les cours 4 5 6
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Ce contexte nous donne deux camps bien distincts : ceux qui veulent la
paix après la « der des ders », la pacifistes, et ceux qui se mobilisent pour
la révolution de Lénine, bolchevique. Ce qui donne deux parties : les
pacifistes et les nationalistes.
Le communisme est un contexte qui s’apparait après la première guerre
comme un système qui peut remplacer la démocratie puisqu’il est plus
équitable en faveur de peuple : la révolution russe est considérée comme
action et mouvement séduit l’intellectuel qui croit désormais à l’acte, à
l’engagement plus que l’écriture ; cette dernière doit être au service du
premier (l’engagement), l’homme de l’action fascine l’intellectuel ;
l’homme de l’action signifie le révolte.
L’engagement dans une action, un mouvement, un parti politique, être de
droite ou de gauche est la nouvelle tendance attirant l’intellectuel.
Être de gauche : C’est le fait d’etre socialiste un modèle social et
politique qui amène l’égalité sociale) ou communiste (opter pour la
révolution)
Être de droite : se positionner contre les idées du communisme et
contre l’internationalisme qui détruit l’unité du pays et de la nation.
La terreur de la guerre montre les capacités horribles de l’homme : il tue et
massacre sans raison l’autrui. Un constat mettant en cause l’héritage culturel de
toute la civilisation européenne et souligne sa décadence et sa profonde crise.
BILAN :
l’intellectuel est influencé par l’idéologie politique, il prend une position
dans le monde politique.
La guerre a mis en question l’héritage et la civilisation européenne et
surtout l’Homme.
Paris (lieu de la modernité) est une capitale qui attire les artistes du
monde entier (surtout européens) ; une capitale accueillant la folie américaine et
apte à l’américanisation avec une « touche » française : le jazz
Des formes artistiques et littéraires modernes : (cours prochains)
+ la modernité dans les arts est surtout perceptible dans les mouvement
du Dadaïsme et du Surréalisme (peinture et poésie)
+ André Gide, Marcel Proust, Céline, Duhamel, Malraux, Mauriac,
Bernanos, Colette, Giono, Saint-Exupéry, … (roman)
+ Giraudoux, Anouilh, … (Théâtre)
Cours 5
Entre les deux guerres : Littératures et arts
Le surréalisme
Les deux principes du surréalisme
Les dégâts humains de la Grande Guerre ont suscité la colère chez
les jeunes intellectuels qui exprimaient une volonté de faire une
rupture avec le mode de pensée menant aux conséquences
désastreuses de la guerre : la raison, la logique, la conscience,
l’ordre sont désormais des notions à abandonner.
Faire toujours confiance à la raison et l’ordre n’est plus possible, il
faut libérer l’être humain de ses chaines et ses aliénations.
COURS 5
Entre les deux guerres : Littératures et arts
La poésie entre les deux guerres, autres expériences que celle des
surréalistes.
En parallèle avec l’expérience des surréalistes, d’autres poètes choisissent
d’autres voies : parfois en convergences avec les surréalistes, et parfois en grande
divergence avec eux. Chaque poète forge un univers propre à lui. Le rapport de
ces poètes avec la psychanalyse, était différent de celui des surréalistes : une
exploration de l’intérieur pour saisir le conflit entre le désir et l’interdit, mais pas
comme une source de joie (comme le fait les surréalistes) .
La plupart de ces poètes considèrent la poésie comme moyen d’une quête
spirituelle, la poésie donne, à travers l’écriture, « une image de l’au-delà » . Parmi
ces poètes Jean Cocteau, Pierre Reverdy, Pierre Jean Jouve, Joë Bousquet