Mathématique Terminale C
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Mathématique Terminale C
L’école est le lieu où se forgent les valeurs humaines indispensables pour le développement harmonieux d’une
nation. Elle doit être en effet le cadre privilégié où se cultivent la recherche de la vérité, la rigueur intellectuelle, le
respect de soi, d’autrui et de la nation, l’amour pour la nation, l’esprit de solidarité, le sens de l’initiative, de la
créativité et de la responsabilité.
La réalisation d’une telle entreprise exige la mise à contribution de tous les facteurs, tant matériels qu’humains.
C’est pourquoi, soucieux de garantir la qualité et l’équité de notre enseignement, le Ministère de l’Éducation
Nationale s’est toujours préoccupé de doter l’école d’outils performants et adaptés au niveau de compréhension
des différents utilisateurs.
Les programmes éducatifs et leurs guides d’exécution que le Ministère de l’Éducation Nationale a le bonheur de
mettre aujourd’hui à la disposition de l’enseignement de base est le fruit d’un travail de longue haleine, au cours
duquel différentes contributions ont été mises à profit en vue de sa réalisation. Ils présentent une entrée dans les
apprentissages par les situations en vue de développer des compétences chez l’apprenant en lui offrant la
possibilité de construire le sens de ce qu’il apprend.
Nous présentons nos remerciements à tous ceux qui ont apporté leur appui matériel et financier pour la
réalisation de ce programme. Nous remercions spécialement Monsieur Philippe JONNAERT, Professeur titulaire
de la Chaire UNESCO en Développement Curricula ire de l’Université du Québec à Montréal qui nous a
accompagnés dans le recadrage de nos programmes éducatifs.
Nous ne saurions oublier tous les Experts nationaux venus de différents horizons et qui se sont acquittés de leur
tâche avec compétence et dévouement.
Nous terminons en souhaitant que tous les milieux éducatifs fassent une utilisation rationnelle de ces
programmes éducatifs pour l’amélioration de la qualité de notre enseignement afin de faire de notre pays, la Côte
d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020, selon la vision du Chef de l’État, SEM Alassane OUATTARA.
Mathématiques TERMINALE C
N° RUBRIQUES PAGES
1. MOT DE MME LA MINISTRE
2. LISTE DES SIGLES
3. TABLE DES MATIÈRES
4. INTRODUCTION
5. PROFIL DE SORTIE
6. DOMAINE DES SCIENCES
7. REGIME PEDAGOGIQUE
8. TABLEAU SYNOPTIQUE
9. CORPS DU PROGRAMME EDUCATIF
10. GUIDE D’EXÉCUTION
11. PROGRESSION
PROPOSITIONS DE CONSIGNES, SUGGESTIONS PEDAGOGIQUES ET
12.
MOYENS
13. SCHEMA DU COURS APC
14. EVALUATION EN APC
Dans son souci constant de mettre à la disposition des établissements scolaires des outils pédagogiques de
qualité appréciable et accessibles à tous les enseignants, le Ministère de l’Éducation nationale vient de procéder
au toilettage des Programmes d’Enseignement.
Ces programmes éducatifs se trouvent enrichis des situations. Une situation est un ensemble de circonstances
contextualisées dans lesquelles peut se retrouver une personne. Lorsque cette personne a traité avec succès la
situation en mobilisant diverses ressources ou habilités, elle a développé des compétences : on dira alors qu’elle
est compétente.
La situation n’est donc pas une fin en soi, mais plutôt un moyen qui permet de développer des compétences ;
ainsi une personne ne peut être décrétée compétente à priori.
Chaque programme définit pour tous les ordres d’enseignement, le profil de sortie, le domaine disciplinaire, le
régime pédagogique et il présente le corps du programme de la discipline.
Le corps du programme est décliné en plusieurs éléments qui sont :
- La compétence ;
- Le thème ;
- La leçon ;
- Un exemple de situation ;
- Un tableau à deux colonnes comportant respectivement :
Les habiletés : elles correspondent aux plus petites unités cognitives attendues de l’élève au terme d’un
apprentissage ;
Les contenus d’enseignement : ce sont les notions à faire acquérir aux élèves
Toutes ces disciplines concourent à la réalisation d’un seul objectif final, celui de la formation intégrale de la
personnalité de l’enfant. Toute idée de cloisonner les disciplines doit, de ce fait, être abandonnée.
L’exploitation optimale des programmes recadrés nécessite le recours à une pédagogie fondée sur la
participation active de l’élève, le passage du rôle de l’enseignant, de celui de dispensateur des connaissances
vers celui d’accompagnateur de l’élève.
A la fin du second cycle de l’enseignement secondaire de la série C (Sciences Mathématiques), l’élève doit avoir
acquis des compétences lui permettant de traiter des situations relatives:
- à la géométrie du plan (Vecteurs et points du plan ; Produit scalaire, Droites et cercles dans le plan,
Angles inscrits ; Angles orientés et trigonométrie, Géométrie analytique du plan, Barycentre)
- à la géométrie de l’espace (Droites et plans de l’espace, Vecteurs de l’espace, Orthogonalité dans
l’espace, Géométrie analytique dans l’espace)
- aux transformations du plan (Isométries du plan, Similitudes directes du plan, Nombres complexes et
transformations du plan)
- aux calculs algébriques (Ensemble de nombres réels, Polynômes et fractions rationnelles, Equations et
inéquations dans etdans , Systèmes linéaires, Nombres complexes)
- aux fonctions (Fonctions et applications, Fonctions et Transformations du plan, Limite et continuité,
Dérivation, Etude et représentation graphique de fonction, Suites numériques, Primitives, Fonctions
logarithmes, Fonctions exponentielles et puissances, Calcul intégral, Suites numériques, Équations
différentielles)
- à la modélisation d’un phénomène aléatoire (Dénombrement, Probabilités)
- à l’organisation et au traitement des données (Statistiques à une variable, Statistiques à deux
variables)
- à l’arithmétique.
Les mathématiques fournissent les outils indispensables à l’étude des autres disciplines du domaine. En effet, les
biologistes par exemple étudient l’évolution de certains micro-organismes qui se multiplient rapidement en ayant
recourt à des modèles mathématiques.
Les mathématiques sont utilisées en physique, notamment en électricité et en mécanique.
III.REGIME PEDAGOGIQUE
COMPETENCE 1
COMPETENCE 2
COMPETENCE 4
COMPETENCE 1
Traiter une situation relative à la géométrie du plan, à la géométrie de l’espace et aux transformations du plan
Exemple de situation
Une baignoire de bébé peut contenir 30 litres d'eau.
Sur les conseils d'un pédiatre, une jeune maman cherche à la remplir d'eau
à 34°C mais elle éprouve des difficultés. Elle dispose pour cela d'eau froide
à 10°C et doit faire bouillir de l'eau à 100°C.
On admet que la température de l'eau est la moyenne des températures
de l'eau froide et de l'eau bouillante affectées des coefficients égaux à la
quantité d'eau froide et d'eau bouillante.
Elle sollicite sa petite sœur en classe de terminale qui sollicite a son tour
ses camarades de classe pour déterminer la quantité d'eau il faut faire
bouillir.
HABILETÉS CONTENUS
- la définition du barycentre de n points pondérés
- la définition de l’isobarycentre de n points pondérés
- la propriété relative à l’homogénéité du barycentre
- le théorème des barycentres partiels
- la propriété relative aux coordonnées du barycentre
- la propriété relative à l’ensemble des barycentres de trois points non alignés
i=n
- la propriété relative à la réduction de : i𝑀𝐴⃗, i
Connaître i=1
i=n
- la propriété relative à la réduction de : i MAi2, i
i=1
- la propriété relative à la ligne de niveau de l’application : M Mes ( )
- la propriété relative à la ligne de niveau de l’application : M
i=n
- la propriété relative à la ligne de niveau de l’application : M i MAi2
i=1
Noter - le barycentre de n points pondérés
Écrire - un point comme barycentre de npoints pondérés
i=n
Réduire - i𝑀𝐴⃗i
i=1
Leçon 2 : Coniques
Exemple de situation
Le professeur de mathématique d'une classe de
terminale C explique comment Archimède aurait mis le
feu à la flotte romaine qui assiégeait la ville de
Syracuse en utilisant des miroirs.
Il utilise le résultat que tout rayon lumineux parallèle à
l’axe d’un miroir parabolique se réfléchit en un rayon
passant par le foyer (F) : un miroir parabolique
concentre donc la lumière au foyer. Cette propriété est
utilisée dans certains télescopes et dans les fours
Solaires. Il suffit de placer l'objet à chauffer au foyer du
miroir parabolique.
Des élèves-ingénieurs ont récemment tenté de refaire
l’expérience et sont parvenus à mettre le feu à
un navire (immobile et bien sec) situé à une trentaine
de mètres en utilisant des miroirs achetés dans le
commerce.
Emerveillé par ces informations les élèves décident
d'étudier les paraboles, les hyperbole et les ellipses.
HABILETES CONTENUS
- La définition d’un vecteur normal à un plan de l’espace
- La définition de la distance d’un point à un plan de l’espace
Connaître - La caractérisation d’un plan de l’espace par un point et un vecteur normal
- Une équation cartésienne d’un plan de l’espace
- Une représentation paramétrique d’une droite de l’espace
- Une équation cartésienne d’un plan défini par un point et un vecteur normal
- La distance d’un point à un plan connaissant une équation cartésienne de ce plan de
l’espace
- Une représentation paramétrique d’une droite connaissant un point et un vecteur directeur
- La position relative (parallèles, perpendiculaires, sécants) :
Déterminer
D’une droite et d’un plan de l’espace ;
De deux droites de l’espace
De deux plans de l’espace,
les droites étant définies par une représentation paramétrique et les plans par une
représentation cartésienne.
- Qu’une droite est orthogonale à un plan défini par une équation cartésienne
Démontrer - Qu’une droite est parallèle à un plan défini par une équation cartésienne
- Que deux plans définis chacun par une équation cartésienne sont parallèles ou
perpendiculaires
Traiter une situation - faisant appel à la géométrie analytique de l’espace
Exemple de situation
Dans le jeu du "triangle acrobate" on dispose d'un plateau quadrillé de cases triangulaires superposables et d'un
triangle mobile lui aussi superposable à chacun des triangles du plateau. Les cases sont numérotées. Le jeu
consiste à déplacer le triangle acrobate d'une case à une autre par une symétrie axiale selon un côté, par une
rotation autour d'un sommet ou par une translation suivant un côté. (voir figure ci-dessous)
Des élèves de terminales qui jouent à ce jeu depuis un certains temps décident d'étudier les transformations du
plan qui permettent de passer d'une case à une autre.
HABILETES CONTENUS
- la définition d’une isométrie
- la définition d’un déplacement
- la définition d’un antidéplacement
- les propriétés relatives à la conservation du produit scalaire, du barycentre, du
contact, l’orthogonalité, le parallélisme et l’alignement par une isométrie.
- les propriétés relatives à la composée :
Connaître de deux isométries planes
d’une rotation et d’une translation
d’une rotation et d’une symétrie orthogonale
d’une translation et d’une symétrie orthogonale
- les propriétés relatives à la décomposition :
d’une translation en produit de symétries orthogonales
d’une rotation en produit de symétries orthogonales
Classer
- des isométries à l’aide de leurs points invariants
- des isométries en déplacements et antidéplacements
- l’image d’une droite, d’un segment, d’un cercle par une isométrie
Déterminer
- la nature d’une isométrie connaissant l’ensemble de ses points invariants
- la nature de la composée de deux isométries
- des lieux géométriques en utilisant la composée de deux isométries
Démontrer
- une propriété géométrique en utilisant une isométrie plane
- une propriété géométrique en utilisant la composée de deux isométries
Construire
- l’image d’une droite, d’un segment, d’un cercle par une isométrie
- une figure en utilisant la composée de deux isométries planes
- une translation, une rotation en produit de symétries orthogonales
Décomposer - des isométries pour déterminer les éléments caractéristiques de la composée de
deux isométries du plan
Résoudre - des problèmes de construction en utilisant une isométrie du plan
Traiter une situation - faisant appel aux isométries planes
Exemple de situation
Le système ci-contre permet de soulever une
charge placée en M.
Il est ramené à un plan rapporté au repère
orthonormal direct (A, , ). ABCD est un
carré de centre O et P un point se déplacant sur
[BC].
On appelle N l'image de P par la rotation de
centre A et d'angle et M le milieu de [NP].
2
Pour vérifier efficacité du système, les élèves de
terminale doivent déterminer les lieux
géométriques du point M lorsque P décrit [BC].
Un élève affirme que les point M est l'image du
point P par la composée d'une rotation et d'une
homothétie.
Pour vérifier ce résultat, les élèves décident
d'étudier les composées de rotations et
d'homothéties.
HABILETES CONTENUS
- la définition d’une similitude directe
- la définition de deux figures semblables
- la forme réduite d’une similitude directe
- les éléments caractéristiques d’une similitude directe
- la nature et les éléments caractéristiques de la bijection réciproque d’une similitude directe
- les propriétés relatives à la conservation :
du parallélisme
du barycentre
du contact
des angles orientés
Connaître
de l’orthogonalité
de l’alignement
- la propriété : toute similitude directe multiplie les distances par le rapport.
- la propriété relative à la composée d’une homothétie de rapport k et d’un déplacement
- la propriété relative à la composée de deux similitudes directes
- les propriétés relatives à la détermination d’une similitude directe donnée par :
- son centre, son rapport et son angle ;
- son centre, un point et son image
- son rapport, son angle , un point et son image
- deux points et leurs images
-l’image d’un point, d’une droite, d’un segment, d’un cercle par une similitude directe définie
par :
son centre, son angle et son rapport
Déterminer
son centre, un point et son image
son rapport, son angle, un point et son image
deux points et leurs images
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- les éléments caractéristiques d’une similitude directe définie par :
son centre, un point et son image
deux points et leurs images
- la nature et les éléments caractéristiques de la bijection réciproque d’une similitude directe
- les éléments caractéristiques de la composée de deux similitudes directes
- des lieux géométriques en utilisant une similitude directe du plan
- l’image d’un point, d’une droite, d’un segment, d’un cercle par une similitude directe définie
par :
son centre, son angle et son rapport
Construire
son centre, un point et son image
son rapport, son angle, un point et son image
deux points et leurs images
- des propriétés géométriques (parallélisme, orthogonalité, contact…) en utilisant une
Démontrer similitude directe
-que deux figures sont semblables
Calculer - des distances et des aires en utilisant une similitude directe
Résoudre - des problèmes de construction en utilisant une similitude directe
Traiter une situation - faisant appel aux similitudes directes du plan
Leçon 3 : Nombres complexes et géométrie du plan
Exemple de situation
Exemple de situation
Le système ci-contre permet de soulever une
charge placée en M.
Il est ramené à un plan rapporté au repère
orthonormal direct (A, , ), ABCD est un
carré de centre O et P un point se déplacant sur
[BC].
On appelle N l'image de P par la rotation de
centre A et d'angle et M le milieu de [NP].
2
Pour vérifier efficacité du système, les élèves de
terminale décident de déterminer les lieux
géométriques des points N et M lorsque P décrit
[BC].
HABILETES CONTENUS
A la fin du XVIème siècle, le mathématicien Bombelli applique cette formule à l'équation x3 - 15x = 4.
Il obtient littéralement : x = 2 − 11√−1 + 2 + 11√−1 .
Les élèves sont intrigués par la notation √−1 car depuis la classe de troisième ils savent que la racine carré d'un
nombre négatif n'existe pas. Leur professeur de mathématique explique qu'en mathématique, lorsqu'une une
équation n’a pas de solutions dans un ensemble, une démarche naturelle (et historique) consiste à en chercher
dans un ensemble plus grand. L’ensemble numérique le plus grand que l’on a rencontré est IR. Pourtant,
l’équation x² + 1 = 0 n’a pas de solutions dans IR. Il faut donc envisager un autre ensemble noté C contenant des
nombres imaginaires.
Les élèves décident d'en savoir d'avantage sur ce nouvel ensemble.
HABILETES CONTENUS
Partie réelle (𝑅𝑒) , Partie imaginaire (Im) d’un nombre complexe
Forme algébrique d’un nombre complexe
Forme trigonométrique d’un nombre complexe
-module et argument d’un nombre complexe
-module et argument du produit, de l’inverse, du quotient et de la puissance entière
d’un nombre complexe.
-Forme exponentielle (𝑟𝑒 )
Somme, produit quotient de deux nombres complexes
Conjugué d’un nombre complexe, propriétés
Identifier Egalité de deux nombres complexes
Affixe d’un point, d’un vecteur ;
Point image d’un nombre complexe
Vecteur image d’un nombre complexe.
Les racines carrées d’un nombre complexe
Une équation du second degré à coefficients complexes
Les racines 𝑛 è de l’unité
Les racines 𝑛 è d’un nombre complexe non nul
Formule de Moivre
Formule d’Euler
Connaître Les caractéristiques complexes d’un cercle, d’une droite
la forme algébrique, la forme trigonométrique d’un nombre complexe
la partie réelle, la partie imaginaire d’un nombre complexe
Déterminer
le conjugué d’un nombre complexe
le module et un argument d’un nombre complexe non nul
THEME 2: FONCTIONS
Exemple de situation
Exemple de situation
Les élèves de Terminale s'exercent à la photographie au sein du club photo du lycée. Ils savent qu' en
photographie, la profondeur de champ correspond à la zone de l'espace dans
laquelle doit se trouver le sujet à photographier pour en obtenir une image que l'œil
considérera nette.
En optique, pour que la netteté s'étende de la distance a à la distance r, la mise au point
doit être faite à la distance p = (les distances sont exprimées en mètres).
Les élèvent souhaitent que la netteté s'étende de « 5 m à l'infini ».
Un élèves affirme alors que p = 10 - .
Ces camarades décident de vérifier cette formule et de faire des calculs pour déterminer la distance de
mise au point à choisir.
HABILETES CONTENUS
- les notions de branches paraboliques de direction celle de(OI) ou celle de (OJ) dans un
repère (O, I, J)
Identifier
- une racine n-ième d’un nombre positif
- une puissance d’exposant rationnel
- la propriété relative à la limite d’une fonction composée
- la propriété relative à la limite d’une fonction monotone sur un intervalle ouvert
- les propriétés relatives aux opérations sur les fonctions continues sur un intervalle
- la propriété relative à la composée de deux fonctions continues sur un intervalle
- les propriétés relatives à l’image d’un intervalle par une fonction continue :
en utilisant son tableau de variation
Connaitre en utilisant une méthode algébrique
- le théorème des valeurs intermédiaires :
Soit f une fonction continue sur un intervalle K, a et b deux éléments de K.
Tout nombre réel compris entre f(a) et f(b) a au moins un antécédent par f compris
entre a et b.
- les propriétés relatives aux fonctions continues et strictement
monotones sur un intervalle
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- les méthodes de dichotomie et de balayage
- les propriétés relatives aux puissances d’exposants rationnels
- une racine n-ième d’un nombre positif ( √𝑥ou 𝑥 ).
Noter
- une puissance d’exposant rationnel (𝑥 ).
- la limite d’une fonction
en utilisant les limites de référence
en utilisant une expression conjuguée
en utilisant la définition d’un nombre dérivé
en utilisant les propriétés de comparaison
(minoration, majoration et encadrement)
en utilisant une égalité remarquable
- la limite d’une fonction composée
Déterminer
- l’image d’un intervalle par une fonction continue
en utilisant son tableau de variation
en utilisant une méthode algébrique
- une valeur approchée d’une solution d’une équation
- le nombre de solutions d’une équation du type f(x) = k
- la formule explicite d’une bijection réciproque quand cela
est possible
- un prolongement par continuité d’une fonction en un point
- la courbe de la bijection réciproque d’une bijection dans
un repère orthonormé
Représenter - graphiquement des fonctions du type :
x↦ (nℕ*, xℝ∗ )
x↦xr (r ℚ , xℝ∗ )
- graphiquement :
f(x)
lim =0
x+ x
f(x)
lim = + (resp)
Interpréter x+ x
f(x)
lim =0
x x
f(x)
lim =+ (resp)
x x
- qu’une fonction f est une bijection d’un intervalle ׀sur un intervalle J dans le cas où f est
continue et strictement monotone sur ׀.
- l’existence d’une unique solution de l’équation f(x) = m (m réel) sur un intervalle ׀, f étant
Démontrer continue et strictement monotone sur ׀
- l’existence d’une unique solution de l’équation f(x) = 0 sur un intervalle ouvert ]a ; b[ , f étant
continue et strictement monotone sur [a ;b]
Traiter une
faisant appel aux limites et à la continuité d’une fonction
situation
Exemple de situation
HABILETES CONTENUS
- la définition d’une fonction dérivable à gauche (respectivement à droite) en un point
- la définition des dérivées successives d’une fonction
- les nouvelles notations des dérivées successives ; ;…; (nℕ*)
Connaître
- les propriétés relatives à la dérivabilité d’une fonction sur un intervalle
- la propriété relative à la dérivée d’une fonction composée
- les propriétés relatives à l’inégalité des accroissements finis (les 2 formes)
Noter
- un nombre dérivé à gauche (respectivement à droite) d’une fonction
- les dérivées successives d’une fonction
Reconnaître - graphiquement un point d’inflexion
- le signe d’une fonction en utilisant ses variations
- le sens de variation d’une bijection réciproque d’une fonction f sur un intervalle J
connaissant le sens de variation de f sur un intervalle I
Déterminer
- le nombre dérivé de la fonction𝑓 en un point y0
- un point d’inflexion d’une courbe représentative d’une fonction
- des dérivées successives d’une fonction
Étudier - la dérivabilité d’une fonction définie par intervalles en un point de raccordement
- le nombre dérivé en un point d’une fonction composée
Calculer - les dérivées des fonctions de la forme :
x↦ (nℕ*)
Leçon 3 : Primitives
Exemple de situation
Pour préparer un exposé en physique, une élève de terminale monte au rez-de-chaussée d'un immeuble
dans un ascenseur et se place sur un pèse-personne. Elle relève la mesure affichée sur le pèse-personne
au cours de son trajet jusqu'au 5ème étage. D'après les lois de la physique, on peut établir que la valeur
M (en kg) affichée par le pèse-personne, est liée à l'accélération a (en m/s) de la cabine et à la masse m
(en kg) de la personne.
L'objectif de cette activité de l'élève est d'établir la hauteur et la vitesse de la cabine à différents
instants.
On établit en mécanique que la vitesse instantanée de la cabine est la fonction dérivée de la fonction h
(la hauteur de la cabine en fonction du temps) et que l'accélération instantanée de la cabine est la
fonction dérivée de la vitesse. Ainsi, a(t) = v'(t).
Arrivée en classe elle demande à ses camarades de classe de l'aider à trouver la fonction v qui a pour
dérivée l'accélération a.
HABILETES CONTENUS
- la définition d’une primitive d’une fonction continue
- les primitives des fonctions de référence
- les primitives de :
Connaitre 𝑢′ + 𝑣′ ;𝜆𝑢′ (𝜆 ∈ ℝ)
𝑣′ × 𝑢′𝑜𝑣 ; ; 𝑢′𝑐𝑜𝑠𝑢 ; 𝑢′𝑠𝑖𝑛𝑢 ; , 𝑟 ∈ ℚ\{1} ; 𝑢′ × 𝑢 ,𝑚 ∈ ℚ\{−1}
√
où 𝑢 et 𝑣 sont des fonctions dérivables
- l’ensemble des primitives d’une fonction continue
Déterminer - les primitives d’une fonction en utilisant les primitives des fonctions de référence
- la primitive d’une fonction qui prend une valeur donnée en un point donné,
Exemple de situation
Le médico-scolaire de ta commune organise une campagne de dépistage de la fièvre typhoïde dans ton
établissement. Après avoir examiné n élèves pris au hasard, le médecin chef affirme que la probabilité
d’avoir au moins un élève non atteint de la fièvre typhoïde dans cet établissement est de 1- (0,325)n.
Afin de sensibiliser davantage les élèves contre cette maladie, le chef de l’établissement veut connaitre
le nombre minimum d’élèves tel que la probabilité d’avoir au moins un élève non atteint de la fièvre
typhoïde soit supérieur à 0,98. Il sollicite ta classe.
Après plusieurs essais infructueux avec la calculatrice, vous posez le problème à votre professeur de
Mathématique qui vous demande d’utiliser les propriétés algébriques de la fonction logarithme
népérien.
Curieux, chaque élève de la classe décide de s’informer sur la fonction logarithme népérien.
HABILETES CONTENUS
- la définition de la fonction logarithme népérien
- la définition de la fonction logarithme décimal
- les propriétés algébriques de la fonction logarithme népérien
- la dérivée de la fonction logarithme népérien
- le sens de variation de la fonction logarithme népérien
Connaitre - la représentation graphique de la fonction logarithme népérien
- les propriétés algébriques de la fonction logarithme décimal
- les limites de référence de la fonction logarithme népérien
- les fonctions dérivées des fonctions du type : lnou et lno|𝑢|
- les primitives des fonctions du type :
Représenter
- graphiquement les fonctions du type : lnou et lno|𝑢|
- graphiquement une fonction faisant intervenir la fonction logarithme népérien
- les propriétés algébriques de la fonction logarithme népérien pour transformer une
Utiliser écriture
- les limites de référence pour calculer d’autres limites
Étudier - une fonction faisant intervenir la fonction logarithme népérien
Traiter une situation - faisant appel aux fonctions logarithmes
Pour son premier stage pratique dans l’infirmerie de ton établissement, un étudiant en médecine reçoit
un élève malade. Il lui donne un médicament qu’il prend immédiatement.
La fonction qui modélise la masse M, en mg, de ce médicament encore présente dans son sang t heures
après sa prise du médicament est la fonction telle que : 𝑀(𝑡) = 50. 𝑒 , .
En vue de prescrire si possible d’autres médicaments plus tard, le stagiaire désire visualiser cette masse
M en fonction du temps t. Il sollicite ton professeur de Sciences de la vie et de la terre (SVT). Ce
dernier associe ta classe au projet.
Motivés pour la cause, les élèves de la classe s’organisent et décident de faire des recherches sur les
fonctions comportant la fonction exponentielle népérienne et les représenter graphiquement.
HABILETES CONTENUS
Exemple de situation
Exemple de situation
Au cours d’un exposé en Histoire- Géographie sur les infrastructures routières
réalisées en chine, les élèves de la promotion Terminale d’un établissement
secondaire apprennent que le pont de Zhijinghe à Hubei est un pont en arc qui
a été achevé en 2009. Afin de le construire, les ingénieurs ont été amenés à
étudier la résistance au vent.
Pour cela, ils ont calculé l’aire de la surface latérale grisée de la figure ci-dessous représentant un schéma
de ce pont.
Emerveillés par ces informations, les élèves de la promotion Terminale décident de s’informer sur le
calcul d’aire.
HABILETES CONTENUS
- la définition de l’intégrale d’une fonction continue
- la définition de la valeur moyenne d’une fonction continue sur un intervalle
- les propriétés de l’intégrale :
- linéarité
Connaitre
- signe de l’intégrale
- relation de Chasles
- inégalité et intégrale
- inégalité de la moyenne (les 2 formes)
- la technique de l’intégration par parties
- la technique du changement de variable affine
Noter - une intégrale
Déterminer
- le signe d’une intégrale
- un encadrement d’une intégrale
Interpréter - graphiquement une intégrale
x
Étudier - les variations des fonctions dutype : x⟼ f(t) dt
a
Représenter x
- une allure d’une fonction du type : x⟼ f(t) dt
a
Traiter une situation - faisant appel au calcul intégral
Exemple de situation
Dans le souci d’avoir assez de revenus pour l’organisation des festivités de fin d’année, le président de
la promotion terminale veut effectuer le placement de la somme de 300.000 CFA qu’ils ont dans leur
caisse au premier Janvier 2018.
Il se rend dans une structure bancaire et le banquier lui propose deux options.
Option 1 : le capital placé est augmenté de 2500 CFA à intérêts simples par mois
Option 2 : le capital placé augmentera de 5% de mois en mois pendant la durée du placement
Le budget de la manifestation étant de 400.000 CFA, le président voudrait connaitre l’option la plus
avantageuse pour obtenir rapidement cette somme avant la date de la manifestation fixée au début du
mois d’Août 2018.
Le major de cette promotion affirme que le problème peut être résolu à l’aide de suites particulières.
Forts de ces informations et voulant aider leur président, les élèves de la promotion terminale décident
de faire des recherches sur les suites arithmétiques et géométriques.
HABILETES CONTENUS
- la définition d’une suite :
majorée
minorée
bornée
- la définition d’une suite :
Connaitre convergente
divergente
- les propriétés sur les suites monotones :
Toute suite croissante et majorée converge
Toute suite décroissante et minorée converge
- les propriétés sur la convergence des suites numériques
Mathématique Terminale C Page 24
si (𝑢 )est une suite convergente vers a et f une fonction continue en a
alors la suite 𝑣 = 𝑓(𝑢 ) vers f(a)
propriété page284 (CIAM TSM)
les propriétés des suites récurrentes définies par une relation du type Un+1 =
f(Un)
- les propriétés sur la divergence des suites numériques
Toute suite croissante et non majorée a pour limite +∞
Toute suite décroissante et non minorée a pour limite −∞
- les propriétés sur la convergence :
des suites géométriques
des suites arithmétiques
des suites du type n
- les théorèmes de comparaison
- les propriétés sur les limites et comportements asymptotiques comparés des suites (In
n) ; (aⁿ), a > 0 et (n), réel
Savoir - mener un raisonnement par récurrence
Reconnaître
- une suite géométrique convergente ou divergente
- une suite du type nconvergente ou divergente
- qu’une suite est monotone
Démontrer - qu’une suite est majorée et/ou minorée
- qu’une suite est convergente ou divergente
Conjecturer - le comportement d’une suite récurrente
- la plus petite valeur de n telle que : 𝑢 ≥ 10 ,𝑝 ∈ ℕ
Déterminer - la plus petite valeur de n telle que :|𝑢 − 𝑙| ≤ 10 ,𝑝 ∈ ℕ
- la limite d’une suite
- une situation donnée à l’aide d’une suite :
arithmétique
Traduire
géométrique
arithmético-géometrique
Traiter une situation - faisant appel aux suites numériques
HABILETES CONTENUS
Connaitre - la définition d’une équation différentielle
Traiter des situations relatives à la modélisation d’un phénomène aléatoire, à l’organisation et au traitement des
données.
Exemple de situation
Exemple de situation
Pour l’organisation de la kermesse de leur Lycée, les élèves d’une classe de terminale désirent
proposer le jeu suivant à un stand :
« Une urne contient trois boules rouges numérotées 100, 200 et 300 et deux boules rouges numérotées
2 et 5, toutes indiscernables au toucher.
Les règles du jeu sont les suivantes :
Le joueur mise X francs CFA et tire successivement avec remise deux boules de l’urne. Si les deux
boules tirées sont de même couleur, la partie est perdue. Sinon, le joueur remporte le montant en francs
CFA égal au nombre obtenu par le produit des numéros apparus sur les boules tirées »
Pour ne pas être perdant, ces élèves souhaitent déterminer la mise minimale du joueur pour que le jeu
leur soit avantageux.
Ensemble, ils s’organisent pour calculer des probabilités, étudier des notions de variables aléatoires et
déterminer des lois de probabilités.
HABILETES CONTENUS
- la définition d’une probabilité conditionnelle
- la définition d’une variable aléatoire
- la définition d’une loi de probabilité,
- la définition d’une fonction de répartition,
- la définition de l’espérance mathématique, de la variance et de l’écart-
type
- d'un système complet d'évènement
Connaître - la définition d’une épreuve de Bernoulli
- la définition d’un schéma de Bernoulli
- la définition de la loi binomiale de paramètres n et p
- la propriété relative à l’espérance mathématique d’une variable
aléatoire suivant une loi binomiale B(n,p)
- la propriété relative à la variance d’une variable aléatoire suivant une
loi binomiale B(n,p)
- la formule des probabilités totales
Noter - une probabilité conditionnelle : P(A/B) ou 𝑃 (𝐴)
- la probabilité d’un évènement
- la probabilité d’obtenir 𝑘 succès dans une suite de 𝑛 épreuves de Bernoulli
Calculer (0 ≤ 𝑘 ≤ 𝑛)
- l’espérance mathématique, la variance et l’écart type d’une variable aléatoire
donnée
Justifier - que deux événements sont indépendants ou non
Déterminer - la loi de probabilité d’une variable aléatoire donnée
- la fonction de répartition d’une variable aléatoire donnée
Construire - un arbre pondéré
Exemple de situation
Exemple de situation
Un riche entrepreneur offre une de ses entreprises à son fils. Celui-ci prend connaissance des chiffres
d’affaires annuels de l’entreprise à travers le tableau ci-dessous.
Rang (xi) 1 2 3 4 5 6
Il souhaite connaitre le chiffre d’affaire de son entreprise en 2020, il sollicite ton aide. Après analyse
minutieuse de ce tableau, tu te rends dans le centre de documentation et d’information (CDI) de ton
Lycée pour faire des recherches sur les séries statiques à deux variables pour répondre à sa
préoccupation.
HABILETES CONTENUS
- la définition d’une série statistique à deux caractères
- la définition du point moyen
- les tableaux de fréquences marginales
- la formule de la covariance
Connaître
- la formule du coefficient de corrélation linéaire
- les formules de calcul de a et b(resp. a’ et b’) dans l’équation y = ax + b (resp.
x=a’y+b’) d'une équation de la droite de régression par la méthode des
moindres carrées de y en x (resp. x en y).
- les séries marginales à partir d’un tableau à double entrée représentant une
Etablir
série statistique à deux caractères
Représenter - un nuage de points
Placer - le point moyen dans le nuage de points
- les coordonnées du point moyen
Calculer - la covariance
- le coefficient de corrélation linéaire
- une équation d’une droite d’ajustement linéaire par la méthode des moindres
Déterminer
carrés
Interpréter - le coefficient de corrélation linéaire
Traiter une situation - faisant appel aux séries statistiques à deux caractères
THEME : ARITHMETIQUE
HABILETES CONTENUS
- la définition d’un diviseur d’un entier relatif
- la définition de la congruence modulo n
- la définition d’un nombre premier
- les propriétés relatives aux diviseurs d’un entier relatif
- la définition du quotient et du reste de la division euclidienne d’un entier relatif
par un entier naturel non nul
Connaitre
- les propriétés relatives à la division euclidienne dans IN
- les propriétés relatives à la division euclidienne dans Z
- les propriétés relatives aux nombres premiers
- le théorème fondamental de la décomposition d’un entier naturel en produit de
facteurs premiers
- la propriété relative à l’existence et à l’unicité de la décomposition d’un nombre
Noter - a divise b : a|b
Décomposer - un entier en produit de facteurs premiers
Reconnaître - un nombre premier
- le quotient et le reste de la division euclidienne d’un entier relatif par un entier
Déterminer naturel non nul
- l’ensemble des diviseurs d’un entier naturel non nul
- qu’un entier est divisible par un entier non nul donné
Démontrer - qu’un entier est divisible par un entier non nul donné en utilisant les caractères
de divisibilité par 2 ;3 ;5 ;9 ;10 et 11
- qu’un nombre est premier
Utiliser
- les propriétés des congruences pour résoudre des problèmes de divisibilité
- le raisonnement par récurrence, la disjonction des cas, l’élimination des cas ou
Leçon 2 :Plus petit commun multiple - Plus grand commun diviseur de deux entiers relatifs
Exemple de situation
HABILETES CONTENUS
- La définition d’un multiple d’un entier relatif
- La définition du plus grand commun diviseur de deux entiers relatifs non nuls
- La définition du plus petit commun multiple de deux entiers relatifs non nuls
- La définition de deux nombres premiers entre eux
- les propriétés relatives aux multiples d’un entier relatif
Connaitre
- les propriétés relatives au plus grand commun diviseur
- les propriétés relatives au plus petit commun multiple
- la propriété liant le plus petit commun multiple au plus grand commun diviseur
- les propriétés relatives aux nombres premiers entre eux
- l’algorithme d’Euclide
- le théorème de Bézout
- le théorème de Gauss
- l’ensemble des multiples d’un entier relatif n : nZ
- le plus grand commun diviseur de deux entiers relatifs non nuls a et b : PGCD
Noter (a,b)
- le plus petit commun multiple de deux entiers relatifs non nuls a et b :
PPCM(a,b)
- le PGCD de deux nombres entiers relatifs non nuls :
à l’aide de l’algorithme d’Euclide
à l’aide de la décomposition en produit de facteurs premiers
Déterminer
- le PPCM de deux nombres entiers relatifs non nuls :
à l’aide de la décomposition en produit de facteurs premiers
à l’aide du PGCD
que deux nombres entiers relatifs sont premiers entre eux en utilisant :
Démontrer - l’algorithme d’Euclide
- le théorème de Bézout
- Des équations du type ax + by = c où a, b et c sont des nombres entiers relatifs
Résoudre - Des équations du type ax b [n], n est un entier naturel non nul, a et b des
nombres entiers relatifs
Utiliser - le théorème de Gauss pour résoudre des problèmes de divisibilité
Traiter une situation - faisant appel au PPCM et au PGCD
NB : La séance de régulation consiste à mener des activités de rémédiation aux erreurs relatives aux contenus de la leçon.
À cette occasion, le professeur mènera également des activités permettant d’évaluer et de renforcer les acquis des élèves.
C’est le cumul du temps de régulation qui fait 1h ou 2h.Le professeur peut en faire des séances de travaux dirigés.
Remarque :
Le respect de la progression est obligatoire afin de garantir l’achèvement du programme dans le temps imparti et de permettre
l’organisation des devoirs de niveau.
Leçon10 : Primitives
La bijectivité de la fonction
La croissance « lente » de la
fonction logarithme pourra être
étayée avec des calculs
numériques. Ce résultat sera
réinvesti lors de l’étude des
croissances comparée des
fonctions logarithmes népérien,
exponentielle et puissance
x
Fonction du type F : x f(t)
a
dt.
MOYENS ET
CONTENUS CONSIGNES POUR CONDUIRE LES TECHNIQUES
SUPPORTS
ACTIVITES PEDAGOGIQUES
DIDACTIQUES
Leçon 19: Plus petit commun multiple – Plus grand commun diviseur
La résolution de l’équation du
type ax +bv =c se fera sur
des exemples et sera guidée.
Le petit théorème de Fermat
sera traité en séances de
travaux dirigés et ne sera pas
pris en compte dans les
contrôles continus.