Ob 9be372 81243139014
Ob 9be372 81243139014
Ob 9be372 81243139014
Il y avait un autre guide, une femme qui était là plus au niveau de ma féminité, qui m’aidait à être plus dans ma féminité, d’oser vivre des choses. En somme, c’est un véritable jeu d’amour. D’où viennent-ils ? Tout se passe sur le plan astral, ce plan purement énergétique, où tout échange est instantané. Probablement, c’est juste que je savais que j’en
avais un qui était universel pour tout et un autre qui était plus « guerrier » qui me donnait de la force, de la puissance. À vous d’être à l’écoute et de rassembler les pièces du puzzle. Soyez conscient qu’il intervient d’un autre plan astral que le vôtre et qu’il ne peut, de ce fait, interagir avec vous, que par des moyens subtils. Retranscription de la vidéo
On parle beaucoup de guides, d’anges ou de personnes décédées qui nous guident, qui sont présents dans notre vie. Puis un jour, le guide va clairement nous dire qu’il est temps pour lui de s’en aller, qu’on a plus besoin de lui. Mais qu’en est-il exactement ? Dès que vous faites appel à lui, il se reconnaît, dans la mesure où le lien est énergie pure. Est-
ce que chaque guide a une mission spécifique ?
Depuis l’âge de 14 ans, Dominique est médium. Nous faisons partie d’un tout. Pendant ces phases, c’est vous qui passez sur son plan astral. C’est accepter de ressentir cette forme d’amour pour tout ce qui régit ce monde. L’important c’est la foi, l’indicible, celle du cœur.
Gardez à l’esprit que votre guide vous est relié depuis toujours, depuis plusieurs vies. De ce que j’en sais, par rapport aux guides que j’ai, ces guides sont des personnes décédées, qui ont vécu et qui ont transcendé dans la lumière. Alors le soir, quand je me couchais, dans une espèce de « semi endormitoire », semi-rêve, je m’imaginais en train de lui
parler sauf qu’il s’est avéré que j’ai commencé à le voir, pas avec mes yeux mais avec mon âme. Le mot » guide spirituel » prend ici tout son sens, il signifie aussi » montrer la voie, le chemin « . Notre guide spirituel nous les apporte sur un plateau, à nous de les saisir. Communiquer avec son guide au quotidien, si nous suivons ses conseils, il sera
satisfait d’avoir pu mener à bien sa mission. Quand on parle de guide spirituel, chacun y va de sa verve pour expliquer son point de vue. Il n’est pas là pour cela. On ne sait jamais ce qui va arriver dans ces choses-là sauf qu’on sait que quand on est en présence de notre guide (un ancêtre, une personne décédée, une entité…), on sent quelque chose, on
le ressent dans le corps. Les guides vont changer dans notre vie, d’autres viennent, d’autres partent, des nouveaux arrivent. Quand on demande quelque chose dans la vie et qu’on lâche prise, c’est la meilleure façon pour que ça se réalise. Ce mot vient de l’anglais et signifie littéralement » communication avec les esprits « . Nous restons
responsables de nos choix. Il n’est que pure énergie et est à la fois omniscience, omnipotence et omniprésence. Qui sont ces guides ?
Je pense que tout le monde en a. On peut donc entrer en communication avec son guide. J’ai eu le feeling d’aller voir une vieille dame médium à Montréal, il y a plus de 30 ans.
Ce sont des personnes qu’on peut appeler des anges, des guides, des personnes décédées, des entités (on les appelle comme veut finalement) ; mais ce sont des personnes qui sont là pour prendre soin de nous. Il sait que nous sommes pour ainsi dire, aveugles et ne nous tient donc pas rigueur de notre ignorance. Il n’en est rien, cette notion lui est
inconnue. On peut jouer de la musique, laisser monter la musique en nous. Même lorsque nous sommes confrontés à des situations difficiles, il reste près de nous, attendant le moment où vous acceptez sa présence. Notre guide spirituel a une patience à toute épreuve.
On ne parlait pas à des Saints (j’étais protestante donc il n’y avait de Saints chez nous), on parlait à Dieu directement. il est important dans un premier temps de le reconnaître, avant d’établir un contact. Avec les années, ils sont toujours là mais je leur parle moins, c’est rare aujourd’hui que je me connecte à eux car je suis revenue à ma connexion à
Dieu, à l’Univers, à la source directe. On lâche prise sur la question. Ils sont toujours avec moi, à qui je peux demander ce que je veux. C’est un peu quand on grandit : on a nos parents, puis un professeur, puis un autre…Ça fait un peu cet effet. Le fait de vouloir connaitre le nom de son guide spirituel est typiquement humain, qui a toujours besoin de
relier les choses ou les personnes, voire les sensations par des mots, des qualificatifs. Il va donc s’en aller et un autre guide peut arriver, on ne sait pas. Ses sens se sont ouverts, elle voit, entend, ressent et communique aussi bien avec les défunts qu’avec ses Guides. Elle m’a parlé de tout plein de choses pendant la séance, elle me dit : « je n’ai pas
l’habitude de le faire, mais on m’a demandé de vous donner le nom de vos guides » et elle me donne deux noms. On peut carrément recevoir quelque chose. Quand je me connectais à lui et que je lui disais que j’avais besoin d’un coup de main, c’est comme si j’avais plus de courage, de force pour aller le faire après, pour réaliser ce que j’étais en train
de faire. Dominique Jeanneret Articles similaires A un moment donné, ça apparaît quand on est prêt, quand on en a besoin.
On s’est mis à discuter, ce que je lui demandais marchait et c’est là que j’ai réalisé qu’on a des guides qui sont là pour nous. Le plus important, c’est la manière dont vous le convoquez. Au final, j’en ai eu quatre et pendant des années et des années, j’en ai toujours quatre. Quelque chose peut se passer, il faut se laisser aller sans que la tête embarque,
laisser le mental hors de tout, juste se laisser guider pour laisser la porte ouverte à recevoir l’arrivée d’un ou de plusieurs guides. Cela implique d’être ouvert, à l’autre, à la nature, jusqu’à la moindre particule. Il n’y a que pendant votre sommeil ou lors de séances de sortie hors du corps, que vous pouvez converser directement avec lui.
Personnellement, on m’a donné le nom, je l’ai oublié et un jour, dans un livre, je revois le nom et ça me fait tilte. Avec les années, j’ai réappris quelque chose que ma maman m’a appris alors que j’étais toute petite. En réalité, le guide spirituel n’a pas d’appellation. Ce n’est pas tout d’appeler son guide spirituel, comme vous appelleriez votre voisin
pour lui demander un œuf qui vous manque, pour vos crêpes, un dimanche soir.
Je pense que nos guides apparaissent quand on a besoin d’eux, quand on les appelle et éventuellement, ils peuvent arriver. Comment puis-je être enseigné ? La synchronicité dans les événements, ce sont des avertisseurs non seulement de son assistance, mais également de sa réponse. Plus on avance dans nos cheminements, plus les guides vont
changer, mais certains vont rester en permanence. Je n’étais tellement pas connecté, ouverte à ça, que j’ai laissé de côté, je ne m’en suis pas occupé. Mon guide c’était lui et du coup j’ai commencé à travailler avec. Chacun a leur rôle et je peux leur demander ce dont j’ai besoin. Vous êtes comme un enfant pour lui, à qui il faut apprendre à marcher.
Communiquer avec son guide au quotidien, c’est être en accord avec cette réalité. On voit dans la clairvoyance, on voit une forme, une couleur et on sait que la personne est là pour nous aider à quelque chose. Rencontrer son guide spirituel, c’est ressentir, à travers cette foi, cet amour que vous exprimez pour lui, cette gratitude que vous éprouvez
pour sa bienveillance, cette conviction de son existence pour vous. C’est pour ça que je ne n’avais pas cette connexion de parler avec des anges, des guides parce que depuis toute petite, je parlais directement à Dieu.
Au cas contraire, il persistera sans relâche pour vous dévoiler la voie, celle qui vous est destinée. Il suffit de penser à votre guide et il viendra à vous. Dès lors, vous l’invoquez de la manière la plus simple qui soit et il vous répondra.
Je n’étais pas ouverte à ça quand elle me l’a dit, ça a pris plusieurs années avant qu’il réapparaisse, que je me décide à me connecter avec lui puis l’autre guide. C’est aussi et surtout être ouvert à ce canal de communication, établi entre cet être magnifique et nous et qu’il est là pour nous apporter des solutions à nos situations souvent chaotiques.
Quand j’avais 2 ou 3 ans, je faisais ma prière tous les soirs avec ma mère et on parlait à Dieu directement. Vouloir connaitre le nom de son guide spirituel est légitime, mais perd tout son sens ici. Et spirituel parce qu’il voyage, se déplace dans une sphère non terrestre. Nous sommes reliés à tous les êtres vivants sur cette terre. Si on se demande
comment entrer en contact et communiquer avec ses guides, ses anges, une façon simple de demander, c’est de demander avec son cœur, de fermer ses yeux et demander avec son cœur : est ce qu’il y a quelque part un guide présent pour moi, qui peut m’aider par rapport à tel chemin, et on laisse aller. C’est comme si qu’il nous avertit, qu’il est là
mais on le sent dans notre corps et pas dans notre tête car si c’est dans notre tête, on ne ressent rien du tout. Il est d’un amour inconditionnel, d’une bienveillance à toute épreuve et n’a qu’un but : vous épargnez le maximum de souffrance. Aujourd’hui, je n’ai plus ce besoin car je suis passée à l’étape suivante, de retourner directement à la source.
Beaucoup de gens se posent la question comment savoir si j’ai des guides, si oui, qui est ce et comment communiquer avec ses guides ? Je peux leur demander n’importe quand mais je n’ai plus ce besoin. Si par commodité ou par conviction, vous voulez absolument lui attribuer un prénom, celui que vous choisirez n’aura aucune incidence sur votre
relation avec lui. Ces guides m’ont aidé définitivement à faire un chemin par rapport à un certain chemin précis. Comment entrer en contact et communiquer avec ses guides ? On va pourvoir commencer à discuter avec ; ou on va pouvoir ouvrir un livre ou voir un panneau publicitaire avec un mot dessus et c’est ce mot qu’on avait besoin. Dans
certaine religion, il y a des Saints, des anges… Chacun croit à sa façon en ce qu’il a besoin et tout est juste, à partir du moment où on sent qu’on est en connexion et qu’on sent qu’il y a du positif qui se passe dans notre vie, que les demandes sont répondues. Un jour, dans ma vie, quelques années plus tard, est arrivé le nom d’un de mes deux guides
dans un livre et là, je me suis dit : je peux commencer à voir si ça marche, de communiquer avec mon guide. Être enseigné, c’est prendre conscience que nos actes, quels qu’ils soient, ont des conséquences positives ou négatives. Il y a des gens qui ont besoin de sentir qu’ils ont besoin d’un guide pour ci, d’un guide pour ça. Pour rencontrer son guide
spirituel, il suffit de l’invoquer, à tout instant de la journée.
C’est admettre que tous ces éléments font partie intégrante de nous-même. Ça dépend, il y a plusieurs façons. Moi, j’avais ces rôles qui étaient là, c’était instinctif ; je sais que chacun avait son rôle, et ils sont toujours là. Ça peut arriver de n’importe quelle façon.
Pas besoin d’avoir une religion pour prier ni pour contacter son guide spirituel. Ça dépend du chemin qu’on est en train de faire. Rentrer en contact avec cet être de lumière, c’est puiser dans votre foi à son égard. Tous les signes sont des répliques de sa part.
Soyez convaincu de percevoir sa réponse, à travers une phrase énoncée, un spot publicitaire répondant à votre question, un objet reçu correspondant à votre requête. Il interviendra sans nul doute, à chacune de vos demandes. Ça peut être un courant d’air, des cellules qui vibrent, des frissons, des crampes…mais il se passe quelque chose. Ici, il est
primordial de faire appel à lui avec votre cœur. Comment nos guides se manifestent-ils ? Le guide spirituel est une entité énergétique, que nous appelons dans le langage courant un être de lumière, un ange ou encore, Dieu.
Nous sommes indissociables de tout un chacun. Aujourd’hui, j’ai envie de vous partager mon expérience puisque j’ai appris que j’avais des guides. On se rend compte qu’on fait un bout de chemin avec un guide par rapport à certaine chose dans notre vie (ça peut durer un mois, une semaine, une année…). On peut les appeler ou entendre un nom, voir
une image, discuter avec et se rendre compte que cette personne est là pour nous et qu’on va pouvoir travailler avec elle. Il vous tend la main pour vous relever de vos chutes. Votre guide a accepté la mission de vous suivre, de vous révéler le chemin à emprunter et à ne jamais porter de jugement sur vos actes. Après un coma, de nombreuses
opérations, elle est revenue de l’autre côté, comme beaucoup d’autres qui ont vécu ce type d’expérience, avec un petit quelque chose en plus… un don. Dans cet entretien, Dominique partage avec vous 5 clés pour communiquer avec ses Guides. Suivez le guide, nous vous expliquons tous sur cette pratique.
Communiquer avec son guide au quotidien est appelé » channeling « . Ceux associés par la Kabbale le sont par nous-même, pour les mêmes raisons. Mais sachez que l’humilité et la bienveillance est la règle numéro 1 Dominique Jeanneret a vécu dans son enfance une expérience de mort imminente après un gros accident de moto. Ces guides m’ont
aidé pendant des années, mais j’avais toujours cette connexion directe avec Dieu, avec l’Univers, avec la source. On peut se mettre à écrire, laisser l’écriture arriver, voir ce qui apparaît, voir si le guide a quelque chose à nous dire.
Tous les soirs, je les parlais, les remerciais pour la journée que j’avais eu, pour les cadeaux que j’avais reçu qu’ils avaient bien voulu me donner et je leur demandais autre chose pour le lendemain. Les guides spirituels ne réagissent pas parce qu’on les nomme, ils vous répondent en toutes circonstances. Son amour est tel que nous pouvons considérer
cela comme un dévouement sans bornes. Le guide spirituel a à cœur de vous accompagner jusqu’à votre destination.