MP2-MRH S1 Négociations
MP2-MRH S1 Négociations
MP2-MRH S1 Négociations
Classe : MP2
Enseignants :
Marcel MBALOULA
Dydime ESSEBO
Objectif général : Cet enseignement vise à donner à l’étudiant les grandes notions sur la
négociation
Contenu pédagogique :
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CHAPITRE I : GENERALITES SUR LA NEGOCIATION
Le mot de négociation dérive du mot négoce qui apparait en français dès le XIIe, au
pluriel (négoces), au sens des affaires. Négocier apparait au XIVe siècle au sen de faire
du commerce, négociateur au sens de régisseur et négociation au sens d’affaires. Au XVIe
siècle, négoce au singulier désigne « une affaire », un trafic, un commerce. Négociation
prend alors le sens d’action de d’entremettre.
A propos de négociation, il parle de « l’art de mener à bien les grandes affaires, les
affaires publiques, de l’action de vendre ou de transmettre à un autre des effets de
commerce ou des lettres de change, enfin des rapports de deux ou de plusieurs Etats qui
veulent traiter d’un acte ou d’une affaire ».
Selon Faure (1993), « la négociation est un processus par lequel deux ou plusieurs
parties interagissent dans le but d’atteindre une position acceptable au regard de leurs
divergences ». Pour Lewicki et Litterer, « c’est autant un jeu psychologique qu’un
processus rationnel de prise de décision ».
1) une interaction entre les négociateurs qui prend souvent la forme d’un face à
face ;
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3) des intérêts communs par constatation d’une interdépendance : chaque
négociateur ne peut agir que par la recherche d’une solution fondée sur cette
interdépendance ;
Selon Touzard (1977) les points les plus importants de la négociation sont le contenu,
les rôles, les phases essentielles, les normes et règles tacites de la négociation, et les
processus à l’œuvre.
3.1. Le contenu
Le contenu est l’objet de la négociation. De quoi parlera-t-on ? Dans quel ordre ? Qui
parlera et dans quel ordre ? Créera-t-on des commissions ou pas ? Quel sera le rythme
des séances ? Qui sera président de séance ? Quelle forme aura la table ? Comment se
placeront les délégations etc. ? Ces questions de procédures et de présence font une
partie intégrante de la négociation.
On peut constater différents rôles pendant la négociation : a) les acteurs, qui agissent
en tant que représentants de leur groupe ou de leur organisation ; b) les experts qui sont
présents pour conseiller les négociateurs, leur fournir des informations et des arguments ;
c) le président qui a un rôle d’introduire le débat, distribuer la parole, faire respecter les
formes de procédure et l’horaire fixe etc. ;
Dans le cas de négociation ou deux parties sont impliquées, chaque délégation se trouve
face à l’autre, lorsqu’il y a plus de deux délégations, les phénomènes se compliquent à
cause de rôle et buts multiples de différentes délégations.
La négociation, qu’elle soit courte ou prolongée, passe par un certain nombre de phases,
que l’on retrouve invariablement. On distingue souvent trois périodes dans la
négociation : a) l’inventaire des points de litige (le but de cette phase est de reconnaître
les positions initiales de chacun ; b) la reconnaissance des possibilités de négociation (elle
comprend les négociations dans les commissions et les premières séances plénières qui
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leur succèdent) ; c) le dénouement (elle s’établit lorsque les parties en présence sentent
qu’ils ont atteint un point de non-retour et que l’accord doit être conclu).
Il s’agit de :
a) négocier de bonne foi - éviter de maintenir systématiquement des positions que l’on
sait acceptables pour l’adversaire, éviter de se comporter de telle manière que tout
accord soit impossible ;
b) honorer les accords parties - cette règle tacite stipule que lorsque la négociation porte
sur des articles ou des clauses successives et indépendantes les unes des autres ;
c) faire preuve de flexibilité - le corollaire de cette norme est d’éviter tout ultimatum au
cours de négociation sauf dans les situations très particulières ;
a) les processus de coercition qui peuvent prendre au sein de la négociation des formes
toutes particulières comme la menace, le bluff, la surenchère, les comportements
agressifs ;
d) les processus d’accommodation qui mènent à l’accord, se retrouvent au sein des deux
dernières phases de la négociation : reporter à plus tard les questions épineuses
(commencer par les questions sur lesquelles l’accord risque d’être plus aisé) et le
marchandage et le jeu des propositions et contre-propositions (une discussion où chaque
partie va peu à peu modifier sa position initiale à la direction de celle de l’autre et une
utilisation du compromis, de l’innovation et des relations positives interpersonnelles
pour conclure un accord).
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Section 2 : Caractéristiques générales et principes des négociations
2. Principes de négociation
a. Rationalité
b. Somme positive
Chaque partie choisit le résultat qu’elle préfère. Il existe pour chaque partie un point
dit de sécurité appelé aussi point de référence, front de résistance en psychologie ou
point menace en théorie des jeux.
Ces points sont flexibles, modulables au cours de la négociation. Plus l’écart est grand
entre le résultat et le point de sécurité, plus les parties accepteront de payer pour obtenir
l’accord.
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c. Equivalence
d. Réciprocité
e. Distribution
Un ensemble de facteurs influence toute négociation. Certains sont propres aux acteurs,
à leur organisation d’appartenance, au contexte de la négociation ou aux stratégies
déployées.
- la culture des parties que celle des organisations auxquelles elles appartiennent,
comme facteur d’influence de la négociation même si les études ne permettent
pas toujours de démontrer de manière certaine des liens de causalité.
- Des éléments propres aux organisations auxquelles appartiennent les parties sont
en mesure d’expliquer les orientations prises par les négociations. Ainsi certains
ont étudié l’impact de la technologie intégrée dans le produit, les stratégies suivies
par exemple.
- le rôle que tiennent les objectifs des parties, les rapports de pouvoir, de force, la
confiance qui va s’instaurer entre les parties.
- le temps en termes d’urgence, de pression qui va exercer sur les parties et les
concessions qu’elles accepteront de faire ou refuseront. On peut aussi s’intéresser
au temps depuis lequel les parties se connaissent et qui affecte le déroulement,
les phases du processus de négociation tout comme les perspectives de futures
négociations.
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2. Les facteurs déterminants : Le modèle de Sawyer et Guetkow
Il existe différents modèles pour décrire et prévoir la négociation. Parmi eux le modèle
de Sawyer et Guetkow est le plus connu. En 1965, Sawyer et Guetkow s’intéressent aux
relations entre divers facteurs et le processus général de la négociation en termes de
comportement des acteurs et de résultats. Ils proposent dans la version originale de leur
modèle théorique une systématisation des variables qui influencent de façon causale le
déroulement et le résultat de la négociation.
les buts des parties impliquées : il s’agit d’un facteur en amont de la négociation
qui fait référence à la communauté des buts des différentes parties, et à la nature
de la négociation (buts qui dérivent d’idéologies/négociation idéologique ou buts
technique/négociation technique).
les facteurs fondamentaux (historiques, culturels) concernant les relations entre
partie : ils se situent aussi en amont de la négociation. Leur opérationnalisation
renvoie aux variables, telles que les relations internes aux parties (processus de
délégation, négociation formelle), les attitudes et les relations entre les parties, les
différences culturelles entre les parties et les caractéristiques du négociateur (statut,
traits de personnalité).
les conditions spécifiques de la négociation le processus de la négociation : il s’agit
du deuxième facteur simultané. Son expression opérationnelle renvoie aux variables,
telles que le contexte social de la négociation (négociation publique ou secrète,
formelle ou informelle), le nombre de participants (constitution des délégations), le
nombre des parties impliquées à la négociation (négociation bilatérale ou
négociation multilatérale), le processus d’information (déchiffrage des unités de
la/des partie/s, adverse/s), les états psychologiques des négociateurs (stress en vue de
la négociation) et le temps (existence ou non d’une pression temporelle).
le processus de la négociation : il s’agit des variables mises en œuvre par le
déroulement même de la négociation, qui contribuent à son découpage séquentiel
(par l’intermédiaire de la communication), de persuasion, des faits accomplis et de
la recherche des solutions.
les résultats de la négociation : Ce sont les variables relatives à l’élaboration de
critères pour l’évaluation des résultats, la clarté des résultats et la continuité de la
négociation.
1. La MESORE
2. Le prix de réserve
La ZAP est la zone d’accord possible. Il s’agit de l’espace dans lequel peut avoir lieu
un accord satisfaisant les deux parties. Dit autrement, c’est l’ensemble des accords
qui peuvent éventuellement contenter toutes les parties.
4. La création de valeur
Le principe de la création de la valeur est que les parties négociantes confortent leur
position en échangeant des valeurs à leur disposition. La création de la valeur a lieu
dans le cadre de négociations coopératives. Chaque partie obtient une chose qu’elle
veut en échange d’une autre qui lui importe moins. En échangeant ces valeurs, la
parties perdent peu, mais gagnent beaucoup.
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CHAPITRE 2 : TYPOLOGIE DES NEGOCIATIONS
La négociation est un processus assimilé à une confrontation entre des personnes ou des
groupes de personnes qui partagent plus ou moins fortement un projet commun : établir
entre eux un accord.
Par rapport à ces facteurs, on retrouve le critère de degré de conflit à partir duquel on
propose une typologie des négociations.
+ -
Degré de conflit
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1. Caractéristiques de la négociation conflictuelle
Elle se situe dans la zone du consensus : c’est le fort sentiment de coopération qui donne
à cette négociation sa véritable orientation.
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- la force des partenaires dans la négociation coopérative tient à la logique claire et
admise d’un projet commun ;
- l’origine du consensus tient aux facteurs suivants : 1) une affinité entre les
protagonistes ; 2) un rapprochement volontaire de deux personnes ou deux
groupes présentant de nombreux points de convergence ;
- une coalition en vue d’être plus fort pour vaincre ou résister à un danger (l’union
fait la force)
- le désir du gain mutuel est prééminent : on cherche à satisfaire ses intérêts propres
en même temps que l’on marque son appartenance à une œuvre commune ;
- existence d’une confiance mutuelle en raison de la crédibilité de la parole des
protagonistes ;
- les partenaires sont plus enclins à chercher à clarifier les problèmes qu’à imposer
leur solution ;
- l’état d’esprit des protagonistes révèle qu’ils sont ouverts et conciliants ;
- les partenaires ont tendance à structurer leurs relations dans le temps.
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2.2. La négociation de type « passage en force »
Elle se caractérise par une domination : « le passeur en force » n’écoute pas son
interlocuteur, il est le promoteur de la solution.
- Elle est bâtie sur un postulat moral : les négociateurs doivent faire preuve
en commun de franchise, de loyauté et de courtoisie.
- Dans la négociation raisonnée, un accord judicieux se définit ainsi : « l’accord
judicieux répond aux intérêts légitimes des parties ; dans la mesure du possible,
il résout les conflits d’intérêts équitablement ; il est durable ; il tient compte des
intérêts de la communauté ».
- L’essence de la négociation raisonnée est une clause morale : l’honnêteté et la
bonne foi des négociateurs.
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- l’idée que le gâteau est limité par nature.
L’accord judicieux se construit sur la base de critère objectif qui est indépendant de la
volonté des parties en présence.
Il est nécessaire de rechercher plusieurs solutions au différend, une seule n’est pas
suffisante pour trouver un accord judicieux. Pour cela il faut :
- Réaliser le diagnostic
- Envisager une séance de brainstorming (remue-ménage) avec la partie adverse
- Inventer des solutions de portées différentes.
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CHAPITRE 3. TACTIQUES DE NEGOCIATION
Dans le cadre des négociations conflictuelles, chaque gain pour l’une des parties
constitue une perte pour l’autre. Les tactiques suivantes sont des aides pour réussir
davantage dans cette situation.
1. L’ancrage
L’encrage, c’est chercher à établir un point de référence à partir duquel seront apportés
des ajustements. Dans certains cas, vous pouvez être avantagé si vous êtes le premier à
mettre une offre sur la table. La première offre peut constituer un for point d’ancrage
psychologique, car les études montrent que l’issue d’une négociation est souvent liée à
la première offre. La meilleure garantie contre un point inadapté est la préparation
préalable aux négociations.
2. Le contre ancrage
Les concessions sont des arrangements possibles qui résultent des propositions et des
contre-propositions des parties en négociation, une fois le point d’ancrage est posé. Les
experts en négociation voient dans une concession importante la possibilité d’une
grande souplesse.
4. Le facteur temps
Dans une négociation entre un vendeur et un acheteur, le temps peut être un outil
essentiel, car on parle de date d’expiration à l’offre d’achat. Ainsi, les négociateurs
appellent cette tactique l’ »offre limitée dans le temps ».
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5. Les propositions de lots
Il s’agit de faire des propositions alternatives (deux ou plus). Cette procédure constitue
une tactique efficace. Toutefois, avant de formuler des propositions alternatives, il faut
penser à :
Les négociations coopératives correspondent aux négociations pour lesquelles les parties
agrandissent les parts du gâteau en recherchant des accords. Ces négociations requièrent
des tactiques différentes de celles de négociations conflictuelles, à commencer par une
introduction plus lente te plus exploratoire.
1. Bien négocier
Pour commencer les négociations, il faut éviter de commencer avec des chiffres. Il faut
davantage discuter et écouter. On formule la tâche positivement, comme un effort
commun qui devrait bénéficier aux deux parties. On essaie les techniques suivantes :
Le défi de la négociation est de parvenir à une issue qui sert les intérêts de tous. Pour ce
faire, il faut chercher les différences concernant :
3. Prendre du temps
Il faut éviter de conclure l’accord trop rapidement. Il faut passer un peu plus du temps
à chercher un accord encore plus avantageux pour les deux parties.
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Section 3 : Tactiques plus générales
Quel que soit le type de négociation, les résultats sont meilleurs si on adopte les trois
tactiques suivantes : le cadrage, les évolutions de processus et l’évaluation permanente.
Ces tactiques peuvent être appliquées aussi bien autour qu’être appliquées aussi bien
autour qu’distance de la table de négociations.
1. Le cadrage
L’évaluation est donc un autre élément important du processus et devrait faire partie de
votre tactique. Régulièrement, il faut prendre un peu de recul par rapport aux
négociations et se demander comment ça se passe ? Les négociations prennent-elles une
direction qui servira au final mes objectifs ? Jouent-ils mon jeu ou est-ce moi qui joue
le leur ?...
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CHAPITRE 4 : ELEMENTS CLES D’UNE NEGOCIATION REUSSIE
2. Ecouter attentivement :
- Les besoins psychologiques de votre interlocuteur ;
- Les aspirations de l’interlocuteur (ce qu’il souhaite obtenir) ;
- La façon de parvenir à un accord.
Ceci avant que ne s’installent des « jeux » et des échanges toxiques qui ne peuvent que :
Pour :
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- la préparation de la négociation (Qu’est-ce que je veux atteindre à l’issue de la
négociation ? Pourquoi ce résultat ?) ;
- la discussion du problème (Confrontation des arguments/maitrise de la
communication et du contenu des dossiers) ;
- la proposition de solutions (Pertinence des arguments/ capacité de convaincre) ;
- la négociation d’un compromis ;
- la finalisation d’un accord.
Il faut être conscient de cinq éléments qui paraissent nécessaires pour définir l’essence
et la dynamique de la négociation. Ces éléments, symbolisés par le sigle OCEAN, sont:
- l’Objet,
- le Contexte,
- les Enjeux,
- les Asymétries de pouvoir (ou Rapports de force),
- les Négociateurs (Rôle et comportement des acteurs).
- La distance hiérarchique,
- Le contrôle de l’incertitude,
- L’individualisme et le collectivisme,
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- La dimension masculine/féminine,
- L’orientation court terme/long terme,
- L’indulgence et la restriction.
En définitive, la manière d’appréhender les conflits et de les résoudre sont aussi variées
que sont les peuples et les cultures. A cet effet, le constat suivant est fait en ce qui
concerne les pratiques selon les pays :
Un des thèmes fréquemment utilisés dans ce domaine est le lien qui existe entre la culture
d’origine des individus et leur orientation plutôt coopérative ou compétitive dans la
négociation. Ces deux dimensions appelées ‘‘intégrative’’ et ‘‘distributive’’ sont l’essence
même de ce qui constitue une ‘‘vraie’’ négociation dans laquelle des éléments de
coopération (la nécessité de trouver un accord) et des éléments conflictuels (défense des
intérêts personnels) sont mélangés.
La plupart d’entre eux préviennent d’une même erreur : se focaliser sur l’évident au
point d’en oublier l’essentiel. En voici un exemple simple : il est évident que le
négociateur doit parler, s’exprimer pour convaincre. Mais, le négociateur qui vire au
moulin à paroles est sûr d’échouer.
1. La surenchère irrationnelle
Elle consiste à dépasser le seuil fixé et à poursuivre les enchères au-delà de ce que
recommanderait l’analyse rationnelle. Cela peut s’appeler « « l’engagement excessif ».
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2. Les partis pris
Un parti pris est un phénomène psychologique par lequel les individus perçoivent la
réalité avec partialité pou subjectivité. Les négociateurs performants savent comment
prendre du recul par rapport à une situation et la regarder objectivement.
Le consensus est diffile à trouver quand une ou plusieurs parties ont des attentes qui ni
peuvent être comblées. En cas de divergences, il faut cherchez à adapter les attentes à la
réalité et aux données factuelles.
Trop de confiance peut conduire à l’échec. Cela encourage à surestimer les forces et à
sous-estimer celles des rivaux.
Il est néfaste que la colère, la haine, le ressentiment, dominent la négociation. Les parties
cessent de se focaliser sur leur propre intérêt logique et rationnel. Nuire à l’autre devient
l’objectif, même si cela va à l’encontre de vos intérêts.
On est alors face à une conversation cruciale : (1) les enjeux élevés, (2) les opinions
divergentes, et (3) les émotions fortes. Dans ce cas, la plupart des négociateurs perdent
leurs moyens, ne disent rien, s’expriment maladroitement ou explosent.
Les 7 règles d’or suivants permettent de maitriser les émotions et de tenir les
conversations cruciales :
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4). Maîtriser ses histoires
- Identifier des histoires,
- Eliminer les histoires de victime, de méchant et de nul.
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Bibliographie
Audebert, P (2005). Bien négocier. Éditions d’Organisation. 3e édition
Audebert, P. (1999). La négociation. Applications professionnelles. Paris :
Edition d’Organisation ;
Bellenger, L. (1984). La négociation. Paris : Presses Universitaires de France ;
Bercoff, M., A. (2009). L’art de négocier avec la méthode Harvard. Paris :
Eyroles ;
Crozier, M., (1987. L’acteur et le système. Paris : Seuil
Faure, G. et Rubin, J. (1993), Culture and negociation. Newbury Park, SAGE
Publications, Inc.
Delivre, FR. (2005). Le pouvoir de négocier. Paris: Dunod
Fisher, R., et Ury, W. (2005). Comment réussir une negotiation? Paris:
Nouveaux Horizons
Goguelin, P. L.G. (2005). Concept de negotiation.
https//www.cairn.info/revue-negociations-2005-1-page-149.htm
Harvard Business Essentiels (2010). L’essentiel pour négocier. Paris : Les Echos
Editions ;
Lewiski, R.J. & Litterer, J.A. (1993), Negociation. Boston IRWIN. 2e édition.
Saner, R. (2005). L’art de la négociation. Stratégie, Tactique, Compréhension,
Leadership. Chirou Editeur
Stern, P. (2010). La boîte à outil de la négociation. Paris: Dunod
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