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Control-1-2016-2017

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Année scolaire : 2016-2017

1er Semestre
DUREE DATE CLASSES
Matière : SCIENCES PHYSIQUES 2h 04/11/2016 4ème Math
Professeurs : Mrs : AMMAR . M – ABDELMOULA . R – CHEFFI . A – KASSIS . M – BOUSSARSAR . H

CHIMIE (7 points)

Exercice n°1 ( 3,75 pts)


Le dibrome peut être synthétisé au laboratoire en faisant réagir des solutions aqueuses de bromate de
sodium (NaBrO3) et de bromure de sodium (NaBr).La réaction supposée totale est symbolisée par l’équation
suivante : BrO-3 + 5 Br - + 6 H3O+   3 Br2 (aq)+ 9 H2O
A une température θ et à volume constant on réalise une première expérience à partir des concentrations
initiales suivantes :
[BrO 3 ]0 = 1,0.10-3 mol.L-1 ;

[Br ]0 = 1,4.10-1 mol.L-1 ;
[H3O+]0 = 1,0.10-1 mol.L-1.
L’évolution de la concentration de Br2 en fonction du temps est représentée sur la figure-1- de la feuille annexe.

1°)a- Dresser le tableau d’évolution du système chimique en utilisant l’avancement volumique y.


b- Déterminer le réactif limitant.
c- Calculer à la fin de la réaction les concentrations des entités chimiques intervenant dans la réaction
autres que l’eau.
2°) Déterminer la vitesse volumique de la réaction à la date t1 = 3,25.103 s notée vV1. (On expliquera
la démarche suivie).
3°) Définir et déterminer le temps de demi-réaction.
4°) On réalise une autre expérience avec les mêmes conditions de concentrations initiales que la première
expérience mais à une température θ’ supérieure à θ ; on trace la nouvelle courbe [Br2] = f(t). On
déterminera par la suite la vitesse volumique de la réaction à la date t1 = 3,25.103 s on constate que la
nouvelle vitesse notée vV2 est inférieure à v V1.
a- Tracer sur la figure-1- de l’annexe l’allure de la courbe de l’évolution de la concentration de Br2 en
fonction du temps à la température θ’.
b- Justifier que ce résultat n’est pas en contradiction avec l’effet de l’augmentation de la température
comme facteur cinétique.
Exercice n°2 ( 3,25 pts)
On étudie la réaction de dismutation de l'ion thiosulfate S2O2- 3 en milieu acide.
Cette réaction lente et totale est symbolisée par l'équation :
S2O2-
3 + 2H3O
+
 SO2 + S(sd) + 3H2O
A un instant de date t=0 et à une température constante , On réalise le mélange (M) formé :
d'un volume V1= 10mL d'une solution (S1) de thiosulfate de sodium (2Na+ + S2O2- 3 ) de concentration

molaire C1 inconnue.
d'un volume V2= 40mL d'une solution (S2) d'acide chlorhydrique (H3O+ + Cℓ-) de concentration
molaire C2 inconnue.
Des mesures pH métriques ont permis un suivi expérimental de l'évolution de la quantité de matière
de l'ion hydronium H3O+ comme le montre la figure-2- de la feuille annexe.
1°) Dresser le tableau d'évolution du système.
2°) a-Déterminer la vitesse moyenne Vm(t1,t2) de la réaction entre les instants de dates t1=5min et t2=15min.
b- Définir la vitesse instantanée d’une réaction à un instant de date t1.
c- Déterminer la date t3 à laquelle la valeur de la vitesse instantanée de la réaction est égale à la moitié
de sa valeur maximale.
3°) a- Déterminer la concentration molaire C2 de la solution (S2).
b- Sachant qu'à l’instant de date t2=15min, la quantité de matière du thiosulfate S2O2- 3 présente dans le

système est n ( S2O2- -4


3 ) = 7.10 mol. Déterminer la concentration C1 de la solution (S1).

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PHYSIQUE (13 points)
Exercice n°: 1 (8,5 pts) 1 2
K
Le circuit de la figure ci-contre comporte deux résistors de
N
résistances R et R’, un condensateur de capacité C et un i
commutateur K. L’ensemble est alimenté par un générateur
idéal de tension de fem E. uR’ R’
E
Les valeurs de E, R et C sont réglables. uR R
I/ À un instant choisi comme origine des temps (t = 0), P
uC C
on place le commutateur K sur la position 1.
On réalise une première expérience (Expérience A) M
pour laquelle on prendra :
C = C0 = 5 µF ; E = E0 et R = R0
q(µC)
L’évolution au cours du temps de la charge q de l'armature P (T)
du condensateur est donnée par la courbe de la figure ci-contre
((T) est la tangente à cette courbe à l'instant t = 0).

1°) Calculer en régime permanent la tension UC aux bornes du


condensateur.
2°) a- Montrer que l’équation différentielle vérifiée par
dq
la charge q s’écrit : R 0C0 .  q  C0E0
dt
b- En déduire la valeur numérique de E0. Justifier la réponse 10
3°)a- Déterminer l’expression de l'intensité i0 du courant
à t = 0 en fonction de E0 et de R0. t(s)
b- Déterminer graphiquement la valeur numérique de i0. 0 0,1
En déduire la valeur numérique de R0.
q(µC)
c- Expliquer à l'aide du graphique, l'évolution de l’intensité i du courant en fonction du temps.
d- Définir la constante de temps d’un dipôle (RC).
Déterminer sa valeur tout en indiquant la méthode utilisée.
4°) Déterminer, à partir de la courbe, les valeurs numérique de uC0 et i à l'instant de date t1 = 8.10-2s.
5°) On réalise trois autres expériences en modifiant l’un des paramètres (E, R ou C) comme l’indique le
tableau suivant :

E (V) R ( kΩ) C (µF)


Expérience A E0 R0 C0
Expérience B 20 R0 C0
Expérience C E0 5 10 C0
Expérience D E0 R0 2,5 t(s)
Attribuer, en justifiant votre choix, chacune des courbes (I), (II), et (III) à l’expérience
0 0,1 correspondante.

i(mA) i(mA) i(mA)

0,5 1 1

t(ms) t(ms) t(ms)


0 25 0 25 0 50

(I) (II) (III)

II/ Lorsque le régime permanent s’établit dans l’expérience A, on bascule le commutateur K à la position 2
à un instant choisi comme nouvelle origine des temps, un oscilloscope à mémoire permet d’enregistrer :
sur la voie 1, la tension uC (t) aux bornes du condensateur.
sur la voie 2, la tension uR’ (t) aux bornes du résistor de résistance R’.
1°) Indiquer sur un schéma clair, comment doit-on relier les points M, N, et P à l’oscilloscope ?

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R
2°) Montrer qu’à t = 0 (début de la décharge), la tension (uR )0 = - E .
R+R'
duR uR
3°)a- Montrer que l’équation différentielle en uR s’écrit : + = 0.
dt (R+R').C
t
b- L’équation différentielle en uR admet une solution de la forme : uR  A. e  .
Déterminer alors les expressions littérales de A et de τ.
c- En déduire les expressions de uC et de uR' en fonction du temps.
'
4°) Déterminer R sachant qu’à t = 0, ( uR )0 = - 4 V.
5°) Représenter sur la figure 3 de la feuille annexe les tensions uC et uR' de l’oscillogramme observé sur
l’écran de l’oscilloscope selon les réglages ci-dessous:
Sensibilité horizontale : 0,1s/div
Voie 1 : 5 V/div
Voie 2 : 2 V/div

Exercice n° 2 : (4,5 pts)


I/Pour déterminer la capacité d'un condensateur, on réalise le montage électrique de la figure 4.

Figure 4
K1

K2
I
E

R R C

Le générateur de courant délivre un courant d’intensité I constante. Pour des instants de dates
différentes on mesure la tension uC entre les bornes du condensateur puis on détermine l’énergie Ec
emmagasinée par le condensateur ce qui permet de tracer la courbe ci-dessus de Ec=f(t2).

1°) a- Montrer que EC=k.t2 où k est une constante que l’on exprimera en fonction de I et C.
b- Calculer k à partir de la courbe.
2°) La tension de service du condensateur est U1= 63V.
a- Que représente cette valeur pour le condensateur ?
b- Sachant que la durée de la charge du condensateur permettant d’atteindre U1 est de 126,5s,
déterminer les valeurs de la capacité Cexp de ce condensateur et de l’intensité du courant I.
c- La valeur indiquée par le constructeur est C = 1000 µF à 10% près. La valeur de Cexp est-t-elle
dans les normes ?
d- Calculer la tension de claquage du condensateur.
II/
On réalise un montage constitué du condensateur de capacité C=1000µF, d’un résistor de résistance R
et d’un générateur GBF délivrant une tension créneau prenant la valeur E= 4V pendant la première
demi -période et 0 pendant l’autre moitié. A l’aide d’un oscilloscope, on observe la tension uC(t) aux
bornes du condensateur ce qui nous permet de tracer la courbe de l’énergie emmagasinée dans le
condensateur pendant une période.
1°) La courbe observée sur l’oscilloscope permet de confirmer les expressions suivantes de la tension
uC(t) aux bornes du condensateur pendant la charge et la décharge. (L’origine des dates est prise
au début de chaque phénomène)
t

Pendant la charge : uC (t)  E.(1  e RC
).
t

Pendant la décharge : uC (t)  E.e RC
.

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a-Déterminer les expressions de l’énergie emmagasinée Ec(t) par ce condensateur pendant une
période.
Ecmax
b- Calculer les dates pour les quelles Ec= .
2
2°) a- A partir de la courbe Ec(t), déterminer l’échelle relative à l’axe des ordonnées
b- On donne la tangente à la courbe de Ec(t) juste au début de la décharge :
Trouver l’expression théorique de son coefficient directeur. Le calculer.
Déduire la valeur de R.

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FEUILLE ANNEXE (A remettre avec la copie)

Nom et Prénom : ………….…………………………………………………. Classe : 4ème Math ……..

FIGURE 1 FIGURE 2

FIGURE 3

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Correction du DC1 (2016)- 4Sc
Exercice1 ( 5 pts)
1) a- BrO3– + 5 Br – + 6 H3O+  3 Br2(aq) + 9 H2O
à t=0 [ BrO3–]0
[][][] [Br –]0 [H3O+]0 0 ------
– –
à t > 0 [ BrO3 ]0 – y [Br ]0 – 5y [H3O+]0 – 6y 3y ------
avec [ BrO3 ]0 = 1,0.10 mol.L ; [Br ]0 = 1,4.10 mol.L ; [H3O+]0 = 1,0.10–1 mol.L–1.
– –3 –1 – –1 –1

b- A la fin de la réaction totale (yf = ym) :


yf = 10–3 mol.L–1 ou yf = 0,14/5 = 28.10–3 mol.L–1 ou yf = 0,1/6 = 16,7.10–3 mol.L–1
Donc : yf = 10–3 mol.L–1 . BrO3– est le réactif limitant.
c- [ BrO3–]f = 0 [Br –]f = 135.10–3 mol.L–1
+ –3
[H3O ]f = 94.10 mol.L –1 [Br2]f = 3.10–3 mol.L–1
1 d Br2  1 Br2 A  Br2 B
2) A t1 = 3,25.103 s : vV1 = dy/dt = =
3 dt 3 t A  tB
2,5  1,6
vV1 = .10–6 = 9,23.10–8 mol.L–1.s–1
3(3,25  0)
3) Le temps de demi-réaction est le temps au bout duquel
l’avancement atteint la moitié de sa valeur finale.
A t1/2 : y = yf /2 = 0,5.10–3mol.L–1
[Br2] = 3y =1,5.10–3mol.L–1.
On lit sur la courbe : t1/2 = 1,25.103 s.
4) [ BrO3–]0 = 1,0.10–3 mol.L–1 pour les 3 expériences.
a- vA < vB car [Br –]0A < [Br –]0B et même [H3O+ ]0
vC > vB car [H3O+ ]0A > [H3O+ ]0B et même [Br –]0
b- yf ne change pas car BrO3– reste le
réactif limitant : yf = 10–3 mol.L–1. Expériences [Br –]0 (mol.L–1) [H3O+ ]0 (mol.L–1) vV0(mol.L–1.s–1)
Pour l’expérience A, on a diminué A 0,10 0,10 4,1.10–7

[Br ]0 mais il reste en excès : B 0,15 0,10 8,2.10–7
– – –3
[Br ]f = [Br ]0 – 5yf = 95.10 mol.L –1
C 0,15 0,20 24,6.10–7
5) a- A θ’ > θ, la réaction devient plus
rapide: on arrive plus vite à la fin de la réaction.
b- A t1 = 3,25.103 s : vV2 < vV1 car plus on s’approche de la fin de la réaction, plus la vitesse diminue.
Puisque, à θ’, la fin de la réaction est atteinte plus vite, alors vV2 < vV1 (vV2 peut être nulle à t1).

Exercice2 ( 4 pts) 1) S2O32– + 2 H3O+  SO2 + S + 3 H2O


à t=0 C1V1 C2V2 0 0 -------
à t>0 C1V1– x C2V2 – 2x x x -------
2) Courbe n(H3O+) = f(t)
Δx Δn(H3O+ )
a- Entre t1=300s et t2=900s : vm = =–½
Δt Δt
n2 - n1 0,2 - 0,9
vm = – ½ =–½ 10–3 = 5,83.10–7mol.s–1
t 2 - t1 900 - 300
dx
b- à t1 : v = (dérivée de l’avancement à t1)
dt
dn dn
c- v3 = ½ vmax  – ½ = ½ (– ½ a) = a/2
dt dt
avec a = coefficient directeur de la tangente à t = 0, et
dn
= coefficient directeur de la tangente à t3.
dt
2 dn 1
a= mmol.s–1 = mmol.s–1.
392 dt 392
On représente la droite AB de coefficient directeur (a/2), puis la parallèle à AB et tangente à la
courbe. Cette tangente coupe la courbe à t3 = 300s (environ).
3) a- n0(H3O+) = C2V2 C2 = n0(H3O+) / V2 = 2/40 C2 = 5.10–2 mol.L–1.
b- à t2 =15min : n(H3O+) = C2V2 – 2x = 0,2 mmol  x = (2 – 0,2)/2 = 0,9 mmol.
n(S2O32–) = C1V1– x = 7.10–4 mol  C1V1 = 1,6.10–3 mol C1 =1,6/10 C1 = 16.10–2 mol.L–1.
c- A la fin de la réaction : xf = C1V1 = 1,6 mmol ou xf = C2V2/2 = 1 mmol.
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D’où : xf = 1 mmol et H3O+ est le réactif limitant.
d- A tf = 33min = 1980 s, on a nf(H3O+) = 0.

PHYSIQUE
Exercice 1 : ( 7 pts)

I/ Expérience A : C = C0 = 5 µF
q
1) En régime permanent : q = 50 CuC = = 10 V.
C
dq q dq
2) a- Loi des mailles : uR + uC = ER + = ERC + q = CE
dt C dt
b- En régime permanent : uR = 0uC = E. D’où : E0 = 10V.

E0
3) a- A t = 0 : uC = 0uR = Ei0 =
R0
dq
b- i0 = ( )0 = coefficient directeur de (T)
dt
y 50.10 6
i0 = A = = 10–3 A.
xA 0,05
E0 E
i0 = R0 = 0 = 10 4   R0 = 10 k
R0 i0
dq
c- i = = coefficient directeur de la tangente à la courbe q(t).
dt
D’après le graphique, la tangente s’approche de plus en plus
de l’horizontale au cours du temps. Donc son coefficient directeur diminue. D’où i diminue.
Ou bien : q(t) croissante uC croissante  uR = E – uC est décroissante i(t) décroissante.
d- La constante de temps d’un dipôle (RC) est une caractéristique de ce dipôle qui nous renseigne sur
la durée de la charge et de la décharge.
C’est le temps au bout duquel le condensateur se charge (ou se décharge) à 63%.
La tangente à t = 0 coupe l’asymptote au point A d’abscisse = 0,05s = 50 ms.
Ou bien :  = R0 C0 = 10.103. 5.10–6 = 5.10–2s.
4) Courbe (I) : = 25 ms et i0 = 1mA. E (V) R ( kΩ) C (µF)
Expérience A E0 R0 C0
Courbe (II) : = 25 ms et i0 = 2mA. Expérience B 20 R0 C0
Courbe (III) : = 50 ms et i0 = 2mA. Expérience C E0 5 C0
Expérience D E0 R0 2,5
E 20
Exp B :  = R0 C0 = 50ms et i0 = = = 2mA. C’est la courbe (III).
R 104
E 10
Exp C :  = R C0 = 25ms et i0 = = = 2mA. C’est la courbe (II).
R 5.103
E 10
Exp D :  = R0 C = 25ms et i0 = = = 1mA. C’est la courbe (I).
R 104
II/ 1) uC = uPM et uR’ = uMN. Donc la borne commune M doit être liée à la
masse de l’oscilloscope.
On lie P à la voie 1 et N à la voie 2 (en tirant le bouton invert).
2) Loi des mailles : uR + uR’ +uC = 0 (R + R’) i +uC = 0.
E RE
A t = 0 : uC0 = E i0 = – uR0 = R’ i0 = –
R  R' R  R'
1 di 1
3) a- (R + R’) i + q = 0. On derive : (R + R’) + i = 0 
C dt C
du 1 du 1
(R + R’) R + uR = 0  R + uR = 0 (1)
dt C dt (R  R') C
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b- uR = A e–t/
RE RE
 A t = 0 : uR0 = – A = –
R  R' R  R'
duR 1 1 du 1
 = – A e–t/ = – uR  R +
dt   dt  uR = 0 (2)
(1) et (2) sont identiques  = (R + R’) C
RE
Conclusion : uR = – e–t/
R  R'
u
c- uC = – (R + R’) i = – (R + R’) R uC = E e–t/
R
u R' E –t/
uR’ = R’ i = R’ R uR’ = – e
R R  R'
RE RE 10 4 x10
4) uR0 = – R’ = – –R= – 104 R’ = 15 k.
R  R' uR0 4

Exercice 2 : ( 4 pts)
1 2 I2 2
I/ 1) a- EC = ½ C uC2 = q avec q =  i.dt = I t  EC = t
2C 2C
I2
D’où : k =
2C
b- k est le coefficient directeur de la droite :
4
k= 3
= 1,25.10–4 USI
32.10
2) a- La tension de service du condensateur est la tension avec laquelle il fonctionne normalement (durée
de vie plus grande).
b- A t =126,5s ,on a : uC = U1= 63V.
I I2 2k 2
uC = t uC2 = 2 t2 avec I2 = 2kC uC2 = t
C C C
2k 2x1,25.104
D’où : C = 2 t2 = 2
x126,52  Cexp = 1,008.10–3 F
uC 63
C uC 63 x1,008.10 3
I= = = 5,02.10–4A.
t 126,5
c- C = 1000 µF à 10% près 900 µF< C < 1100 µF.
Cexp = 1008 µF. Donc cette valeur est dans l’intervalle indiquée par le constructeur.
d- Pour la tension de claquage : t2 = 40.103 s2 t = 200 s.
I 5,02.104
uC(claq) =
t = x200 = 99,6 V
C 1,008.103
II/ 1) Pendant la charge : uC = E (1– e –t/RC)  EC = ½ C E2 (1– e –t/RC)2
Pendant la décharge : uC = E e –t/RC  EC = ½ C E2 e –2t/RC
2) a- ECm = ½ C E2 = ½ .10–3x42 = 8.10–3J.
4 divisions  8.10–3J
1 division  2.10–3J
dEC 2 E2
b- a = ( )0 = (– ½ C E2 e –2t/RC)0 = –
dt RC R
3
8.10  0
a= = – 8.10–3J.s–1.
12  13
E2 E2 42
a=– R = – = R = 2 k.
R a 8.103

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