Musée D'Orsay

Özet: Orsay Müzesi, 1900 tarihinde Dünya Fuarı için Mimar Victor Laloux tarafından Orsay Tren Garı olarak tasarlanmıştı. Ve bünyesinde 400 odalı hotel barındırmaktaydı. Yapı, 39 yıl boyunca Paris Orleans arasında seferler yapan oldukça ünlü bir tren garı olarak hizmet vermişti. 1986 yılında restorasyonun ardından yapı, Orsay Müzesi olarak kullanılmaya başlanmış ve dünyada en çok ziyaret edilen müzeler arasında ilk sıralarda olmayı başarmıştır. Bu araştırmada, Orsay Tren Garı'nın restorasyon aşamaları ve sonrasında yeni işlev kazanarak Orsay Müzesi haline getirilmesi detaylı olarak incelenmiştir.

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El sentimentalismo ha dominado hasta ahora la lectura de la obra desarrollada por el pintor francés Edgar Degas (1834-1917), el más parisino de los impresionistas, sobre la danza y la música. Pero gracias al esfuerzo de tres museos, Musée d´Orsay y L´Orangerie (París) y National Gallery of Art (Washington D.C.) es posible descubrir la compulsión y determinación que motivaron sus innovaciones artísticas.
Una muestra itinerante de más de casi 100 obras de Degas con motivo de los 350 años de la Ópera de París, que se inauguró en noviembre pasado en París y que se mantendrá abierta, en Washington D.C., hasta el 5 de julio próximo, es examinada para Ars Kriterion E-Zine por el crítico Juan Carlos Flores Zúñiga (AICA), quien evalúa en el presente artículo el peso de la pasión sobre la razón que llevó a Degas a obsesionarse por décadas con las artes escénicas asociadas a la Ópera.

Cette journée d’études, organisée à l’École du Louvre le 19 janvier 2016, offrira, pour la quatrième année, de découvrir les travaux de recherche les plus remarquables des étudiants du séminaire de Master 2 et de Master 1 Histoire de la photographie, en lien et au regard d’études de chercheurs confirmés. Elle s’interrogera sur les transformations que le travail archivistique et muséal offre aux fonds et aux objets photographiques qu’il distingue comme objets d’études. Transformation physique – de la plaque dans une boîte ou de l’épreuve dans un carton d’archive à l’ouvrage monté, parfois encadré, transformation d’usage, transformation de statut – du document à l’œuvre, parfois. Le travail académique permet une transformation du regard porté sur ces fonds. Ce changement rend possible et suscite une analyse renouvelée des œuvres ou des lieux auxquels ils étaient auparavant attachés. L’étude des fonds photographiques constitue ainsi une opportunité remarquable d’enrichissement pour l’histoire de la photographie, mais aussi de l’ensemble des disciplines archéologiques, historiques et artistiques. Elle offre, ainsi, une transformation inédite des champs du savoir et de la connaissance.

À la fin du XIXe siècle, la technique du pastel connaît un regain d'intérêt en particulier chez les artistes de la tendance symboliste. Par sa fragilité et son caractère diffus, le pastel permet alors de répondre au souhait des artistes idéalistes qui voulaient, selon la formule de Jean Moréas dans le Manifeste de 1886 de "vêtir l'idée d'une forme sensible".

What was the first abstract work of art, and who made the ultimate break with naturalism and the academic tradition? Historians of modern art long ago identified it as a watercolour by Wassily Kandinsky which he had post–dated 1910 [1913], now in the Centre Georges Pompidou, Paris. However, Jean–Claude Lebensztejn, in the catalogue for Paths to Abstraction 1867–1917, showing at the National Gallery of Australia in Canberra, notes that abstract works appear in quantity between 1908 and 1911. ‘The crucible of this change,’ writes Lebensztejn, ‘was the Symbolist movement and especially Paul Gauguin, who wrote to Émile Schuffenecker on 14 August 1888: “A word of
advice: don’t copy nature too closely. Art is an abstraction”.’

Catherine Dubois (née Roy-Meshuit) est aujourd'hui, à quatre-vingt-quatre ans, le seul modèle métisse vivant de Matisse. Leurs chemins se sont croisés en 1946, alors que le peintre travaillait avec plusieurs modèles noirs ou créoles pour illustrer "Poésies antillaises", en hommage à Nau, et "Les Fleurs du Mal" de Baudelaire. Il avait soixante-cinq ans, et elle onze. Propos recueillis par Carrie Pilto, avec Denise Murrell

Dal 22 Febbraio all’8 Giugno, il Complesso del Vittoriano ospita la mostra: “Musée d’Orsay. Capolavori” curata dal Presidente del Musée d’Orsay e l’Orangeriè, Guy Cogeval e dal direttore delle collezioni e conservatore del dipartimento di pittura del museo, Xavier Rey. Per la prima volta a Roma circa settanta opere provenienti dal celebre museo parigino che sintetizzano la storia di due secoli d’arte contemporanea.

Cet article retrace la carrière artistique du statuaire occitan Jean Carlus (1852-1930) dans le contexte sociopolitique et culturel de la Troisième République, en particulier par le biais de deux oeuvres visibles aujourd’hui encore dans les villes de Gaillac et de Toulouse.

Directeur du musée d'Orsay (1994-2001), Président-directeur du musée du Louvre jusqu'en 2013, Président de la Cité internationale des arts et de l'Ensemble intercontemporain, Henri Loyrette est spécialiste de Degas, de Viollet-le-Duc, de Gustave Eiffel...

Pour inaugurer notre série des « grands témoins », The Art Newspaper a choisi de revenir sur le parcours exceptionnel d'un amoureux des musées français, Michel Laclotte, à qui l'on doit notamment le Petit Palais d'Avignon, le musée d'Orsay et le Grand Louvre. Vous m'aviez dit que vous vouliez être architecte à la Libération. Vous avez finalement beaucoup construit… Cette vocation n'a pas duré très longtemps car j'étais très peu doué en mathématiques et je me suis fait coller à mathélem. J'ai finalement passé un bac philo et ensuite le concours de conservateur. Tout de suite, je me suis orienté vers la peinture italienne et vers les Primitifs, surtout siennois. Ne me demandez pas pourquoi car je ne le sais pas… Je voudrais plutôt vous interroger sur une ligne qui a animé toute votre carrière : mettre à l'honneur les fonds des musées de province. Votre thèse à l'École du Louvre portait d'ailleurs sur les tableaux florentins et siennois des XIV et XV e siècles des musées de province français. Ce qui est remarquable, et cela, je voudrais qu'on le dise et qu'on le répète, c'est que nous avons vécu une période très riche tout de suite après la guerre, marquée par la nécessité absolue de renouveler complètement le champ des musées. Beaucoup de musées avaient été endommagés ou détruits pendant la guerre. Jacques Jaujard, le nouveau directeur des Arts et Lettres, a eu le souci de créer une nouvelle structure, l'Inspection générale des musées de province, avec une direction des musées très forte. J'ai eu la chance de commencer ma carrière à l'Inspection des musées de province-j'y suis resté 15 ans-et en particulier d'être chargé par mon patron, Jean Vergnet-Ruiz, qui fut un des grands hommes de cette révolution avec Jaujard, de tout le côté scientifique. Vergnet-Ruiz, un homme extrêmement généreux, disait volontiers : « Ce n'est pas moi, c'est le petit ! » J'ai donc eu beaucoup de liberté. J'ai commencé par l'exposition « De Giotto à Bellini » au musée de l'Orangerie à Paris dont la préparation m'a donné l'occasion de rencontrer beaucoup d'historiens de l'art pour rechercher de nouvelles attributions, surtout Roberto Longhi qui a été pour moi le maître et qui est à mes yeux certainement l'historien de l'art le plus important du XX e siècle. Ce qui a été également important dans ma carrière, c'est le Petit Palais d'Avignon où nous avons pu réunir les Primitifs italiens du marquis Campana qui étaient dispersés dans les musées français. C'est une idée de Jean Vergnet-Ruiz. Par la suite, j'ai continué avec l'exposition « Trésors de la peinture espagnole, églises et musées de France » en 1963 au musée des Arts décoratifs à Paris où je me

Cet article rend compte de l’exposition sur Huysmans critique d’art qui a eu lieu au musée d’Orsay, en concomitance avec son entrée dans la Bibliothèque de la Pléiade, la même année. L’éventail des œuvres proposées, « de Degas à Grünewald », est plutôt représentative des positions morales et esthétiques de l’écrivain et du critique d’art, à la condition de comprendre ce « de… à » moins comme le trajet d’un point à un autre que comme la tentative constante de réunir les deux pôles – ce qu’évoquent les directeurs des deux musées, dans le catalogue de l’exposition, quand ils évoquent « la possibilité d’une double modernité » dans la critique d’art huysmansienne.
En ligne sur http://www.litteraturesmodesdemploi.org/carnet/huysmansdedegasegrunewald/?fbclid=IwAR10Oenr9YIwcP-u46DSZVnO3Q9X_yQcSxNh6V8_5-hgIgnP8S5PeZsDZTA

L'oeuvre monumentale du statuaire Jean Carlus (1852-1930) érigée dans l’espace public incarne la fonction pédagogique et propagandistede l’art, mis au service des idéaux égalitaireset démocratiques de la Troisième République. En conformité avec les valeurs de sontemps, Carlus s’inscrit dans la logique du systèmedes beaux-arts dicté par la doctrine républicaine. Dans plusieurs cas,ses oeuvres font cependant preuve d’une penséelibre et anticléricale. Membre actif de l’Associationdes Artistes Libres Penseurs, Carlus semble ainsi exprimer par la sculpture ses convictions laïques et socialistes.