Document Sans Titre
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Le narrateur ne dort pas parce qu’il est écrasé par le poids de sa solitude. Il dit : « Le soir,
quand tous dorment, (…) moi, je ne dors pas. »
Pour quelle raison le narrateur veut-il attraper un moineau ? Justifiez votre réponse.
Le narrateur veut attraper un moineau pour en faire un ami car il était solitaire: « Il veut en
faire son compagnon. »
Ce qui montre que le narrateur va faire un retour en arrière est la phrase : « ma solitude en
date pas d’hier ».
Oui, le narrateur est sûr de la véracité (authenticité) des événements qu’il raconte car il dit :
« Ma mémoire était une cire fraîche et le moindre événement s’y gravait en images
ineffaçables. » (le pacte autobiographique.)
Les enfants âgés de six ans cherchaient à imiter alors que le narrateur voulait connaître.
Relevez dans le paragraphe « je crois n’avoir…un certain trouble » le va et vient entre les
sentiments de l’auteur enfant et les sentiments de l’auteur adulte ?
Le champ lexical du malaise : je restai tout bête, je me sentais plus seul que jamais, j’étais
de plus en plus persuadé que c’était bel et bien l’Enfer. Dans les salles chaudes,
l’atmosphère de vapeur, les personnages de cauchemar qui s’y agitaient, la température,
finirent par m’anéantir, je m’assis dans un coin, tremblant de fièvre et de peur.
Non, l’auteur n’était pas fréquemment soumis à l’épreuve du bain maure parce que sa mère
ne voulait point s’embarrasser d’un enfant empoté et maladroit comme lui.
A quoi se livrait l’auteur pendant l’absence de sa mère qui allait souvent au bain maure toute
seule ?
L’auteur se livrait à ses fantaisies en jouant dans le derb ou en inventoriant les trésors de sa
boîte à merveilles.
La mère du narrateur avait tendance à la dramatisation parce qu’elle passait du rire le matin
aux pleurs le soir et ne manquait pas de donner au moindre incident les proportions d’une
véritables catastrophe.
Après le déjeuner du vendredi, Lalla Zoubida raconte les problèmes de Larbi avec un certain
Abdelkader.
Abdallah tient un fonds de commerce consistant en deux grappes de balais de palmier nain,
une douzaine de couffins, un paquet de ficelle et quelques boîtes qu’on suppose remplis
d’épices.
Tabb
CHAPITRE V
Elle donne à manger à son fils et s’empresse de raconter les malheurs de Lalla Aïcha à
Fatma Bziouya et Rahma.
Lalla Aïcha a tout vendu, meubles et bijoux, pour acheter le matériel nécessaire à
l’installation du nouvel atelier de son mari.
A la mort de Sidi Mohamed Ben Tahar, les pleureuses vociféraient des lamentations,
adressaient des prières à Dieu, invoquaient les saints. Loin des femmes, les psalmistes
récitaient quant à eux un long chapitre de coran. Après les ablutions rituelles, le cadavre fut
vêtu de blanc et emporté par les hommes sur une civière pour être enfin enfoui dans une
terre humide.
Non, ils ne se ressemblent pas. Il y’a des morts qui sont accompagnés par une foule
nombreuse et des morts sans personne pour les accompagner à leur dernière demeure.
Quel est le nouvel objet qui s’ajoute à la boîte à merveilles ? Par qui est-il offert ?
Le nouvel objet qui s’ajoute à la boîte à merveilles est une chaînette de cuivre rongée de
vert-de-gris et elle est offerte par la mère du narrateur.
Elle finit par une dispute violente entre le narrateur et Zineb la propriétaire du chat. Le
narrateur a accusé Zineb d’être à l’origine de la disparition de sa chaîne.
CHAPITRE VI
A l’occasion d’Achoura, le maître collecte les dons pour renouveler les nattes et forme des
équipes pour blanchir les murs et nettoyer le sol.
Le narrateur est nommé chef des frotteurs et cette fonction le remplit de fierté.
Il accompagne sa mère à la kissaria pour acheter des habits neufs pour la fête de l’Achoura.
Pourquoi le narrateur est-il réprimandé par sa mère avant la sortie pour la kissaria ?
Il est réprimandé par sa mère avant la sortie parce qu’il ne l’a pas entendu en train de
l’appeler alors qu’il exprimait sa joie sur la terrasse.
C’est la voisine de Lalla Aïcha qui commente la fin heureuse de l’affaire Moulay Larbi grâce
aux sacrifices de sa femme tout en soulignant perfidement l’ingratitude des hommes.
Elle raconte l’histoire de l’oncle Othman que la vieille M’barka lui a racontée.
L’oncle Othman dont la fortune a connu des temps meilleurs a dilapidé son capital au cours
de sa jeunesse. Ses nombreuses épouses n’ont pas su le conquérir. Sa dernière épouse
Lalla Khadija réussit à le dominer. Un vendredi, Si Othman alla faire son marché, il eut des
démêlés avec Salem le boucher, donna un coup de pied à un chien et perdit sa babouche, le
temps de la retrouver, le boucher avait fini son commerce. Il pensa amadouer sa femme par
une fleur mais n’échappa pas au sort peu enviable d’être mis à la porte.
CHAPITRE VII
Le narrateur se joint à ses amis au Msid pour préparer les lustres en prévision de la nuit de
l’Achoura.
Il comptait l’emmener au souk pour choisir des jouets, acheter un cierge et se couper les
cheveux.
Sidi Ahmed est le fils de El Haj Ali Lamrani, le marchand de thé du quartier Sagha. Il va
épouser la fille de Si Omar le notaire.
Montrez comment le sentiment de supériorité de Sidi Mohamed dans ses habits neufs est
démenti par quelques désagréments.
Bien que tout ce que portait Sidi Mohamed était neuf, rien n’était à sa taille. Ils étaient tous
d’une taille plus grande.
Elle se termina par une longue invocation et par un congé de quatre jours.
Le matin, Sidi Mohamed devait accompagner son père à Moulay Driss pour la prière, et
après le déjeuner, le narrateur devait accompagner sa mère chez son amie Lalla Aïcha.
Le deuxième mariage de Sidi Larbi n’est pas un mariage heureux puisque sa femme
multipliait les exigences : elle voulait une paire de bracelets d’or, réclamait de l’argent en
espèces, voulait organiser des thés pour ses soi-disant amies et jouait du tam-tam à tout
propos. La belle-mère contribuait aussi à rendre la vie difficile à Sidi Larbi en se mêlant à
chaque instant des affaires du ménage.
Que raconte Zhor à propos du ménage de Moulay Larbi avec la fille du coiffeur ?
Zhor raconta l’incident survenu chez Moulay Larbi mardi dernier : la jeune épouse qui casse
tout et menace de se suicider à tout bout de champ, a fait une scène lamentable à son mari
puisqu’elle estimait que le foulard qu’il lui avait acheté avait des couleurs vulgaires et était
bon à coiffer la tête d’une négresse. En plus de ses goûts de richesse, la jeune épouse avait
la réputation d’être paresseuse, les provisions devaient attendre le soir pour être cuits.
A la fin du récit de Zhor, les quatre femmes firent une véritable diatribe à la fille du coiffeur,
au coiffeur lui-même, à sa femme et à feue sa mère. Apparemment, l’histoire de cette famille
était très entachée et la famille entière représentait le rebut de la société.
CHAPITRE XII
Le jour du retour de Maalem Abdeslem est décrit comme un jour heureux, il y flottait dans
l’air un élément nouveau qui chavirait les cœurs.
Allal El Yacoubi vient à Dar Chouafa pour prendre des nouvelles de Sidi Mohamed à la
demande du fquih.
Maalem Abdeslem est contre la polygamie : « Je savais que la folie de Moulay Larbi serait
passagère. N’est-ce pas folie de vouloir conduire plusieurs attelages à la fois ? Il est déjà
difficile de s’entendre avec une seule femme, de vivre en harmonie avec les enfants de sa
chair… »