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Bulletin de la Société historique de Lisieux, n° 69, 2010
Centre généalogique de Loire-Atlantique, 2013
Deux types de sceaux sont connus pour le Maréchal. Le premier est sans doute celui qu'il adopta lors de son adoubement ou après la validation de son mariage en 1422, le second résultant de l'augmentation d'armoiries concédée par le roi Charles VII en septembre 1429, peu après l'avoir nommé maréchal de France à l'occasion de ses sacre et couronnement le dimanche 17 juillet précédent. Autant l'initial célèbre la parenté et les ancêtres de Gilles de Rays, autant l'autre est tout à sa propre glorification. Mais avant d'analyser de manière plus approfondie ces deux représentations sigillaires et de voir quels enseignements elles apportent sur le personnage et ses rapports à son entourage familial ou princier, il faut d'abord se préoccuper des interrogations qui font douter de l'authenticité du premier d'entre eux.
Proposition d'explication du changement d'armoiries des Chabot de Rais par Girard V. Soutien à Charles de Blois après Auray (1364). Opposition à Jean de Montfort. Origine de la croix noire (Kroaz du) bretonne. La sirène héraldique psychopompe. Diffusion de l'aigle des Valois. Cet article a été publié en version augmentée et définitive en 2022 : Yves Airiau, « La croix de Rays [Retz], du xive au xxie siècle : du signe seigneurial à l’emblème d’un pays, approche héraldique, sigillographique et vexillologique du sème cruciforme », Bulletin de la Société des Historiens du Pays de Retz – Études en ligne, 2022-01, mars 2022 (m. à j. avril 2023), 115 p. Une version papier illustrée, sans appareil critique, a été publiée concurremment : Yves Airiau, « La croix de Rays [Retz], du xive au xxie siècle : du signe seigneurial à l’emblème d’un pays », Bulletin de la Société des Historiens du Pays de Retz, n° 34, 2022, p. 15-34.
Annales du Comité Flamand de France, tome 67 (2011)
The seals of Jean de Flandre-Dampierre, évêque de Metz, puis de Liège.
La revue du Centre généalogique de Loire-Atlantique, 2015
Présentation de la bourse armoriale attribuée à Pierre de Dreux (v. 1187-1250) dont le dessin est conservé à la réserve du département des estampes de la Bibliothèque nationale de France et analyse héraldique. Description et examen de la gouache réalisée pour Gaignières et du travail préparatoire de relevé effectué au préalable. Analyse héraldique de chacune des armoiries à partir de sa description et de sa représentation. Le présupposé de parentés avec le possesseur de la bourse étant une piste possible, recherche de celles-ci pour chacune des familles étudiées. Proposition de désignation, reprenant et amendant éventuellement les attributions de Montfaucon et Bouchot réalisées également en présupposant l’identité du propriétaire. Si nécessaire, une ou des nouvelles hypothèses envisagées. Afin que le travail soit le plus exhaustif possible, pour chaque examen, renvois aux armoriaux et sceaux, se fondant autant que possible sur le référencement déjà dressé à leur sujet dans l’édition critique de l’armorial Le Breton. Sont passées au crible les mentions trouvées dans les corpus sigillographiques, les armoriaux, les relations des tournois du XIIIe siècle, qu’ils soient légendaires ou réels, et dans les textes des contemporains décrivant des armoiries. Pour chaque famille possédant les armes figurées, analyse plus ou moins brève de celles-ci puis recherche d'un porteur possible en enquêtant sur ses liens avérés ou éventuels avec Pierre de Dreux jusqu’au décès de celui-ci, dont les relations liées à son rôle « d’éducateur » chevaleresque. Enfin, étude d’ensemble, à la fois chromatique et héraldique, mais aussi de la répartition et de la répétition des armoiries. Article publié en trois parties dans la revue du Centre généalogique de Loire-Atlantique, 1er trim. 2015, n° 158, p. 35-53 (ici 1-19), 3e trim. 2015, n° 159, p. 23-43 (ici 20-40), 1er trim. 2016, no 160, p. 34-53 (ici 41-60).
2017
Full text of the conference proceedings: Marc Libert & Jean-François Nieus (eds), Le sceau dans les Pays-Bas méridionaux, Xe-XVIe siècles. Entre contrainte sociale et affirmation de soi. Actes du colloque de Bruxelles et Namur, 27-28 novembre 2014, Brussels, 2017 (Archives et bibliothèques de Belgique. Numéro spécial, 103).
Nouvelle revue d'onomastique, 2018
Revue française d'héraldique et de sigillographie - Etudes en ligne, 2018
English abstract The seals of the lords and ladies of Rozoy : the future of the three heraldic roses of Thiérache. First part : origins CAROLINE SIMONET Rozoy is a small fiefdom located in Thiérache, in the North of France. Their lords, a modest noble lineage, managed to extend their domains and authority thanks to strategic marriages, inheritances and land purchases during the Twelfth and first part of the Thirteenth Century. They succeeded in having a son elected as bishop of Laon, one of the most important see of the kingdom, located not far away from Rozoy. The Rozoy are well-known concerning heraldry and sigillography thanks to the great equestrian seal of Alix, wife of Roger II de Rozoy : the lady is surrounded by the three heraldic roses of the lineage. This successful image tends to outshine the other seals owned by this family and the way the three roses were represented on them. This first article is dedicated to the emergence of seals and coats of arms in the Rozoy family in 1180-1210. Renaud, first Lord of Rozoy having a seal, didn’t use any coat of arms. However, his wife Julienne de Rumigny and his son Roger Irst had roses engraved on their great seals from 1195 on. Julienne used the same matrix for 13 years at least : the dowager’s figure is flanked by two roses. But the legend was reengraved, a new land replacing Rozoy in 1208. Did Julienne already owned her seal when she was still married to Renaud or was it engraved in 1195, at the same moment of her son’s first matrix ? Roger owned not one, as we thought till now, but two successive equestrian great seals and a small seal used as a counter-seal, all ornamented with the Rozoy coat of arms. There is no imprint of the seal of Roger’s wife, so we can’t maintain she used the three roses. A future article will analyse the next generation’s seals.
Archéologie du Midi médiéval, 2016
N. Bock, I. Foletti et M. Tomasi, L'évêque, l'image et la mort. Identité et mémoire au Moyen Âge, Rome : Viella, 2014
Revue française d'héraldique et de sigillographie-Études en ligne, 2020
"Pourquoi les sceaux ?"
Revue française d'héraldique et de sigillographie - Etudes en ligne, 2021
Bulletin de la Socéité de Borda, 2014
Cathédrale de Bourges, textes réunis par Irène Jourd’heuil, Sylvie Marchant et Marie-Hélène Priet, Presses Universitaires François-Rabelais, Tours, 2017
Pecia, vol. 2 (2003), p. 39-64
Bulletin monumental, 2016
Revue française d'héraldique et de sigillographie - Etudes en ligne, 2017
Routiers et mercenaires pendant la guerre de Cent ans, Hommage à Jonathan Sumption, (dir.) Guilhem Pépin, Françoise Lainé, Frédéric Boutoulle, Bordeaux, 2016
Revue française d'héraldique et de sigillographie - Etudes en ligne, 2019
Les femmes, la culture et les arts en Europe entre Moyen Âge et Renaissance, actes de colloque (Université Lille3, mars 2012), édités par C. Brown et A.-M. Legaré, Brepols, Turnhout, 2016, p. 327-344.
Le retable d'Orchaise. Héraldique et pouvoir en val de Loire. Mémoires de la Société des Sciences et Lettres du Loir et Cher, 2017
Revue française d'héraldique et de sigillographie-Études en ligne, 2020
Noms de lieux, noms de personnes, 2018