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Le bien-être du nourrisson fut longtemps analysé sous le prisme de la clinique du sujet (en France), où le nourrisson était considéré comme une unité d'analyse. Mais depuis quelques temps, la psychologie environnementale vise à étudier le... more
Le bien-être du nourrisson fut longtemps analysé sous le prisme de la clinique du sujet (en France), où le nourrisson était considéré comme une unité d'analyse. Mais depuis quelques temps, la psychologie environnementale vise à étudier le bien-être du nourrisson dans son milieu, son environnement. Ainsi donc l'on distingue plusieurs facteurs du bien-être du nourrisson : individuels, comportementaux, environnementaux globaux et enfin environnementaux directs. Nous allons étudier de quelle façon les facteurs environnementaux immédiats influent sur le bien-être du nourrisson, en en étudiant les effets mélioratifs dans une première partie, et néfastes dans une seconde.
Le mérovingien Clovis (~481-511), à son couronnement en tant que roi des Francs vers 481, fonda de facto le royaume franc. Cependant, à sa mort en 511, le regnum francorum alors unifié fut divisé (selon la loi salique) en plusieurs... more
Le mérovingien Clovis (~481-511), à son couronnement en tant que roi des Francs vers 481, fonda de facto le royaume franc. Cependant, à sa mort en 511, le regnum francorum alors unifié fut divisé (selon la loi salique) en plusieurs Teilreiche 1 dont deux principaux : La Neustrie (bien que ce terme n'apparaisse que un siècle plus tard) au Nord-Ouest, l'Austrasie (ou Oster-rike, Royaume de l'Est) au Nord-Est. Cette division du royaume amena à une opposition grandissante entre le royaume de Neustrie et d'Austrasie au fil des années et des successions, et à un affaiblissement de l'intégrité du Regnum Francorum. Les Pippinides (ou Pépinides), lignée se réclamant de Pépin de Landen (624-632 / 639-640), maire du Palais d'Austrasie, comprirent que l'affaiblissement graduel du pouvoir mérovingien depuis deux siècles pouvait leur être bénéfique. Ainsi, Pépin de Herstal (676-714), de la famille des Arnulfiens et de descendance Pippinide, réussi à rendre héréditaire le rôle de Maire du Palais d'Austrasie au sein de sa descendance. Son fils, Charles Martel (715-741), lui aussi Maire du Palais d'Austrasie, réussit à dominer la Neustrie en 719 et ainsi donc réunifia le regnum francorum. Également fort de ses victoires militaires face aux Sarrasins, il renforça la prédominance de sa famille au sein du gouvernement mérovingien, mais ne destitua pas pour autant le roi mérovingien en place. À l'inverse de son fils Pépin le Bref, lui aussi Maire du Palais d'Austrasie, qui décida de destituer le dernier roi mérovingien, Childéric III, en 751 (bien que les rois mérovingiens ne furent que fantoches depuis Pépin de Herstal, la plupart des pouvoirs étant concentrés dans les mains du Maire du Palais). À partir de ce moment, la dynastie des Pipinnides est alors couramment appelée Carolingienne et va régner sur le royaume franc jusqu'en 987, bien qu'à partir de la mort de Louis le Pieux en 840, le regnum francorum se divisa une fois de plus en plusieurs Teilreiche.
J'ai joint l'article étudié en pièce jointe, pensez à appuyer sur "2 files" au dessus de cette introduction pour le visionner ! (apparemment seulement disponible sur PC/Mac et non sur téléphone) Cet exposé se centre autour du texte... more
J'ai joint l'article étudié en pièce jointe, pensez à appuyer sur "2 files" au dessus de cette introduction pour le visionner ! (apparemment seulement disponible sur PC/Mac et non sur téléphone)

Cet exposé se centre autour du texte "Les 3 étapes", un article paru dans Le Petit Parisien, le 15 avril 1900, sous le pseudonyme Jean FROLLO. Le texte en lui-même aborde l'exposition de 1900 comme l'aboutissement d'un processus de reconstruction de la France post-guerre de 1870, passant par les temps forts que sont l'exposition de 1878 et celle de 1889. J'ai pris le soin d'apporter sur chaque exposition des données extérieures, surtout concernant le déroulement et l'environnement des expositions.
Une version numérisée de l’Édit, provenant des ressources numériques de la Sorbonne, a été jointe à ce document Ce texte, datant du 17 janvier 1562, est un Édit, c'est à dire un acte législatif de l'Ancien Régime émanant, en général du... more
Une version numérisée de l’Édit, provenant des ressources numériques de la Sorbonne, a été jointe à ce document

Ce texte, datant du 17 janvier 1562, est un Édit, c'est à dire un acte législatif de l'Ancien Régime émanant, en général du roi de France. Cet écrit législatif est connu sous le nom d'Édit de Saint-Germain-en-Laye, bien qu'appelé plus couramment l'Édit de Janvier. Publié depuis le 17 janvier, il faut attendre le 6 mars pour que cet édit de paix soit enregistré, le Parlement de Paris, extrêmement catholique, refusant jusqu'alors de le faire. Nous devons ce texte à Catherine de Médicis, alors que celle-ci se trouvait régente du royaume de France, et sa rédaction à son chancelier Michel de L'Hospital. L'objectif fondamental d'un tel écrit n'est pas de mettre en œuvre une forme tolérance envers la religion réformée mais d'insuffler un vent de paix dans un royaume instable.