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La valeur instrumentale de la biodiversité a été la pierre angulaire de débats importants sur sa perte, qui, sans aucun doute, aura un impact négatif sur notre environnement en réduisant ou en supprimant les services écosystémiques que la... more
La valeur instrumentale de la biodiversité a été la pierre angulaire de débats importants sur sa perte, qui, sans aucun doute, aura un impact négatif sur notre environnement en réduisant ou en supprimant les services écosystémiques que la plupart d'entre nous apprécient, à tel point que notre bien-être en dépend. Néanmoins, tous les êtres vivants sur cette planète ont été soumis à un assaut sans précédent de la part de l'humanité. L'assaut est à la fois direct et indirect. Direct parce que nous poussons les espèces vulnérables au seuil de l'extinction en les chassant et en les surexploitant. Indirect car certaines de nos activités entraînent des changements climatiques, affectant ainsi la flore et la faune terrestres et marines. Et cela dure depuis des siècles – du moins depuis le début de la révolution industrielle. À notre désir insatiable de modifier continuellement l'environnement, s'ajoute la croissance démographique, qui a été un catalyseur dans la dégradation de l'environnement car plus de personnes signifient plus de nourriture, donc plus de terres à usage agricole et plus de terres nécessaires pour l'hébergement et la construction de villes. Le siècle dernier a été marqué par l’augmentation de la taille de la population et les capacités technologiques de notre espèce, deux facteurs qui accélèrent l’extinction d’autres espèces. Cela a poussé les scientifiques à parler de la sixième grande vague d’extinction, qui est bien sûr différente des cinq premières parce qu’elles ont été causées par des événements naturels et non par des activités d’espèces intelligentes. Le présent rapport a pour objectif d’examiner les chances que notre environnement soit durable ou viable à l’avenir et les obstacles potentiels qu’il pourrait rencontrer à trois niveaux différents: social, économique et politique.
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The instrumental value of biodiversity has been the cornerstone of major debates over its loss, which, without doubt, will negatively impact our environment by either reducing or doing away with ecosystems services that most of us relish,... more
The instrumental value of biodiversity has been the cornerstone of major debates over its loss, which, without doubt, will negatively impact our environment by either reducing or doing away with ecosystems services that most of us relish, so much so that our well-being depends on it. Nevertheless, all living things on this planet have been subject to an unprecedented assault at the hand of humanity. The assault is both direct and indirect. Direct because we drive vulnerable species to the brink of extinction by overhunting and overfishing them. Indirect because some of our activities causes the climate to change, thus affecting both land and marine flora and fauna. And this has been going on for centuries – at least since the start of the Industrial Revolution. Added to our insatiable desire to continuously alter the environment, is population growth, which has been a catalyst in the degradation of the environment for more people means more food, thus, more land for agricultural use and more land needed for accommodation and to build cities. The past century was marked by population size increase and technological capabilities of our species, two factors that put the extinction of other species on the fast track. That has prompted scientists to talk about the sixth great extinction wave, which is, of course, different from the first five because they were caused by natural events and not by intelligent species’ activities. This report has for goal to consider the chances that our environment will be sustainable or viable in the future and the potential obstacles it might encounter at three different levels: social, economic, and political.
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Translational medicine or translation research is an umbrella term that covers specific research in biological sciences whose main goal is to increase human life expectancy by keeping us healthy (from better ideas to better health). It’s... more
Translational medicine or translation research is an umbrella term that covers specific research in biological sciences whose main goal is to increase human life expectancy by keeping us healthy (from better ideas to better health). It’s synonymous with translational medical science, disease-targeted research, or evidence-based research. Translation research is particular because of its bidirectional nature. It’s commonly called the B2B approach or bench to bedside approach because it incorporates clinical skills and observations as well as scientific hypotheses utilized by researchers in the laboratories. The whole concept functions in a loop: bench to bedside and back. It translates knowledge, skills, or science from one place to another not only by focusing on the traditional 4P-Medicine – personalization, prevention, prediction, and participation – but also by taking into consideration another 3 Ps: providing (staff training), preemptive (research and development), and point of care (making sure that healthcare can be given anytime anywhere). Because of that, translational medicine can be viewed as a paradigm shift. This revolutionary concept shows how research discoveries can translate into effective therapies… Moreover, the understanding of disease pathology and preclinical models (their availability, their relevance to the disease and their translatability are considered key focus of modern translation research or translational medicine. Disease pathology may differ from one individual to the next. Researchers in the biological and the medical fields understand that. Thus, today, pharmacogenomics or personalized medicine is a field in the making and is set to revolutionized how patients are treated because the one size fits all approach is becoming more and more a thing of the past. Disease pathology also prompts researchers to consider our genetic makeups or our DNA first thing when trying to invent drugs or medical techniques likely to improve or enhance life expectancy.
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La médecine translationnelle ou la recherche translationnelle est un terme générique qui couvre la recherche spécifique en sciences biologiques dont le but principal est d'augmenter l'espérance de vie humaine en nous gardant en bonne... more
La médecine translationnelle ou la recherche translationnelle est un terme générique qui couvre la recherche spécifique en sciences biologiques dont le but principal est d'augmenter l'espérance de vie humaine en nous gardant en bonne santé (de meilleures idées à une meilleure santé). Elle est synonyme de science médicale translationnelle, de recherche axée sur la maladie ou de recherche fondée sur des données probantes. La recherche translationnelle est particulière en raison de sa nature bidirectionnelle. On l'appelle communément l'approche B2B ou l'approche bench to bedside en anglais (du laboratoire au chevet du patient) car elle intègre des compétences cliniques et des observations ainsi que des hypothèses scientifiques utilisées par les chercheurs dans les laboratoires. Tout le concept fonctionne en boucle: du laboratoire au chevet au laboratoire. Il traduit les connaissances, compétences ou sciences d'un endroit à l'autre non seulement en se concentrant sur la Médecine traditionnelle des 4P (personnalisation, prévention, prédiction et participation) mais aussi en prenant en considération un autre 3 P: pourvoyer (formation du personnel), préemptif (recherche et développement), et point de soin (s'assurer que les soins de santé peuvent être prodigués n'importe quand n'importe où). Pour cette raison, la médecine translationnelle peut être considérée comme un changement de paradigme. Ce concept révolutionnaire montre comment les découvertes de la recherche peuvent se traduire par des thérapies efficaces… De plus, la compréhension de la pathologie de la maladie et des modèles précliniques (leur disponibilité, leur pertinence par rapport à la maladie et leur traductibilité) sont considérées comme des objectifs clés de la recherche translationnelle moderne ou de la médecine translationnelle. Ainsi, aujourd'hui, la pharmacogénomique ou la médecine personnalisée est un domaine en devenir et doit révolutionner la façon dont les patients sont traités car l'approche “taille unique.” est de plus en plus une chose du passé. La pathologie de la maladie incite les chercheurs à considérer nos matériels génétiques ou notre ADN en premier lieu en essayant d'inventer des médicaments ou des techniques médicales susceptibles d'améliorer l'espérance de vie à la naissance.
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En gros, tout le monde abrite deux personnalités différentes: la personne que vous pensez être, ce qui signifie la façon dont vous vous voyez, et la personne que les autres pensent que vous êtes, c'est-à-dire la façon dont elles vous... more
En gros, tout le monde abrite deux personnalités différentes: la personne que vous pensez être, ce qui signifie la façon dont vous vous voyez, et la personne que les autres pensent que vous êtes, c'est-à-dire la façon dont elles vous perçoivent. La notion d'identité personnelle ou identité de soi s'applique au premier cas, alors que l'identité sociale s'applique au second. Mais, je ne pense pas que l'une ou l'autre de ces deux puissent être utilisées pour décrire l'unicité parce que nous utilisons la façon dont nous nous voyons à des fins de comparaison. D'autre part, les gens utilisent aussi la façon dont ils nous voient à des fins de comparaison. L'unicité est ce qui vous rend unique dans ce monde. L'unicité découle de l'impact que les puissants facteurs de l'environnement ont sur vous en tant qu'être humain et de votre biologie, plus précisément de la structure de votre matériel génétique, qui est unique au monde, comme je l'expliquerai plus loin. Si l'unicité devait être prendre la forme d’une équation simple, elle donnerait quelque chose comme ceci: Unicité = Biologie Environnement.

Votre naturel est le système biologique – caractéristiques physiques et non physiques avec lequel vous êtes né. En ce qui concerne les caractéristiques non physiques, il est important de distinguer ceux que nous ne pouvons pas voir à l'œil nu – cellules, ADN, HLA, etc. – et ces traits responsables de certains comportements - aimant, amical, coléreux, égoïste, altruiste, etc. – bien qu'il soit possible d'en repérer les gènes responsables. Chaque fois que vous regardez dans le miroir, ce que vous voyez est un produit de vos deux parents. Ils ont tous deux contribué à votre apparence. À supposer que vous ressemblez plus à l'un de vos parents qu'à l'autre ou exactement comme l'un d'eux et n'a aucun trait physique de l'autre. Mais qu'en est-il de votre tempérament? L'union des gamètes masculins et féminins peut conduire à l'héritage de gènes prévalents ou dominants responsables de traits physiques d'un des parents, mais elle peut aussi engendrer un individu présentant des traits physiques totalement différents, et qui ne ressemble à aucun des parents. Cela assure la diversité de notre espèce. Il en va de même pour les caractéristiques non physiques, c'est-à-dire ceux-là que les yeux ne peuvent pas voir.
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Broadly, there are two different characters within everybody: the person you think you are, meaning the way you view yourself, and the person people think you are or the way they view you. The concept of self-identity applies to the first... more
Broadly, there are two different characters within everybody: the person you think you are, meaning the way you view yourself, and the person people think you are or the way they view you. The concept of self-identity applies to the first case, while social identity applies to the second. But I don't think either of the two can be used to describe uniqueness because we use the way we see ourselves for comparison purposes. On the other hand, people also use the way they see us for comparison purposes. Uniqueness is what makes you unique in the grand scheme of things. Uniqueness stems from the impact that the powerful factors of the environment have on you as a human being and from your biology, more specifically from the structure of your genetic makeup, which is unique in the world, as I will explain later. If uniqueness was to take the shape of a simple equation, it would give something like this: Uniqueness = Biology Environment.

Your nature is the biological package – physical and non-physical characteristics you’re born with. Within non-physical characteristics, it’s important to distinguish between those that we can’t see with the naked eye – cells, DNA, HLA, etc. – and those traits responsible for certain behaviors – loving, friendly, short-tempered, selfish, altruist, etc. – although it’s possible to pinpoint the genes responsible for them. Every time you look in the mirror, what you see is a product of both your parents. They both contributed to your appearance. Say you look more like one of your parents than the other or exactly like one of them and has no physical traits whatsoever from the other. But how about your temperament? The union of the male and female gametes may lead to the inheritance of prevalent or dominant genes responsible for physical traits from one of the parents, but it may also beget an individual with totally different physical traits resembling neither of the parents. That assures the diversity of our species. Same goes for non-physical characteristics, meaning those that the eyes can’t see.
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Technological singularity or simply singularity is an umbrella term that regroups advanced Artificial Intelligence (AI) or super artificial intelligence (SAI), rise of machines, and eventually the demise of humanity by the same machines... more
Technological singularity or simply singularity is an umbrella term that regroups advanced Artificial Intelligence (AI) or super artificial intelligence (SAI), rise of machines, and eventually the demise of humanity by the same machines it created. John von Neumann was the first to coin the term in 1958. As to when exactly it will happen, scholars don’t seem to speak with one voice. In the years following the advent of the Internet and computers, as more and more technological advances were being made, they tended to push the dates forward, anywhere between the 90’s to 2000’s. Ray Kurzweil predicts the singularity to occur around 2045 whereas Vernor Vinge predicts some time before 2030. Knowing what technological singularity entails, these dates are obviously too close to be realistic. In less than 30 years – from the 1990’s to present day, we went from archaic ways to communicate, shop, listen to music, etc. to state of the art methods of interacting with each other and entertaining ourselves all right. But we’re still here to enjoy and regularly improve these technologies based on our know-how, our tastes, and our whims. Technological singularity is a whole different play field involving non-human political, economic, and social actors. Humans, are, by nature, selfish, individualistic, and happiness-driven. These characteristics are what stands between the glorious dream and the potential glorious achievement, which technological singularity is.
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La singularité technologique ou simplement la singularité est un terme générique qui regroupe l'Intelligence artificielle avancée (IA) ou l'intelligence super artificielle (ISA), la montée des machines et, finalement, la disparition de... more
La singularité technologique ou simplement la singularité est un terme générique qui regroupe l'Intelligence artificielle avancée (IA) ou l'intelligence super artificielle (ISA), la montée des machines et, finalement, la disparition de l'humanité par les mêmes machines qu'elle a créées. John von Neumann a été le premier à invoquer le terme en 1958. Quant à ce qu'il se passera exactement, les chercheurs ne semblent pas parler d'une seule voix. Dans les années qui ont suivi l'avènement de l'Internet et de l'informatique, au fur et à mesure que de plus en plus de progrès technologiques se réalisaient, ils ont été inclinés à rapprocher les dates, entre les années 90 à 2000. Ray Kurzweil prédit que la singularité se produira vers 2045 alors que Vernor Vinge prévoit quelque temps avant 2030. Sachant ce que la singularité technologique implique, ces dates sont évidemment trop proches pour être réalistes. En moins de 30 ans - des années 1990 à nos jours, nous sommes passés des méthodes archaïques de communiquer, d'acheter, d'écouter de la musique, etc. aux méthodes les plus modernes d'interagir les uns avec les autres et de nous divertir. Mais nous sommes encore là pour profiter de et améliorer régulièrement ces technologies en fonction de notre savoir-faire, de nos goûts et de nos caprices. La singularité technologique est un terrain de jeu totalement différent impliquant des acteurs politiques, économiques et sociaux non humains. Les êtres humains sont, par nature, égoïstes, individualistes et motivés par le bonheur. Ces caractéristiques sont ce qui s'interpose entre le rêve glorieux et le potentiel accomplissement glorieux qu'est la singularité technologique.
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Reading this outstanding work is transcendental. I compare it to walking inside an empty cathedral, sitting by the seaside alone or lying on your back to gaze at the stars on a balmy summer night. I had a unique experience reading My life... more
Reading this outstanding work is transcendental. I compare it to walking inside an empty cathedral, sitting by the seaside alone or lying on your back to gaze at the stars on a balmy summer night. I had a unique experience reading My life – First poems – Philosophical poems. I hope you will too. I invite you to enjoy to the last verse this powerful work from Louise-Victorine Ackermann! (Also, please read my essay at the end, starting at page 154 – or you may read it first to better appreciate Ackermann’s work).

Philosophical in nature, this essay is an attempt to fathom and explain the work itself (what), the character and temperament of its author – nature and nurture (who), the context in which the work is written – what impact did the environments in which she evolved have on her personality and her work? (where). Stating the date of the work isn’t sufficient. An analysis of the period and its events are also in order (when). Reading Ackermann’s autobiography, one has a sense of the reasons behind such an iconoclast work, but there is more beneath the surface. The true motive(s) surface only if one resorts to philosophy (why). Ackermann resorts to a myriad of themes not necessarily philosophical to make a philosophical point, using, of course, poetry.
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La lecture de cette œuvre remarquable est transcendantale. Je la compare au fait de marcher dans une cathédrale vide, d'être assis seul au bord de la mer ou d'être couché sur le dos pour contempler les étoiles pendant une douce nuit... more
La lecture de cette œuvre remarquable est transcendantale. Je la compare au fait de marcher dans une cathédrale vide, d'être assis seul au bord de la mer ou d'être couché sur le dos pour contempler les étoiles pendant une douce nuit d'été. La lecture Ma vie - Premiers poèmes - Poèmes philosophiques. J'espère que vous le feriez aussi a été pour moi une expérience unique. Je vous invite à apprécier ce travail significatif de Louise-Victorine Ackermann jusqu'au derniers vers! (Par ailleurs, veuillez lire mon essai à la fin de l'œuvre, à partir de la page 154 - ou bien vous pouvez le lire d'abord pour mieux apprécier le travail d'Ackermann).

De nature philosophique, cet essai tente de comprendre et d'expliquer l'œuvre elle-même (quoi), le caractère et le tempérament de son auteur (qui), le contexte dans lequel le travail est écrit - quel impact ont eu les environnements dans lesquels Ackermann avait évolué sur sa personnalité et son travail? (Où). Énoncer la date du travail n'est pas suffisant. Une analyse de la période et des événements qui se sont produits au cours de cette période s'impose (quand). En lisant l'autobiographie d'Ackermann, on a un sens des raisons d'un tel travail iconoclaste, mais il y a plus sous la surface. Le (s) motif (s) réel (s) ne se dévoilent que si l'on recourt à la philosophie (Pourquoi). Ackermann recourt à une myriade de thèmes pas nécessairement philosophiques pour faire un point philosophique, en utilisant, bien sûr, la poésie.
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Le collège électoral américain a commencé à semer le doute chez les électeurs américains seulement 20 ans après la ratification du 12ème amendement de la Constitution américaine en 1804, qui prévoit l'élection du président et du... more
Le collège électoral américain a commencé à semer le doute chez les électeurs américains seulement 20 ans après la ratification du 12ème amendement de la Constitution américaine en 1804, qui prévoit l'élection du président et du vice-président par le collège électoral. En l'absence de vote majoritaire pour une personne, la Chambre des représentants (un vote par état) choisit le président, et le Sénat le vice-président. Aujourd'hui, 213 ans après que le premier signe annonciateur ait surgi en 1824 avec l'élection de John Quincy Adams, l'efficacité du collège électoral demeure un sujet brûlant et qui suscite beaucoup de polémique…À l'époque où la constitution américaine a été écrite et ratifiée, elle était, grâce à sa vision, une entreprise totalement en avance sur son temps. Elle incarne l'exceptionnalisme américain, caractérisé par une histoire unique, une mission unique et des valeurs uniques. Alexis de Tocqueville fut le premier à identifier cet exceptionnalisme et à lui donner son approbation ou sa bénédiction dans son livre De la démocratie en Amérique. Il fut un observateur français de la démocratie américaine qui a voyagé à travers le nouveau pays américain et qui a fait savoir par la suite à ses collègues philosophes français vivant en France que les idées qui leur étaient chères fonctionnaient en Amérique. Cependant, comme c'est le cas pour tout ce qui est inventé par l'homme, le collège électoral, idée originale de la constitution américaine, n'est pas infaillible et s'avère être l'éléphant blanc de la constitution, sa bête noire.
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The US electoral college started to cast doubt in American voters only 20 years after the 12th amendment to the U.S. Constitution was ratified in 1804, which provides for election of the president and vice president by the electoral... more
The US electoral college started to cast doubt in American voters only 20 years after the 12th amendment to the U.S. Constitution was ratified in 1804, which provides for election of the president and vice president by the electoral college. Should there be no majority vote for one person, the House of Representatives (one vote per state) chooses the president and the Senate the vice president. Today, 213 years after the first harbinger sign surfaced in 1824 with the election of John Quincy Adams, the efficiency of the electoral college is still a hot and a highly moot topic… At the time the US constitution was written and ratified, it was, thanks to its vision, an endeavor that was entirely ahead of its time. It epitomizes American exceptionalism, which is characterized by a unique history, a unique mission, and unique values. Alexis de Tocqueville was the first to pinpoint that exceptionalism and to give it his approval or benediction in his book Democracy in America. He was a French observer of American democracy who traveled throughout the new American country and let his French colleagues and philosophers back home know, afterwards, that the ideas that were dear to them were working in America. However, as it is the case for everything that is man-made, the electoral college, the US constitution’s brainchild, is not failproof, and turns out to be the constitution’s white elephant, its bête noire.
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Pourquoi la mer de chine méridionale offre-t-elle une opportunité à la Chine pour compenser les échecs ou les mécontentements du passé et finalement s'affirmer comme une superpuissance mondiale? L'expansion vers l'ouest a toujours été... more
Pourquoi la mer de chine méridionale offre-t-elle une opportunité à la Chine pour compenser les échecs ou les mécontentements du passé et finalement s'affirmer comme une superpuissance mondiale?
L'expansion vers l'ouest a toujours été plus importante pour la Chine que l'expansion vers l'est, parce qu'à l'exception de la péninsule coréenne et du Japon, la Chine regarde le vaste océan Pacifique. L'occident a toujours été et continue d'être la ligne de vie de la Chine. La Chine a parcouru un long chemin. Les civilisations montent et tombent. Elles vont et viennent. Mais la civilisation chinoise est l'une des plus anciennes et des plus stables. Les chinois ont embrassé le commerce mondial bien avant même que l'Amérique ne fût découverte. Ils l'ont fait grâce à la route de la soie, qui était une ancienne route de caravanes reliant Xi'an en Chine centrale à la Méditerranée orientale. Elle a été établie pendant la période de la domination romaine en Europe, et a pris son nom de la soie qui a été introduite dans le monde occidental en provenance de Chine . Bien que le commerce avec l'Occident ait été essentiel, la Chine a toujours cherché à conserver son propre modèle économique. Lorsque les quatre principales puissances de l'Occident – l'Angleterre, la France, l'Espagne et le Portugal – ont décidé de construire leurs empires politico-économiques sur le commerce triangulaire ou faire face à la faillite, la Chine prospérait, comme elle l'a été depuis des millénaires. Mais la Seconde Guerre mondiale a porté un coup dur à l'économie chinoise alors que les États-Unis émergeaient comme la seule superpuissance à la fois sur les plans politique et économique et mettaient aussitôt en place une politique de confinement de la Chine. Cela, avec les échecs du passé, a exacerbé, sinon le ressentiment de la Chine, du moins sa méfiance envers l'Occident et surtout envers les États-Unis.
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Why is the South China Sea China’s opportunity to make up for past failures or discontents and finally assert itself as a world superpower? Westward expansion has always been more important to China than eastward expansion because except... more
Why is the South China Sea China’s opportunity to make up for past failures or discontents and finally assert itself as a world superpower?
Westward expansion has always been more important to China than eastward expansion because except for the Korean peninsula and Japan, China is looking at the vast Pacific Ocean. The west has always been and continues to be China’s lifeline. China has come a long way. Civilizations rise and fall. They come and go. But the Chinese civilization is one of the oldest and most stable. The Chinese engaged in world trade way before America was even discovered. They did that thanks to the Silk Road, which was an ancient caravan route linking Xi'an in central China with the eastern Mediterranean. It was established during the period of Roman rule in Europe, and took its name from the silk which was brought to the west from China . Although trading with the West was quintessential, China has always sought to retain their own economic model. When the four leading powers of the West – England, France, Spain, and Portugal - decided to build their politico-economic empires on triangular trade or face failure, China was thriving, as it had been for millennia. But World War II dealt a serious blow to China’s economy as the United states emerged as the only superpower on both the political and economic levels and put shortly after a policy of containment towards China. That, along with past failures, exacerbated if not China’s resentment at least its mistrust towards the West and, especially towards the United States.
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L’âge doré : un conte moderne est une représentation de ces crimes commis aux États-Unis à la fin du 19e siècle et qui sont si souvent restés impunis et des victimes qui devraient être qualifiées de crimes. La description se termine... more
L’âge doré : un conte moderne est une représentation de ces crimes commis aux États-Unis à la fin du 19e siècle et qui sont si souvent restés impunis et des victimes qui devraient être qualifiées de crimes. La description se termine sévèrement par le verdict satirique «Personne à blâmer». Le projet du colonel Sellers d'élever des mules pour les marchés du Sud est une satire sur la fraude et la spéculation dignes de bulles de savon des capitalistes. L'ouvrage regorge d'indices et de descriptions qui découlent des fraudes et des outrages dont le pays a souffert pendant tant d'années. Les questions familiales, sociales et nationales sont toutes habilement satirisées. Le monument érigé à la mémoire du Père de son pays - monument commencé mais, bien sûr, jamais achevé - suscite quelques traits d'humour amer mais pas injuste. Les moyens par lesquels on avance à Washington sont amplement satirisés.

Il y a deux points de vue de ce livre: favorable et défavorable. Cet essai considère les deux. Par exemple, alors que certains critiques pensent qu'il est incohérent, d'autres suggèrent que le récit s'écarte des méthodes traditionnelles de conclusion et est donc plus naturel que la plupart des romans, car chaque chapitre du livre porte les marques des deux écrivains et est donc une nouveauté à sa manière. Dans cet essai, je fais valoir que L’âge doré : un conte moderne est essentiellement une satire et doit toujours être acceptée comme telle. Bien sûr, d'autres bons livres contemporains ne sont pas parvenus à notre époque en termes de popularité et d'héritage. L'âge doré y est parvenu. Nous en parlons, écrivons et lisons à ce jour. De toute évidence, il fait partie intégrante des annales de la littérature américaine et contribue pleinement à la réputation, à l’héritage et à l’influence durable de Mark Twain.
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The Gilded Age: a Tale of Today is a depiction of those crimes committed in the United States in the late 19th Century which so frequently went unpunished and of the casualties which ought to be called crimes. The description severely... more
The Gilded Age: a Tale of Today is a depiction of those crimes committed in the United States in the late 19th Century which so frequently went unpunished and of the casualties which ought to be called crimes. The description severely winds up with the satirical verdict “No one to blame.” The project of Colonel Sellers for raising mules for the Southern markets is a satire upon the fraudulency and soap-bubble speculation of capitalists. The work is full of hints and descriptions that take their rise from the frauds and outrages under which the country had plagued for so many years. Family, social and national questions are all cleverly satirized. The monument erected to the memory of the Father of his country – a monument begun, but, of course, never completed – calls forth some strokes of bitter but not unjust humor. The means by which preferment is obtained in Washington are amply satirized.
There are two views of this book: favorable and unfavorable. This essay considers both. For instance, while some critics think that it is incoherent, others suggests that the narrative departs from the traditional methods of concluding and is thereby more natural than most novels because every chapter of the book bears the marks of both writers and is therefore a novelty in its way. In this essay I argue that The Gilded Age is essentially a satire and should always be accepted as such. Of course, other good contemporary books did not make it to our time in terms of popularity and legacy. The Gilded Age did. We talk, write, and read about it to this day. Evidently, it is an integral part of the annals of American literature and fully contributes to Mark Twain’s reputation, legacy, and lasting influence.
La paix entre les nations est-elle une utopie? Certains diraient oui, d'autres diraient non. En fait, cela dépend de la façon dont on définit la paix. Est-ce l'absence de conflit international ou de guerre? Est-ce l'absence de violence ou... more
La paix entre les nations est-elle une utopie? Certains diraient oui, d'autres diraient non. En fait, cela dépend de la façon dont on définit la paix. Est-ce l'absence de conflit international ou de guerre? Est-ce l'absence de violence ou la peur de la violence aux niveaux national et international? Mieux encore, la violence n'est-elle pas ancrée dans notre ADN, en tant qu'espèce? Ne sommes-nous pas voués à nous battre pour des ressources, à mettre constamment notre propre instinct de survie au travail? Il y a beaucoup de parties mobiles dans les concepts de guerre et de paix, ce qui rend les deux notions ambivalentes et créent ainsi une sorte de dichotomie. Les origines de la guerre remontent à la préhistoire; et les causes de la guerre sont à la fois endogènes et exogènes, ce qui signifie que la guerre a des racines biologiques et internationales. Reconnaissant l'ambivalence du conflit et de la paix, les universitaires - Thomas d'Aquin en premier - ont proposé le concept de guerre juste, qui légitime la guerre et l'intervention humanitaire armée, mettant au jour, dans le processus, le caractère paradoxal des missions de maintien de la paix. Les utopistes ou les optimistes pensent que la paix entre les nations est possible car il existe de nombreux éléments d'espoir pour la paix mondiale tels que: les Nations Unies, l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord, la mondialisation, la diplomatie et la dissuasion nucléaire, pour n'en nommer que quelques-uns. D'un autre côté, les dystopiques ou les sceptiques pensent que les barrières à la paix mondiale sont trop graves pour que la paix mondiale devienne une réalité. Ils ont avancé les éléments suivants: prolifération des armes nucléaires, géoéconomie, terrorisme, crise mondiale des réfugiés et rentabilité des ventes d'armes et de la guerre elle-même, pour n'en nommer que quelques-uns. Ce mélange d'optimisme et de pessimisme a tendance à motiver certains d'entre nous à considérer plutôt l'avenir des conflits armés au lieu d'envisager une chimère aux deux extrémités du spectre. Cette troisième catégorie de personnes pense que la guerre et les conflits auront lieu dans un environnement totalement différent: le cyberespace. Elles pensent que les guerres futures ne seront pas positionnelles mais, au contraire, seront infranationales.
Is peace among nations a utopia? Some would say yes, others would say no. In fact, it depends on how one defines peace. Is it the absence of international conflict or war? Is it the absence of violence or fear of violence both at the... more
Is peace among nations a utopia? Some would say yes, others would say no. In fact, it depends on how one defines peace. Is it the absence of international conflict or war? Is it the absence of violence or fear of violence both at the national and the international levels? Better yet, isn’t violence embedded in our DNA, as a species? Aren’t we doomed to compete for resources, to constantly put our own survival instinct to work? There is a lot of moving parts in the concepts of war and peace, which make both notions ambivalent and, thus, create sort of a dichotomy. The origins of war date back from prehistoric times; and the causes of war are both endogenous and exogenous, meaning war has both biological and international roots. Acknowledging the ambivalence of conflict and peace, scholars – Aquinas being the first – have come up with the concept of Just war, which legitimizes war and armed humanitarian intervention, bringing to bear, in the process, the paradoxical natural of peacekeeping missions. The utopian or the hopeful think that peace among nations is possible because there are numerous elements of hope for world peace such as: the United Nations, the North Atlantic Treaty Organization, globalization, diplomacy, and nuclear deterrence, to name a few. On the other hand, the dystopian or the skeptical think that the barriers to world peace are too serious for world peace to become a reality. They put forth the following: proliferation of nuclear weapons, geoeconomics, terrorism, the global refugee crisis, and the profitability of arms sales and war itself, to name a few. This mix of optimism and pessimism tend to motivate some of us to consider rather the future of armed conflict instead of considering a pipe dream at both ends of the spectrum. This third category of people think that war and conflict will take place in a totally different environment: cyberspace. They think that future wars will not be positional but, instead, will be subnational.
Parce que les employeurs fournissent une assurance maladie, ils jouent un rôle majeur dans la santé et la sécurité de la population. Aux États-Unis, historiquement, l'emploi a toujours été la pierre angulaire de l'assurance maladie... more
Parce que les employeurs fournissent une assurance maladie, ils jouent un rôle majeur dans la santé et la sécurité de la population. Aux États-Unis, historiquement, l'emploi a toujours été la pierre angulaire de l'assurance maladie privée. En fait, 90% des personnes de moins de 65 ans obtiennent leur assurance maladie par le biais d'un emploi. Mais la santé du marché du travail varie et avec elle la santé de la population qu'il dessert. Les difficultés économiques entraînent une baisse du revenu disponible et une mauvaise santé. La sécurité d'emploi a été revue et n'est plus une garantie. Dans la plupart des ménages, les deux parents travaillent et tout licenciement ou maladie équivaut à un stress majeur sur leur santé car le système de santé américain est le plus cher du monde industrialisé. Alors que l'économie s'est remise de la grande récession de 2007-2008, la perspective de futures récessions économiques se profile toujours et lorsque la prochaine frappe, les impacts ont le potentiel d'être grands et largement ressentis car la recette du désastre est omniprésente : un système de soins de santé inabordable qui échappe à tout contrôle. Les factures médicales sont souvent synonymes de faillite. Les coûts des soins de santé ne cessent d'augmenter et les américains sont régulièrement confrontés à des frais supplémentaires plus élevés. Parce que le système de santé est basé sur les prix et non sur la valeur, son efficacité est entravée. Autrement dit, bien que les États-Unis dépensent deux fois plus en soins de santé par rapport aux autres pays de l'OCDE, leurs résultats en matière de santé sont inférieurs à ceux de pays comme le Canada, la France, l'Allemagne, le Japon et le Royaume-Uni. L'évolution des technologies de la communication et de l'information peut être une occasion en or pour inverser la tendance. Ces technologies peuvent aider à améliorer l'efficacité des interventions de santé publique. La télésanté ou télémédecine, en intégrant le patient – et parce qu'elle se déplace vers les zones urbaines – est essentielle. L'amélioration de l'accès, la garantie de la qualité et la maîtrise des coûts pour réduire le gaspillage devraient être les principales priorités des décideurs politiques en matière de santé. Outre la technologie, l'accent devrait être mis sur les programmes de littératie en santé et la valorisation des communautés. En outre, il y a eu beaucoup de débats sur la question de savoir si les États-Unis devraient adopter la protection universelle maladie (PUMA), également appelée Medicare-for-all ou système à payeur unique, ou même une médecine socialisée inspirée du système de santé du Royaume-Uni. À chaque extrémité du spectre, les partisans et les opposants justifient leurs positions en utilisant, bien entendu, des arguments différents. Ceux-là pensent que les soins de santé devraient devenir un droit fondamental du citoyen tandis que ces derniers pensent que les soins de santé sont après tout un service et que les gens devraient payer pour ce qu'ils obtiennent, bien que certains d'entre eux pensent qu'une option publique – où l'assurance privée et l'assurance fournie à tous par le gouvernement coexistent – pourrait être une meilleure alternative à la médecine socialisée directe et universelle bénéficiant à tous les américains indépendamment de leur statut socio-économique.
Because employers provide health insurance, they play a major role in the population’s health and in its security. In the United States, historically, employment has always been the cornerstone of private health insurance. In fact, 90... more
Because employers provide health insurance, they play a major role in the population’s health and in its security. In the United States, historically, employment has always been the cornerstone of private health insurance. In fact, 90 percent of people under 65 get their health insurance through employment. But the health of the labor market varies and with it the health of the population it serves. Economic struggles leads to less disposable income and bad health. Job security has been revisited and is no longer a guarantee. In most households, both parents are working and any layoff or illness is tantamount to major stress on their health because the U.S. health care system is the most expensive in the industrialized world. While the economy has recovered from the 2007-2008 Great Recession, the prospect of future economic recessions is still looming and when the next one hits, the impacts have the potential to be great and widely felt because the recipe for disaster is ubiquitous: an unaffordable health care system that is spiraling out of control. Medical bills are often synonymous with bankruptcy. Health care costs are constantly rising and Americans are hit with higher out-of-pocket costs on a regular basis. Because the health care system is price-based and not value-based, its efficiency is hindered. That is, although the U.S. spends twice as much in health care compared with the other OECD countries, its health outputs are inferior to those of countries such as Canada, France, Germany, Japan, and the United Kingdom. Developments in communication and information technologies may be a golden opportunity to reverse the trend. These technologies may help improve the effectiveness of public health interventions. Telehealth or telemedicine, by integrating the patient – and because it’s moving to urban areas – is pivotal. Improving access, ensuring quality, and controlling costs to reduce wasteful spending should be the top priorities of health policy makers. Besides technology, emphasis should be put on health literacy programs and the valorization of communities. Also, there has been a lot of debate on whether the U.S. should embrace universal health coverage (UHC), also called Medicare-for-all or a single-payer system, or even a socialized medicine modeled after the U.K.’s health care system. At each end of the spectrum, proponents and opponents make their case using, of course, different arguments. The former think that health care should be made a fundamental right of citizenship while the latter think that health care is after all a service and people should pay for what they get, although amongst them some think that a public option – where private insurance and government insurance for all coexist – might be a better alternative to straight and universal socialized medicine benefiting every American regardless of their socioeconomic status.
Vitesse et Temps. Ces deux notions sont en train de changer notre monde et notre réalité et nous en sommes tous les instigateurs. Nous avons tous un rôle à jouer dans cette transformation. Il n'y a pas à sortir de là. Nous devons être... more
Vitesse et Temps. Ces deux notions sont en train de changer notre monde et notre réalité et nous en sommes tous les instigateurs. Nous avons tous un rôle à jouer dans cette transformation. Il n'y a pas à sortir de là. Nous devons être préparés. Cependant, le problème est qu’il s’agit d’un changement et que, par nature, nous résistons au changement. Mais le changement, surtout en ce qui concerne la vitesse et le temps, ne doit pas être négligé. Se précipiter pour gagner du temps. Est-ce vrai? On pourrait penser qu'un style de vie rapide conduirait à plus de temps disponible. C'est loin d'être le cas. Le temps est devenu un luxe dans notre monde moderne. Le manque de temps affecte presque tout le monde et toutes les familles. Des recherches ont montré que les personnes à revenu élevé se sentaient particulièrement à court de temps. Nous vivons dans un monde en constante accélération: ordinateurs, marchés, aliments, mode, cycles de produits, esprits, corps, enfants, vies, tous plus rapides que jamais. Quand tout a-t-il commencé à aller aussi vite? Pourquoi la vitesse semble-t-elle si inévitable? Être plus rapide est-il toujours plus avantageux? La vitesse fascine, mais pourquoi les humains sont-ils fascinés par la vitesse? Nous nous sentons de plus en plus à l'aise pour laisser les machines penser et agir pour nous. L'impression 3D, l'automatisation et la nanotechnologie en sont des exemples. Cependant, l’optimisation de la vitesse et du temps sont indispensables au mécanisme de notre évolution. L'optimisation de la vitesse et du temps est liée à la modernité. La dynamique de la vitesse et du temps dans notre société a été héritée des générations passées. La technologie et l’industrialisation jouent un rôle important dans notre approche sociale du temps. Comment savez-vous que vous utilisez bien votre temps? Cette tâche doit-elle vraiment être accomplie? Qu'est-ce qui vous fait perdre du temps? Que voulez-vous faire plus avec plus de temps? Que voulez-vous passer moins de temps à faire? Comment gérez-vous votre temps et hiérarchisez-vous les tâches? Une bonne gestion du temps augmente-t-elle votre productivité? Et si le temps était une illusion? Les réponses à ces questions varieront bien sûr d’une personne à l’autre. L'évolution et l'augmentation progressive de la vitesse et du temps et ses impacts sur notre monde moderne donnent lieu à deux catégories d'observateurs: les partisans de l'idée que nous devrions continuer à avancer de plus en plus vite et les opposants ou ceux qui pensent que nous devrions plutôt ralentir. À cet égard, ce livre montre les différents avantages de la vitesse et du temps, ainsi que leurs inconvénients. Puis, il répond à la question : existe-t-il un juste milieu entre les deux points de vue?
Research Interests:
Speed and Time. These two notions are changing our world and our reality, and we all are the instigators. We all have a part to play in that transformation. There is no escaping it. We have to be prepared. However, the problem is, it is a... more
Speed and Time. These two notions are changing our world and our reality, and we all are the instigators. We all have a part to play in that transformation. There is no escaping it. We have to be prepared. However, the problem is, it is a change, and, by nature, we are resistant to change. But change, especially in relation to speed and time is not to be overlooked. Rushing to save time. Is that true? One would think that a fast-paced lifestyle would lead to more time available. This is far from being the case. Time has become a luxury in our modern world. Lack of time affects almost everybody and every family. Research has found that people with high incomes feel particularly short on time. We live in an ever-accelerating world: faster computers, markets, food, fashion, product cycles, minds, bodies, kids, lives.  When did everything start moving so fast? Why does speed seem so inevitable?  Is faster always better? Speed is fascinating, but why are humans fascinated with speed? Today, we are integrating machines more and more into our ways of life. We feel more and more comfortable to let machines think and act for us. However, speed and time optimization are necessary for the mechanism of our evolution. Speed and time optimization are linked to modernity. The dynamics of speed and time in our society is something we inherited from past generations. Technology and industrialization play an important role in the way we socially approach time. How do you know what you’re doing is a good use of your time? Does this task really need to be done? What causes you to waste time? What do you want to do more with more time? What do you want to spend less time doing? How do you manage your time and prioritize tasks? Is proper time management increase your productivity? What if time was an illusion? The answers to these questions, of course, will vary from one person to the next. The evolution and the progressive increase of Speed and Time and its impacts on our modern world gives rise to two categories of observers: the proponents of the idea that we should keep moving faster and faster and the opponents or those who think we should, instead, slow down. In that regard, this book shows the various benefits of speed and time and also their disadvantages. Then, it brings an answer to the question, Is there a happy medium between the two views?
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Si la science se définit comme tout ce qui peut changer ou potentiellement changer l'environnement, il va sans dire que la science est aussi tout ce qui peut changer ou potentiellement changer l'homme lui-même parce que l'homme est au... more
Si la science se définit comme tout ce qui peut changer ou potentiellement changer l'environnement, il va sans dire que la science est aussi tout ce qui peut changer ou potentiellement changer l'homme lui-même parce que l'homme est au centre de la science. La nature de la science reflète la nature de l'homme. Bien que la science ne soit pas stationnaire et qu'elle change à mesure que notre environnement change, étant donné que la méthode scientifique et les paradigmes scientifiques changent à différentes époques, le progrès scientifique revêt de multiples facettes. Aujourd'hui, nous assistons à des avancées scientifiques qui n'auraient pas été possibles il y a deux cents ans. La politique, la réglementation gouvernementale, l’économie, l’armée, la quête de l’énergie et notre soif de technologies font partie des forces les plus puissantes à l’origine des progrès scientifiques d’aujourd’hui. Et ces forces sont elles-mêmes influencées par la façon dont la recherche est effectuée, en d’autres termes, par l’évolution du spectre de la recherche d’aujourd’hui. Une grande partie de notre tentative de comprendre pourquoi les progrès de la science moderne doit d'abord comprendre notre environnement de recherche moderne. La façon dont nous structurons notre spectre scientifique pèse lourdement sur les objectifs que nous nous sommes fixés pour la science et détermine la nature des résultats scientifiques. La science est d'autant plus importante qu'elle a finalement un impact sur la société. La science est une institution et à ce titre, elle éduque les gens, favorise la recherche et s'adresse à la société. Par conséquent, la communauté scientifique – en plus de structurer le processus de recherche – a le devoir de promouvoir des comportements ou des comportements responsables en établissant des règles normatives. Le progrès scientifique est indissociable de la société et inversement… La technologie est une émanation de la science. Cependant, la science a besoin de technologie pour progresser. En fait, il s'agit d'une autre relation symbiotique de la science avec un autre domaine. C'est un débat classique. C'est une relation similaire à celle qui existe entre connaissances et compétences. Les connaissances comprennent les faits, les informations et les compétences acquises par une personne au moyen de son éducation ou de son expérience. C'est la compréhension théorique ou pratique d'un sujet. La compétence est la capacité de bien faire quelque chose. C'est une expertise ou une expérience pratique. Alors que la connaissance peut être autonome, les compétences incluent souvent la connaissance. La compétence est un tout. La compétence est pratique. La connaissance est principalement théorique. Alors, considérons la science comme un savoir et la technologie comme une compétence. La science peut exister sans technologie, mais la technologie a désespérément besoin de la science. La relation entre la science et la technologie est devenue symbiotique, particulièrement à l’époque moderne.
If science is defined as anything that can change or potentially change the environment, it goes without saying that science is also anything that can change or potentially change man himself because man is at the center of science. The... more
If science is defined as anything that can change or potentially change the environment, it goes without saying that science is also anything that can change or potentially change man himself because man is at the center of science. The nature of science reflects the nature of man. Although science is not stationary and that it changes as our environment changes, because scientific method and scientific paradigms change at different eras, scientific progress is multifaceted. Today, we are witnessing some advances in science that would not have been possible two hundred years ago. Politics, government regulations, economics, the military, the quest for energy, and our thirst for technology are amongst the most powerful forces that drive today’s scientific progress. And these forces are themselves influenced by how research is done, in other words, by today’s changing research spectrum. A large part of our attempt to understand why modern science advances has to do with, first, understand our modern research environment. The way we structure our scientific spectrum weighs heavily in the goals we set for science and determine the nature of scientific results. Science is all the more important that it ultimately impacts society. Science is an institution and as such it educates people, promotes research, and caters to society. Therefore, the scientific community – besides structuring the research process – has a duty to promote responsible behaviors or conducts by establishing normative rules. Scientific progress is inseparable from society and vice versa … Technology is an offshoot of science. However, science needs technology to progress. In fact, this is another symbiotic relationship of science with another field. This is a classic debate. This is a relationship similar to that between knowledge and skill. Knowledge includes fact, information, and skills acquired by a person through education or experience. It's the theoretical or practical understanding of a subject. Skill is the ability to do something well. It's an expertise or a hand-on experience. Whereas knowledge can stand alone, skill often includes knowledge. Skill is a whole. Skill is practical. Knowledge is mainly theoretical. So, let’s think of science as knowledge and technology as skill. Science can exist without technology but technology desperately needs science. The relationship between science and technology has become symbiotic especially in modern times.
Pourquoi quatre personnes sur dix vivant aux États-Unis sont-elles obèses? Il n’y a peut-être pas de réponse spécifique et définitive à cette question, mais personne ne peut dire qu’il n’est pas au courant de cette épidémie. Bien que la... more
Pourquoi quatre personnes sur dix vivant aux États-Unis sont-elles obèses? Il n’y a peut-être pas de réponse spécifique et définitive à cette question, mais personne ne peut dire qu’il n’est pas au courant de cette épidémie. Bien que la plupart d’entre nous puissent alléguer différentes causes de l’obésité, nous sommes tous conscients de ce qu’est le coupable. C’est pour l’essentiel la nourriture. De plus grosses portions, un régime pauvre et déroutant, une inactivité, et j'en passe, cela revient toujours à la nourriture que nous mangeons. Tout est grand en Amérique: voitures, maisons, entreprises. La nourriture est grande aussi, ce qui contribue à l'existence de personnes les plus grosses. L'Amérique est maintenant devenue la plus grosse nation du monde. Les gens sont en surpoids ou obèses. … L'obésité est maintenant la deuxième cause derrière le tabagisme en tant que principale cause de décès évitable aux États-Unis. 400 000 décès par an sont associés à l'obésité. Bien que les fast-foods ne soient pas la seule cause de l'obésité, leur impact sur l'obésité est important. McDonald’s est la plus grande chaîne de restauration rapide au monde. … McDonald’s n'est pas responsable de la façon dont les Américains mangent, mais le fait est qu'ils en servent un nombre énorme. … En examinant les tendances en matière d'embonpoint et d'obésité en Amérique du Nord, on a constaté que plus d'hommes et de femmes américains étaient obèses ou faisaient de l'embonpoint que les Canadiens. La prévalence de l'obésité ou du surpoids chez les hommes américains (71%) était plus élevée que chez les hommes canadiens (65%) et plus élevée chez les femmes américaines (62% contre 49%). Comment en sommes-nous arrivés là? Quelque chose de profond a changé pour causer cela. Une combinaison de conditions a érodé la capacité d'un grand nombre de personnes à faire des choix sains, même si la plupart des gens connaissent les rudiments d'une vie saine.
Why are four out of ten people living in the United States obese? There may not be a specific and definite answer to this question, but no one can say they’re not aware of this epidemic. While most of us may allege different causes that... more
Why are four out of ten people living in the United States obese? There may not be a specific and definite answer to this question, but no one can say they’re not aware of this epidemic. While most of us may allege different causes that drive obesity, we are all aware of what the culprit is. It’s, for the most part, the food. Bigger portions, poor and confusing diet, inactivity, you name it, it always comes down to the food we eat. Everything is big in America: cars, houses, companies. The food is big too, which makes up for the biggest people. America has now become the fattest nation in the world. People are either overweight or obese. … Obesity is now second only to smoking as a major cause of preventable death in America. 400 000 deaths per year are associated with obesity. While fast foods are not the only cause of obesity, their impact on obesity is important. McDonald’s is the largest fast-food restaurant chain in the world. … McDonald's is not responsible for the way Americans eat, said Arndt (2007). But the inescapable fact is that it serves an enormous number of them. … When examining overweight and obesity trends across North America, more American men and women were found to be obese or overweight than Canadians. The prevalence of being either obese or overweight among American men (71percent) was higher than among Canadian men (65 percent), and higher in American women (62 percent vs. 49 percent). How did we get here? Something profound has changed to cause this. A combination of conditions has eroded the ability of vast numbers of people to make healthy choices, even though most people know the rudiments of healthy living.
La science se distingue souvent des autres domaines de la culture humaine par sa nature progressive: contrairement à l'art, à la religion, à la philosophie, à la morale et à la politique, il existe des normes claires ou des critères... more
La science se distingue souvent des autres domaines de la culture humaine par sa nature progressive: contrairement à l'art, à la religion, à la philosophie, à la morale et à la politique, il existe des normes claires ou des critères normatifs pour identifier les améliorations et les progrès scientifiques. Cependant, de nombreux philosophes des sciences des années 1960 et 1970 ont contesté efficacement la vision cumulative traditionnelle des connaissances scientifiques et la notion de progrès a également été remise en question dans le domaine de la science. Les débats sur le concept normatif du progrès portent en même temps sur des questions axiologiques concernant les buts et objectifs de la science. La tâche de l’analyse philosophique est d’examiner des réponses alternatives à la question: que signifie le progrès scientifique? Cette question conceptuelle peut alors être complétée par la question méthodologique: comment reconnaître les avancées progressives de la science? Par rapport à une définition du progrès et à un compte rendu de ses meilleurs indicateurs, on peut alors étudier la question factuelle: dans quelle mesure et à quels égards la science est-elle progressive? Quel est le moteur du dynamisme de la science? Pourquoi la science et l'homme sont-ils inséparables? Est-ce que nous contrôlons la science ou est-ce que la science nous contrôle? Peu importe comment nous le disons, cela se résume à une chose: la science est là pour rester – du moins tant que nous existons – et elle ne sera jamais stationnaire. Les humains sont condamnés à évoluer, de même que la science. Aujourd'hui, nous vivons dans un monde transformé par la science moderne. Nous nous tournons vers la science pour guérir les maladies, nous assurer que l'avenir soit rempli d'inventions époustouflantes et nous empêcher de détruire la planète. Sur quoi sont basés ces espoirs? La science a-t-elle un pouvoir remarquable? Y a-t-il une méthode scientifique sur laquelle nous comptons pour produire des miracles? La science induit-elle la connaissance ou est-ce l'inverse?
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Science is often distinguished from other domains of human culture by its progressive nature: in contrast to art, religion, philosophy, morality, and politics, there exist clear standards or normative criteria for identifying improvements... more
Science is often distinguished from other domains of human culture by its progressive nature: in contrast to art, religion, philosophy, morality, and politics, there exist clear standards or normative criteria for identifying improvements and advances in science. However, the traditional cumulative view of scientific knowledge was effectively challenged by many philosophers of science in the 1960s and the 1970s, and thereby the notion of progress was also questioned in the field of science. Debates on the normative concept of progress are at the same time concerned with axiological questions about the aims and goals of science. The task of philosophical analysis is to consider alternative answers to the question: What is meant by progress in science? This conceptual question can then be complemented by the methodological question: How can we recognize progressive developments in science? Relative to a definition of progress and an account of its best indicators, one may then study the factual question: To what extent, and in which respects, is science progressive? What is driving the dynamism of science? Why are science and man inseparable? Do we control science or does science control us? No matter, how we put it, it boils down to one thing: science is here to stay – at least for as long as we exist – and it will never be stationary. Humans are doomed to evolve, and so is science. Today, we live in a world transformed by modern science. We look to science to cure diseases, fill the future with mind-boggling inventions and keep us from destroying the planet. What are these hopes based on? Does science have some remarkable power? Is there a scientific method that we count on to produce miracles? Does science induce knowledge or is it the other way around?
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Aujourd'hui, le monde subit tout le poids d'une crise énergétique parce que nos ressources énergétiques constituent un défi mondial. De leur découverte, leur exploitation et leur stockage à leur distribution et leur utilisation, elles... more
Aujourd'hui, le monde subit tout le poids d'une crise énergétique parce que nos ressources énergétiques constituent un défi mondial. De leur découverte, leur exploitation et leur stockage à leur distribution et leur utilisation, elles posent des risques et des menaces énormes à la fois pour notre santé et l'environnement. Le défi découle également des faits suivants: la technologie ne crée pas d'énergie, la transformation de l'énergie coûte cher et les transitions énergétiques – par exemple, passer des combustibles fossiles à l'énergie solaire – prennent du temps. La demande d'énergie fait tache d'huile parce que les deux facteurs fondamentaux qui l'alimentent sont inhérents à l'humanité. Ce sont la croissance démographique et les activités économiques. La population mondiale s’accroît à un taux étonnant de 1,1 pour cent par année. On prévoit que la population mondiale actuelle de 7,3 milliards d'habitants devrait atteindre 8,5 milliards en 2030; 9,7 milliards en 2050 et 11,2 milliards en 2100. L'énergie est la pierre angulaire de notre survie. Malheureusement, la situation n'est pas parfaite si l'on considère que chaque source d'énergie a ses inconvénients et ses défis. Parmi les controverses récentes: les risques d'accidents et de fuites posés par le forage offshore, le pipeline de Keystone, l'accident de la centrale nucléaire de Fukushima, les risques sanitaires et environnementaux des mines de charbon, la fracturation hydrologique, les déchets nucléaires, l'augmentation des coûts des ressources minérales et la hausse des niveaux de dioxyde de carbone dans l'atmosphère.

Beaucoup considèrent que l'établissement d'un prix significatif sur les émissions de CO₂ est essentiel pour atteindre l'objectif climatique de 2 ° C. Le tableau actuel révèle toutefois des défis importants liés à la couverture géographique des marchés du carbone, aux niveaux de prix en vigueur et, dans certains cas, à la nécessité d'une réforme du marché. Les systèmes d'échange de droits d'émission de carbone en vigueur en 2014 couvraient 3,7 Gt (11%) des émissions mondiales de CO₂ liées à l'énergie et avaient une valeur totale de 26 milliards de dollars. Le prix moyen était d'environ 7 dollars par tonne de CO₂. En revanche, 4,2 Gt (13%) des émissions mondiales de CO₂ liées à l'énergie provenant de l'utilisation de combustibles fossiles reçoivent des subventions à la consommation, la subvention implicite s'élevant en moyenne à 115 dollars par tonne de CO₂… Il est important de noter que le changement climatique pourrait aussi déclencher une réduction massive de la population mondiale. Les gens ont besoin de terres, d'eau, de nourriture et d'abris et ils satisfont souvent ces besoins en détruisant la nature sauvage. Mais ce n'est pas seulement une question de chiffres, car la quantité de ressources consommées par chaque personne est ce qui fait vraiment la différence dans notre impact sur la planète.
Today, the world is experiencing the full brunt of an energy crisis because our energy resources are a global challenge. From their discovery, their exploitation, and their storage to their distribution and their usage, they pose... more
Today, the world is experiencing the full brunt of an energy crisis because our energy resources are a global challenge. From their discovery, their exploitation, and their storage to their distribution and their usage, they pose tremendous risks and threats both to our health and the environment. The challenge also stems from the facts that: technology does not create energy, transforming energy is expensive, and energy transitions – for example, switching from fossil fuels to, say solar energy – take time. The demand for energy is here to stay because the two fundamental factors that fuel it are inherent to mankind. These are population growth and economic activities. The world population is increasing at an astonishing rate of 1.1 percent per year or 83 million people per year. It’s projected that the current world population of 7.3 billion is expected to reach 8.5 billion by 2030; 9.7 billion in 2050 and 11.2 billion in 2100. Energy is the cornerstone of our survival. Unfortunately, the picture is not perfect considering that each source of energy has its downsides and challenges. Among recent controversies: risk of accidents and leaks posed by offshore drilling, the Keystone pipeline, the Fukushima nuclear plant accident, health and environmental risks of coal mining, hydrologic fracturing, nuclear wastes, rising costs of mineral resources, and rising carbon dioxide levels in the atmosphere.

Putting a meaningful price on CO₂ emissions is viewed by many as integral to achieving the 2° C climate goal. The current picture, however, reveals significant challenges relating to the geographic coverage of carbon markets, the prevailing price levels and, in some cases, the need for market reform. Carbon emissions trading schemes in operation in 2014 covered 3.7 Gt (11 %) of global energy-related CO₂ emissions and had an aggregate value of $26 billion. The average price was around $7 per ton of CO₂. In contrast, 4.2 Gt (13%) of global energy related CO₂ emissions from the use of fossil fuels receive consumption subsidies, with the implicit subsidy amounting to $115 per ton of CO₂, on average… It's important to note that climate change could also trigger a massive reduction in global population. People need land, water, food, and shelter and often satisfy these needs by destroying wild nature. But it is not just a matter of sheer numbers, for the amount of resources consumed by each person is what really makes a difference to our impact on the planet.
Si cette année était l'année 202018, ce qui signifie d'ici 200.000 ans et que j'écrivais sur la réalité, où commencerais-je? Quelle serait la base que j'utiliserais pour mes arguments? Serais-je encore capable de parler de philosophie, de... more
Si cette année était l'année 202018, ce qui signifie d'ici 200.000 ans et que j'écrivais sur la réalité, où commencerais-je? Quelle serait la base que j'utiliserais pour mes arguments? Serais-je encore capable de parler de philosophie, de psychologie, d'art, de mathématiques, de chimie, de physique et de mécanique quantique? Serais-je capable de parler du cerveau et de l'esprit de la même manière que je le fais aujourd'hui? Serais-je capable de spéculer sur la vie et la mort? Ces sujets seraient-ils toujours pertinents dans ce bas monde? Dans 200.000 ans, serait-il encore nécessaire de spéculer sur la réalité? Bien que les réponses à ces questions puissent être « peut-être » ou « peut-être pas », une chose est certaine: dans 200.000 ans, les humains, si nous sommes encore là, seront différents, si différents que la disparité sera semblable à l'œuf d'un insecte et à l'étape finale de sa métamorphose: un imago, les stades de la larve et de la pupe se situant entre les deux. Eh bien, en termes de réalité, quand le premier Homo Sapiens a émergé il y a 200.000 ans, il n'avait aucune idée de ce que serait la réalité aujourd'hui en 2018. Sa réalité se limitait à essayer de survivre dans un environnement difficile. Il devait d'abord apprendre à faire du feu, cueillir, puis cultiver sa propre nourriture et chasser juste pour survivre. À supposer que notre espèce existe encore dans environ 200.000 ans, ce dont nous sommes capables en 2018, comparé à ce dont nous serons capables, est comparable à la réalité des premiers humains il y a 200.000 ans. Le fait est que la réalité des humains n'est pas constante. Elle est variable, fluide…. Cette série examine la réalité sous différents angles. Elle fait le va et vient dans le temps pour expliquer la versatilité de la réalité. À travers les sujets que je vais aborder, je tenterai d'expliquer pourquoi l'Homme est encore intrigué par la réalité après 200.000 ans d'existence.
Research Interests:
If this year was the year 202018, meaning 200,000 years from now and I was writing about reality, where would I begin? What would be the basis that I would use for my arguments? Would I still be able to talk about philosophy, psychology,... more
If this year was the year 202018, meaning 200,000 years from now and I was writing about reality, where would I begin? What would be the basis that I would use for my arguments? Would I still be able to talk about philosophy, psychology, art, mathematics, chemistry, physics and quantum mechanics? Would I be able to talk about the brain and the mind the same way I do today? Would I be able to speculate about life and death? Would these topics still be relevant in the grand scheme of things? 200,000 years from now, would it still be necessary to speculate about reality anyway? Although the answers to such questions can be either ‘may be’ or ‘may be not’, one thing is certain: 200,000 years from now, humans, if we’re still around, will be different, so different that the disparity will be similar to an insect’s egg and the final stage of its metamorphosis: an imago, the larva and pupa stages being in between. Well, in terms of reality, when the first Homo Sapiens emerged 200,000 years ago, he had no idea what reality would be like today in 2018. His reality was limited to trying to survive in a harsh environment. He had to first learn how to make fire, gather, then grown his own food and hunt just to survive. Say our species is still around 200,000 years from now, what we are capable of in 2018, compared to what we will be capable of then is comparable to the first humans’ reality 200,000 years ago. The fact is, humans’ reality is not constant. It’s variable, fluid… This series looks at reality in different angles. It goes back and forth in time to explain the versatility of reality. Through the topics that I will discuss, I will attempt to explain why Man is still puzzled by reality after 200,000 years of existence.
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Le langage est une belle chose. Il nous unit dans nos différences. C'est l'une des caractéristiques les plus incroyables des êtres humains. Il nous permet de communiquer nos pensées, nos émotions et des intentions complexes. Cette... more
Le langage est une belle chose. Il nous unit dans nos différences. C'est l'une des caractéristiques les plus incroyables des êtres humains. Il nous permet de communiquer nos pensées, nos émotions et des intentions complexes. Cette aptitude est inscrite dans notre ADN. Les humains sont dotés d'une prédisposition innée à apprendre les langues. Malgré cette prédisposition biologique, le langage a dû d'abord évoluer. Il a pris notre espèce au dépourvu. C'était comme si le premier Homo Sapiens qui a découvert sa capacité de communiquer grâce à ses cordes vocales avait crié « Eurêka ! » … Aujourd'hui, avec la mondialisation, la nécessité de communiquer rapidement et efficacement n'a jamais été aussi grande. Les nations sont encore fières de leurs langues, mais certaines gens souhaitent, ouvertement ou en leur for intérieur, qu'il puisse y avoir une langue universelle ou globale parlée par tous les êtres humains, de sorte qu'aucune partie importante de leurs messages ne soit perdue en raison d'une mauvaise communication ou la « traduction » elle-même…Compte tenu de la diversité des cultures, des différences entre les économies industrialisées et les économies émergentes qui, bien sûr, définissent l'influence des nations sur la scène internationale, est-il possible que la potentielle langue universelle émerge en raison de ces facteurs ou d'un consensus international, c'est-à-dire le choix d'une langue spécifique ou la construction d'une nouvelle langue? Dans le cas d'une langue existante, se pourrait-il que ce soit l'anglais, l'espagnol ou le français? Le monolinguisme mondial émergera-t-il sans effort ou naturellement, ou est-ce un vœu pieux ou une utopie? Le but de ce livre est de considérer la question en analysant d'abord le mécanisme et le dynamisme du langage ou de la parole comme moyen de communication. Ce type d'analyse se concentrera sur la façon dont le langage est acquis, utilisé et évolué pour déterminer si de tels processus sont propices à la naissance d'une toute nouvelle langue mondiale. Ensuite, le livre se penchera sur les initiatives – actives et passives – prises par des chercheurs et des linguistes précédents et actuels dans le but d'universaliser le langage humain. Troisièmement, il examinera les obstacles à de telles initiatives et le sort des principales langues vivantes actuelles tels que l'anglais, le français, l'espagnol et le chinois avant de formuler des recommandations. Enfin, si une langue maternelle mondiale émergeait – spontanément ou artificiellement – aura-t-elle un impact culturel important sur la population mondiale? Quelles seraient ses limites?
Language is a beautiful thing. It unites us in our differences. It is one of the most amazing features of human beings. It gives us the ability to communicate complex thoughts, emotions, and intent. That ability is written in our DNA.... more
Language is a beautiful thing. It unites us in our differences. It is one of the most amazing features of human beings. It gives us the ability to communicate complex thoughts, emotions, and intent. That ability is written in our DNA. Humans have an innate predisposition to learn languages. Despite this biological predisposition, language had to first evolve. It took our species by surprise. It was sort of a Eureka moment, an epiphany when the first Homo Sapiens discovered he could communicate using his vocal apparatus…Today, with globalization, the need to communicate quickly and efficiently has never been greater. Nations still take pride in their languages, but some people wish, openly or in their inner selves, there could be a universal or global language spoken by all human beings so that no important part of their messages be lost because of miscommunication or translation itself…Considering the diversity of cultures, the differences between industrialized and emerging economies, which, of course, define the influence of nations on the international scene, is it possible that the potential universal language emerges as a result of these factors or from an international consensus, meaning the choice of a specific existing language or the construction of a new one? In the case of an existing language, could it be English, Spanish, or French? … Will the world’s monolingualism emerge effortlessly or naturally, or is it wishful thinking or a utopia? The goal of this book is to consider the issue by, first, analyzing the mechanism and the dynamism of language or speech as a means of communication. This type of analysis will focus on how language is acquired, used, and evolved to determine whether such processes are conducive to the birth of a brand new global language. Then, the book will look at the initiatives – active and passive – taken by both previous and current scholars and linguists alike in an attempt to universalize human language. Thirdly, it will consider the barriers to such initiatives and the fate of the current major spoken languages such as English, French, Spanish, and Chinese before making any recommendations. Finally, should a global native language emerge – spontaneously or artificially – will it have a significant cultural impact on the world population? What would its limits be?