=159.52v
U di 0
Idc = =0.54A
R
5π/6
3
Irms =
π
∫ I 2 D=0.57 A
π/6
T
1
Isaeff = ∫ I 2 =0.54
T 0 D
P = R.Irms2=87.48w
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=0.18A
=0.31A
Partie expérimentale :
Les formes d’ondes :
VSA :
ISA :
VDC :
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IDC :
VD1 :
ID1 :
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Mesures :
Idc(A) Irms(A) Vdc(V) Vrms(V) Isa(A) P(w)
0.54 0.54 162.05 162.19 0.44 87.54
=293.93V
= 0.18A
Remarque :
Les résultats pratique sont les mêmes que les résultats théoriques.
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Vs :
Is :
Vch :
Ich :
Vth1 :
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Ith1 :
30 60 90 120 150
<Vch> 242,99 139,43 3,917 1 ,12 0
On remarque que la valeur moyenne s’annule quand l’angle d’amorçage devient très
grand => le signal devient purement sinusoïdal
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Conclusion
Lors de ce Tp on a pu étudier le différent type de redresseurs commandé :
- Pont commandé tout thyristor
- Pont commandé mixte
- Pont triphasé à diodes
- Le pont triphasé commandé tout thyristor
D’après cette étude on a pu constater que :
On conclue que le convertisseur pont commandé tout thyristor détériore le facteur de
puissance FP.
Pour un montage mixte nous avons remarqué que le facteur de puissance est plus
améliorer que celui du montage tout thyristor.
Pour le pont triphasé à diode : On peut donc conclure que le montage PD3 à diode est
le plus efficace des montages parallèles pour ce qui concerne la rentabilité du
transformateur. Vue que la forme de la tension redressée est plus proche du continu
(Ff 1) son facteur de puissance ainsi que son facteur de forme son
maximale.
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