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Cours TD Structure D'un Systeme

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MPSI/PCSI Sciences de l’Ingénieur

Analyse des systèmes


Structure d’un système technique
http://perso.numericable.fr/starnaud/

Introduction : Le métier de l’ingénieur consiste à résoudre des problèmes de nature


technologiques, concrets et souvent complexes, liés à la conception, à la réalisation et à la
mise en œuvre de produits, de systèmes ou de services.

1. Définitions
Système : Un système est une association structurée d’éléments ayant des relations entre
eux. Il est destiné à remplir une fonction et il est soumis à des lois.
Exemples : Système scolaire, solaire, bancaire, économique, de freinage…

Système technique : Crée par l’homme, un système technique est un ensemble


fonctionnel assurant un certain nombre de fonctions.
L'étude des systèmes modernes demande en général des connaissances dans plusieurs
disciplines telles que l’électronique, l'électrotechnique, la mécanique, etc.
Le système technique assure une fonction de service globale en agissant sur de la matière
d'œuvre pour lui donner de la valeur ajoutée.

Fonction : Une fonction est un verbe d'action à l'infinitif (déplacer, traiter, acquérir,
transformer, etc.) parfois suivi d'un complément.

Matière d'œuvre : La matière d'œuvre (notée MO) est l'élément d'entrée sur lequel
s'exercent les activités du système.

Il y a différentes formes de matière d'œuvre :


 Matière : Matières premières, produits manufacturés, …
 Information : Signal logique, grandeur physique,…
 Energie : Energie mécanique, électrique…

Système : Entrée Sortie


Usine de montage automobile Pièces Voiture

Haut fourneau Minerai de fer Plaque de fer

Centrale nucléaire Uranium Energie électrique

Télévision Information codée Image et son

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Valeur ajoutée : La valeur ajoutée (notée VA) est la valeur supplémentaire apportée à la
(ou les) matières d'œuvre par l'activité du système.

Critères d’appréciation : Les critères sont associés aux fonctions. Ils permettent
d'apprécier les performances d’un système mais aussi ses caractéristiques techniques…

Le cahier des charges regroupe les fonctions attendues et leurs performances attendues.

Exemple : Robot Roméo

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2. Architecture d'un système pluri technique, chaine


fonctionnelle.
Une chaîne fonctionnelle est un sous-ensemble d'un système technique.
Elle permet de réaliser une fonction élémentaire (transférer, réguler, positionner, main- tenir,
transformer, etc.) participant à la réalisation de la fonction globale du système.
On lui associe un actionneur.
Il y a souvent plusieurs chaines fonctionnelles dans un système.

On peut distinguer au sein des systèmes pluri techniques deux chaînes :


 L'une agissant sur les flux de données, appelée chaîne d'information.
 L'autre agissant sur les flux de matières et d'énergies, appelée chaîne d'énergie.

Pour déterminer les entrées et sorties, il faut se poser les questions suivantes :
 Sur quoi le système agit ?  Matière d’œuvre (MO).
 Dans quel but ?  Fonction et valeur ajoutée.
 De quoi a-t-il besoin pour agir ?  Energies et informations.

A la chaîne d'information et à la chaîne d'énergie, on peut en général associer les fonctions


élémentaires suivantes :

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3. La chaîne d’énergie.
La chaîne d'énergie contribue à la réalisation de la fonction de service globale, en agissant
sur la (ou les) matières d'œuvre.
Elle utilise une très grande part de l'énergie totale consommée. En effet l’énergie issue de la
chaîne d’information est faible et insuffisante pour être directement utilisée.
La chaîne d'énergie est constituée de plusieurs composants, le pré-actionneur, l’actionneur,
le transmetteur et l’effecteur.

3.1. Le pré-actionneur.
Le pré actionneur distribue une énergie importante, sous l’action d’un ordre (signal de faible
énergie) envoyé par la chaîne d’information. Il peut être « tout ou rien » ou « progressif ».

Exemples : Fonctions :
Relais Distribuer de l’énergie électrique (tout ou rien)

Variateur Distribuer de l’énergie électrique (progressivement)

Distributeur pneumatique ou Distribuer de l’énergie pneumatique ou hydraulique


hydraulique

Exemple 1 : Le relais
Le relais est un interrupteur commandé
électriquement. Il permet de séparer le
circuit de commande et le circuit de
puissance.
Il est constitué d'un circuit de commande
(solénoïde) et d'un interrupteur.
Le passage du courant dans le solénoïde
provoque la fermeture du contact.
Lorsqu'on interrompt le passage du
courant de commande, le contact s’ouvre
grâce au ressort.
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Exemple 2 : Variateur de type « hacheur ».


Le schéma suivant représente l’alimentation d’un moteur à courant continu. Il est constitué
successivement d’un transformateur, d’un redresseur et d’un hacheur.
 Le transformateur diminue la tension, on passe du 230 Volt au 24 Volt.
 Le redresseur (à diodes) convertie le courant alternatif en courant continu.
 Le hacheur, constitué d’interrupteurs électromagnétiques commandés par une partie
commande spécifique permet d’alimenter le moteur.

Le hacheur est piloté par une partie


commande qui ouvre et ferme les
interrupteurs plusieurs milliers de fois
par minute.
On peut ainsi faire varier la puissance
en sortie du hacheur (et le sens de
rotation).

Exemple 3 : Le distributeur pneumatique ou hydraulique.


Un distributeur est constitué d'un corps, d'un tiroir et d'une commande pour translater le tiroir
par rapport au corps.
Il est associé à un actionneur de type vérin (pneumatique ou hydraulique).
Les schémas suivants montrent l'association d’un distributeur et d’un vérin : la position du
tiroir permet de mettre en communication l'arrivée d'air dans la chambre appropriée selon le
sens de déplacement du piston du vérin.

Position 1 : L'action D pousse le tiroir vers la droite.


La chambre arrière du vérin est mise en communication avec la source de pression S,
la chambre avant est mise à l'échappement : la tige du vérin sort.

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Schéma associé

Position 2 : L'action G pousse le tiroir vers la gauche.


La chambre avant du vérin est mise en communication avec la source de pression S ;
la chambre arrière est mise à l'échappement, la tige du vérin rentre.

Schéma associé

3.2. L’actionneur.
L’actionneur transforme une l’énergie disponible en une énergie utilisable.

Exemples : Entrée Sortie


Moteur électrique Energie électrique Energie mécanique

Vérin pneumatique Energie pneumatique Energie mécanique

Résistance chauffante Energie électrique Energie thermique

Exemple 1 : Moteur à courant continu.


Il est constitué :
 D'un stator qui crée un champ magnétique fixe (par
bobinage ou par aimants permanents).

 D'un rotor bobiné relié à un collecteur rotatif inversant la


polarité dans chaque enroulement au moins une fois par
tour de façon à faire circuler un flux magnétique
transversal en quadrature avec le flux statorique.

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Exemple 2 : Vérin.

Vérin double effet Vérin simple effet avec rappel par ressort

3.3. Le transmetteur.
Le transmetteur adapte l’énergie mécanique reçue de l’actionneur (l’énergie ne change pas
de nature). Ils feront l’objet du cours de mécanique.
Exemples :
Engrenage Réducteur à engrenages Pignon crémaillère

Poulie courroie Chaine

Mécanisme bielle Mécanisme à came Mécanisme à Croix de malte


manivelle

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3.4. Exemple :
Chaine d’énergie d’un
scooter électrique

4. La chaîne d'information
La chaîne d'information permet notamment d'acquérir des informations :
 Sur l'état d'un produit ou de l'un des constituants de la chaîne d'énergie.
 Issues d'interfaces Homme machine.

La chaîne d'information permet aussi de traiter ces informations et de communiquer :


 Les ordres à la chaîne d'énergie.
 Les messages destinés aux interfaces Homme machine.

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4.1. Les capteurs.


Pour acquérir une grandeur physique (force, température, êtes) ou une consigne, les
constituants utilisés sont des capteurs.
Ils restituent une grandeur image sous forme logique, numérique ou analogique exploitable
par l'unité de traitement.

Exemple 1 : Potentiomètre de mesure de position.

Le potentiomètre est constitué d'une piste conductrice dont la résistance par unité de
longueur est uniforme, sur laquelle frotte un contacteur mobile.
Lorsqu'on alimente la piste avec une tension U connue, la tension récupérée par le
contacteur US est proportionnelle à sa position.

Exemple 2 : Codeur optique.

Autres exemples :

Capteur mécanique Détecteur de position Capteur à ultrason


capacitif

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Génératrice tachymétrique Accéléromètre Camera

4.2. Fonction « TRAITER ».


Logique câblée :
Les fonctions logiques sont réalisées sous forme de circuits intégrés sur une carte
électronique. Ces circuits sont élaborés pour obtenir un comportement bien définie et non
modifiable (sauf en modifiant le câblage).

Logique programmée :
Il s’agit de remplacer les circuits logiques câblés dédiés à un fonctionnement par des circuits
intégrés complexes, mais programmables par l’utilisateur en fonction de son application.
Exemple : Microcontroleur de type ARDUINO.
Un microcontrôleur est un circuit intégré sur lequel les organes
essentiels d’un micro-ordinateur sont regroupés.
Les microcontrôleurs sont aujourd’hui bon marché, très peu
encombrants, de plus en plus performants.

4.3. Exemple : Chaine d’information d’un scooter électrique

Remarque :
Modèle simplifiée de
représentation d’un système
automatisé.

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Exercice 1
Question : Pour les systèmes techniques ci-dessous, définir la matière d’œuvre, la fonction
globale et la valeur ajoutée.

Disque dur interne Eolienne

Exercice 2 Distributeur automatique de café

Le distributeur automatique de
café « DISPENSER » est utilisé
dans les cafétérias, brasseries et
centres de restauration rapide.
Moyennant paiement, il distribue
une boisson à partir de grains de
café et d’eau dans un délai très
court (environ 20 à 25 secondes).
Le client a le choix entre plusieurs
options : café « court », café
« long », dose supplémentaire
d’eau chaude, programmation de
plusieurs tasses.

Question
Pour le système distributeur automatique de café « DISPENSER », définir les données
entrantes et sortantes de la chaîne d'information et de la chaîne d'énergie.

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Exercice 3 Toyota Prius. (Centrale PSI 07)


Dans le contexte actuel d’économie des énergies
fossiles et de réduction des émissions de gaz
nocifs, le système de propulsion hybride
constitue une alternative intéressante à la
propulsion classique par moteur thermique seul
car il permet de réduire la consommation.

La spécificité de la solution retenue sur la Prius consiste à :


 Récupérer l’énergie du véhicule lors du freinage,
 Exploiter le moteur thermique à son rendement optimal.

Problème posé : On se propose d’analyser les fonctions et la structure du système


de propulsion hybride de la Prius.

Architecture du système hybride HSD TOYOTA.

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La technologie hybride de TOYOTA, nommée HSD (Hybrid Synergy Drive) associe un


moteur thermique à essence et sa transmission, à deux machines électriques et une batterie
de puissance.
Le schéma de principe et la figure mettent en évidence les deux machines électriques (le
moteur électrique et la génératrice) reliées au moteur thermique par un train épicycloïdal.
A partir de la position de la pédale d’accélérateur et de la vitesse du véhicule, le calculateur
détermine la vitesse de rotation optimale du moteur thermique et la consigne d’ouverture du
papillon des gaz.
La puissance en sortie du moteur thermique est transmise, grâce à un train épicycloïdal, à la
chaîne silencieuse et à la génératrice.
Un asservissement en vitesse de la génératrice permet de contrôler la vitesse de rotation du
moteur thermique.
Le répartiteur de puissance gère les échanges de puissance électrique entre la génératrice,
le moteur électrique et la batterie.
Le moteur électrique entraîne la chaîne silencieuse, seul ou en complément du moteur
thermique. Il récupère également l’énergie cinétique ou potentielle du véhicule lors des
phases de ralentissement.
Les chaînes d’énergie (partie inférieure) et d’information (partie supérieure), permettent de
percevoir l’organisation des différents composants du HSD.

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Question. Compléter le tableau ci dessous.

Fonction réalisée Elément de Structure


Convertir l'énergie combustible en énergie mécanique

Déterminer le régime optimal et l'ouverture des gaz

Contrôler la vitesse de rotation du moteur thermique

Transmettre la puissance du moteur thermique

Convertir une partie de l'énergie mécanique en énergie


électrique

Stocker l’énergie électrique

Calculer le couple manquant

Convertir l'énergie électrique en énergie mécanique

Transmettre l'énergie mécanique au réducteur

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Exercice 4 : Porte de TGV. (Centrale MP 08)

Le transport ferroviaire, concurrencé par la voiture


sur les courtes et moyennes distances et par
l'avion sur les longues distances, a dû trouver des
solutions adaptées pour continuer à croître.
Avec le développement du train à grande vitesse,
les caractéristiques du marché du transport
ferroviaire de voyageurs se sont rapprochées de
celles du transport aérien. Les performances du
TGV (vitesse, confort, proximité des gares) ont
conduit à un essor important du trafic de
voyageurs.

Les opérateurs ferroviaires ont dû par conséquent adapter le cahier des charges de leurs
équipements pour faire face à cette demande accrue. Le matériel voyageur a ainsi subi une
évolution et une modernisation sans précédent depuis plusieurs années.
Nous nous intéresserons dans le cadre de ce travail au système « porte » autorisant la
communication entre l'intérieur et l'extérieur du train.

Problème posé : On se propose d’analyser les fonctions et la structure de la porte de


TGV.

Présentation du système

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La figure montre l'interface assurant, à partir des informations délivrées par l'unité centrale de
commande, la fermeture hermétique et le verrouillage de la porte.
L'ordre de fermeture de la porte est donné soit par appui sur le bouton situé sur la porte soit
via un ordre fourni par le conducteur depuis son pupitre.
L'information est traitée par l'unité centrale qui pilote un moteur électrique permettant, dans
un premier temps, de fermer la porte grâce à un mécanisme pignon-crémaillère puis, dans
un deuxième temps, lorsque la position de fermeture est détectée, de verrouiller la porte.
La détection de la position fermée enclenche également le gonflage des joints assurant
l'herméticité de la fermeture.
L'information de fin d'opération est transmise au conducteur sur son pupitre.

Question 1. Compléter le tableau ci dessous.

Fonction réalisée Elément de Structure

Traiter les informations et élaborer les ordres

Alimenter en énergie électrique

Distribuer l'énergie électrique

Convertir l'énergie électrique en énergie


mécanique

Transmettre l’énergie

Assurer le mouvement de la porte

Acquérir l'information sur la position de la


porte

Acquérir les consignes

Question 2. Construire le schéma montrant l’architecture de la chaine d’information.

Question 3. Construire le schéma montrant l’architecture de la chaine d’énergie.

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Exercice 5 : Correcteur de portée. (CCP PSI 03)

Mise en
situation

L’assiette d’un véhicule se modifie avec sa charge, le profil de la route ou les conditions de
conduite (phase de freinage ou d’accélération).
Cette modification entraîne une variation d’inclinaison de l’axe du faisceau lumineux produit
par les phares du véhicule. Ceux ci peuvent alors éblouir d’autres conducteurs ou mal
éclairer la chaussée.

Certaines voitures sont équipées de système de correction de portée.


Le système étudié est un correcteur de portée statique, qui corrige la portée lorsque le
véhicule est à l’arrêt et conserve cette correction lorsque le véhicule roule (le correcteur ne
tient compte que de la variation d’assiette due à la charge).
Il existe aussi une possibilité de réglage manuel en sortie d’usine ou en cas de défaillance du
système électrique.

Fonctionnement du système :
Ce système fait appel à des capteurs d’assiette reliés aux essieux avant et arrière du
véhicule. Les capteurs d’assiette sont des codeurs optiques qui mesurent le débattement des
suspensions.
Les données sont traitées électroniquement par un calculateur et transmises à des variateurs
puis aux actionneurs situés derrière les projecteurs.
La position du projecteur est ajustée en maintenant un angle de faisceau optimal évitant tout
éblouissement et fournissant le meilleur éclairage de la route.
Le bloc d’orientation supporte les différentes lampes du phare (codes, clignotants). Il peut
pivoter par rapport au support lié à la carrosserie autour d’un axe horizontal (axe de rotation
indiqué sur la figure). Le bloc est protégé par une vitre liée à la carrosserie.
Le mouvement du bloc est motorisé grâce au motoréducteur et à un système vis écrou qui
transforme le mouvement de rotation en mouvement de translation.

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Problème posé : On se propose d’analyser les fonctions et la structure du


correcteur de portée.

Question 1.
Définir les données entrantes et sortantes de la chaîne d'information, définir les énergies et
matières entrantes et sortantes de la chaîne d'énergie.

Question 2. Compléter le tableau ci dessous.

Fonction réalisée Elément de Structure

Mesurer l’assiette

Traiter les informations

Distribuer l’énergie

Transformer l’énergie

Adapter l’énergie

Agir sur l’axe du faisceau incorrect

Question 3. Construire le schéma montrant l’architecture de la chaine d’information.

Question 4. Construire le schéma montrant l’architecture de la chaine d’énergie.

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