La Monopole Et Le Monopsone
La Monopole Et Le Monopsone
La Monopole Et Le Monopsone
Le monopole et le monopsone
Préparé :
MOUSSAOUI NACER
BELGHALI ISMAIL
SAYYAD YASSINE
ESSBIHIABDESLAM
Sous la direction de :
Au moyen âge, les corporations et les métiers assurent pour les activités qu’elles
encadrent strictement des obligations de respect de qualité et de formation des
apprentis et de leur employé.
A l’époque classique, les pouvoirs publics s’octroient des monopoles à des fins
fiscales (par ex : Gabelle tirée de la vente du sel)
Ou accordent ainsi des monopoles pour une durée déterminée acertainés opérations
internes ou externes. Ainsi la doctrine du mercantilisme (et notamment sa variante
française : le colbertisme) accorde le privilège de monopole pour mieux
promouvoir sur le plan économique des fins défensives ou offensives.
Problématique:
Notre travail basé sur la problématique suivante :
1
Dans le cadre de notre travail nous allons essayer d’en répondre, pour ce faire nous
commencerons par traiter le coté concernant la définition et les caractéristiques du
monopole ainsi que l'équilibre de ce derniers. Par la suite nous exposerons la
situation de monopsone et son courbe d'offre
2
Chapitre I : Le monopole
L’existence d’un seul offreur : pour une multitude de demandeurs, sans qu’il soit
possible à de nouveaux concurrents d’accélération au marché.
3
public, opéré par la collectivité elle-même. En république démocratique du Congo,
notre pays, les exemples des monopoles sont nombreux, qu’on peut citer le secteur
de l’eau (la REGIDESO), le secteur de l’électricité (la SNL Société Nationale
d’Electricité) e plusieurs secteurs de services comme les assurances (avec la
SONAS ou Société Nationale de l’assurance), le service de dédouanement de
certains produits stratégiques comme le pétrole (avec SEP ou Service des
Entreprises Pétrolière), etc.
Cependant de la délivrance d’un monopole légal sur une durée déterminé et sur un
produit ciblé en échange de la publication des spécifications de ce produit constitue
l’instrument essentiel d’encouragement à l’innovation (brevet). Il s’agit alors de
permettre à l’innovateur à se rembourser de ses couts (recherche et développement)
et de recevoir une juste rétribution de son investissement grâce à la rente de
monopole qui lui est accordée. En contrepartie, il doit, pour le brevet, publier les
propriétés de fabrication ainsi protégées.
4
par des décisions entreprises et en les mettant indépendants les unes par rapport aux
autres.
Le monopole local : est une entreprise qui dispose d’une situation de monopole
dans une sous de l’espace géographique ou l’espace des produits. Ce concept sert à
désigner les entreprises qui sont en pratique en situation de monopole vis-à-vis de
leurs demandes, même si elles sont d’une taille réduite au regard tu marché
d’ensemble pour un bien.
On peut prendre pour exemple le cas d’une station dans une
région isolée, sans concurrents à moins de 50 kilomètres. Une telle station
peut augmenter ses prix d’autant que cela coute aux automobilistes de faire
50 kilomètre pour aller chez le concurrent. Ce type de rente est
conceptuellement équivalent à celui des rentes issues d’un monopole. On
peut aussi penser aux restaurants de plage, ou aux cafés de certains musées
ou sites. Dans l’espace des produits, on peut penser à une entreprise servant
des biens très spécialisés, par exemple en étant la seule à importer un bien
exotique dont la demande est faible.
Le monopole discriminant : dans le cas ci-dessus présenté le monopole vend son
produit à un prix unique. Soit il fixe un prix unique pour toutes les catégories
d’acheteurs, ici le monopole n’exploite pas la disponibilité à payer des plus riches
qui seraient prêt à payer plus pour obtenir le bien.
Le monopoleur peut, dans le cas d’un monopole discriminant, augmenter son profit
en faisant payer différents prix à des catégories d’acheteurs différents. C’est la
discrimination, car les plus riches sont toujours disposés à acheter unmême bien à
un prix élevé. La discrimination peut se faire de plusieurs manières : dans les
hôpitaux, pour un même service médical, le plus riche peut être disposé à payer
plus pourvu qu’il soit mis seul dans son propre appartement ; dans le terrain, la
place à occuper joue largement sur le prix ; dans des casinos, on peut réserver les
places vip (veryimpotantperson ), etc.
Ceci ne lui permet pas pour autant de fixer un prix élevé. En cherchant à maximiser
son profit le monopole doit tenir compte des dispositions à payer des
consommateurs. En effet, s’il fixe un prix trop élevé, peu de consommateurs
achèteront ses produits et sa recette sera faible. A l’opposé, s’il propose un prix
faible, de nombreux consommateurs seront prêts à acheter ses produits mais sa
recette sera également faible. Le monopole doit donc prendre en compte la
réaction des consommateurs vis-à-vis du changement de prix (l’élasticité de la
demande par rapport au prix).
Dans la situation de monopole les biens produits par le monopoleur n’ont pas de
substituts proches, par conséquent l’élasticité prix de la demande est faible ou
nulle.
Une entreprise en CPP est « Price Taker » la quantité qu’elle vend n’influence pas
les prix. Ainsi si elle décide de produire moins, son chiffre d’affaire chute et la
clientèle qu’elle ne satisfait plus s’adresse à la concurrence. A l’inverse une firme
en monopole ne connait pas de concurrence, les consommateurs n’ont ainsi qu’un
choix limité. Consommer plus ou moins d’un bien unique suivant le prix fixé, ce
qui confère au monopole le pouvoir d’être un faiseur des prix « Price Maker ».
Etant donnée que la demande est une fonction décroissante du prix, plus il produit,
plus il doit baisser son prix de vente. Le monopole doit donc déterminer le prix el la
quantité à produire qui maximisent son profit. C’est son niveau de production qui
va lui permettre de fixer son prix.
Le profit du monopole est toujours égal à la différence entre ses recettes et ses
coûts, mais ses recettes dépendent de la demande.
La demande du monopole
La fonction de la demande constitue pour le monopoleur une contrainte qui lui
interdit de fixer librement les prix et la quantité vendue, s’il choisit la valeur d’une
variable, la valeur de l’autre s’impose à lui.
7
P = 𝑓 −1 (𝑄) qui est la fonction inverse de la demande. Cette fonction indique
le prix maximal auquel la quantité Q peut être écoulée sur le marché.
Plus le monopole produit plus il doit baisser son prix de vente. C’est pour cette
raison qu’il est judicieux d’exprimer le prix P en fonction de la quantité Q.
Le prix diminue à mesure que la quantité vendue augmente.
Le prix augmente à mesure que la quantité vendue diminue.
La fonction de recette moyenne n’est donc rien d’autre que la fonction de demande
inverse p=f(Q).
En situation de CPP la RM du producteur (price taker) est constante, quel que soit
le volume de la production, à l’inverse dans le cas du monopole la recette moyenne
est une fonction décroissante de Q, dans le cas d’une fonction de demande linéaire,
la fonction de la RM qui est la fonction réciproque elle est aussi linéaire.
8
La fonction de la recette totale : RT = P.Q = RM. Q
𝑹𝑻 = −𝒂. 𝑸𝟐 + 𝐛. 𝑸 = 𝑸. (−𝒂. 𝑸 + 𝒃)
9
FIG 2
11
FIG. 3
la production optimale Q* est définie par l’abscisse de l’intersection entre la courbe
de la recette marginale et la courbe du coût marginal. Le monopoleur peut écouler
cette production au prix P*. ce prix se lit sur la courbe de la demande du marché,
soit comme la courbe de la demande est identique à la courbe de la recette
moyenne, en regardant quelle recette moyenne (prix unitaire) peut être obtenue
pour une production Q*. le monopole réalise alors un profit égal au produit de la
quantité Q* et de la marge bénéficiaire (P*- CM(Q*)). Ce profit est représenté sur
le graphique par l’espace hachurée.
A la différence de l’entreprise en CPP le monopole maximise son profit en
produisant une quantité telle que son Cm de production est inférieur au prix payé
par les consommateurs.
II . 2 : l'équilibre à long terme
On sait pour qu’un monopole existe, il faut qu’il n’ait qu’une seule entreprise dans
la branche. Cela implique alors que l’entrée dans la branche soit fermée. Ainsi si
des profits économiques existent à courte terme, aucune nouvelle entreprise ne
serait tentée d’entrer dans l’industrie pour avoir des parts de ce profit, par
conséquent les profits ne seront pas éliminés dans le long terme comme le cas du
marché de CPP.
Pour maximiser ses profits à long terme, le monopoleur devra ajuster le volume de
sa production en fonction des conditions de la demande du marché. En effet à long
terme le monopole a le temps de développer la taille de se installations et
équipements pour atteindre une échelle optimale. Autrement, sa position serait plus
garantie et son maintien seul dans la branche serait remis en cause, car les
12
monopoles ne durent pas longtemps, en raison de la stratégie offensive des
entreprises concurrentes.
La forme de la courbe de coûts moyens de long terme est le facteur essentiel pour
déterminer si un marché fonctionne de façon concurrentielle ou comme monopole.
Dans le cas d’un monopole, les rendements d’échelle croissants impliquent que le
coût moyen à long terme est décroissant, des économies d’échelle importantes et le
coût marginal toujours inférieur au coût moyen. D’autre part l’échelle optimale est
atteinte lorsque la courbe de coût moyen de courte terme est tangente à sa courbe
de coût moyen de long terme, l’équilibre de LT correspond donc au point
d’intersection des courbes de Rm, de Cm à long terme et de Cm à courte terme.
Rm= Cm à CT = Cm à LT
13
C’est ce qui est illustré sur le graphique :
FIG.4
14
Chapitre II : Le monopsone
Le monopsone est une forme de marché dans laquelle il y a un seul acheteur et une
infinité de vendeurs.il s’agit d’un exemple de la concurrence imparfaite qui est
symétrique du de production.
Alors que le monopsone peut être analysé pour tout type de marché.
On appelle monopsone une situation de marché ou il n’y a qu’un seul acheteur face
à un grand nombre de vendeur.
Sur le marché du travail : c’est le cas dans une agglomération où il n’y a qu’une
seule entreprise.la faible mobilité des travailleurs (liée au cout de cette mobilité)
engendre une situation de monopsone.
En économie, un monopsone contrarié est une situation où, sur un marché, un seul
demandeur se trouve face à quelques offreurs. portail de l’économie catégorie.
Ce phénomène se manifeste tout d’abord par une courbe d’offre de facteur (O)
à pente positive (graphique ci-après) ; le prix est ainsi une fonction croissante
des quantités utilisées.par ailleurs, le monopsoneur doit considérer sa fonction
de dépense marginale, qui représente le supplément de cout total lié a l’achat
d’une unité supplémentaire de facteur de production.
Ainsi la courbe de dépense marginale (Dma) a une pente positive, est située a
gauche de la courbe d’offre, et croit plus vite que cette dernière. L’illustration
donnée parle tableau ci-dessous permet de comprendre pourquoi :
16
Quantité de Prix unitaire du Cout total Dépense marginale
facteur utilisée facteur
1 10 10 -
2 12,5 25 15
3 15 45 20
4 17,5 70 25
5 20 100 30
1
Micro économie tome 2
17
II . 2 : l'équilibre du monopsone
A O
Pm
Rvm
Qm Quantité utilisé
La fonction d’offre inverse (q=f(p)) est représentée sur le graphique par la
droite (O), Les coûts totaux du monopsoneur sont :
CT = (Po, Q) = aQ²+bQ
18
facteur utilisée se lit en projetant à ce point sur l’axe des abscisses, c’est- à
–dire (Qm).Le prix unitaire du facteur de production se lit en projetant la
quantité utilisée sur la courbe d’offre, soit (Pm).
19
Chapitre 3 : cas pratique – ONCF-
Après le rachat des deux concessions octroyées à la Compagnie des Chemins de Fer
du Maroc et la Compagnie des Chemins de Fer du Maroc Oriental, l'Etat marocain a
signé avec chacune d'elles une convention de prise en charge par l'Etat du service
1
public des transports ferroviaires.
La direction générale de l'ONCF est assurée par le directeur général nommé par
dahir, son conseil d'administration est présidé par le directeur général lui-même, il
est composé par les représentants des départements ministériels.
Cependant, depuis juillet 2002, l'ONCF a entrepris la mise en œuvre d'un projet de
réorganisation de l'ensemble du Réseau par Centre de coûts et Unités d'affaires,
sachant que jusqu'à cette datte l'articulation de l'organisation générale du Réseau a
gravité autour de l'ensemble des grands services techniques que sont principalement
les services chargés de l'infrastructure, les matériels moteurs et remorqués,
l'exploitation et le commercial, auxquels il y a bien entendu lieu d'ajouter les
services financier et administratif.
1
Dahir n. 1-63-182, B.O. 9 Août 1963, p. 1294 et rectif. B.O. 16 Août 1963, p. 1330 et Dahir n. 1-63-183,
B.O. 9 Août 1963, p. 1294 et rectif. B.O. 16 Août 1963, p. 1330.
20
Les premières lignes construites à voie de 0,60m ont été établies à partir de 1916, et
ce n'est qu'en 1923 que la construction des voies à écartement normal a été confiée à
trois Compagnies concessionnaires privées :
L’ONCF est administré, sous la tutelle du Ministère chargé des transports, par un
conseil d’administration présidé par le ministre, et dirigé par un Directeur Général
nommé par un Dahir.
L’organisation, bien que simplifiée en 1995, a donné une importance aux fonctions
de production des services et ne répond pas parfaitement au souci de la satisfaction
du client. En vue de renforcer la compétitivité et l’orientation commerciale de sa
gestion, l’ONCF a mis en place à compter du 1er juillet 2002 de nouvelles structures
reposant sur des unités d’affaires (Voyageurs, Fret et Phosphate).
A cet effet, des actions ont été engagées pour préparer la transformation imminente
du cadre juridique de l’ONCF, l’ouverture du secteur ferroviaire et la réalisation de
grands chantiers.
21
Organisation
22
I . 2 : Missions et Activités
Missions de l'ONCF
L'ONCF a depuis sa création gardé son statut d'entreprise publique ayant pour
objectif d'assurer les missions suivantes :
Par ailleurs, nul doute que les mutations profondes qui caractérisent
l’environnement à l’aube du 21ème siècle imposent à l’entreprise ferroviaire
de doubler d’efforts pour réadapter en permanence son offre aux nouvelles
données du marché, tout en œuvrant pour la mise à niveau de son appareil de
production moyennant la réhabilitation de l’augmentation de la capacité du
réseau
C’est ainsi que les nouvelles missions de l’ONCF s’articulent autour des
axes suivants : Les nouvelles missions de l’ONCF sur :
o Le plan commercial:
On peut citer :
23
Une meilleure maîtrise des coûts ;
o Le Plan organisationnel :
o Le plan technique :
La desserte de la Ligne Grande Vitesse (TGV);
24
Le renforcement des installations de sécurité et de signalisation ;
Activité de l'ONCF
Pour ce qui est de l'activité de transport, l'ONCF opère sur 3 marchés
stratégiquement indépendants, à savoir:
25
- Pôle Infrastructure et Circulation: Ce pôle est chargé des activités
d'infrastructure et de circulation dans la continuité par rapport à l'existant tout
en veillant à garantir la disponibilité, la sécurité et la qualité de l'infrastructure
ferroviaire.
"2015 a été une année charnière pour l’ONCF, caractérisée par l’achèvement d’un
cycle riche en réalisations et l’amorce d’un nouveau tournant dans le processus de
son développement. Les efforts se sont accentués sur tous les fronts pour maintenir
le cap de la modernisation du réseau ferroviaire national, et l’ONCF a pu démontrer
encore une fois sa capacité à relever les défis et à produire de la valeur, dépassant
même les objectifs qui lui étaient assignés"1
1
Mot du directeur Général
26
Le transport de passagers
2015 est une année marquante, avec le franchissement pour la première fois dans
l’histoire de l’entreprise du cap des 40 millions de voyageurs (39.5 millions de
passagers en 2014 contre 38 millions en 2013) ! L’activité Voyageurs suit une
progression régulière (+1,3 %) avec un chiffre d’affaires de 1,5 milliard de
dirhams. Ce succès est le fruit d’efforts continus pour améliorer la qualité de nos
services, à travers la ponctualité, la sécurité, l’information, le confort, etc., et
répondre à notre ambition d’offrir des services à la hauteur des attentes de nos
clients.
Fret et Logistique
A fin 2015, le volume de marchandises transportées atteint 31,7 millions de tonnes,
générant ainsi un chiffre d’affaires de 1 950 millions de dirhams, soit une
progression par rapport aux prévisions budgétaires de 5 % en produits de trafics et
10 % en volumes. Les secteurs d’activité les plus concernés par ces bons
résultats étant ceux de l’automobile, de l’agriculture et des hydrocarbures.
Projet d'investissement
7,5 milliards de dirhams mobilisés en 2015, dont 4 milliards pour la Ligne à
Grande Vitesse, et 3,5 milliards pour la modernisation du réseau existant.
Rappelons qu’il s’agit notamment du triplement de la voie ferrée entre Casablanca
et Kenitra, du doublement complet de la ligne Casablanca- Marrakech, du
renforcement des installations de sécurité et de sûreté, mais aussi de la construction
ou la modernisation de nouvelles gares, etc.
Tous ces travaux, y compris ceux de la Ligne à Grande Vitesse, sont sur la bonne
voie et ainsi nous permettent de voir l’avenir avec optimisme !
Aussi avec plus de 33 milliards de dirhams d’investissement, le contrat
programme 2010-2015 passé avec l’État a permis d’initier une gigantesque
remise à niveau de l’ensemble du réseau et des gares ferroviaires du Maroc.
Le pays est aujourd’hui un leader continental du secteur, qui s’apprête à
déployer la première Ligne à Grande Vitesse d’Afrique.
L’ONCF s’y prépare d’autant mieux, que ce nouveau bon technologique
devrait lui permettre, plus que jamais, de promouvoir une mobilité durable
et partagée par tous.
27
Fiche signalétique
Raison sociale l’Office National des Chemins de Fer
28
Le carte ferroviaire marocaine
29
Quelques chiffres
30
Conclusion
A l’étude, un monopole peut servie de levier tant à la construction d’une position
dominante qu’à l’exploitation abusive de cette position sur le marché ; par
conséquent, on est en droit de penser que le monopole de propriété industriel
semble confirmer la règle selon laquelle << tout monopole est dangereux pour la
concurrence>>. A une époque où la clientèle est devenu pour les entreprise un
durée rare, la propriété industriel risque donc facilement de devenir un simple
instrument d’abus commercial, voir une arme anticoncurrentielle.
En réalité, e risque n’est point propre à l’espace OAPI, aux Etats-Unis aussi une
tendance admis sans tergiversation que le titulaire d’un brevet possède d’un
pouvoir suffisant pour que sa conduit tombe sous le coup des lois auxtitres. Bien
plus, le danger ne s’arrête pas là. En effet, les contrats de licence que les titulaires
des droits de propriété industrielle concluent sont susceptibles de dissimuler des
ententes illicites voir des concentrations d’entreprise.
31
Bibliographie :
http://www.oncf.ma/
https://fr.wikipedia.org/
32
Introduction .................................................................................................... 1
Problématique: ............................................................................................... 1
Chapitre I : Le monopole ...................................................................... 3
Section 1 : généralités sur le monopole ........................................................................................ 3
I-1 : Définitions et caractéristiques............................................................................................ 3
Section 2 : l'équilibre du monopole ............................................................................................... 5
II . 1 : l'équilibre à court terme ................................................................................................ 10
Chapitre II : Le monopsone .............................................................. 15
Section I : la situation du monopsone ......................................................................................... 15
I-1 : définition .......................................................................................................................... 15
I-2 : le monopsone contrarié ................................................................................................... 15
Section 2 : le comportement du monopsone............................................................................... 15
II . 1 : la courbe d'offre du monopsone ................................................................................... 15
II . 2 : l'équilibre du monopsone .............................................................................................. 18
Chapitre 3 : cas pratique – ONCF- ........................................ 20
Section 1 : présentation de l'ONCF .............................................................................................. 20
I .1 : historique de l’ ONCF ....................................................................................................... 20
I . 2 : Missions et Activités ....................................................................................................... 23
Section 2 : structure et vision de L'ONCF ..................................................................................... 25
II . 1 : structure de l’ONCF........................................................................................................ 25
II . 2 : Chiffres clés 2015 ........................................................................................................... 26
Conclusion ......................................................................................................... 31
Bibliographie : ............................................................................................... 32
33