Location via proxy:   [ UP ]  
[Report a bug]   [Manage cookies]                
Skip to main content
Charles KRAEMER
  • 27, rue de la Gare
    F - 88380 - ARCHES
  • 0033 6 03 28 55 79

Charles KRAEMER

Compte rendu d'Alexandre LAUMOND Référence à rappeler : LAUMOND (Alexandre), Kraemer (Ch.) Koch (J.), dir., Vivre dans la montagne vosgienne au Moyen Âge. Conquête des espaces et culture matérielle, Nancy, PUN-Éditions universitaires de... more
Compte rendu d'Alexandre LAUMOND
Référence à rappeler : LAUMOND (Alexandre), Kraemer (Ch.) Koch (J.), dir., Vivre dans la montagne vosgienne au Moyen Âge. Conquête des espaces et culture matérielle, Nancy, PUN-Éditions universitaires de Lorraine, 2017, 342 p., Annales de la société d'émulation du département des Vosges (ASEV), 26, 2016, p. 96-98.
Les questions de l’anthropisation de la montagne vosgienne et de la culture matérielle de ses habitants ont été abordées lors de la rencontre, de Gérardmer et Munster, du 30 août au 1er septembre 2012. Pensée non comme un aboutissement... more
Les questions de l’anthropisation de la montagne vosgienne et de la culture matérielle de ses habitants ont été abordées lors de la rencontre, de Gérardmer et Munster, du 30 août au 1er septembre 2012.  Pensée non comme un aboutissement mais comme un état des lieux des Vosges médiévales - alsaciennes, lorraines et comtoises – elle a réuni une vingtaine de spécialistes de tous horizons institutionnels reconnus dans leur discipline  L’ouvrage destiné aux universitaires, aux décideurs autant qu’à un large public s’articule autour de 4 thèmes : les cadres naturels, l’anthropisation et la mise en valeur, le peuplement et les formes d’habitat, les ressources naturelles le les savoir-faire.
Sous l’impulsion de Jean-Baptiste Prosper Jollois – membre de l’expédition française en Égypte où il s’initia à l’archéologie de 1798 à 1802, et co-auteur de la prestigieuse Description d’Égypte en vingt-trois volumes –, le département... more
Sous l’impulsion de Jean-Baptiste Prosper Jollois – membre de l’expédition française en Égypte où il s’initia à l’archéologie de 1798 à 1802, et co-auteur de la prestigieuse Description d’Égypte en vingt-trois volumes –, le département des Vosges, où il occupa le poste d’ingénieur des Ponts et Chaussées de 1819 à 1822, connut de considérables fouilles archéologiques. Celles-ci firent l’objet de rapports de fouilles argumentés, dans lesquels la part de l’iconographie fut essentielle. Pour la réaliser, Jollois s’entoura de compétences locales, notamment du célèbre artiste peintre Charles Pensée, dont l’œuvre qu’il donna à la Société d’émulation du département des Vosges – conservée au musée départemental d’Art ancien et contemporain, à Épinal – a servi, en 1843, à l’illustration du Mémoire sur quelques antiquités remarquables du département des Vosges. Moins connu, son oncle, l’arpenteur forestier et géomètre Henri Hogard, qui le forma aux mathématiques et au dessin, fut membre, dès sa fondation en 1820, de la Commission départementale à pratiquer des fouilles. Il s’intéressa surtout à quelques monuments de l’époque médiévale, dont il laissa quelques planches inédites. Ce fonds documentaire composé de relevés cotés et riches en couleurs reste, par son souci du détail et en dépit des techniques de représentation désuètes, une référence pour l’archéologue d’aujourd’hui.Kraemer Charles. L’œuvre de Henri Hogard, membre de la commission des Antiquités du département des Vosges (1820-1824) ou La production archéographique vosgienne du XIXe siècle au service de la recherche actuelle. In: Images et relevés archéologiques : de la preuve à la démonstration. Actes du 132e Congrès national des sociétés historiques et scientifiques, « Images et imagerie », Arles, 2007. Paris : Editions du CTHS, 2008. pp. 7-32. (Actes des congrès nationaux des sociétés historiques et scientifiques, 132-1
This book is consecrated to the first results of research in Kilwa (Saudi Arabia). This unique monastery has delivered a considerable quantity of data for the landscape of this religious community.
Dans le cadre de son cycle de rencontres annuelles, la Societe d'emulation du departement des Vosges (SEV) vous convie a la conference de l'anthropologue Perrine MUNARO, le mardi 18 novembre, a 20:30, a l'amphitheâtre de... more
Dans le cadre de son cycle de rencontres annuelles, la Societe d'emulation du departement des Vosges (SEV) vous convie a la conference de l'anthropologue Perrine MUNARO, le mardi 18 novembre, a 20:30, a l'amphitheâtre de la Faculte de Droit, a Epinal. Presentation de la conference Le dernier sommeil des nobles dames qui reposent en la Basilique Saint Maurice a ete maintes fois trouble. La revolution, les inondations et les travaux de restauration ne leur ont pas offert un repos paisible. U...
Kraemer Charles, Rouillon Michel. Saint-Ame (Vosges). Le Saint-Mont. . In: Archéologie médiévale, tome 21, 1991. pp. 326-328
Fruit d’une these preparee dans le cadre du Laboratoire d’Archeologie medievale de l’Est de la France (UMR 7002 « Moyen Âge »), soutenue en juin 2004 et dont la qualite a ete soulignee par une mention tres honorable assortie des... more
Fruit d’une these preparee dans le cadre du Laboratoire d’Archeologie medievale de l’Est de la France (UMR 7002 « Moyen Âge »), soutenue en juin 2004 et dont la qualite a ete soulignee par une mention tres honorable assortie des felicitations, l’ouvrage de Guillaume Huot-Marchand, sur La ceramique de poele en Lorraine au Moyen Âge et au debut de l’epoque moderne, repond au souhait du jury de publier rapidement la synthese que l’auteur a defendue en s’appuyant sur un corpus riche de onze mille...
Situe dans un contexte de basse montagne dans l'actuel departement des Vosges, aux confins de la Lorraine et de la Bourgogne, le Saint-Mont, autrefois le Mont Habend est la premiere implantation monastique de Lorraine. ; Il est... more
Situe dans un contexte de basse montagne dans l'actuel departement des Vosges, aux confins de la Lorraine et de la Bourgogne, le Saint-Mont, autrefois le Mont Habend est la premiere implantation monastique de Lorraine. ; Il est installe dans l'enceinte d'un castrum dont tout porte a croire qu'il n'etait pas abandonne contrairement a ce qu'en disent les recits hagiographiques. ; La conjonction de l'archeologie et des sources litteraires et iconographiques, a permis de cartographier avec une relative certitude, l'ensemble des constructions qui s'y sont succedees au cours des principales periodes d'occupation : colombanienne, augustine et benedictine. ; Ce travail constitue de la sorte un premier bilan des connaissances concernant ce site, occupe jusqu'a la Revolution, laisse a l'etat de ruine puis vendu comme Bien National au debut du xixc siecle.
Cette etude tente de mesurer le role du château dans la genese et le developpement de la feodalite aux marches de l'empire germanique et du royaume de France. Elle s'interesse egalement a ses bâtisseurs, ses habitants et a leur... more
Cette etude tente de mesurer le role du château dans la genese et le developpement de la feodalite aux marches de l'empire germanique et du royaume de France. Elle s'interesse egalement a ses bâtisseurs, ses habitants et a leur cadre de vie. Elle se fonde sur un corpus de 110 sites etabli a partir des archives des cadastres et du terrain. Elle a mis en evidence deux types d'habitat les châteaux ou forteresses princieres et les residences de l'aristocratie terrienne, fortifiees ou non. Les premiers, huit au total, apparaissent des le IXe siecle mais se multiplient surtout apres la seconde moitie du XIe siecle. Ce sont des sites de hauteur, puis posterieurement a 1250, des sites de plaine. En regle generale, ils sont laisses a la garde de ministeriaux. Le deuxieme groupe est compose des residences de la petite et moyenne noblesse. Elles sont le plus souvent edifiees en fond de vallee. Les plus anciennes sont signalees vers 1050 il s'agit alors de châteaux sur motte et d'enceintes circulaires defendus par une simple circonvallation ; ils sont le plus souvent construits a l'ecart de l'habitat paysan. A partir de la 2nde moitie du XIIe s. , ils disparaissent au profit de "maisons" en pierre, bâties a l'oree des villages, sur une parcelle quadrangulaire habituellement limitee par un fosse. Ce type se propage tout au long de l'epoque moderne, jusqu'a la revolution.
S'il est, en Europe occidentale, un phénomène avant tout médiéval, c'est bien celui de l'émergence des villes. Elles existent, certes, bien avant cette période, dès l'Antiquité, définissant ce que les... more
S'il est, en Europe occidentale, un phénomène avant tout médiéval, c'est bien celui de l'émergence des villes. Elles existent, certes, bien avant cette période, dès l'Antiquité, définissant ce que les historiens ont appelé le premier réseau urbain. Dans le GrandEst , celui-ci se réduit aux chefs-lieux des cités gallo-romaines : Metz, Toul, Verdun, Besançon, Langres et Strasbourg, qui deviendront, au Moyen Âge, le centre des diocèses et qui sont, pour la plupart, devenus de grandes métropoles régionales. Il s'agit donc d'un réseau lâche, à peine gonflé de quelques agglomérations dites secondaires, les vici comme Deneuvre, Escles, Grand, pour ne citer que des exemples vosgiens qui, lorsqu'ils existent encore, sont bien souvent restés figés à l'état de villages, au mieux de petits bourgs ruraux. Dès le Xe siècle, l'essor économique et l'explosion démographique des campagnes président à la mise en place de nouveaux centres de peuplement dont certains sortent du lot pour constituer, peu à peu, ce qu'il est désormais commun d'appeler le second réseau urbain. « Forme la plus complexe d'interdépendance entre les hommes », la ville médiévale, pour reprendre la description qu'en donne Jacques Le Goff 1 , est : « d'abord une société foisonnante, concentrée sur un petit espace au milieu de vastes étendues faiblement peuplées. C'est ensuite un lieu de production et d'échanges où se mêlent l'artisanat et le commerce alimentés par une économie monétaire. C'est aussi le centre d'un système de valeurs particulier d'où émergent la pratique laborieuse et créatrice du travail, le goût pour le négoce et l'argent, le penchant au luxe, le sens de la beauté. C'est encore un système d'organisation d'un espace clos de murailles où l'on pénètre par des portes et chemine par des rues et des places et qui est hérissé de tours ». L'existence de défenses urbaines, qui délimitent un espace doté d'un certain nombre de fonctions, constitue donc, pour bon nombre d'historiens et d'archéologues, une des douze caractéristiques qui permettent de classer parmi les villes certaines des agglomé-rations médiévales. Les plans de voirie, l'existence d'un marché, d'un atelier monétaire, d'un centre judiciaire, d'une charte de franchise-entendons les droits, privilèges, libertés accordés par un seigneur à un groupe d'habitants, qui leur confèrent le statut de bourgeois-mais aussi la position géographique, une économie diversifiée, un parcellaire et une architecture caractéristiques, une différenciation sociale voire le nombre d'habitants, en sont d'autres qui, pris individuellement ne suffisent cependant pas à faire d'un noyau de peuplement une ville en gestation.
La recherche sur la maison forte au Moyen Âge, initiee dans les pays anglo-saxons au cours des annees 1960, s’elargit, au travers d’inventaires nombreux, a l’ensemble de l’Europe occidentale durant la decennie suivante. Mais ce n’est que... more
La recherche sur la maison forte au Moyen Âge, initiee dans les pays anglo-saxons au cours des annees 1960, s’elargit, au travers d’inventaires nombreux, a l’ensemble de l’Europe occidentale durant la decennie suivante. Mais ce n’est que dans les annees quatre-vingt que ce type d’habitat de la noblesse rurale, le plus souvent edifie sur une terrasse fossoyee, quadrangulaire et de faible hauteur par rapport au sol environnant, est reellement distingue du château sur motte et basse cour des xie...
1. PRÉSENTATION GÉNÉRALE ET ÉTAT DE LA RECHERCHE (Ch. K.) 1.1. Contexte géographique et géologique Entre Commercy, au nord, et Neufchâteau, au sud, Vaucouleurs occupe un replat dominé à l’ouest par la côte calcaire de l’oxfordien, un... more
1. PRÉSENTATION GÉNÉRALE ET ÉTAT DE LA RECHERCHE (Ch. K.) 1.1. Contexte géographique et géologique Entre Commercy, au nord, et Neufchâteau, au sud, Vaucouleurs occupe un replat dominé à l’ouest par la côte calcaire de l’oxfordien, un talus à forte pente tourné vers l’est, et la plaine alluviale de la Meuse, qui culmine à 250 m environ et dans laquelle s’écoule un petit affluent de sa rive gauche : la Vaise, qui traverse de part en part la bourgade (fig. 227). 1.2. Historique des recherches Le..

And 91 more

Référence à rappeler Charles KRAEMER, "Thierry Dechezleprêtre, Katherine Gruel, Martine Joly, ss la dir., Agglomérations et sanctuaires : réflexions à partir de l’exemple de Grand, Actes du colloque de Grand, 20-23 octobre 2011, Epinal,... more
Référence à rappeler
Charles KRAEMER, "Thierry Dechezleprêtre, Katherine Gruel, Martine Joly, ss la dir., Agglomérations et sanctuaires : réflexions à partir de l’exemple de Grand, Actes du colloque de Grand, 20-23 octobre 2011, Epinal, Conseil départemental des Vosges, 2015 ; 464 p. et 258 fig., Annales de la société d'émulation du département des Vosges (ASEV), 26, 2016, p. 91-92.
Référence à rappeler : Charles KRAEMER, "Thierry Dechezleprêtre, ss la dir. , Grand : Archéologie et territoire, Volume 1, Épinal, Archives départementales des Vosges, 2013, 254 p.", Annales de la Société d'émulation du département des... more
Référence à rappeler : Charles KRAEMER, "Thierry Dechezleprêtre, ss la dir. , Grand : Archéologie et territoire, Volume 1, Épinal, Archives départementales des Vosges, 2013, 254 p.", Annales de la Société d'émulation du département des Vosges (ASEV), 26, 2016, p. 89-90
Référence papier Charles KRAEMER, « Koch (Jacky), L’art de bâtir dans les châteaux forts en Alsace (Xe-XIIIe siècles) », Revue d’Alsace, 142 | 2016, 444-445. Référence électronique Charles Kraemer, « Koch (Jacky), L’art de bâtir dans... more
Référence papier
Charles KRAEMER, « Koch (Jacky), L’art de bâtir dans les châteaux forts en Alsace (Xe-XIIIe siècles) », Revue d’Alsace, 142 | 2016, 444-445.

Référence électronique
Charles Kraemer, « Koch (Jacky), L’art de bâtir dans les châteaux forts en Alsace (Xe-XIIIe siècles) », Revue d’Alsace [En ligne], 142 | 2016, mis en ligne le 01 octobre 2016, consulté le 30 décembre 2018. URL : http://journals.openedition.org/alsace/2443