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Mathématique Terminale C

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Mathématique Terminale C Page 1

MOT DE MADAME LA MINISTRE DE L'ÉDUCATION NATIONALE

L’école est le lieu où se forgent les valeurs humaines indispensables pour le développement harmonieux d’une
nation. Elle doit être en effet le cadre privilégié où se cultivent la recherche de la vérité, la rigueur intellectuelle, le
respect de soi, d’autrui et de la nation, l’amour pour la nation, l’esprit de solidarité, le sens de l’initiative, de la
créativité et de la responsabilité.

La réalisation d’une telle entreprise exige la mise à contribution de tous les facteurs, tant matériels qu’humains.
C’est pourquoi, soucieux de garantir la qualité et l’équité de notre enseignement, le Ministère de l’Éducation
Nationale s’est toujours préoccupé de doter l’école d’outils performants et adaptés au niveau de compréhension
des différents utilisateurs.

Les programmes éducatifs et leurs guides d’exécution que le Ministère de l’Éducation Nationale a le bonheur de
mettre aujourd’hui à la disposition de l’enseignement de base est le fruit d’un travail de longue haleine, au cours
duquel différentes contributions ont été mises à profit en vue de sa réalisation. Ils présentent une entrée dans les
apprentissages par les situations en vue de développer des compétences chez l’apprenant en lui offrant la
possibilité de construire le sens de ce qu’il apprend.

Nous présentons nos remerciements à tous ceux qui ont apporté leur appui matériel et financier pour la
réalisation de ce programme. Nous remercions spécialement Monsieur Philippe JONNAERT, Professeur titulaire
de la Chaire UNESCO en Développement Curricula ire de l’Université du Québec à Montréal qui nous a
accompagnés dans le recadrage de nos programmes éducatifs.

Nous ne saurions oublier tous les Experts nationaux venus de différents horizons et qui se sont acquittés de leur
tâche avec compétence et dévouement.

A tous, nous réitérons la reconnaissance du Ministère de l’Éducation Nationale.

Nous terminons en souhaitant que tous les milieux éducatifs fassent une utilisation rationnelle de ces
programmes éducatifs pour l’amélioration de la qualité de notre enseignement afin de faire de notre pays, la Côte
d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020, selon la vision du Chef de l’État, SEM Alassane OUATTARA.

Merci à tous et vive l’École Ivoirienne !

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LISTE DES SIGLES

A.P. Arts Plastiques


A.P.C. Approche Par Compétence
A.P.F.C. Antenne de la Pédagogie et de la Formation Continue
All. Allemand
Angl. Anglais
C.A. F.O.P Centre d’Animation et de Formation Pédagogique
C.M. Collège Moderne
C.N.F.P.M.D. Centre National de Formation et de Production du Matériel Didactique
C.N.M.S Centre National des Matériels Scientifiques
C.N.R.E Centre National des Ressources Educatives
C.O.C Cadre d’Orientation Curriculaire
D.D.E.N. Direction Départementale de l’Education Nationale
D.E.U.G. Diplôme d’Etude Universitaire Générale
D.R.E.N. Direction Régionale de l’Education Nationale
D.P.F.C. Direction de la Pédagogie et de la Formation Continue
D.R.H. Direction des Ressources Humaines
E.D.H.C. Education aux Droits de l’Homme et à la Citoyenneté
E.P.S. Education Physique et Sportive
Esp. Espagnol
Fr Français
FOAD Formation à Distance
Hist-Géo Histoire et Géographie
I.G.E.N. Inspection Générale de l’Education Nationale
I.O. Instituteur Ordinaire
I.A. Instituteur Adjoint
L.M. Lycée Moderne
L.Mun. Lycée Municipal
M.E.N. Ministère de l’Education Nationale
Math. Mathématique
S.V.T. Sciences de la Vie et de la Terre
P.P.O. Pédagogie Par Objectif
PHYS-CHIMIE Physique Chimie
U.P. Unité Pédagogique

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TABLE DES MATIERES

Mathématiques TERMINALE C

N° RUBRIQUES PAGES
1. MOT DE MME LA MINISTRE
2. LISTE DES SIGLES
3. TABLE DES MATIÈRES
4. INTRODUCTION
5. PROFIL DE SORTIE
6. DOMAINE DES SCIENCES
7. REGIME PEDAGOGIQUE
8. TABLEAU SYNOPTIQUE
9. CORPS DU PROGRAMME EDUCATIF
10. GUIDE D’EXÉCUTION
11. PROGRESSION
PROPOSITIONS DE CONSIGNES, SUGGESTIONS PEDAGOGIQUES ET
12.
MOYENS
13. SCHEMA DU COURS APC
14. EVALUATION EN APC

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INTRODUCTION

Dans son souci constant de mettre à la disposition des établissements scolaires des outils pédagogiques de
qualité appréciable et accessibles à tous les enseignants, le Ministère de l’Éducation nationale vient de procéder
au toilettage des Programmes d’Enseignement.

Cette mise à jour a été dictée par :


- La lutte contre l’échec scolaire ;
- La nécessité de cadrage pour répondre efficacement aux nouvelles réalités de l’école ivoirienne ;
- Le souci de garantir la qualité scientifique de notre enseignement et son intégration dans l’environnement ;
- L’harmonisation des objectifs et des contenus d’enseignement sur tout le territoire national.

Ces programmes éducatifs se trouvent enrichis des situations. Une situation est un ensemble de circonstances
contextualisées dans lesquelles peut se retrouver une personne. Lorsque cette personne a traité avec succès la
situation en mobilisant diverses ressources ou habilités, elle a développé des compétences : on dira alors qu’elle
est compétente.

La situation n’est donc pas une fin en soi, mais plutôt un moyen qui permet de développer des compétences ;
ainsi une personne ne peut être décrétée compétente à priori.

Chaque programme définit pour tous les ordres d’enseignement, le profil de sortie, le domaine disciplinaire, le
régime pédagogique et il présente le corps du programme de la discipline.
Le corps du programme est décliné en plusieurs éléments qui sont :
- La compétence ;
- Le thème ;
- La leçon ;
- Un exemple de situation ;
- Un tableau à deux colonnes comportant respectivement :
 Les habiletés : elles correspondent aux plus petites unités cognitives attendues de l’élève au terme d’un
apprentissage ;
 Les contenus d’enseignement : ce sont les notions à faire acquérir aux élèves

Par ailleurs, les disciplines du programme sont regroupées en cinq domaines :


- le Domaine des langues comprenant le Français, l’Anglais, l’Espagnol et l’Allemand ;
- le Domaine des sciences et technologie regroupant les Mathématiques, la Physique-Chimie, les Sciences
de la Vie et de la Terre et les TICE ;
- le Domaine de l’univers social concernant l’Histoire-Géographie, l’Éducation aux Droits de l’Homme et à la
Citoyenneté et la Philosophie ;
- le Domaine des arts comportant les Arts Plastiques et l’Éducation Musicale ;
- le Domaine du développement éducatif, physique et sportif prenant en compte l’Éducation Physique et
Sportive.

Toutes ces disciplines concourent à la réalisation d’un seul objectif final, celui de la formation intégrale de la
personnalité de l’enfant. Toute idée de cloisonner les disciplines doit, de ce fait, être abandonnée.

L’exploitation optimale des programmes recadrés nécessite le recours à une pédagogie fondée sur la
participation active de l’élève, le passage du rôle de l’enseignant, de celui de dispensateur des connaissances
vers celui d’accompagnateur de l’élève.

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I. PROFIL DE SORTIE

A la fin du second cycle de l’enseignement secondaire de la série C (Sciences Mathématiques), l’élève doit avoir
acquis des compétences lui permettant de traiter des situations relatives:
- à la géométrie du plan (Vecteurs et points du plan ; Produit scalaire, Droites et cercles dans le plan,
Angles inscrits ; Angles orientés et trigonométrie, Géométrie analytique du plan, Barycentre)
- à la géométrie de l’espace (Droites et plans de l’espace, Vecteurs de l’espace, Orthogonalité dans
l’espace, Géométrie analytique dans l’espace)
- aux transformations du plan (Isométries du plan, Similitudes directes du plan, Nombres complexes et
transformations du plan)
- aux calculs algébriques (Ensemble de nombres réels, Polynômes et fractions rationnelles, Equations et
inéquations dans etdans , Systèmes linéaires, Nombres complexes)
- aux fonctions (Fonctions et applications, Fonctions et Transformations du plan, Limite et continuité,
Dérivation, Etude et représentation graphique de fonction, Suites numériques, Primitives, Fonctions
logarithmes, Fonctions exponentielles et puissances, Calcul intégral, Suites numériques, Équations
différentielles)
- à la modélisation d’un phénomène aléatoire (Dénombrement, Probabilités)
- à l’organisation et au traitement des données (Statistiques à une variable, Statistiques à deux
variables)
- à l’arithmétique.

II. DOMAINE DES SCIENCES

Le domaine des sciences et technologie est composé de quatre disciplines :


- les mathématiques
- la physique-chimie
- les sciences de la vie et de la terre
- les technologies de l’information et de la communication à l’école (TICE).

Les mathématiques fournissent les outils indispensables à l’étude des autres disciplines du domaine. En effet, les
biologistes par exemple étudient l’évolution de certains micro-organismes qui se multiplient rapidement en ayant
recourt à des modèles mathématiques.
Les mathématiques sont utilisées en physique, notamment en électricité et en mécanique.

III.REGIME PEDAGOGIQUE

En Côte d’Ivoire, l’année scolaire comporte 32 semaines.

Nombre Nombre Pourcentage par rapport à l’ensemble


Discipline
d’heures/semaine d’heures/année des disciplines
MATHEMATIQUE 8 256 24,24%

IV. TABLEAU SYNOPTIQUE DES PROGRAMMES RECADRES DE MATHEMATIQUES - SERIE C

COMPETENCE 1

N° THEME SECONDE C PREMIERE C TERMINALE C


1. Thème 1 : Leçon 1 : Vecteurs et Leçon 1 : Géométrie Leçon 1 : Barycentre -
Géométrie du points du plan analytique du plan Lignes de niveaux
plan Leçon 2 : Produit scalaire Leçon 2 : Barycentre Leçon 2 : Coniques
Leçon 3 : Droites et Leçon 3 : Angles orientés
cercles dans le plan et trigonométrie
Leçon 4 : Angles inscrits

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Leçon 5 : Angles orientés
et trigonométrie
2. Thème 2 : Leçon 1: Droites et plans Leçon 1 : Vecteurs de Leçon 1 : Géométrie
Géométrie de de l’espace l’espace analytique dans l’espace
l’espace Leçon 3 : Orthogonalité
dans l’espace
3. Thème 3 : Leçon 1 : Utilisation des Leçon 1 : Composition de Leçon 1 : Isométries du
Transformations symétries et translations transformations plan
du plan Leçon 2 : Homothéties et Leçon 2 : Similitudes
Rotations directes du plan
Leçon 3 : Nombres
complexes et
transformations du plan

COMPETENCE 2

N° THEMES SECONDE C PREMIERE C TERMINALE C


1. Thème 1 : Leçon 1 : Ensemble de Leçon 1 : Equations, Leçon 1 : Nombres
Calculs nombres réels inéquations et systèmes complexes
algébriques Leçon 2 : polynômes et linéaires
fractions rationnelles
Leçon 3 : Equations et
inéquations dans
Leçon 4 : Equations et
inéquations dans
2. Thème 2 : Leçon 1 : Généralités sur Leçon 1 : Fonctions et Leçon 1 : Limites et
Fonctions les fonctions applications continuité
Leçon 2: Etude des Leçon 2 : Fonctions et Leçon 2 : Dérivabilité et
fonctions élémentaires Transformations du plan étude de fonctions
Leçon 3 : Limites et Leçon 3 : Primitives
continuité Leçon 4: Fonctions
Leçon 4: Dérivation logarithmes
Leçon 5: Etude et Leçon 5: Fonctions
représentation graphique exponentielles, fonctions
d’une fonction puissances
Leçon 6 : Suites Leçon 6 : Calcul Intégral
numériques Leçon 7 : Suites
Numériques
Leçon 8 : Equations
différentielles

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COMPETENCE 3

N° THEMES SECONDE C PREMIERE C TERMINALE C


1. Thème 1 : Leçon 1 : Dénombrement Leçon 1 : Probabilité
Modélisation Leçon 2 : Probabilités conditionnelle et variable
d’un aléatoire
phénomène
aléatoire
2. Thème 2 : Leçon 1 : Statistique à Leçon 1 : Statistique à Leçon 1 : Statistique à
organisation et une variable une variable deux variables
traitement des
données

COMPETENCE 4

N° THEMES SECONDE C PREMIERE C TERMINALE C


1. Thème 1 : Leçon 1 : Divisibilité dans Z
Arithmétique Leçon 2 :Plus petit commun
multiple - Plus grand
commun diviseur de deux
entiers relatifs

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CORPS DU PROGRAMME EDUCATIF
MATHEMATIQUES - TERMINALE C

COMPETENCE 1

Traiter une situation relative à la géométrie du plan, à la géométrie de l’espace et aux transformations du plan

THEME1 : GEOMETRIE DU PLAN

Leçon : Barycentre - Lignes de niveaux

Exemple de situation
Une baignoire de bébé peut contenir 30 litres d'eau.
Sur les conseils d'un pédiatre, une jeune maman cherche à la remplir d'eau
à 34°C mais elle éprouve des difficultés. Elle dispose pour cela d'eau froide
à 10°C et doit faire bouillir de l'eau à 100°C.
On admet que la température de l'eau est la moyenne des températures
de l'eau froide et de l'eau bouillante affectées des coefficients égaux à la
quantité d'eau froide et d'eau bouillante.
Elle sollicite sa petite sœur en classe de terminale qui sollicite a son tour
ses camarades de classe pour déterminer la quantité d'eau il faut faire
bouillir.

HABILETÉS CONTENUS
- la définition du barycentre de n points pondérés
- la définition de l’isobarycentre de n points pondérés
- la propriété relative à l’homogénéité du barycentre
- le théorème des barycentres partiels
- la propriété relative aux coordonnées du barycentre
- la propriété relative à l’ensemble des barycentres de trois points non alignés
i=n
- la propriété relative à la réduction de :  i𝑀𝐴⃗, i
Connaître i=1
i=n
- la propriété relative à la réduction de :  i MAi2, i
i=1
- la propriété relative à la ligne de niveau de l’application : M Mes ( )
- la propriété relative à la ligne de niveau de l’application : M
i=n
- la propriété relative à la ligne de niveau de l’application : M  i MAi2
i=1
Noter - le barycentre de n points pondérés
Écrire - un point comme barycentre de npoints pondérés
i=n
Réduire -  i𝑀𝐴⃗i
i=1

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i=n
-  i MAi2, i
i=1
- les lignes de niveaux des applications de l’un des types :
i=n
 M  i MAi2
i=1
Déterminer MA
 M
MB
 M Mes ( )
- des lieux géométriques en utilisant le barycentre
- le barycentre de 2, 3 ou 4 points pondérés
- les lignes de niveau, dans le plan, des applications de l’un des types :
i=n
 M  i MAi2
Construire i=1
MA
 M
MB
 M Mes ( )
- qu’un point est barycentre de n points pondérés
Justifier
- que des points sont alignésen utilisant le barycentre
- que des droites sont concourantesen utilisant le barycentre.
- une propriété géométrique en utilisant le barycentre
Traiter une situation - faisant appel au barycentre

Leçon 2 : Coniques
Exemple de situation
Le professeur de mathématique d'une classe de
terminale C explique comment Archimède aurait mis le
feu à la flotte romaine qui assiégeait la ville de
Syracuse en utilisant des miroirs.
Il utilise le résultat que tout rayon lumineux parallèle à
l’axe d’un miroir parabolique se réfléchit en un rayon
passant par le foyer (F) : un miroir parabolique
concentre donc la lumière au foyer. Cette propriété est
utilisée dans certains télescopes et dans les fours
Solaires. Il suffit de placer l'objet à chauffer au foyer du
miroir parabolique.
Des élèves-ingénieurs ont récemment tenté de refaire
l’expérience et sont parvenus à mettre le feu à
un navire (immobile et bien sec) situé à une trentaine
de mètres en utilisant des miroirs achetés dans le
commerce.
Emerveillé par ces informations les élèves décident
d'étudier les paraboles, les hyperbole et les ellipses.

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paraboliques.
Habiletés Contenus
-la définition de foyer et de directrice
Connaître -la définition de l’excentricité, des sommets
-la définition de l’axe focal
-l’équation réduite d’une parabole, d’une ellipse et d’une hyperbole
Reconnaître - les éléments remarquables : paramètre, sommets, axe focal, foyers, directrices,
asymptotes, demi distance focale
 l’équation réduite d’une conique à partir de l’équation ax² + by² + 2cx + 2dy + e = 0
Déterminer avec a et b non tous nuls
 les éléments remarquables d’une conique connaissant l’équation réduite
Représenter graphiquement une conique
Traiter une situation faisant appel aux coniques

THEME 2 : GEOMETRIE DE L’ESPACE

Leçon 1 : Géométrie analytique dans l’espace


Des élèves de terminale du club architecture d'un
lycée veulent aménager un espace pour l'exposition de
leurs travaux. Ils savent que les plan dans une
construction droivent être perpendiculaires ou bien
parallèles sinon l'oeuvre peut s'écrouler.
Pour réussir la construction, ils décident d'étudier les
positions relatives de deux plans dans l'espace.

HABILETES CONTENUS
- La définition d’un vecteur normal à un plan de l’espace
- La définition de la distance d’un point à un plan de l’espace
Connaître - La caractérisation d’un plan de l’espace par un point et un vecteur normal
- Une équation cartésienne d’un plan de l’espace
- Une représentation paramétrique d’une droite de l’espace
- Une équation cartésienne d’un plan défini par un point et un vecteur normal
- La distance d’un point à un plan connaissant une équation cartésienne de ce plan de
l’espace
- Une représentation paramétrique d’une droite connaissant un point et un vecteur directeur
- La position relative (parallèles, perpendiculaires, sécants) :
Déterminer
 D’une droite et d’un plan de l’espace ;
 De deux droites de l’espace
 De deux plans de l’espace,
les droites étant définies par une représentation paramétrique et les plans par une
représentation cartésienne.
- Qu’une droite est orthogonale à un plan défini par une équation cartésienne
Démontrer - Qu’une droite est parallèle à un plan défini par une équation cartésienne
- Que deux plans définis chacun par une équation cartésienne sont parallèles ou
perpendiculaires
Traiter une situation - faisant appel à la géométrie analytique de l’espace

THEME 3 : TRANSFORMATIONS DU PLAN


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LEÇON 1 : Isométries du plan

Exemple de situation
Dans le jeu du "triangle acrobate" on dispose d'un plateau quadrillé de cases triangulaires superposables et d'un
triangle mobile lui aussi superposable à chacun des triangles du plateau. Les cases sont numérotées. Le jeu
consiste à déplacer le triangle acrobate d'une case à une autre par une symétrie axiale selon un côté, par une
rotation autour d'un sommet ou par une translation suivant un côté. (voir figure ci-dessous)

Des élèves de terminales qui jouent à ce jeu depuis un certains temps décident d'étudier les transformations du
plan qui permettent de passer d'une case à une autre.

HABILETES CONTENUS
- la définition d’une isométrie
- la définition d’un déplacement
- la définition d’un antidéplacement
- les propriétés relatives à la conservation du produit scalaire, du barycentre, du
contact, l’orthogonalité, le parallélisme et l’alignement par une isométrie.
- les propriétés relatives à la composée :
Connaître  de deux isométries planes
 d’une rotation et d’une translation
 d’une rotation et d’une symétrie orthogonale
 d’une translation et d’une symétrie orthogonale
- les propriétés relatives à la décomposition :
 d’une translation en produit de symétries orthogonales
 d’une rotation en produit de symétries orthogonales

Classer
- des isométries à l’aide de leurs points invariants
- des isométries en déplacements et antidéplacements
- l’image d’une droite, d’un segment, d’un cercle par une isométrie
Déterminer
- la nature d’une isométrie connaissant l’ensemble de ses points invariants
- la nature de la composée de deux isométries
- des lieux géométriques en utilisant la composée de deux isométries
Démontrer
- une propriété géométrique en utilisant une isométrie plane
- une propriété géométrique en utilisant la composée de deux isométries
Construire
- l’image d’une droite, d’un segment, d’un cercle par une isométrie
- une figure en utilisant la composée de deux isométries planes
- une translation, une rotation en produit de symétries orthogonales
Décomposer - des isométries pour déterminer les éléments caractéristiques de la composée de
deux isométries du plan
Résoudre - des problèmes de construction en utilisant une isométrie du plan
Traiter une situation - faisant appel aux isométries planes

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Leçon 2: Similitudes directes du plan

Exemple de situation
Le système ci-contre permet de soulever une
charge placée en M.
Il est ramené à un plan rapporté au repère
orthonormal direct (A, , ). ABCD est un
carré de centre O et P un point se déplacant sur
[BC].
On appelle N l'image de P par la rotation de

centre A et d'angle et M le milieu de [NP].
2
Pour vérifier efficacité du système, les élèves de
terminale doivent déterminer les lieux
géométriques du point M lorsque P décrit [BC].
Un élève affirme que les point M est l'image du
point P par la composée d'une rotation et d'une
homothétie.
Pour vérifier ce résultat, les élèves décident
d'étudier les composées de rotations et
d'homothéties.

HABILETES CONTENUS
- la définition d’une similitude directe
- la définition de deux figures semblables
- la forme réduite d’une similitude directe
- les éléments caractéristiques d’une similitude directe
- la nature et les éléments caractéristiques de la bijection réciproque d’une similitude directe
- les propriétés relatives à la conservation :
 du parallélisme
 du barycentre
 du contact
 des angles orientés
Connaître
 de l’orthogonalité
 de l’alignement
- la propriété : toute similitude directe multiplie les distances par le rapport.
- la propriété relative à la composée d’une homothétie de rapport k et d’un déplacement
- la propriété relative à la composée de deux similitudes directes
- les propriétés relatives à la détermination d’une similitude directe donnée par :
- son centre, son rapport et son angle ;
- son centre, un point et son image
- son rapport, son angle , un point et son image
- deux points et leurs images
-l’image d’un point, d’une droite, d’un segment, d’un cercle par une similitude directe définie
par :
 son centre, son angle et son rapport
Déterminer
 son centre, un point et son image
 son rapport, son angle, un point et son image
 deux points et leurs images
Mathématique Terminale C Page 13
- les éléments caractéristiques d’une similitude directe définie par :
 son centre, un point et son image
 deux points et leurs images
- la nature et les éléments caractéristiques de la bijection réciproque d’une similitude directe
- les éléments caractéristiques de la composée de deux similitudes directes
- des lieux géométriques en utilisant une similitude directe du plan
- l’image d’un point, d’une droite, d’un segment, d’un cercle par une similitude directe définie
par :
 son centre, son angle et son rapport
Construire
 son centre, un point et son image
 son rapport, son angle, un point et son image
 deux points et leurs images
- des propriétés géométriques (parallélisme, orthogonalité, contact…) en utilisant une
Démontrer similitude directe
-que deux figures sont semblables
Calculer - des distances et des aires en utilisant une similitude directe
Résoudre - des problèmes de construction en utilisant une similitude directe
Traiter une situation - faisant appel aux similitudes directes du plan
Leçon 3 : Nombres complexes et géométrie du plan

Exemple de situation
Exemple de situation
Le système ci-contre permet de soulever une
charge placée en M.
Il est ramené à un plan rapporté au repère
orthonormal direct (A, , ), ABCD est un
carré de centre O et P un point se déplacant sur
[BC].
On appelle N l'image de P par la rotation de

centre A et d'angle et M le milieu de [NP].
2
Pour vérifier efficacité du système, les élèves de
terminale décident de déterminer les lieux
géométriques des points N et M lorsque P décrit
[BC].

HABILETES CONTENUS

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- les formules relatives à l’écriture complexe :
 d’une translation
 d’une symétrie centrale
 de la symétrie orthogonale par rapport à l’axe des abscisses
 de la symétrie orthogonale par rapport à l’axe des ordonnées
 d’une homothétie de centre Ω et de rapport λ
 d’une rotation de centre Ω et d’angle θ
Connaître
 d’une similitude directe
- les caractérisations complexes :
 des points alignés
 des triangles particuliers
 des points cocycliques
 d’un cercle
 d’une droite

-l’écriture complexe d’une :


 translation
 symétrie centrale
Reconnaître  symétrie orthogonale par rapport à l’un des axes de coordonnées
 homothétie
 rotation
 similitude directe
-l’écriture complexe d’une :
 translation
 symétrie centrale
 symétrie orthogonale par rapport à l’axe des abscisses
 symétrie orthogonale par rapport à l’axe des ordonnées
 homothétie de centre Ω et de rapport k
 rotation de centre Ω et d’angle θ
 similitude directe
-l’image d’un point, d’un segment, d’une droite, d’un cercle, d’un angle, par une
Déterminer transformation dont on connait l’écriture complexe
-les éléments caractéristiques, connaissant son écriture complexe, d’une :
 translation
 symétrie centrale
 symétrie orthogonale par rapport à un axe du repère
 homothétie
 rotation de centre Ω
 similitude directe
- des lieux géométriques à l’aide des nombres complexes
- la nature d’un triangle, d’un quadrilatère en utilisant les caractérisations complexes
Construire - des lieux géométriques
Démontrer - une propriété géométrique (points alignés, points cocycliques, angle droit, ...) en
utilisant les caractérisations complexes
Traiter une situation faisant appel aux applications géométriques des nombres complexes

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COMPETENCE 2

Traiter une situation relative aux calculs algébriques et aux fonctions

THEME 1 : CALCULS ALGEBRIQUES

Leçon 1 : Nombres complexes


Exemple de situation
Des élèves d'une classe de terminale s'interroge sur ce qu'il viennent de découvrir à l'exposition sur les journées
mathématiques organisées par la Société Mathématiques de Côte d'Ivoire (SMCI). Dans un stand sur les
équations on peut lire :
Au début du XVIème siècle, le mathématicien Scipione dal Ferro, propose une formule donnant une
solution de l'équation du 3ème degré x3 + px = q
² / ² /
x= +

A la fin du XVIème siècle, le mathématicien Bombelli applique cette formule à l'équation x3 - 15x = 4.
Il obtient littéralement : x = 2 − 11√−1 + 2 + 11√−1 .
Les élèves sont intrigués par la notation √−1 car depuis la classe de troisième ils savent que la racine carré d'un
nombre négatif n'existe pas. Leur professeur de mathématique explique qu'en mathématique, lorsqu'une une
équation n’a pas de solutions dans un ensemble, une démarche naturelle (et historique) consiste à en chercher
dans un ensemble plus grand. L’ensemble numérique le plus grand que l’on a rencontré est IR. Pourtant,
l’équation x² + 1 = 0 n’a pas de solutions dans IR. Il faut donc envisager un autre ensemble noté C contenant des
nombres imaginaires.
Les élèves décident d'en savoir d'avantage sur ce nouvel ensemble.

HABILETES CONTENUS
Partie réelle (𝑅𝑒) , Partie imaginaire (Im) d’un nombre complexe
Forme algébrique d’un nombre complexe
Forme trigonométrique d’un nombre complexe
-module et argument d’un nombre complexe
-module et argument du produit, de l’inverse, du quotient et de la puissance entière
d’un nombre complexe.
-Forme exponentielle (𝑟𝑒 )
Somme, produit quotient de deux nombres complexes
Conjugué d’un nombre complexe, propriétés
Identifier Egalité de deux nombres complexes
Affixe d’un point, d’un vecteur ;
Point image d’un nombre complexe
Vecteur image d’un nombre complexe.
Les racines carrées d’un nombre complexe
Une équation du second degré à coefficients complexes
Les racines 𝑛 è de l’unité
Les racines 𝑛 è d’un nombre complexe non nul
Formule de Moivre
Formule d’Euler
Connaître Les caractéristiques complexes d’un cercle, d’une droite
la forme algébrique, la forme trigonométrique d’un nombre complexe
la partie réelle, la partie imaginaire d’un nombre complexe
Déterminer
le conjugué d’un nombre complexe
le module et un argument d’un nombre complexe non nul

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des lieux géométriques à l’aide des nombres complexes
Les racines 𝑛 è d’un nombre complexe non nul
Calculer La somme, le produit et le quotient de deux nombres complexes
Linéariser Des puissances de cos 𝑥 𝑒𝑡 sin 𝑥 .
Une équation du second degré à coefficients complexes ainsi que des équations s’y
Résoudre
ramenant
Sur le cercle trigonométrique les images des racines 𝑛 è d’un nombre complexes
Placer
connaissant l’une d’elles.
les formules de Moivre et d’Euler pour transformer des produits en somme dans des
Utiliser
expressions trigonométriques.
Des points sont alignés à l’aide des nombres complexes
Démontrer
Des points sont cocycliques à l’aide des nombres complexes
Traiter une situation Faisant appel aux nombres complexes

THEME 2: FONCTIONS

Leçon 1 : Limites et continuité d’une fonction

Exemple de situation
Exemple de situation
Les élèves de Terminale s'exercent à la photographie au sein du club photo du lycée. Ils savent qu' en
photographie, la profondeur de champ correspond à la zone de l'espace dans
laquelle doit se trouver le sujet à photographier pour en obtenir une image que l'œil
considérera nette.
En optique, pour que la netteté s'étende de la distance a à la distance r, la mise au point
doit être faite à la distance p = (les distances sont exprimées en mètres).
Les élèvent souhaitent que la netteté s'étende de « 5 m à l'infini ».
Un élèves affirme alors que p = 10 - .
Ces camarades décident de vérifier cette formule et de faire des calculs pour déterminer la distance de
mise au point à choisir.

HABILETES CONTENUS
- les notions de branches paraboliques de direction celle de(OI) ou celle de (OJ) dans un
repère (O, I, J)
Identifier
- une racine n-ième d’un nombre positif
- une puissance d’exposant rationnel
- la propriété relative à la limite d’une fonction composée
- la propriété relative à la limite d’une fonction monotone sur un intervalle ouvert
- les propriétés relatives aux opérations sur les fonctions continues sur un intervalle
- la propriété relative à la composée de deux fonctions continues sur un intervalle
- les propriétés relatives à l’image d’un intervalle par une fonction continue :
 en utilisant son tableau de variation
Connaitre  en utilisant une méthode algébrique
- le théorème des valeurs intermédiaires :
Soit f une fonction continue sur un intervalle K, a et b deux éléments de K.
Tout nombre réel compris entre f(a) et f(b) a au moins un antécédent par f compris
entre a et b.
- les propriétés relatives aux fonctions continues et strictement
monotones sur un intervalle
Mathématique Terminale C Page 17
- les méthodes de dichotomie et de balayage
- les propriétés relatives aux puissances d’exposants rationnels
- une racine n-ième d’un nombre positif ( √𝑥ou 𝑥 ).
Noter
- une puissance d’exposant rationnel (𝑥 ).
- la limite d’une fonction
 en utilisant les limites de référence
 en utilisant une expression conjuguée
 en utilisant la définition d’un nombre dérivé
 en utilisant les propriétés de comparaison
(minoration, majoration et encadrement)
 en utilisant une égalité remarquable
- la limite d’une fonction composée
Déterminer
- l’image d’un intervalle par une fonction continue
 en utilisant son tableau de variation
 en utilisant une méthode algébrique
- une valeur approchée d’une solution d’une équation
- le nombre de solutions d’une équation du type f(x) = k
- la formule explicite d’une bijection réciproque quand cela
est possible
- un prolongement par continuité d’une fonction en un point
- la courbe de la bijection réciproque d’une bijection dans
un repère orthonormé
Représenter - graphiquement des fonctions du type :
 x↦ (nℕ*, xℝ∗ )
 x↦xr (r ℚ , xℝ∗ )
- graphiquement :
f(x)
 lim =0
x+ x
f(x)
 lim = + (resp)
Interpréter x+ x
f(x)
 lim =0
x x
f(x)
 lim =+ (resp)
x x
- qu’une fonction f est une bijection d’un intervalle ‫ ׀‬sur un intervalle J dans le cas où f est
continue et strictement monotone sur ‫׀‬.
- l’existence d’une unique solution de l’équation f(x) = m (m réel) sur un intervalle ‫׀‬, f étant
Démontrer continue et strictement monotone sur ‫׀‬
- l’existence d’une unique solution de l’équation f(x) = 0 sur un intervalle ouvert ]a ; b[ , f étant
continue et strictement monotone sur [a ;b]

Traiter une
faisant appel aux limites et à la continuité d’une fonction
situation

Leçon 2 : Dérivabilité et étude de fonctions

Exemple de situation

Mathématique Terminale C Page 18


Un proviseur décide de mettre en place un système de collecte des eaux de pluie sur un mur
aveugle, à l'arrière de la façade d’une classe du lycée.
Sur ce mur, de forme rectangulaire, deux tuyaux obliques doivent récupérer les eaux de pluie
pour les déverser dans un tuyau vertical aboutissant à un réservoir.

La figure ci-dessous est un schéma On le schématise par la figure


d’un système d’écoulement des eaux : suivante, où les distances sont
exprimées en mètres :

Sur ce plan, (MH) est la médiatrice de [DC].


Il s’agit de trouver, sur le mur de cette maison, la position du point M qui minimise la longueur
totale des tuyaux.
On note Q la projection de M sur (BC) et on prend comme variable la mesure en radian de
l'angle aigu BMQ = θ.

HABILETES CONTENUS
- la définition d’une fonction dérivable à gauche (respectivement à droite) en un point
- la définition des dérivées successives d’une fonction
- les nouvelles notations des dérivées successives ; ;…; (nℕ*)
Connaître
- les propriétés relatives à la dérivabilité d’une fonction sur un intervalle
- la propriété relative à la dérivée d’une fonction composée
- les propriétés relatives à l’inégalité des accroissements finis (les 2 formes)
Noter
- un nombre dérivé à gauche (respectivement à droite) d’une fonction
- les dérivées successives d’une fonction
Reconnaître - graphiquement un point d’inflexion
- le signe d’une fonction en utilisant ses variations
- le sens de variation d’une bijection réciproque d’une fonction f sur un intervalle J
connaissant le sens de variation de f sur un intervalle I
Déterminer
- le nombre dérivé de la fonction𝑓 en un point y0
- un point d’inflexion d’une courbe représentative d’une fonction
- des dérivées successives d’une fonction
Étudier - la dérivabilité d’une fonction définie par intervalles en un point de raccordement
- le nombre dérivé en un point d’une fonction composée
Calculer - les dérivées des fonctions de la forme :
 x↦ (nℕ*)

Mathématique Terminale C Page 19


 x↦xr (r ℚ , xℝ∗ )
 x↦ (nℕ*)
 x↦
- la dérivée d’une fonction composée
- graphiquement la bijection réciproque d’une bijection dans un repère orthonormé
- une demi-tangente
- graphiquement des fonctions du type :
 x↦ (nℕ*)
 x↦xr (r  Q, xℝ∗ )
Représenter - graphiquement une fonction :
 comportant une valeur absolue
 comportant une racine carrée
- graphiquement une fonction du type :
 x↦cos(ax+b)
 x↦sin(ax+b)
 x↦tan(ax+b)
Interpréter - graphiquement la dérivabilité à droite (resp. à gauche) d’une fonction en un point x0
Démontrer - qu’une fonction composée est dérivable en un point
l’inégalité des accroissements finis pour :
Utiliser  démontrer une inégalité
 établir un encadrement
Traiter une
situation - faisant appel à la dérivabilité et à la représentation graphique des fonctions

Leçon 3 : Primitives
Exemple de situation
Pour préparer un exposé en physique, une élève de terminale monte au rez-de-chaussée d'un immeuble
dans un ascenseur et se place sur un pèse-personne. Elle relève la mesure affichée sur le pèse-personne
au cours de son trajet jusqu'au 5ème étage. D'après les lois de la physique, on peut établir que la valeur
M (en kg) affichée par le pèse-personne, est liée à l'accélération a (en m/s) de la cabine et à la masse m
(en kg) de la personne.
L'objectif de cette activité de l'élève est d'établir la hauteur et la vitesse de la cabine à différents
instants.
On établit en mécanique que la vitesse instantanée de la cabine est la fonction dérivée de la fonction h
(la hauteur de la cabine en fonction du temps) et que l'accélération instantanée de la cabine est la
fonction dérivée de la vitesse. Ainsi, a(t) = v'(t).
Arrivée en classe elle demande à ses camarades de classe de l'aider à trouver la fonction v qui a pour
dérivée l'accélération a.

HABILETES CONTENUS
- la définition d’une primitive d’une fonction continue
- les primitives des fonctions de référence
- les primitives de :
Connaitre  𝑢′ + 𝑣′ ;𝜆𝑢′ (𝜆 ∈ ℝ)
 𝑣′ × 𝑢′𝑜𝑣 ; ; 𝑢′𝑐𝑜𝑠𝑢 ; 𝑢′𝑠𝑖𝑛𝑢 ; , 𝑟 ∈ ℚ\{1} ; 𝑢′ × 𝑢 ,𝑚 ∈ ℚ\{−1}

où 𝑢 et 𝑣 sont des fonctions dérivables
- l’ensemble des primitives d’une fonction continue
Déterminer - les primitives d’une fonction en utilisant les primitives des fonctions de référence
- la primitive d’une fonction qui prend une valeur donnée en un point donné,

Mathématique Terminale C Page 20


- les primitives d’une fonction du type :
 𝑢′ + 𝑣′, 𝜆𝑢′ (𝜆 ∈ ℝ)
 𝑣′ × 𝑢′𝑜𝑣 ; ; 𝑢′𝑐𝑜𝑠𝑢 ; 𝑢′𝑠𝑖𝑛𝑢 ; , 𝑟 ∈ ℚ\{1} ;𝑢′ × 𝑢 ,𝑚 ∈ ℚ\{−1}

où 𝑢 et 𝑣 sont des fonctions dérivables
Justifier - qu’une fonction est une primitive d’une fonction donnée
Traiter une situation - faisant appel aux primitives de fonctions
Leçon 4: Fonctions logarithmes

Exemple de situation
Le médico-scolaire de ta commune organise une campagne de dépistage de la fièvre typhoïde dans ton
établissement. Après avoir examiné n élèves pris au hasard, le médecin chef affirme que la probabilité
d’avoir au moins un élève non atteint de la fièvre typhoïde dans cet établissement est de 1- (0,325)n.
Afin de sensibiliser davantage les élèves contre cette maladie, le chef de l’établissement veut connaitre
le nombre minimum d’élèves tel que la probabilité d’avoir au moins un élève non atteint de la fièvre
typhoïde soit supérieur à 0,98. Il sollicite ta classe.
Après plusieurs essais infructueux avec la calculatrice, vous posez le problème à votre professeur de
Mathématique qui vous demande d’utiliser les propriétés algébriques de la fonction logarithme
népérien.
Curieux, chaque élève de la classe décide de s’informer sur la fonction logarithme népérien.

HABILETES CONTENUS
- la définition de la fonction logarithme népérien
- la définition de la fonction logarithme décimal
- les propriétés algébriques de la fonction logarithme népérien
- la dérivée de la fonction logarithme népérien
- le sens de variation de la fonction logarithme népérien
Connaitre - la représentation graphique de la fonction logarithme népérien
- les propriétés algébriques de la fonction logarithme décimal
- les limites de référence de la fonction logarithme népérien
- les fonctions dérivées des fonctions du type : lnou et lno|𝑢|
- les primitives des fonctions du type :

- la fonction logarithme népérien


Noter - la fonction logarithme décimal
- une fonction logarithme de base a (aℝ∗ \ {1})
- des équations ou inéquations faisant intervenir la fonctionln
Résoudre - une équation de la forme𝑥 = 𝑘 (kℝ∗ , nℕ*)
- une inéquation d’inconnue n de la forme 𝑞 ≥ aou q ≤ a(qℝ∗ ; aℝ∗ , nℕ*)
- les fonctions dérivées des fonctions du type : lnou et lno|𝑢|
Déterminer
- les primitives des fonctions du type : ,oùu est une fonction dérivable non nulle

Représenter
- graphiquement les fonctions du type : lnou et lno|𝑢|
- graphiquement une fonction faisant intervenir la fonction logarithme népérien
- les propriétés algébriques de la fonction logarithme népérien pour transformer une
Utiliser écriture
- les limites de référence pour calculer d’autres limites
Étudier - une fonction faisant intervenir la fonction logarithme népérien
Traiter une situation - faisant appel aux fonctions logarithmes

Mathématique Terminale C Page 21


Leçon 5: Fonctions exponentielles, fonctions puissances

Pour son premier stage pratique dans l’infirmerie de ton établissement, un étudiant en médecine reçoit
un élève malade. Il lui donne un médicament qu’il prend immédiatement.
La fonction qui modélise la masse M, en mg, de ce médicament encore présente dans son sang t heures
après sa prise du médicament est la fonction telle que : 𝑀(𝑡) = 50. 𝑒 , .
En vue de prescrire si possible d’autres médicaments plus tard, le stagiaire désire visualiser cette masse
M en fonction du temps t. Il sollicite ton professeur de Sciences de la vie et de la terre (SVT). Ce
dernier associe ta classe au projet.
Motivés pour la cause, les élèves de la classe s’organisent et décident de faire des recherches sur les
fonctions comportant la fonction exponentielle népérienne et les représenter graphiquement.
HABILETES CONTENUS

- la définition de la fonction exponentielle népérienne


- la définition d’une fonction exponentielle de base a
(aℝ∗ \ {1})
- la définition d’une fonction puissance d’exposant réel non nul
- les propriétés algébriques de la fonction exponentielle népérienne
- la dérivée de la fonction exponentielle népérienne
- le sens de variation de la fonction exponentielle népérienne
- la représentation graphique de la fonction exponentielle népérienne
Connaitre - les propriétés algébriques de la fonction exponentielle de base a (a ℝ∗ \ {1})
- les propriétés algébriques de la fonction puissance d’exposant réel non nul
- l’allure de la courbe représentative de la fonction
𝑥 ⟼ 𝑥 ; 𝛼 ≠ 0suivant que𝛼 < 1ou 𝛼 > 1.
- les limites de référence de la fonction exponentielle népérienne
- les fonctions dérivées des fonctions du type :
expou et 𝑢 ,𝛼𝜖ℝ∗
- les primitives des fonctions du type: 𝑢′𝑒 et 𝑢′𝑢 ,
m∈ ℝ\{−1}
-les propriétés relatives à la croissance comparée des fonctions logarithme népérien,
exponentielles et puissances

- la fonction exponentielle népérienne


Noter - une fonction exponentielle de base a (aℝ∗ \ {1} )
- une fonction puissance d’exposant réel non nul
Résoudre - des équations ou inéquations faisant intervenir des fonctions exponentielles
Déterminer
- les dérivées des fonctions du type : expou et 𝑢 (𝛼ℝ∗ )
les primitives des fonctions du type: 𝑢′𝑒 ; 𝑢′𝑢 ,m∈ ℝ\{−1}
- graphiquement les fonctions du type : expou et 𝑢 (𝛼ℝ∗ )
Représenter - graphiquement une fonction faisant intervenir la fonction exponentielle népérienne
- graphiquement une fonction faisant intervenir une fonction puissance d’exposant
réel non nul
- les propriétés algébriques de la fonction exponentielle népérienne pour transformer
une écriture
Utiliser
- les limites de référence pour calculer d’autres limites
- les limites sur la croissance comparée pour calculer d’autres limites
Étudier - une fonction faisant intervenir la fonction exponentielle népérienne
Mathématique Terminale C Page 22
- une fonction faisant intervenir une fonction puissance d’exposant réel non nul
Traiter une situation - faisant appel aux fonctions exponentielles et puissances

Leçon 6 : Calcul intégral

Exemple de situation
Exemple de situation
Au cours d’un exposé en Histoire- Géographie sur les infrastructures routières
réalisées en chine, les élèves de la promotion Terminale d’un établissement
secondaire apprennent que le pont de Zhijinghe à Hubei est un pont en arc qui
a été achevé en 2009. Afin de le construire, les ingénieurs ont été amenés à
étudier la résistance au vent.
Pour cela, ils ont calculé l’aire de la surface latérale grisée de la figure ci-dessous représentant un schéma
de ce pont.

Emerveillés par ces informations, les élèves de la promotion Terminale décident de s’informer sur le
calcul d’aire.

HABILETES CONTENUS
- la définition de l’intégrale d’une fonction continue
- la définition de la valeur moyenne d’une fonction continue sur un intervalle
- les propriétés de l’intégrale :
- linéarité
Connaitre
- signe de l’intégrale
- relation de Chasles
- inégalité et intégrale
- inégalité de la moyenne (les 2 formes)
- la technique de l’intégration par parties
- la technique du changement de variable affine
Noter - une intégrale

Mathématique Terminale C Page 23


- une intégrale en utilisant :
 les primitives des fonctions usuelles
 la relation de Chasles
 une intégration par parties
Calculer  un changement de variable affine
 une fonction du type u’× (f’0 u)
- une aire
- la valeur moyenne d’une fonction continue sur un intervalle
- une intégrale en utilisant la parité ou la périodicité d’une fonction

Déterminer
- le signe d’une intégrale
- un encadrement d’une intégrale
Interpréter - graphiquement une intégrale

x
Étudier - les variations des fonctions dutype : x⟼ f(t) dt
a

Représenter x
- une allure d’une fonction du type : x⟼ f(t) dt
a
Traiter une situation - faisant appel au calcul intégral

Leçon 7: Suites numériques

Exemple de situation
Dans le souci d’avoir assez de revenus pour l’organisation des festivités de fin d’année, le président de
la promotion terminale veut effectuer le placement de la somme de 300.000 CFA qu’ils ont dans leur
caisse au premier Janvier 2018.
Il se rend dans une structure bancaire et le banquier lui propose deux options.
Option 1 : le capital placé est augmenté de 2500 CFA à intérêts simples par mois
Option 2 : le capital placé augmentera de 5% de mois en mois pendant la durée du placement
Le budget de la manifestation étant de 400.000 CFA, le président voudrait connaitre l’option la plus
avantageuse pour obtenir rapidement cette somme avant la date de la manifestation fixée au début du
mois d’Août 2018.
Le major de cette promotion affirme que le problème peut être résolu à l’aide de suites particulières.
Forts de ces informations et voulant aider leur président, les élèves de la promotion terminale décident
de faire des recherches sur les suites arithmétiques et géométriques.

HABILETES CONTENUS
- la définition d’une suite :
 majorée
 minorée
 bornée
- la définition d’une suite :
Connaitre  convergente
 divergente
- les propriétés sur les suites monotones :
 Toute suite croissante et majorée converge
 Toute suite décroissante et minorée converge
- les propriétés sur la convergence des suites numériques
Mathématique Terminale C Page 24
 si (𝑢 )est une suite convergente vers a et f une fonction continue en a
alors la suite 𝑣 = 𝑓(𝑢 ) vers f(a)
 propriété page284 (CIAM TSM)
 les propriétés des suites récurrentes définies par une relation du type Un+1 =
f(Un)
- les propriétés sur la divergence des suites numériques
 Toute suite croissante et non majorée a pour limite +∞
 Toute suite décroissante et non minorée a pour limite −∞
- les propriétés sur la convergence :
 des suites géométriques
 des suites arithmétiques
 des suites du type n
- les théorèmes de comparaison
- les propriétés sur les limites et comportements asymptotiques comparés des suites (In
n) ; (aⁿ), a > 0 et (n),  réel
Savoir - mener un raisonnement par récurrence
Reconnaître
- une suite géométrique convergente ou divergente
- une suite du type nconvergente ou divergente
- qu’une suite est monotone
Démontrer - qu’une suite est majorée et/ou minorée
- qu’une suite est convergente ou divergente
Conjecturer - le comportement d’une suite récurrente
- la plus petite valeur de n telle que : 𝑢 ≥ 10 ,𝑝 ∈ ℕ
Déterminer - la plus petite valeur de n telle que :|𝑢 − 𝑙| ≤ 10 ,𝑝 ∈ ℕ
- la limite d’une suite
- une situation donnée à l’aide d’une suite :
 arithmétique
Traduire
 géométrique
 arithmético-géometrique
Traiter une situation - faisant appel aux suites numériques

Leçon 8 : Equations différentielles


Exemple de situation :
Un professeur cultive une colonie bactérienne de 1 000 bactéries à l’instant 0 avec ses élèves.
Ils constatent alors que l’accroissement de la population est proportionnel à cette population et double
en 4h. L'expérience consiste à déterminer le nombre de bactéries après 12 h.
pour cela, les élèves décident de traduire ses résultats sous forme d'équation et de le résoudre.

HABILETES CONTENUS
Connaitre - la définition d’une équation différentielle

Identifier - une équation différentielle

Justifier - qu’une fonction est solution d’une équation différentielle


- une équation différentielle du type f’= k f (k réel)
- une équation différentielle du type f’ = k f + b (k et b réels)
Résoudre
- une équation différentielle du type f' = 0
- une équation différentielle du type f'’ = m f (m réel)
Mathématique Terminale C Page 25
Déterminer - la solution d’une des équations différentielles ci-dessus satisfaisant à une condition
initiale donnée ou à des conditions initiales données.
Traiter une situation - faisant appel aux équations différentielles

Mathématique Terminale C Page 26


COMPETENCE 3

Traiter des situations relatives à la modélisation d’un phénomène aléatoire, à l’organisation et au traitement des
données.

THEME 1 : MODELISATION D’UN PHENOMENE ALEATOIRE

Leçon 1 : Probabilité conditionnelle et variable aléatoire

Exemple de situation
Exemple de situation
Pour l’organisation de la kermesse de leur Lycée, les élèves d’une classe de terminale désirent
proposer le jeu suivant à un stand :
« Une urne contient trois boules rouges numérotées 100, 200 et 300 et deux boules rouges numérotées
2 et 5, toutes indiscernables au toucher.
Les règles du jeu sont les suivantes :
Le joueur mise X francs CFA et tire successivement avec remise deux boules de l’urne. Si les deux
boules tirées sont de même couleur, la partie est perdue. Sinon, le joueur remporte le montant en francs
CFA égal au nombre obtenu par le produit des numéros apparus sur les boules tirées »
Pour ne pas être perdant, ces élèves souhaitent déterminer la mise minimale du joueur pour que le jeu
leur soit avantageux.
Ensemble, ils s’organisent pour calculer des probabilités, étudier des notions de variables aléatoires et
déterminer des lois de probabilités.

HABILETES CONTENUS
- la définition d’une probabilité conditionnelle
- la définition d’une variable aléatoire
- la définition d’une loi de probabilité,
- la définition d’une fonction de répartition,
- la définition de l’espérance mathématique, de la variance et de l’écart-
type
- d'un système complet d'évènement
Connaître - la définition d’une épreuve de Bernoulli
- la définition d’un schéma de Bernoulli
- la définition de la loi binomiale de paramètres n et p
- la propriété relative à l’espérance mathématique d’une variable
aléatoire suivant une loi binomiale B(n,p)
- la propriété relative à la variance d’une variable aléatoire suivant une
loi binomiale B(n,p)
- la formule des probabilités totales
Noter - une probabilité conditionnelle : P(A/B) ou 𝑃 (𝐴)
- la probabilité d’un évènement
- la probabilité d’obtenir 𝑘 succès dans une suite de 𝑛 épreuves de Bernoulli
Calculer (0 ≤ 𝑘 ≤ 𝑛)
- l’espérance mathématique, la variance et l’écart type d’une variable aléatoire
donnée
Justifier - que deux événements sont indépendants ou non
Déterminer - la loi de probabilité d’une variable aléatoire donnée
- la fonction de répartition d’une variable aléatoire donnée
Construire - un arbre pondéré

Mathématique Terminale C Page 27


- la fonction de répartition d’une variable aléatoire donnée
Traiter une situation - faisant appel aux probabilités

THEME 2 : ORGANISATION ET TRAITEMENT DES DONNEES

Leçon 1 : Statistiques à deux variables

Exemple de situation
Exemple de situation
Un riche entrepreneur offre une de ses entreprises à son fils. Celui-ci prend connaissance des chiffres
d’affaires annuels de l’entreprise à travers le tableau ci-dessous.

Années 2013 2014 2015 2016 2017 2018

Rang (xi) 1 2 3 4 5 6

Chiffre d’affaire en 99 130 92 108 232 150


millions de franc CFA
(yi)

Il souhaite connaitre le chiffre d’affaire de son entreprise en 2020, il sollicite ton aide. Après analyse
minutieuse de ce tableau, tu te rends dans le centre de documentation et d’information (CDI) de ton
Lycée pour faire des recherches sur les séries statiques à deux variables pour répondre à sa
préoccupation.

HABILETES CONTENUS
- la définition d’une série statistique à deux caractères
- la définition du point moyen
- les tableaux de fréquences marginales
- la formule de la covariance
Connaître
- la formule du coefficient de corrélation linéaire
- les formules de calcul de a et b(resp. a’ et b’) dans l’équation y = ax + b (resp.
x=a’y+b’) d'une équation de la droite de régression par la méthode des
moindres carrées de y en x (resp. x en y).
- les séries marginales à partir d’un tableau à double entrée représentant une
Etablir
série statistique à deux caractères
Représenter - un nuage de points
Placer - le point moyen dans le nuage de points
- les coordonnées du point moyen
Calculer - la covariance
- le coefficient de corrélation linéaire
- une équation d’une droite d’ajustement linéaire par la méthode des moindres
Déterminer
carrés
Interpréter - le coefficient de corrélation linéaire
Traiter une situation - faisant appel aux séries statistiques à deux caractères

Mathématique Terminale C Page 28


COMPETENCE 4

Traiter une situation relative à l’arithmétique.

THEME : ARITHMETIQUE

Leçon 1 : Divisibilité dans Z


Exemple de situation
Des élèves de terminale passionnés d'astronomie observent au jour J0 le corps céleste A, qui apparaît
périodiquement tous les 105 jours. Six jours plus tard (J0 + 6), ils observent le corps B, dont la période
d’apparition est de 81 jours.
Ils décident de faire des calculs pour déterminer la prochaine apparition simultanée des deux objets.

HABILETES CONTENUS
- la définition d’un diviseur d’un entier relatif
- la définition de la congruence modulo n
- la définition d’un nombre premier
- les propriétés relatives aux diviseurs d’un entier relatif
- la définition du quotient et du reste de la division euclidienne d’un entier relatif
par un entier naturel non nul
Connaitre
- les propriétés relatives à la division euclidienne dans IN
- les propriétés relatives à la division euclidienne dans Z
- les propriétés relatives aux nombres premiers
- le théorème fondamental de la décomposition d’un entier naturel en produit de
facteurs premiers
- la propriété relative à l’existence et à l’unicité de la décomposition d’un nombre
Noter - a divise b : a|b
Décomposer - un entier en produit de facteurs premiers
Reconnaître - un nombre premier
- le quotient et le reste de la division euclidienne d’un entier relatif par un entier
Déterminer naturel non nul
- l’ensemble des diviseurs d’un entier naturel non nul
- qu’un entier est divisible par un entier non nul donné
Démontrer - qu’un entier est divisible par un entier non nul donné en utilisant les caractères
de divisibilité par 2 ;3 ;5 ;9 ;10 et 11
- qu’un nombre est premier
Utiliser
- les propriétés des congruences pour résoudre des problèmes de divisibilité
- le raisonnement par récurrence, la disjonction des cas, l’élimination des cas ou

Mathématique Terminale C Page 29


la démonstration par l’absurde pour résoudre des problèmes d’arithmétique
Écrire - en base 2 ; 3 ; 4 ; 8 et 16 un nombre donné en base 10 et inversement
Traiter une situation - faisant appel à la divisibilité dans Z

Leçon 2 :Plus petit commun multiple - Plus grand commun diviseur de deux entiers relatifs
Exemple de situation
HABILETES CONTENUS
- La définition d’un multiple d’un entier relatif
- La définition du plus grand commun diviseur de deux entiers relatifs non nuls
- La définition du plus petit commun multiple de deux entiers relatifs non nuls
- La définition de deux nombres premiers entre eux
- les propriétés relatives aux multiples d’un entier relatif
Connaitre
- les propriétés relatives au plus grand commun diviseur
- les propriétés relatives au plus petit commun multiple
- la propriété liant le plus petit commun multiple au plus grand commun diviseur
- les propriétés relatives aux nombres premiers entre eux
- l’algorithme d’Euclide
- le théorème de Bézout
- le théorème de Gauss
- l’ensemble des multiples d’un entier relatif n : nZ
- le plus grand commun diviseur de deux entiers relatifs non nuls a et b : PGCD
Noter (a,b)
- le plus petit commun multiple de deux entiers relatifs non nuls a et b :
PPCM(a,b)
- le PGCD de deux nombres entiers relatifs non nuls :
 à l’aide de l’algorithme d’Euclide
 à l’aide de la décomposition en produit de facteurs premiers
Déterminer
- le PPCM de deux nombres entiers relatifs non nuls :
 à l’aide de la décomposition en produit de facteurs premiers
 à l’aide du PGCD
que deux nombres entiers relatifs sont premiers entre eux en utilisant :
Démontrer - l’algorithme d’Euclide
- le théorème de Bézout
- Des équations du type ax + by = c où a, b et c sont des nombres entiers relatifs
Résoudre - Des équations du type ax b [n], n est un entier naturel non nul, a et b des
nombres entiers relatifs
Utiliser - le théorème de Gauss pour résoudre des problèmes de divisibilité
Traiter une situation - faisant appel au PPCM et au PGCD

Mathématique Terminale C Page 30


Mathématique Terminale C Page 31
GUIDE D’EXECUTION
DES PROGRAMMES DE
MATHEMATIQUES
TERMINALE C

Mathématique Terminale C Page 32


I. PROGRESSION TERMINALE C MATHÉMATIQUES 2017-2018

Volume horaire annuel : 272 heures


4 heures par semaine 4 heures par semaine
Sem. Vol. Vol.
Leçons Leçons
1
Septembre Barycentre 10 h Limites et continuité 10h
2
3 Régulation 2h Régulation 2h
4
Octobre Divisibilité dans Z 10 h Dérivabilité - Etude de fonctions 10 h
5
6 Régulation 2h Régulation 2h
7
Primitives 6h
8 Géométrie analytique de l’espace 10 h
Novembre Régulation 2h
Fonction logarithme népérien
9 Etude de fonctions faisant intervenir ln
Régulation 2h
10 h
10

11 PPCM-PGCD de deux entiers relatifs 10 h


Décembre
Régulation 2h
12 Fonction exponentielle népérienne
Régulation 2h
Etude de fonctions faisant la fonction 10 h
13
Nombres complexes exponentielle népérienne
10 h
14
Régulation 2h
Janvier
15 Régulation 2h Fonctions exponentielles et fonctions
Nombres complexes et transformation du 6h
puissances
16 plan 8h Régulation 2h
17
Régulation 2h
Février 18 Calcul intégral 14 h
19
Régulation 2h
20 Isométries du plan 18 h
21
Mars Suites numériques
6h
22
Régulation 2h
23
24 Régulation 2h
Avril 25 Similitudes directes du plan 18 h
26
27 Probabilité conditionnelle et variable aléatoire
Régulation 2h 16 h
28 Coniques
6h
Mai
29
Régulation 2h Régulation 2h
Equations différentielles
30 Statistique à deux variables
8h
31
Régulation 2h Régulation 2h
32
Juin
33 Révisions 18h
34

NB : La séance de régulation consiste à mener des activités de rémédiation aux erreurs relatives aux contenus de la leçon.
À cette occasion, le professeur mènera également des activités permettant d’évaluer et de renforcer les acquis des élèves.
C’est le cumul du temps de régulation qui fait 1h ou 2h.Le professeur peut en faire des séances de travaux dirigés.
Remarque :
 Le respect de la progression est obligatoire afin de garantir l’achèvement du programme dans le temps imparti et de permettre
l’organisation des devoirs de niveau.

Mathématique Terminale C Page 33


 Les volumes horaires indiqués comprennent les cours, les exercices et les travaux dirigés (75%) et IO, IE, DS et comptes rendus
(25%).

II. PROPOSITIONS DE CONSIGNES, SUGGESTIONS PEDAGOGIQUES ET MOYENS

Leçon1 : Barycentre – Lignes de niveaux

Contenus Consignes pour conduire les activités Techniques Supports


pédagogiques didactiques
 Barycentre de n points  En première, l’étude de l’outil  Manuel
pondérés barycentre s’est limitée à quatre points.  Travail en  Internet
En terminale cette étude s’étend à un groupe  Revues
i=n nombre quelconque de points. Il ne  Média
Réduction de  i𝑀𝐴⃗i s’agit pour le professeur de refaire le  Travail  Instruments
i=1 cours de première, mais d’utiliser les individuel de
i=n acquis de cette classe pour la géométrie
Réduction de  i MAi2, généralisation des propriétés. Enquête
i=1 Propriétés à démontrer
i - propriété relative à
Ligne de niveau de l’ensemble des barycentres
l’application : de trois points non alignés
M Mes ( ) - propriété relative à la réduction
i=n
*Définition
de :  i𝑀𝐴⃗, i
*Propriétés
i=1
- propriété relative à la réduction
i=n
de :  i MAi2, i
i=1

Les résultats sur les réductions


peuvent être utilisés directement dans
les exercices et les évaluations sans
démonstration
Dans la pratique, on utilisera au plus 4
points pondérés dans les exercices et
les contrôles continus
Dans la mise en œuvre des situations
d’apprentissage, d’évaluation et des
travaux dirigés, on serefera à la
mécanique, à la statistique, etc.
On pourra traiter en séance de
travaux dirigés l’un des théorèmes de
Ceva, de Pappus, de Desargues et de
Ménélaüs Ces théorèmes ne sont pas
exigibles lors des contrôles continus

Mathématique Terminale C Page 34


Leçon 2 : Coniques

Contenus Consignes pour conduire les Techniques Supports


activités pédagogiques didactiques

Etude de la parabole -L’étude géométrique des  Travail en  Manuel


- Equation réduite d’une parabole coniques est supprimée groupe  Internet
- Eléments  Revues
remarquables :paramètre, -L’étude des coniques  Travail  Média
sommet, foyer, directrice, débutera par la individuel Instruments de
excentricité, axe focal transformation de géométrie
l’expression
ax² + by² + 2cx + 2dy + e = 0  Enquête
 Etude de l’ellipse
avec a et b non tous nuls
- Equation réduite d’une ellipse pour aboutir selon les cas
- Eléments aux équations réduites
remarquables :paramètre,
sommets, foyers, directrices, La représentation graphique
excentricité, axe focal, demi accompagnera les calculs.
distance focale
Il serait bon d’établir avec les
Etude de l’hyperbole élèves un tableau
- Equation réduite d’une récapitulatif des éléments
hyperbole caractéristiques de chaque
- Eléments conique. On fera ressortir les
remarquables :paramètre, similitudes entre les 3
sommets, foyers, directrices, tableaux (la plupart des
excentricité, axe focal, demi éléments caractéristiques
distance focale, asymptotes sont communs aux 3
coniques).
 Représentation graphique des On proposera aux élèves une
coniques grande variété de problèmes
(Démonstration, construction,
recherche de lieux, …)
On fera des activités de
régionnement du plan par les
coniques.
Sont hors programme :
-les représentations
paramétriques des coniques
- les formules sur les
équations de la tangente à
une conique en un point,
mais on abordera la tangente
à une conique en un point
- la définition bifocale des
coniques à centre

Mathématique Terminale C Page 35


Leçon 3 : Géométrie analytique dans l’espace

Contenus Consignes pour conduire les Techniques Supports


activités pédagogiques didactiques
Vecteur normal à un plan  La propriété donnant une Travail en groupe Manuel
Définition équation cartésienne d’un
CIAM 1re SM Page146 plan P défini par un point A et
 Travail individuel Internet
un vecteur normal n sera
Caractérisation d’un plan établie à partir de la Enquête Revues
de l’espace par un point et propriété fondamentale :
un vecteur normal   Média
- Propriété 1 M  P  AM .n  0 Brainstorming
CIAM 1re SM Page146  La propriété donnant une Discussion dirigée Instruments
-Propriété 2 représentation paramétrique de géométrie
Soit (𝒫) un plan, 𝑛⃗ un d’une droite (D) définie par
un point A et un vecteur
vecteur normal à (𝒫) et A un 
point de (𝒫). directeur u sera établieà
Pour tout point M de ℰ, partir de la propriété
M∈ (𝒫) ⟺ 𝐴𝑀⃗. 𝑛⃗ = 0. fondamentale :
Equations cartésiennes M  ( D)  il existe
 
d’un plan k  R tel que AM  ku .
CIAM 1re SM Page147 (Relation déjà vue en 2nde C
Expression de la distance dans le plan)
d’un point à un plan
Pour la position relative, les
CIAM 1re SM Page148 droites seront définies
Représentation chacune par une
paramétrique d’une droite représentation paramétrique
de l’espace et les plans chacun par une
équation cartésienne.
CIAM 1re SM Page150
La plupart des notions à
Positions relatives étudier peuvent être
- de deux droites introduites en utilisant des
cas simples.
Tableau
CIAM 1re SM Page155
Propriétés à démontrer :
- d’une droite et d’un plan - Propriété établissant une
Premier tableau équation cartésienne d’un
CIAM 1re SM Page157 plan
- Formule de la distance d’un
- de deux plans point à une droite
Tableau - Représentation
CIAM 1re SM Page158 paramétrique d’une droite

Mathématique Terminale C Page 36


Leçon 4 : Isométries du plan

Contenus Consignes pour conduire les Techniques Supports


activités pédagogiques didactiques
Définition d’une isométrie Le cours pourra débuter par Travail en Manuel
On appelle isométrie plane un contrôle de prérequis sur groupe
toute transformation du plan les composées de symétries Internet
dans lui-même qui conserve la orthogonales pour faciliter la Travail individuel
distance décomposition d’une Revues
translation et d’une rotation Enquête
Propriétés
en produit de symétries Média
- La composée de deux orthogonales.
isométries est une isométrie Instruments
- Une isométrie est une Les composées d’isométries de géométrie
bijection et sa réciproque est de mêmes natures ont été
une isométrie vues en première. Dans cette
Décomposition d’une leçon, l’accent est mis sur la
translation en un produit de composée des isométries de
symétries orthogonales natures différentes.
Décomposition d’une
rotation en un produit de Les résultats sur la nature
symétries orthogonales des composées des
Composée d’une rotation et isométries peuvent être
d’une translation utilisés directement dans les
Composée d’une rotation et exercices et les évaluations
d’une symétrie orthogonale sans démonstration.
La composée d’une rotation et
d’une symétrie orthogonale est Dans les classes
antérieures, on a entrainé les
une symétrie orthogonaleou
élèves à utiliser les symétries,
une symétrie glissée.
les translations et les
rotations pour résoudre des
Composée d’une
problèmes de géométrie.
translation et d’une symétrie
En terminale, on poursuivra
orthogonale
cet entrainement en le
Définition d’une symétrie complétant : utiliser les
glissée composées des isométries
Classification des pour démontrer une propriété,
isométries à l’aide de leurs pour construire une figure,
points invariants. pour déterminer un lieu
Classification des géométrique.
isométries en déplacements
et antidéplacement Les composées d’isométries
Conservation du barycentre utilisées pour démontrer une
par une isométrie propriété, pour construire une
Soit 𝑓 une isométrie, figure ou pour déterminer un
(𝐴 , 𝛼 ) 𝑛 points lieu géométrique doivent être
pondérés du plan tels que: suggérer lors des contrôles
𝛼 + 𝛼 + ⋯ + 𝛼 ≠ 0 et G continus. Cependant, pour
leur barycentre. encourager la recherche, à
Si 𝐴 , 𝐴 ,⋯ , 𝐴 et G’ sont les l’occasion des séances des

Mathématique Terminale C Page 37


images respectives de travaux dirigés, l’enseignant
𝐴 , 𝐴 ,⋯,𝐴 et G par 𝑓 laissera la latitude aux élèves
alors, G’ est le barycentre des pour trouver l’isométrie la
𝑛 points pondérés plus indiquée pour résoudre
(𝐴 , 𝛼 ) . le problème.

Conservation du contact Propriétés à démontrer :


par une isométrie - Composée d’une rotation et
d’une translation
Soit 𝑓 une isométrie,(Γ) une
- Composée d’une symétrie
courbe et (D) une droite orthogonale et d’une
tangente à (Γ) en A. translation
Si (Γ ), (D ) et A sont les
images respectives de
(Γ),(D) et A par 𝑓 alors,
(D ) est tangente à (Γ ) en
A.

Leçon 5: Similitudes directes du plan

Contenus Consignes pour conduire Techniques Supports


les activités pédagogiques didactiques

 Définition : une similitude -L’étude des similitudes  Travail en  Manuel


directe de rapport (0) est la directes généralise l’étude groupe  Internet
composée d’une homothétie de des transformations  Revues
rapport et d’un déplacement. notamment les isométries qui  Travail  Média
conservent la distance et les individuel  Instruments de
 Forme réduite et éléments homothéties qui conservent la géométrie
caractéristiques d’une similitude valeur absolue des rapports.
directe  Enquête
-L’objectif de l’étude de cette
 Propriétés de conservation leçon est de déterminer des
lieux géométriques,
Propriété : Une similitude directe construire une figure et
multiplie les distances par le démontrer des propriétés.
rapport.
-Dans ce cours, l’accent est
mis sur l’aspect géométrique.
 La composée d’une homothétie
Les similitudes directes
de rapport et d’un déplacement est
pourront être introduites à
une similitude directe de rapport . l’aide de la composée d’une
homothétie et d’un
 Une similitude directe est déplacement à partir
déterminée par deux points et leurs d’exemples simples.
images.
- On fera remarquer que :
 les translations, les
rotations, et les homothéties
sont des cas particuliers de
similitudes directes.
 l’homothétie de rapport 
Mathématique Terminale C Page 38
négatif est la composée d’une
homothétie de rapport et
d’une rotation d’angle .
-Lors des contrôles continus,
l’élève sera guidé dans la
recherche du centre d’une
similitude directe si
nécessaire.
Propriétés à démontrer :
 Propriété caractéristique
d’une similitude directe
 Propriété relative à la
caractérisation d’une
similitude directe définie
par deux points et leurs
images

Leçon 6 : Nombres complexes et géométrie du plan

Contenus Consignes pour conduire les activités Techniques Supports


pédagogiques didactiques
 Ecriture complexe des  Cette leçon doit être traitée après les  Manuel
transformations similitudes. Cependant, il peut être  Travail en  Internet
- Translation intégré soit au nombre complexe soit groupe  Revues
- Symétrie centrale aux similitudes directes.  Média
- Symétries orthogonales par  Travail Instruments de
rapport aux axes du repère Propriétés à démontrer : individuel géométrie
Etablir l’écriture complexe de chacune
- Homothétie de centre  et Enquête
des transformations étudiées
de rapport  ;
Cette leçon aide à résoudre les
- Rotation de centre  et problèmes de géométrie en utilisant un
d’angle  outil analytique
Dans la résolution d’un problème,
l’élève sera entrainé à utiliser l’outil
complexe, l’expression analytique ou
l’outil géométrique selon les nécessités.
Dans les contrôles continus,
l’enseignant pourra préciser l’outil qu’il
souhaite privilégier

NB : On pourra faire remarquer aux


élèves qu’une homothétie de rapport k
est une similitude directe de rapport |k|
Leçon 7: Nombres complexes

Contenus Consignes pour conduire les Techniques Supports


activités pédagogiques didactiques
 Forme algébrique d’un  Les nombres complexes  Manuel
nombre complexe prolongent IR et offre un  Travail en  Internet
- partie réelle (Re) domaine riche d’activités groupe  Revues

Mathématique Terminale C Page 39


- partie imaginaire (Im) numérique  Média
- conjugué d’un nombre  Travail Instruments de
complexe, propriétés ll ne s’agit pas de faire une individuel géométrie
- somme, produit, quotient de théorie sur les nombres
deux nombres complexes complexes mais de les utiliser Enquête
pour résoudre des
- formule du binôme
problèmes.
- égalité de deux nombres
complexes
 On s’interdira d’utiliser le
- module et argument d’un symbole  avec un nombre
nombre complexe complexe non réel positif.
- module et argument du
produit, de l’inverse, du  L’écriture exponentielle
quotient et de la puissance sera utilisée le plus tôt
entière d’un nombre possible afin d’alléger les
complexe expressions dans les calculs
 Forme trigonométrique
- affixe d’un point, d’un A titre d’exercice, on pourra
vecteur faire démontrer aux élèves
- point image et vecteur que :A, B, C et D étant quatre
image d’un nombre points distincts d’affixes
complexe respectives a, b, c et d, A, B,
- forme exponentielle C et D sont cocycliques ou
 Nombre complexe et alignés si et seulement siarg(
trigonométrie c –b b–b
) = arg( ) + k avec k
- Formule de Moivre, formule c - a d –a
d’Euler entier relatif.
 Equation dans C  Pour la linéarisation des
- Racines carrées d’un puissances de cosinus et
nombre complexe non nul sinus, on se limitera à des
- Equation du second degré exposants inférieurs ou
dans C égaux à 5. Les formules de
- Racine nième d’un nombre trigonométrie obtenues ne
sont pas à apprendre par
complexe non nul
cœur.
- Racines nième de l’unité ;  La linéarisation des
interprétation graphique fonctions trigonométriques
 Nombre complexe et sera réinvestie dans le calcul
géométrie intégral.
ZA – ZB
- arg( Z - Z ) est une
C D
mesure de (Erreur !)
- Caractérisation complexe
d’un cercle
Caractérisation complexe
d’une droite
Leçon 8: Limites et continuité

Contenus Consignes pour conduire les Techniques Supports


activités pédagogiques didactiques
Limites, continuité  La plupart des propriétés ont Travail en Manuel
 Limites. été abordé en classe de groupe Internet
- Limite d’une fonction première. Ces propriétés tout Revues

Mathématique Terminale C Page 40


composée. comme les techniques des Travail Média
- Limite d’une fonction calculs pour lever individuel Instruments
monotone sur un intervalle l’indétermination, ne doivent de géométrie
ouvert. pas faire l’objet d’un Enquête
 Fonctions continues sur un traitement théorique.
intervalle. Elles seront mises assez Brainstorming
- Opérations, composée rapidement en œuvre dans Discussion
(propriétés admises). des exercices dont le niveau dirigée
- Image d’un intervalle. de technicité et l’abondance
- Fonction continue et doivent rester très
strictement monotone sur un raisonnable car elles seront
intervalle : réinvesties tout au long de
l’année dans les études de
Théorème 1 : Si f est une fonctions.
fonction continue et strictement  La propriété sur la limite
monotone sur un intervalle ‫ ׀‬, d’une fonction monotone sur
alors f est une bijection de ‫׀‬ un intervalle ouvert sera
sur f( ‫) ׀‬. Sa bijection utilisé des les suites et les
réciproque f¯¹ est continue et fonctions définies par
de même sens de variation intégrale.
que la fonction f.  L’étude générale des
branches infinies est hors
Théorème 2 : Si f est une programme.
fonction continue et strictement  Les branches paraboliques
monotone sur un intervalle ‫ ׀‬, selon les axes coordonnées
alors pour tout m de f( ‫) ׀‬, sont les seules directions
l’équation f( x) = m admet une asymptotiques à connaître.
unique solution dans ‫ ׀‬.  Dans le cas d’une asymptote
oblique, une équation est
Corollaire : Soit f une fonction fournie à l’élève.
continue et strictement On introduira la continuité sur
monotone sur [a, b]. Si f(a) et un intervalle. Cette définition
f(b) sont de signes contraires, permet l’usage de deux
alors l’équation f(x) = 0 admet théorèmes importants
une unique solution dans concernant l’existence d’une
l’intervalle ouvert ]a, b[. bijection réciproque et la
Etude et représentation propriété des « valeurs
graphique de fonctions intermédiaire ». Notons que
 Branches paraboliques de la forme générale de cette
direction (OI) ou (OJ) dans un dernière propriété est hors
repère (O, I, J). programme.

Pour déterminer la limite d’une


fonction composée on peut
utiliser un changement de
variable.

Leçon 9 : Dérivabilité et étude de fonctions

Contenus Consignes pour conduire les Techniques Supports


activités pédagogiques didactiques
Dérivabilité On ne demandera pas de  Travail en Manuel
 Toute fonction dérivable sur justifier la dérivabilité d’une groupe Internet

Mathématique Terminale C Page 41


un intervalle est continue sur fonction sur un intervalle lors Revues
cet intervalle. des évaluations.  Travail Média
On se limitera à l’utilisation de individuel Instruments de
 Fonctions dérivées. la formule donnant la dérivée géométrie
- Dérivées successives ; d’une fonction réciproque  Enquête
nouvelles notations uniquement en un point x0 et
df d2f cela pour des exemples ne  Brainstorming
, présentant pas de difficulté
dx dx2 Discussion
- Dérivée d’une fonction particulière. dirigée
composée (admis) ;
application à la dérivation Les fonctions qu’on peut
des fonctions de la forme Un étudier dans ce chapitre sont
(nZ*), Inou, expou, en nombre infini. Il sera bon
uª (u ε k*), √u. de bien sélectionner celles
qui seront étudiées pour
- Existence de la dérivée d’une obtenir un éventail aussi
fonction réciproque (admis), complet que possible de
formule de la dérivée de la situations différentes.
fonction réciproque.
- Inégalité des accroissements
finis (2 formes).
- Nombre dérivé à droite (à
gauche) d’une fonction en un
point.
- - Demi- tangente.
Etude et représentation
graphique de fonctions
 Représentation graphique
des fonctions du type :
* x ⁿ√x (n  IN*) ;
* xxr (r  Q , x  IR•* ).
- Définitions ; notation xP/q.
- Propriétés des puissances
d’exposants rationnels,
dérivée et représentation
graphique.

Leçon10 : Primitives

CONSIGNES POUR CONDUIRE TECHNIQUES SUPPORTS


CONTENUS
LES ACTIVITES PEDAGOGIQUES DIDACTIQUES
 Définition d’une primitive  On introduira les limites comme  Travail en  Manuel
opération inverse des dérivées. groupe  Internet

Mathématique Terminale C Page 42


 existence de primitives  Revues
d’une fonction continue On fera établir le tableau des  Travail  Média
sur un intervalle primitives de référence. On fera individuel Instruments de
ensuite fonctionner abondamment géométrie
 Ensemble des primitives les tableaux des primitives de  Enquête
d’une fonction continue fonction de référence, ce qui
permettra de la mémoriser, avant
 unicité de la primitive d’aborder des exemples complexes.  Brainstorming
d’une fonction prenant une Discussion dirigée
valeur donnée en un point  On pourra faire remarquer aux
donné élèves que pour vérifier un calcul de
primitive, il suffit de dériver la
 Primitives des fonctions fonction trouvée.
de référence
 Les différentes techniques pour
 primitive de u+v, déterminer des primitives
u(IR), v’(u’ov), (décomposition en élément simples,
u’u (mQ-{1})
m linéarisation, utilisation des formules
trigonométriques) doivent être
guidées.

Leçon 11: Fonctions logarithmes

CONSIGNES POUR CONDUIRE TECHNIQUES SUPPORTS


CONTENUS
LES ACTIVITES PEDAGOGIQUES DIDACTIQUES
La manière d’introduire la
fonction logarithme népérien n’est
pas imposée. Il y a plusieurs
approches possibles :
- approche historique
- Approche avec la
calculatrice
 Fonction logarithme
- Approche avec
népérien
l’utilisation des propriétés  Travail en
- définition, notation
des primitives. groupe
propriétés, représentation
L’usage de la calculatrice
graphique  Manuel
renforce les possibilités d’étude  Travail
- limites de référence  Internet
de cette notion aussi bien pour individuel
- primitives de u’/u  Revues
effectuer des calculs que pour
permettre de conjecturer des  Média
 Logarithme décimal  Enquête
résultats. Instruments de
- Définition géométrie
- Notation
 La représentation graphique de  Brainstorming
la fonction xlnx doit être Discussion dirigée
 Dérivée de fonction du
connue des élèves car elle
type lnou et lnou
permet de retrouver de nombreux
résultats(ensemble de définition,
variation, signe, limites, valeurs
particulière,branches
paraboliques)

 La bijectivité de la fonction

Mathématique Terminale C Page 43


logarithme népérien permet
d’introduire le nombre e.

 Aucune étude des propriétés de


la fonction logarithme décimal ne
sera faite mais on l’utilisera dans
les exercices.

 La croissance « lente » de la
fonction logarithme pourra être
étayée avec des calculs
numériques. Ce résultat sera
réinvesti lors de l’étude des
croissances comparée des
fonctions logarithmes népérien,
exponentielle et puissance

Leçon 12: Fonctions exponentielles et puissances

CONSIGNES POUR CONDUIRE TECHNIQUES SUPPORTS


CONTENUS
LES ACTIVITES PEDAGOGIQUES DIDACTIQUES
 La fonction exponentielle  Manuel
népérienne est définie comme la  Internet
bijection réciproque de la  Revues
 Fonction exponentielle fonction ln. Ses propriétés se  Média
népérienne déduisent naturellement de celles Instruments de
- définition, propriété, de la fonction ln. géométrie
notation, représentation
graphique L’étude des fonctions
- limites de référence exponentielle de base a et des
- primitives de u’eu fonctions puissances découlent
directement de l’étude de la
 Définition de la fonction  Travail en
fonction exponentielle
exponentielle de base a (a groupe
népérienne
IR+*-{1})
 Travail
 On habituera les élèves à
individuel
Définition de la fonction retrouver les limites et les
puissance d’exposant réel dérivées des fonctions exp a et
non nul  Enquête
puissance à partir des définitions
de ces fonctions
Primitives de u’um(mIR-
 Brainstorming
{1})  l’étude générale des fonctions
Discussion dirigée
expa n’est pas à traiter de
Croissance comparée manière théorique mais pourra
des fonctions logarithme être abordée sur quelques
népérien, exponentielle exemples (0a1 et a1). Il en est
népérienne et puissance de même pour les fonctions
xx. ce sera l’occasion
Dérivées de fonctions du d’étudier des cas correspondant
type expou, u (IR*) à des valeurs variées de  et de
faire le lien avec les notations
n
x et xp/q

Mathématique Terminale C Page 44


 les fonctions puissances xx
sont définies sur ]0 ; +[ mais, pour
certaines valeur de  (Z,  = ½,
etc), elles peuvent être définies sur
un ensemble contenant ]0 ; +[(
par exemple IR, IR* ou [0 ; +[.

Leçon 13 : Calcul intégral

CONSIGNES POUR CONDUIRE TECHNIQUES SUPPORTS


CONTENUS
LES ACTIVITES PEDAGOGIQUES DIDACTIQUES
Calcul intégral  Il faut faire le lien entre intégrale
 Définition de l’intégrale d’une et aire dès l’introduction des
fonction continue f : intégrales ou tout de suite après la
 b définition. Cela permet alors
 f(t) dt = F(b) – F(a) où F est d’illustrer graphiquement les
a
propriétés de l’intégrale.
une primitive de f.
 Lors d’une évaluation, si le calcul
x
 La fonction x f(t) dt est d’une intégrale utilise une
a intégration par parties, l’énoncé
l’unique primitive de f qui devra l’indiquer.
s’annule en a.
 A l’occasion d’un calcul d’aire,
 Interprétation graphique de l’unité attendue doit être précisée
l’intégrale d’une fonction dans l’énoncé.
continue positive.  Travail en
 On pourra calculer sur des groupe
 Propriétés : exemples, une valeur approchée
 Manuel
- linéarité ; d’une intégrale par la méthode des  Travail
 Internet
- relation de Chasles ; rectangles. La méthode des individuel
rectangles n’est pas à évaluer  Revues
- positivité ;  Média
- si f ≤ g sur [a, b] alors  Enquête
Instruments de
b b géométrie
 f(t)dt≤  g(t)dt ;
a a  Brainstorming
- inégalité de la moyenne Discussion dirigée
-si m ≤ f ≤ M sur [a,
b] alors
b
M (b – a) ≤  f(t)dt ≤ M (b –
a
a) ;
- si ‫ ׀‬f ‫ ≤ ׀‬M, alors
b
 ‫ ׀‬f(t)dt‫ ≤ ׀‬M ‫׀‬b – la
a
- valeur moyenne d’une
fonction ;
- intégration par parties ;
- changement de variable
affine.

Mathématique Terminale C Page 45


 Application au calcul d’aire.

x
Fonction du type F : x f(t)
a
dt.

Leçon 14 : Suites Numériques

CONTENUS CONSIGNES POUR CONDUIRE TECHNIQUES SUPPORTS


LES ACTIVITES PEDAGOGIQUES DIDACTIQUES
 suites monotone  On pourra s’appuyer sur
 Suites convergentes l’utilisation de la calculatrice et
 Notion de convergence des graphiques pour introduire la
 Unicité de la limite notion de convergence d’une
 Si f est une fonction suite. On peut faire comprendre
numérique telle que limf(x)= l aux élèves :
en + alors la suite définie - que pour certaines suites, tous
par un = f(n) converge vers l les termes à partir d’un certain
 Suites majorées, rang, sont aussi proche que
minorées l’on veut d’un nombre réel a
Toute suite croissante et - que pour d’autres suites, les
majorée converge termes à partir d’un certain
Toute suite décroissante et rang, prennent des valeurs
minorée converge aussi grandes que l’on veut
- qu’il existe des suites qui ont
 Convergence des suites
des comportements irréguliers
géométriques
 Suites divergentes
 L’étude des suites sera
étroitement liée à celle des
fonctions. Le sens de variation ou
les propriétés de certaines
fonctions permettront de
conclure sur le comportement
des suites.

 Dans l’étude d’une suite


récurrente, on pourra s’appuyer,
quand le contexte le permettra,
sur la représentation graphique
pour conjecturer le
comportement de la suite

 La notion de suite majorée et


suite minorée sont définies
essentiellement dans le but de
donner des outils
complémentaires pour la
convergence des suites. Ainsi, il
ne sera pas nécessaire de
multiplier les exercices et les
méthodes autour de ces notions.

 Le raisonnement par récurrence


Mathématique Terminale C Page 46
sera suggéré dans l’énoncé des
exercices et des évaluations,
lorsque son utilisation est
indispensable

Leçon 15: Équations différentielles

Contenus Consignes pour conduire les Techniques Supports


activités pédagogiques didactiques
Equations différentielles : On évitera la théorie sur les  Travail en  Manuel
 Equation différentielle du équations différentielles. groupe  Internet
type f’ = k f.  Revues
 Les différents types  Travail  Média
 Equation différentielle du d’équations seront introduits individuel Instruments de
type f’ = 0. à partir d’exemple simple tirés géométrie
de la physique, de la chimie,  Enquête
Equation différentielle du type de la biologie, et de la vie
f’’ = m f. courante.
 Brainstorming
 Les élèves de terminale Discussion dirigée
rencontrent en cours de
sciences physiques les
équations différentielles
notamment, un des intérêts
immédiats du cours de
mathématiques sera la
justification de la nature des
solutions de ces équations
différentielles

Leçon 16 : Probabilité conditionnelle et variable aléatoire

CONSIGNES POUR CONDUIRE TECHNIQUES SUPPORTS


CONTENUS
LES ACTIVITES PEDAGOGIQUES DIDACTIQUES
 Probabilité  On introduira le vocabulaire des
- Vocabulaire probabilités au travers de situation
concrète
- Définition d’une  Travail en
probabilité dans le cas  On apprendra à reconnaître groupe
d’une équiprobabilité l’univers et les évènements
 Manuel
élémentaires d’une expérience  Travail
- Propriété  Internet
aléatoire. individuel
 Revues
 Probabilité   Média
 Le choix de l’univers est Enquête
conditionnelle Instruments de
fondamental et ne modifie pas dans
p(AB) géométrie
certains cas les résultats des
- p(A/B) =
p(B) calculs de probabilité.  Brainstorming
- Evènementsindépendants Discussion dirigée
 L’utilisation des outils de l’analyse
 Variable aléatoire combinatoire (arrangements,
- Définitiond’une variable combinaison) se fera sans

Mathématique Terminale C Page 47


aléatoire recherche de difficultés technique.
- Loi de probabilité
- Function de repartition  On se placera dans des situations
- Espérance mathématique ayant du sens, en particulier on
- Variance ; écart-type présentera des applications des
probabilités en biologie et en
 Loi Binomiale économie.
- Probabilité d’obtenir k
succès dans une suite de  On pourra introduire la notion de
n épreuves de Bernoulli probabilité conditionnelle à l’aide
(nkn) des arbres de choix ou des
- E(X) = np tableaux à double entrée.
- V(X) = np(1-p)
 On fera remarquer aux élèves
qu’une variable aléatoire est en
réalité une fonction.

 Les formules générales sont


données par comparaison avec leur
équivalent en statistique. Par
exemple on remarquera le lien
entre moyenne et espérance
mathématique. Pour les calculs, on
privilégiera l’usage de tableau

 On habituera les élèves à


reconnaître une situation où la loi
binomiale doit être appliquée
(épreuve répétés identiques
indépendantes)

Leçon 17: Statistiques à deux variables

CONSIGNES POUR CONDUIRE LES TECHNIQUES SUPPORTS


CONTENUS
ACTIVITES PEDAGOGIQUES DIDACTIQUES
On se servira d’une activité d’introduction
 Tableau statistique à pour rappeler le vocabulaire, les calculs de
double entrée statistique à une variable, et le sens des
notions de moyenne et de variance de
 Tableaux de fréquences séries simples.
marginales
 On veillera à une bonne compréhension
 Nuages de points des éléments du tableau
Point moyen
 L’interprétation des résultats fera l’objet
 Ajustement linéaire par la d’une activité avec les élèves.
méthode des moindres
carrés  Dans la rédaction des copies lesélèves
- Covariance devront :
- Droite de régression Soit faire apparaitre explicitement les
- Coefficient de corrélation formules, puis leur application numérique ;
linéaire Soit faire les tableaux de calculs avec les
valeurs des séries.

Mathématique Terminale C Page 48


 Les fonctions statistiques de la
calculatrice serviront à vérifier les
résultats

 Les énoncés devront indiquer


précisément la façon dont on arrondi les
résultats

Leçon 18: Divisibilité dans Z

MOYENS ET
CONTENUS CONSIGNES POUR CONDUIRE LES TECHNIQUES
SUPPORTS
ACTIVITES PEDAGOGIQUES
DIDACTIQUES

 Diviseur d’un entier relatif  Les élèves seront entrainés


- Définition sur des exemples :
- Notation - A utiliser correctement les
 Propriétés relatives aux diviseurs connecteurs logiques‘’et’’,‘’ou’’
d’un entier relatif - A distinguer dans le cas d’une
 Ensemble des diviseurs d’un proposition conditionnelle, une
entier relatif non nul proposition directe, sa
 Définition du quotient et du reste réciproque, sa contraposée et
de la division euclidienne d’un sa négation  Travail de  Manuel
entier relatif par un entier naturel - A utiliser à bon escient les groupe
non nul quantificateurs universel et
- propriété existentiel ( ,  et )
 Division euclidienne : - Au raisonnement par
- Dans N récurrence  Travail
- Au raisonnement par individuel  Revue
- Dans Z
 Congruence modulo n disjonction des cas,
- Définition - Au raisonnement par
élimination des cas
- Notation
- A la démonstration par  Discussion
- Propriétés de conformité avec les l’absurde
opérations dirigée  Internet
 Les élèves seront entrainés à
 Nombre premier
dresser la liste des nombres
- Définition premiers inférieurs à 100 en
- Propriétés utilisant le crible
- Ensemble des nombres premiers d’Eratosthène
est infini  On prendra garde de ne pas
 Décomposition en produit de opérer de division avec les
facteurs premiers. congruences à cause de
- Théorème fondamental l’existence éventuelle des
 Caractères de divisibilité par diviseurs propres de zéro.
2 ;3 ;5 ;9 ;10 ; 11. (Par exemple
2 x  6 10 n’est pas
équivalent à x  310 )
 Les élèves seront entrainés à
mettre en œuvre des

Mathématique Terminale C Page 49


techniques d’algorithmes et
de raisonnement pour
résoudre des problèmes
d’arithmétique
 La propriété « si a divise b et
c, alors a divise pb+qc » est
très efficace dans pour la
résolution des exercices.

Leçon 19: Plus petit commun multiple – Plus grand commun diviseur

CONSIGNES POUR MOYENS ET


CONTENUS TECHNIQUES
CONDUIRE LES ACTIVITES SUPPORTS
PEDAGOGIQUES
DIDACTIQUES

 Multiple d’un entier relatif


- Définition  Cette leçon est l’occasion  Travail de  Manuel
- Ensemble des multiples d’un d’évoquer d’illustres groupe
entiers relatif n : n mathématiciens (Fermat,
 PPCM, PGCD Bézout, Gauss …) et de
rencontrer des problèmes  Travail
- Définition individuel
- Propriétés (nombre amiable, nombres
parfaits, nombres de  Revue
- Algorithme d’Euclide Mersenne ..) qui
- Théorème de Bézout  Brainstorming
contribueront à consolider la
- Théorème de Gauss. culture mathématique de
 Numération décimale et binaire l’élève.  Discussion
- Existence et unicité de la  Les élèves seront entrainés à dirigée
décomposition d’un nombre entier déterminer deux entiers  Internet
relatif relatifs a et b connaissant
leur PGCD et/ou leur PPCM  Enquête

 La résolution de l’équation du
type ax +bv =c se fera sur
des exemples et sera guidée.
 Le petit théorème de Fermat
sera traité en séances de
travaux dirigés et ne sera pas
pris en compte dans les
contrôles continus.

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