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Contribution à la faune du Congo (Brazzaville) Mission A. Villiers et A. Descarpentries

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Bulletin de 1’ I. F. A. N.

T. XXX, ser. A, no 1, 1968.

Contribution à la faune du Congo


(Brazzaville)
Mission A. Villiers et A. Descarpentries
LXXI. Diplères Tabaniclae
par M. OVAZZA (I).

INTRODUCTION

La faune des Tabanidae du Congo (Brazzaville) a fait l’objet


d’un certain nombre de publications depuis le début du siècle.
Ceci est dû à l’importance de quelques espèces de cette famille
comme vecteurs d’affections humaines ou de zoonoses. Dans la lit-
térature de ces quinze dernières années nous disposons d‘une part
de la Monographie sur les Tabanidae de la région éthiopienne
~ ’ O L D R O Y(1952,
D 1954, 1957), des articles de OVAZA e t TAUF-
FLIEB (1952) e t de TAUFFLIEB e t FINELLE (1956). Nous trouvons
dans le dernier une bibliographie très complète en ce qui concerne
1’État où s’est déroulé cette mission-ci.
Le matériel mis à notre disposition provient des récoltes effec-
tuées d’octobre 1963 à février 1964 par la mission A. VILLIERSe t
A. DESCARPENTRIES (cf. A. DESCARPENTRIES et A. VILLIERS,
1964). L’aire étudiée a couvert principalement la zone de grande
forêt e t ses abords immédiats. Dix-sept espèces e t une sous-espèce
ont été capturées, toute à l’état adulte. Nous en donnons ci-des-
sous la liste ; pour chaque espèce nous indiquerons la répartition
géographique actuellement connue. Quand nécessaire nous ajou-
terons quelques données de taxonomie ou de systématique.

(i) Entomologiste médical de 1’0. R.S. T. O . M.


362 M . OVAZZA

LISTE DES ESPRCES R ~ C O L T ~ E S

I. SUBFAM.P A N G O N I I N A E .

TRIBUPhilolichini.

1. Philoliche-(Stenophara) semilivida (BIGOT,1891).


Cette espèce, connue de toute l’aire de la grande forêt depuis
le Sierra Leone jusqu’au Congo (Kinshasa), n’avait encore jamais
été trouvée a u Congo (Brazzaville). Sa capture semble toujours
occasionnelle et le nombre d’individus récoltés est en général peu
élevé. Ceci, lorsqu’il s’agit de Tabanides, laisse en général suppo-
ser des mœurs acrodendrophiles.
- 1 femelle prise à Dimonilra, MayumbB, grande forêt, janvier
1964. I1 faut souligner que sur ce spécimen la première cellule
postérieure de l’aile est fermée au niveau du bord postérieur, ce
qui est exceptionnel.

2. Philoliche (Subpangonia) gravoti SURCOUF,


1908.
I1 s’agit aussi d’une espèce forestière, dont l’aire de répartition
va de la République de Guinée au Congo (Kinshasa). Au Congo
Brazzaville elle étarit signalée de RI’Vouti (Mayumbé) (TAUFFLIEB
et FINELLE, op. cit.).
- 3 femelles, de Dimonika (Mayumbé), janvier 1964.

II. SUBFAM.C H R P S O P I N A E .

A. Tribu Chrysopini.

3. Chrysops centurionis AUSTEN,1911.


Ce Tabanide a été signalé depuis le sud du Nigeria jusqu’en
Ouganda. I1 est toujours capturé en petit nombre, ne semble pas
attaquer normalement l’Homme. I1 fait partie des Chrysops vivant
dans les frondaisons et a été impliqué dans la transmission des
filaires chez les Singes. I1 avait été signalé par RINGENBACH et
GUYOMARCH (1914) entre les rivières Sangha e t .Mataba dans le
L A F A U N E D U C O N G O . LXXI 363
Nord-Ouest du Congo (Brazzaville). 11 n’est pas cité par OVAZZA
et TAUFFLIEB (1952) qui n’avaient pas récolté dans cette partie
du pays e t n’a p a s été retrouvé par TAUPPLIEB et FINELLE (op.
cit.).
- 4 femelles d’odzala, octobre 1963; il s’agit d’une région de
forêt très proche de celle où les auteurs cités ci-dessus signalèrent
sa présence.
4. Chrysops dimidiata WULP,1885.
Une des deux espèces impliquées dans la transmission de la fila-
riose humaine à L o a Zoa. Connu de toute la région forestière et des
galeries des savanes postforestières. Cependant, en allant vers
l’Ouest, il ne semble pas exister dans le couloir dahoméen ni à
l’Ouest du Ghana. Très largement répandu a u Congo (Brazzaville)
où sa présence a été signalée par tous les auteurs antérieurs.
- 3 femelles de Mbila, monts du Chaillu, dans l’Ouest du pays,
décembre 1963.
- 15 femelles d’odzala, octobre 1963.

5. Chrysops silacea AUSTEN,1908.

I1 s’agit de l’autre vecteur de la Loase humaine. Ce Taon a été


l’objet d’études écologiques et biologiques encore plus approfon-
dies que le précédent. Si son aire de répartition est dans l’ensemble
la même que celle de C. dimidiata, plusieurs auteurs ont signalé
des régions limitées où, soit l’un des deux est beaucoup plus abon-
dant que l’autre, soit une seule de ces espèces existe (DAVEYet
O’ROURKE, 1951 ; OVAZZA et TAUFFLIEB,1952 ; CREWE,1954).
Pour la répartition des deux espèces au Congo (Brazzaville) une
carte a été donnée par OVAZZA et TAUFPLIEB (op. cit.).
La récolte de la présente mission confirme cette répartition :
- 15 femelles furent capturées à Sibiti, en décembre 1963.

6. Chrysops longicornis M ~ C Q U A R 1838.


T,
Selon OLDHOYD (1957) ce serait la seule espèce du genre que l’on
rencontrerait aussi bien en savane, qu’en forêt, et on le connaît
de l’ensemble de la région éthiopienne, excepté les parties les plus
arides, déserts et sahels. Au Congo il est signalé de : Brazzaville,
l’île M’Bamou, la région de Madingou (OVAZZAet TAUFFLIEB,
TAUFFLIED et FINELLE, op. cit.).
- 2 femelles, Sibiti, novembre 1963.
364 M. OVAZZA

B. Tribu Rhinomyzini.

7. Tabanocella Stimulans (AUSTEN,1910).


Espèce de forêt connue de la Sierra Leone au Congo (Kinshasa).
Déjà rencont.rée au Congo [Brazzaville) de Zanaga, dans le Niari
et de Kelle au Nord-Ouest (OVAZZA et TAUFFLIEB, op. cit.), de
Kayes, de M’Vouti (Mayumbé) (TAUFFLIEB et FINELLE, op. cit.).
- 7 femelles, Sibiti, novembre 1963.
- 1 femelle, Dimonika (Mayumbé), janvier 1964.

8. Thaumastocera akwa G R ~ N B E R1906.


G,
Ce Tabanide a été rencontré dans toute la zone de forêt e t les
galeries postforestihes de la Sierra Leone à l’Ouganda oriental.
I1 n’est jamais capturé qu’en petit nombre, et il s’agit surtout de
mâles venant à la lumière, parfois même dans les habitations.
Au Congo, TAUFFLIEB e t FINELLE (op. cit.) l’ont trouvé à Braz-
zaville.
- 1 mâle pris au centre O. R.S.T. O.M., à la périphérie de
Brazzaville par R.PAULIAN, octobre 1963.
- 1mâle, Sibiti, novembre 1963.

9. Thaumastocera cervaria %GUY, 1935.


Cette espèce ne fût longtemps connue que par la femelle holo-
type qui provenait de Bulirà (2 500 m d’altitude) dans l’Est du
Congo (Kinshasa). Depuis, une autre femelle fut élevée & partir
d’une larve trouvée dans u n trou d’arbre à Bobiri, Ghana
(OLDROYD, 1957, p. 163). La capture que nous relatons ici montre
donc qu’il s’agit d’un Tabanide rare mais à vaste répartition.
- 1 femelle, Mbila,- - monts du Chaillu, décembre 1963.- .

III. S ~ F A MTABANINAE.
.

A. Tribu Tabanini.

10 a. Ancala fasciata ssp. fasciata (FABRICIUS,1775).


L’espèce est répandue à travers toute l’Afrique. Selon OLDROYD
(1954) la sous-espèce typique se rencontre particulièrement en
LA F A U N E D U CONGO. LXXI 365
zone forestière. L’existence d’une (( forme ? mista 1) intermédiaire
entre A . rasciata fasciata e t A . fasciata nilotica pose la question
de savoir qu’il s’agit de simple variations individuelles ou de deux
sous-espèces produisant des hybrides dans la zone de recouvre-
ment entre leurs deux aires de répartition. Les données actuelles
ne permettent pas de conclure. Au Congo, selon TAUPFLIED et
FINELLE (op. cit.) A . fasciata fasciata est répandu depuis la mer
jusqu’au Nord du pays.
- 1 mâle de Brazzaville, octobre 1963.

10 b. Ancala fasciata, ssp. atripes (WULP,1895).


OLDROYD(1954) met en doute l’existence de cette sous-espèce.
Selon cet auteur une vérification, faite à sa demande, par P. FREE-
M A N , au Muséum d’Histoire naturelle (Paris) a montré effective-
ment que les exemplaires de A . f . atripes ont les fémurs moyens
et postérieurs noirs sur leur moitié distale ce qui les distingue des
autres (iformes )) de l’espèce. La sous-espèce fut d’abord signalée
du Gabon. OVAZZA et TAUFPLIEB (op. cit.) l’ont trouvée a u Congo
(Brazzaville) mais la nomment nigripes par suite d’une erreur
typographique (ainsi que le montrent les étiquettes de leurs spé-
cimens). TAUFFLIEB et FINELLE (op. cit.) la signalent de M’Vouti
et Kayes et en font une race locale- )) à répartition géographique
bien délimitée, ce qui est la définition même d’une sous-espèce.
Or les récoltes que nous citons ci-dessous nous montrent u n exem-
plaire de la même région qui présente les mêmes caractéristiques.
- 1 femelle, chutes de la Bouenza, région de Madingou,
30-XI-1963.

11. - Tabanus marmorosus SURCOUF,


1909.
Selon OLDROYD (1954) il existerait deux sous-espèces : T . mar-
inorosus marinorosus SURC., 1909 et T . 777. congoicola BEQU.,1930 ;
la première serait répandue en forêt, du Sénégal au Sud du Nige-
ria ; la seconde se rencontrerait du Gabon à l’Ouganda. RAGEAU,
GRENIERet ADAM(1954) les ont trouvées toutes deux au Canie-
roun, dans les mêmes localités, la première étant la plus fré-
quente. TAUFFLIEB et FINELLE récoltèrent l’espèce, au Congo,
de Kellé, Sibiti, Kayes, M’Vouti et Boko. Leurs exemplaires appar-
tiennent aux deux sous-espèces et il existe de nombreuses €ormes
intermédiaires ; ceci leur fait mettre en doute la validité de ces
formes en tant que sous-espèces. Ces seules données peuvent faire
366 M. OVAZZA

penser qu’il s’agit de deux sous-espèces dont les aires géogra-


phiques se recouvrent au Cameroun, au Gabon et au Congo (Braz-
zaville), où on trouverait des hybrides. Mais nous avons observé
le même phénomène en Côte-d’Ivoire, beaucoup1 plus B l’ouest.
Si T . niarrnorosus corzgoicola se rencontre seul en Ouganda e t au
Congo (Kinshasa), partout ailleurs vers l’Ouest on a toute une série
de spécimens présentant des caractères variables et nulle part on
ne trouve T . m. marmorosrts seul. I1 semble difficile dans ces con-
ditions d’admettre la validité des sous-espèces.
- 3 femelles, du type (( congoicola D, Mbila, monts du Chaillu,
décembre 1963.

$2. Tabanus obscurefumatus SURCOUP,


1906.
Connu depuis le Sud du Nigeria jusqu’à l’estuaire d u Congo.
TAUPFLIEB et FINELLE le signalent de M’Vouti et de Kayes. Ils
pensent par ailleurs que la mention de T . quadriguttatus RIG.,
1908 à Mossa1;a et Brazzaville par SURCOUF et ROUBAUD (1908)
se rapporte en réalité à T . obscurefuinatus. T . quadriguttatus n’est
en effet connu que du Tanganyika.
- 7 femelles, Mbila, monts du Chaillu, décembre 1963.
- 1femelle, Odzala, octobre 1963.
- 2 femelles, Dimonika (Mayumbé), janvier 1964.
13. Tabanus canus KARSCH,
1879.
Selon OLDROYD(1954) T . canus serait pratiquement limité au
Congo (Kinshasa) avec de légers débordenients sur l’Angola, le
Cabinda, le Congo (Brazzaville),le Gabo;. Mais depuis cette époque
il €ut signalé du Cameroun par RAGEAU, GRENIERet ADAM(op.
cit.), du R. C. A. par TAUPFLIED et FINELLE (op. cit.). Au Congo
(Brazzaville), selon ces derniers auteurs, on le rencontre dans les
jocalités- suivantEs-.: districts de Gamboma, Mossaka, Djambala, - - -
Madingou, Brazzaville, Kayes. Parcontre-ils ne l’Öni jamais irouvé
au Mayumbé malgré u n an de captures intensives.
- 1 femelle, centre O. R. S.T. O.M., récoltée par R. Paulian,
octobre 1963.
- 1 femelle, Odzala, octobre 1963.

14. Tabanus xanthomelas AUSTEN,1912.


Connu depuis une limite occidentale allant du Gabon au R. C. A.,
jusqu’à une autre, orientale, qui va d u Sud du Soudan au Malawi
LA F A U N E D U CONGO. LXXI 367
(ex-Nyassland). Ce Tabaiiicle est signalé au Congo : de Brazza-
et TAUFFLIEB,
ville, et des rivières Lefini et Leconi (OVAZZA op.
cit.).
- 2 femelles, Odzala, octobre 1963.

15. Tabanus besti SURCOUF,


1907.

Selon OLDROYD (1954) T . b e d est une espèce fréquente en forêt


e t dans les galeries forestières de la Gambie à l’Ouganda. Cet
auteur distingue deux (( formes )) T . besti besti et T . b. arbucklei ;
la première existerait dans toute la zone que nous venons de défi-
nir, la seconde se trouverait dans les mêmes localités de capture
mais seulement de la Sierra Leone à la forêt du Sud du Nigeria.
On ne peut donc parler ici d’isolement géographique. Ceci d’autant
plus que la seconde forme a été signalée par GALLIARD (1933) au
Gabon, ce qui étend beaucoup son aire vers le Sud-Est.
Les exemplaires capturés par la Mission sont des plus difficiles
à classer dans l’une ou l’autre forme. Ils présentent l’aspect de
T . besti besti, mais tous montrent au moins l’un des caractères
attribués à T . b. arbucklei : couleur de la moitié basale des tibias
antérieurs, couleur et vestiture des tibias moyens e t postérieurs,
aspect du subcallus. Nous nous trouvons dans une situation ana-
logue à celle que nous venons de rapporter pour T . naarmorosus.
A l’est du Congo l’espèce n’existe que sous u n aspect bien défini,
celui de T . besti besti. Au Nord et à l’Ouest de ce fleuve on ren-
contre des spécimens présentant les caractères de l’une ou l’autre
forme et aussi certains qui semblent être des hybrides, mais sans
qu’on puisse définir une aire géographique pour *chacun de ces
aspects. Ceci est vrai aussi en Côte-d’Ivoire et en Guinée (DOUCET,
OVAZZA e t ADAM,1958 ; OVAZZA,ADAMet BAILLY-CHOUMARRA,
1959). Nous ne pensons pas dans ces conditions que la notion de
deux sous-espèces puisse être maintenue. Au Congo T . besti était
déjà connu de RiI’Vouti (TAUFFLIEB et FINELLE, op. cit.).
- 6 femelles, Odzala, octobre 1963.
- 2 femelles, Dimonika, Mayumbé, janvier 1964.
16. Tabanus obscurehirtus RICARDO,
1908.

OLDROYD(1954) le signale de toute la grande forêt depuis le


Liberia jusqu’au Katanga. TAUFFLIEB et FINELLE (op. cit.) écrivent
qu’il est très abondant dans presque tout le territoire du Congo
(Brazzaville). Nos exemplaires montrent une plage jaune claire
368 M. OVAZZA

très nette sur toute la moitié basale des tibias moyens. Ce cara
tère, non signalé par Oldroyd, existe chez de nombreux exemplaires
au Gabon, au Cameroun et au Congo.
- 11femelles, Odzala, octobre 1963.

B. Tribu Haenzatopotini.

17. Haematopota griseicoxa OLDROYD,1952.

Lors de la description l’auteur cite des exemplaires du Cameroun,


d u Soudan, du Congo (Kinshasa). Son aire s’étend en réalité à
l’Ouest au moins jusqu’en Côte-d’Ivoire où il est très abondant
(DOUCET, OVAZZAet, ADAM,1958).
Au Congo selon TAUPFLIEB et FINELLE, il est très commun à
M’Vouti.
- 1 femelle, Sibiti, novembre 1963.

CONCLUSION

Sur les dix-sept espèces et la sous-espèce récoltées par la Mis-


sion, deux, Philoliche (Stenophara) semilivida et Thaunzastocera
cervaria, n’étaient pas encore connues du Congo (Brazzaville).
Ce matériel nous permet d’autre part de confirmer la présence de
Chrysops centurionis, que nous ne connaissions de cet É t a t que
par une récolte assez ancienne. Cela nous amène par ailleurs à
maintenir Ancala fasciata atripes comme sous-espèce valable, et
au contraire à mettre en doute que congoicola pour T . niarmorosus
et arbucklei pour T . besti soient de véritables sous-espèces.

- - - DON-NÉES- BIBLIOGRAPHIQUES - __ - .

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Bulletin de I‘IFAN, t. XXX, série A.

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