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PROJET DE RECHERCHE
1. Justification du sujet

Globalement, pour plus de cinquante des pays les plus pauvres du monde, le
tourisme apparait au premier, deuxième ou troisième rang de leurs économies, et
constitue la seule activité industrielle a bénéficier d’une balance commerciale positive
avec de flux en provenance de des pays qui figurent parmi les premiers au palmarès
mondial des pays en développement, dont l’excédent au regard de ceux qui s’inscrivent
en sens inverse est de 66 millions des dollars « OMT, 2002 ». Le tourisme joue un rôle
important dans le développement économique et quant aux opportunités potentielles
d’atténuations de la pauvreté dans les pays en développement, en DC notamment. Le
tourisme a réaliser des moindres performances au regard de l’économie Congolais, dans
la mesure ou le tourisme aller devenir un secteur particulièrement important en RDC, et
ou l’éradication de la pauvreté rurale pouvait constituer une échéance importante pour
le pays, il s’avère crucial d’envisager dans quelle mesure les initiatives en faveur du
tourisme au service de la pauvreté peuvent aider a y réduire celle-ci en dynamisant
l’industrie touristique, dans les zones rurales plus particulièrement.

La présente recherche aborde sur le « défi de fonctionnement de service du

tourisme Bunia », les réseaux de tourisme national doit tendre la main pour créer des
nouveaux circuits qui incorporent les activités indigènes sur le marche national
qu’international. L’application d’une forme de justice environnementale devrait
empêcher l’écotourisme de menacer les peuples indigènes jusque dans leurs derniers
retranchements. Le fonctionnement d’un esprit de service requiert des soutiens
financiers et autres pour encourager la participation de personnes locales et pour
assurer la pérennité de leurs services, sans qu’ils constituent de dépendre de fonds
publics ou des dons.

2. Etat de la question

L’Etat de la question consiste a vérifier les résultats de la recherche antérieure,

ainsi que toutes documentations sur les théories qui pourraient des se rapporter au
thème sous l’étude d’une recherche scientifique est une œuvre collective, même si l’on
peut prendre qu’il doit des chercher. Chaque investigation dépend de l’étude antérieure
et sert de base aux études futures. Inedit cours de l’IRS enseigner par MUHIGI en G1
SPA 2016-2017.
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1. NGABU LOMAMI Bienvenu, la problématique du développement du

tourisme en Ituri, TFC en Histoire, ISP/Bunia, 2009.

Dans son travail de fin d’étude, il a parlé des différents concepts de tourisme, il a
également parlé sur les différents milieux touristiques ainsi que ses cadres naturels.

2. KAMBALE THAVALA, Histoire du tourisme dans le secteur de

Ruwenzori, TFC en Histoire, ISP/Bunia, 1997.

Dans son travail de fin d’étude, l’auteur a défini différents concepts relatifs au
tourisme, et a encore décrits les sites touristiques, dont les grottes de Mont HOYO, en
commençant par la définition ethnologique de ces sites, mais aussi a signaler la présence
des Pygmées avec ses différentes danses avec leur escalier venus dans la région de site
de Mont HOYO.

3. Patrick LE LOUARN, Analyse sur le problème de la conservation de

l’identité dans toutes ses composantes, culturelles, spirituelles, et matérielles
pose par le développement touristique.

Il a posé des questions concrètes aux communautés locales par la gestion

touristique du patrimoine tout en démontrant le choc des cultures que des labels
internationaux ne suffisent peut-être pas a protéger et peuvent parfois détruire le
patrimoine qui est comme base développement territorial. Et a ensuite fait la
confirmation de son approche pluridisciplinaire au sein des thèmes fédérateurs, ou il a
remarqué la place particulière des analyses juridiques qui, pour une fois, ne sont pas
comme opposées mais, tout au contraire intégrées comme des pièces essentielles de la
construction du projet. ou il a conclut en disant que le travail se présente alors comme
une œuvre de science politique « holiste » qui met en regard les analyses
ethnographiques, sociologiques, économiques, patrimoniales, et politiques en
permettant des rapprochements et des comparaisons dont se dégagent des constats
mondiaux.

4. Stan AYAGMA, schéma de développement touristique durable.

Cette démarche a intervenue alors que le PAG ( Parc Amazonien de Guyane ) créer
en 2007 et dont le territoire communal de Marie Pasoula fait partie. Par ailleurs, il a
dégager que le développement touristique implique une patrimonialisation, aux fins de
valoriser l’économie d’une partie de savoir, savoir-faire et biens culturels ou naturels
détenus par les différentes communautés présentes sur le territoire concerne. Il a fait la
présentation de la commune Marie Pasoula et de ses différentes communautés qui a été
créer a 1969 a partir d’un petit village dont la population était constituées des
orpailleurs d’où, les 3 objectifs qu’il s’était assignait au schéma de développement
touristique durable était :
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a. Participer au développement économique de la commune Marie

Pasoula ;
b. Contribuer a un aménagement harmonieux, équilibrer et durable de
cette commune ;
c. Améliorer l’attractivité et qualité de vie de cette commune.

5. Edgar FERNANDEZ, Aires protégées, protection du patrimoine

culturel et touristique alternatif au Costa Rica.

Il a démontrer que les Aires protégées, souvent pensées comme un outil de

protection et d’ouverture au public des espèces, des objets et des éléments naturels,
sont-elle un moyen utile de protection et d’ouverture au public des sites, des
constructions et des objets aux quels la présence ou l’intervention de l’homme leur a
conférer une valeur historique ou artistique de celui-ci, ou il a parler dans le cas
Costaricien qu’on trouve un lien aussi bien historique qu’actuel entre la création d’aires
protégées et la protection et l’ouverture au public des dits sites, constructions et objet
ayant une valeur historique ou artistique pour l’homme. A démontrer le choix des
catégories de gestion ou la protection du patrimoine culturel a travers l’outil des aires
protégées s’est effectuée dans un moment par le biais d’une catégorie des gestions qu’on
peut qualifier Sui generis a cause de l’absence d’une définition et d’un régime juridique
relatif, puis il a conclut a donnant la réponse a la question de savoir l’origine de la
création d’aires protégées sous la catégorie de « monuments nationaux » qui a été
donnée par un ancien fonctionnaire de la sous-direction des parcs nationaux de la
direction générale forestière du ministère de l’agriculture et de l’élevage.

6. Nathalie LAHAYE, La Participation comme outil de structuration de

l’offre ecotouristique.

Prise en compte et réponse aux besoins des communautés hôtes est un des quatre
méta principes structurant de l’écotourisme, au cote de la valorisation de la
conservation de l’environnement, la contribution équitable au développement
économique et la génération d’une expérience touristique nouvelle, authentique et
responsable. Il est aujourd’hui largement admis ( OMT, 2002 ; somment mondial de
l’écotourisme de 2002 ) que, pour atteindre ces objectifs de bien-être économique et
social, il est nécessaire d’impliquer les communautés hôtes, dans la planification, le
développement et l’exploitation des activités économiques, ou elle a soulignée que, pour
être bénéficiaire a part entière d’un projet ecotouristique, il est essentiel de faire
connaitre ses intérêts, ses droits et ses valeurs. Sa conclusion est tirée sur une démarche
participative pour encadrer un projet ecotouristique, ou plus largement un projet de
développement durable local, constitue un objectif ambitieux dont la réalisation est
parfois délicate.
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7. Brahim EL FASSKAOUI, la Mise en tourisme du patrimoine

architectural en terre dans le Sud-est Marocain.

Le Maroc comme les autres pays en voie de développement, a fait du tourisme

l’une des propriétés de son économie. Par sa situation géographique, entre la
méditerranée et l’océan atlantique, la diversité des ses paysages et par son histoire, le
Maroc est un pays de rencontre et de métissage culturel. Les civilisations autochtones
(berbère), occidentales, orientales, et africaines se sont mélangées pour donner du
Maroc culture particulière. Le Maroc est aussi un pays riche en paysage naturel et fort
d’une culture rurale très variée, reproduisant la diversité des composantes socio-
ethnique. Il a décrit les populations du Sud-est, qu’il évoque qu’elles sont des
sédentaires, nomades ou semi-nomades, ont ainsi développes des institutions locales
adaptées aux variétés des milieux. Ou, la maitrise des territoires aussi vastes et la
protection de leur intégralité ne pouvaient se faire que par des organisations socio-
ethniques particulières dont ces entités humaines relativement homogènes,
symboliquement ou par nécessite, sont construites selon le mode de vie choisit par
chacune d’elles. Il a encore parlé sur le model de la construction en terre dont le ksar et
la kasbah qui a été conçu pour faire face aux rigueurs climatiques et a des conditions
historiques mouvementées les communautés oasiennes et montagnardes ont veilles a la
création d’un habitat adapter aux conditions physiques et humaines. Pour le patrimoine
architectural traditionnel, le ksar est le fait du flux et de reflux de civilisations succédées
tout au long de l’histoire du Sud-est Marocain, il est aussi le fait de plusieurs essais
d’adaptation aux conditions bioclimatiques car, cela désigne un ensemble des maisons
en terre entassées et accolées les unes des autres pour former un habitat compact
souvent entourer d’un mur d’enceinte et jalonner de tours de guets. Il conclut en
soulignant sur le paysage architectural du Sud-est Marocain est aujourd’hui bouleverser
par des constructions individuelles non contrôlées qui ce n’est qu’après le
développement du territoire du désert que les autorités ont commencées a s’en rendre
compte et a réagir.

3. Problématique

La problématique se définit étant l’ensemble des questions principales que les

chercheurs se posent a propos de l’étude au regard de la situation qu’il veut observer,
décrire et expliquer. Cours d’IRS dispenser par MUHIGI à l’UNIBU à G1/Spa en 2016.

Selon LANATIR, « l’Afrique doit mieux étudier et définir son produit touristique,
améliorer et assurer un meilleur contrôle de prix des différents éléments qui constituent
le produit touristique ».

Le tourisme n’est pas base aujourd’hui sur des simples actes de curiosités
informelles, mais se structure de plus en plus au niveau international. Des services
spécialiser leur sont consacres et ses produits entre parmi les besoins courants de
l’homme et il contribue forte recettes de tourisme pour renforcer leur budget national.
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Les sites touristiques que nous retrouvons dans la ville de Bunia, les hôtelleries et
restaurations promeuvent les recettes de la ville. La préoccupation pouvant nous
permettre d’aborder ce sujet des recherche sont les suivantes :
1. Quels sont les défis et enjeux immédiats pour le service du tourisme
Bunia ?
2. Comment est la croissance de la ville de Bunia sur le plan touristique
durant notre période d’étude ?
3. Quels sont les mécanismes et les dispositions nécessaires a prendre pour
relever les défis de son fonctionnement ?

Nous tenterons de répondre à ces questions selon notre compréhension dans les
lignes qui suivent.

4. Hypothèse

L’Hypothèse désigne une proportion relative à l’explication des phénomènes

naturels et qui doit être vérifié par les faits. Une hypothèse se définit comme une
supposition destinée à expliquer ou à pourvoir des faits. Par rapport à la problématique,
elle est alors une réponse directe à l’interrogation principale que traduit la partie de
l’introduction.

De LANDSHEERE l’a définit comme une affirmation provisoire. Elle est donc une
tentative d’explication d’un questionnement a un problème.

Respectivement à ces questions susmentionnées, nous tenterons de répondre de la

manière suivante :

- Les sites touristiques dans la ville de Bunia sont nombreux mais qui ne sont
abondamment visites dont-il se manque la bonne volonté de ses operateurs en matière
de son infrastructure pour être beaucoup plus visites ;

- La ville de Bunia sur le plan touristique il semblerait qu’il évolue normalement

durant notre période d’étude dans le sens que cette dernière est devenue beaucoup plus
influente des lorsqu’elle devenue chef-lieu de la province de l’Ituri avec ses innovations
d’après son changement.

5. Objectif de la recherche

a. Objectif général

L’objectif de la recherche est de développer le model de la gestion touristique

intégrer susceptible de permettre au tourisme de mettre en lumière le paramètre de
défis de fonctionnement au sein de l’économie locale, en plaçant l’accent sur le service
du tourisme Bunia.
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b. Objectif spécifique

Les objectifs spécifiques sont multiples qui sont :

- Les objectifs civiques et pédagogiques ;

- Les objectifs culturels et touristiques ;
- Les objectifs économiques et commerciaux ;
- La compréhension de la nature du niveau actuel des connaissances relatives au
tourisme quant aux défis de son fonctionnement en ville de Bunia ;
- Identification des relations (potentialités et contraintes) entre le tourisme et
écotourisme local à Bunia ;
- L’analyse de l’apporter de paramètres afférents aux acteurs clés (rôles et
interactions), facilitateurs aussi bien que contraignants (potentialités et limites),
dans l’utilisation de tourisme comme défis à relever en ville de Bunia.
- Donner a la science une référence aux futures chercheurs qui constituent une
base théorique et une ouverture a la recherche;
- Donner a l’Etat une référence qui est appeler a contrôler les différentes
évolutions que passent dans ses secteurs.

6. Méthodologie

La réalisation d’un travail scientifique exige l’emploie d’une méthodologie et des

techniques. Pour mener notre étude, nous allons faire recours à la méthodologie qui
nous est importante. Donc, les méthodes et techniques utilisées pour nous permettre de
vérifier l’hypothèse de notre recherche est par conséquent atteindre les objectifs
poursuivis dans le présent travail.

6.1. Méthodes utilisées

La méthode est une démarche arrêtée par le chercheur comme procède, enfin
d’atteindre dans la meilleure condition de l’objectif visé.

Selon Madeleine GRAWITZ, la méthode s’attend comme un ensemble d’opération

intellectuelles par l’entremises des quels une discipline cherche à atteindre les vérités
qu’elle poursuit, les démontrent et les vérifient.

Ainsi, pour bien élaborer notre travail, nous allons utiliser les méthodes suivantes :

- Méthode historique : elle a consisté à rassembler les documents sur le

passer du tourisme de la ville de Bunia. Ces documents ont étés critiquées,
confrontées, analysées, et enfin synthétisées.
- Méthode fonctionnelle : elle a consisté à dégager l’attention du tourisme
dans le milieu, comme il opère de ce milieu et dégager sur le terrain par enquête
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et descente sur le terrain, les traces palpables sur terrain, des réalisations liées au
tourisme.

6.2. Techniques utilisées

La technique est un outil mis a la disposition du chercheur pour récolter les

données d’un travail scientifique. Ainsi, pour récolter nos données, nous avons fait
recours a des techniques suivantes :

- Technique documentaire : cette technique permet a l’enquêteur de

recenser tous les documents pour l’aider a la réalisation harmonieuse de son
travail. Elle nous a permis d’exploiter des différents documents relatifs a notre
sujet, notamment : les ouvrages, les renseignements pour la réalisation de ce
travail ;
- Technique d’interview libre : dont c’est une technique de la recherche
scientifique utilisant un processus de communication verbale pour recueillir les
informations. Cette technique a favorisé le dialogue avec les personnes
enquêtées.

7. Plan détaillé

Notre travail concerne l’étude sur le défi de fonctionnement de service du tourisme

Bunia, nous avons préférer mener cette étude d’une période allant de 2015-2018. Sur le
plan temporel, est comme notre lieu de recherche, nous avons choisit la ville de Bunia en
province de l’Ituri.

8. Subdivision du travail

Outre l’introduction et la conclusion, notre travail est subdivisé en trois chapitres.

Dont: le premier parlera sur la considération générale dans le cadre théorique du travail,
le deuxième traitera sur l’évolution du tourisme Iturien et le troisième prônera sur
l’étude de service du tourisme Bunia et son champs d’action.
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9. BIBLIOGRAPHIE

1. A.M. D’AUTERESERRE, L’ECOTOURISME UN NOUVEAU DEFI, EDITION CARAIBE,

2001,
2. J.M. BRETON, PATRIMOINE CULTUREL, TOURISME, ENVIRONNEMENT ET
DEVELOPPEMENT DURABLE, EDITION KARHATALA 22-24, PARIS, 2010,
3. S. PREUIL, MISE EN TOURISME DES TRADITIONS, EDITION KAYAN, MAE HONG
SON,