Max Liebermann

Une histoire globale des avant-gardes picturales se doit d’expliquer pourquoi celles-ci apparurent en certains endroits et pas en d’autres, comment elles circulaient entre les pays et les capitales, ce qui les portait et si elles rompaient réellement avec leur temps, sachant que la plupart finirent par connaître une véritable canonisation.
Les avant-gardes lièrent leur sort au développement des journaux et des revues, c’est-à-dire à celui des techniques d’impression et de reproduction en série. Elles profitèrent également d’un vaste mouvement de circulation des idées, des hommes et des objets avec le développement des réseaux ferrés et des transports maritimes.
Dans le même temps se forgeaient les identités nationales, férues de tradition et de préservation des cultures. L’approche géopolitique met au jour ce processus par lequel les plasticiens novateurs recoururent à la référence étrangère pour s’opposer aux institutions nationales, travaillèrent à internationaliser leurs réputations pour mieux s’imposer contre le refus de l’innovation porté par le nationalisme, ou, au contraire, se laisser récupérer par des partis nationalistes et révolutionnaires.
Mais à côté des stratégies, réseaux et marchés, place est faite à l’analyse du contexte culturel et moral, économique et politique, matériel et social, affectif et spirituel des artistes des avant-gardes à partir de 1848. Jusqu’à la rupture de 1920, quand ces avant-gardes deviennent politiques, plaçant l’avenir de l’art dans celui de la Révolution.

Es ist eine Arbeit, die die Lyzeums-Schülerin Edith Borgemeister aus Duisburg während des I. Weltkriegs für eine Aktion der Cecilienhilfe anfertigte. Eher unfreiwillig erstellte sie damit eine umfangreiche Dokumentation zur Helden- und Durchhaltekunst in der damaligen Kriegszeit.

Der Zuzug Berliner Künstlers in die Colonie Alsen ist als Höhepunkt einer Entwicklung zu betrachten, die in den 1870er Jahren begann und gekennzeichnet war von einer ebenso zeittypischen wie persönlichen Sehnsucht nach Idylle. Die Ausstellung  richtet ihren Fokus auf sechs Malern (Carl Becker, Oscar Begas, Philipp Franck, Max Liebermann, Hugo Voge und Anotnon von Werner) und ermöglicht einen zeitlichen Überblick von rund sechzig Jahren (1870er-1930er), in denen Wannsee Quell der künstlerischen Inspiration, Sehnsuchtsort und Treffpunkt von Künstlern war.

Der Text beschäftigt sich mit der Einordnung des berühmten Max Liebermann Gemäldes "Der zwölfjährige Jesus im Tempel" in die Tradition des Motivs, die von ersten frühchristlichen Darstellungen über Dürer und Rembrandt bis in das 19. Jahrhundert reicht.