Location via proxy:   [ UP ]  
[Report a bug]   [Manage cookies]                
Aller au contenu

Séricourt

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Séricourt
Séricourt
Le monument aux morts.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité Communauté de communes du Ternois
Maire
Mandat
Sylvain Ducroquet
2020-2026
Code postal 62270
Code commune 62791
Démographie
Gentilé Séricourtois
Population
municipale
48 hab. (2021 en évolution de −12,73 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 17′ 45″ nord, 2° 18′ 56″ est
Altitude Min. 79 m
Max. 145 m
Superficie 2,45 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Saint-Pol-sur-Ternoise
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Séricourt
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Séricourt
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Voir sur la carte topographique du Pas-de-Calais
Séricourt
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Séricourt

Séricourt est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 469 habitants en 2021.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]
Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de quatre communes :

Communes limitrophes de Séricourt
Nuncq-Hautecôte Sibiville
Séricourt
Frévent Bouret-sur-Canche

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune, situé dans le bassin Artois-Picardie, est traversé, par le ruisseau des Ayres, cours d'eau d'une longueur de 5,47 km, qui prend sa source dans la commune de Sibiville et se jette dans la Canche au niveau de la commune de Frévent[1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Séricourt[Note 1].

La commune s'inscrit dans les « paysages du Ternois » tels qu’ils sont définis dans l’atlas de paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[2].

Ces paysages, qui concernent 138 communes avec trois pôles d’attraction que sont Hesdin à l'ouest, Saint-Pol-sur-Ternoise à l’est et, dans une moindre mesure, Frévent en lisière sud, sont délimités par deux cours d’eau : la Canche au Sud et la Ternoise au Nord. Ces paysages sont composés de plateaux, de vallées et de bocages. Les plateaux du Ternois montrent une structure tabulaire assez plane et une altitude assez régulière avec des points culminants entre 150 et 160 m.

Le territoire d’une vingtaine de kilomètres du Nord au Sud et d’Est en Ouest, est traversé par la D 939 reliant Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, par la D 912 entre Saint-Pol-sur-Ternoise et Frévent et par la ligne ferroviaire de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples dans la vallée de la Canche. La position excentrée, en l’absence de grands axes autoroutiers ou ferrés structurants, a permis au Ternois de conserver un caractère rural et une certaine qualité de paysage.

Au niveau de l’occupation des sols, les surfaces cultivées sont omniprésentes sur les plateaux, avec majoritairement la culture de la betterave et de la pomme de terre, et représentent près de 72 % de la surface totale de ces paysages du Ternois, les espaces artificialisés, cantonnés dans les fonds de vallée, représentent 13 % et les surfaces boisées, présentes dans les deux principales vallées de la Ternoise et de la Canche, ne représentent que 6 %[3].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 853 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Humières à 13 km à vol d'oiseau[6], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 856,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité

[modifier | modifier le code]

Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique

[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 2[Note 3] : la haute vallée de la Canche et ses versants en amont de Sainte-Austreberthe qui se situe dans le pays du Ternois. Il offre un relief de coteau abrupt au Nord et des pentes douces au Sud. Le fond de vallée est constitué de pâturages et de zones de cultures. Les versants les plus pentus et inaccessibles accueillent des boisements[10].

Carte de la ZNIEFF sur la commune.

Au , Séricourt est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[12]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,6 %), forêts (14,1 %), zones agricoles hétérogènes (4,3 %), prairies (4 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes Syricort (1176) ; Siricurt, Syricurt (1183) ; Serichort (1199) ; Silicurt (1206) ; Siricort (1221) ; Sericurt (1224) ; Sericort (1284) ; Sericourt (1311) ; Céricourt (1421)[16].

Pendant la Première Guerre mondiale, par exemple au début août 1915, la commune, de même que celles de Houvin-Houvigneul, Sibiville, a servi de lieu de cantonnement à des troupes engagées sur le front de l'Artois (le front passait dans la région de Lens-Vimy-Arras)[17].

Le , un soldat du 74e régiment d'infanterie, Marie Gustave Adrien, condamné à mort par le tribunal de guerre de la 5e division d'infanterie, pour abandon de poste devant l'ennemi, a été fusillé à Houvin-Houvigneul au matin, en présence de l'ensemble du régiment, en un point situé à 500 m sud de Séricourt, au sud de la voie ferrée. Le corps a été immédiatement inhumé à Séricourt[18].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Découpage territorial

[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités

[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de la communauté de communes du Saint-Polois créée fin 1995.

Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du [19] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmètres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.

Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[20]. À l'initiative des intercommunalités concernées[21], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le le principe de la fusion de :
- la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[22] ;
- la communauté de communes de la région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
- de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
- de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants. Le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI), intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [23],[24].

La communauté de communes du Ternois, qui résulte de cette fusion et dont la commune fait désormais partie, est créée par un arrêté préfectoral qui a pris effet le [25].

Circonscriptions administratives

[modifier | modifier le code]

La commune fait partie depuis 1801 du canton de Saint-Pol-sur-Ternoise[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la composition de ce canton est modifié et regroupe désormais 88 communes, dont Séricourt.

Circonscriptions électorales

[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995 2001[27] Bertrand Castelain    
mars 2001 2014[28] Francis Gouillart[29]   Agriculteur
2014[27] 2020 Bertrand Castelain[30]   Directeur de l’association Mobil I.T.
25 mai 2020 En cours
(au 7 avril 2022)
Sylvain Ducroquet   Artisan[31],[32]

Équipements et services publics

[modifier | modifier le code]

→ Conseils pour la rédaction de cette section.

Eau et déchets

[modifier | modifier le code]

Espaces publics

[modifier | modifier le code]
La Cathédrale de roses des jardins de Séricourt, en 2014.

Les jardins de Séricourt, propriété privée, d'une superficie de plus de 4 ha, situés au 2, rue du Bois et créés en 1985 (et ouverts au public en 2000) par le pépiniériste Yves Gosse de Gorre, diplômé de l'École supérieure du jardin et du paysage d'Anderlecht, en Belgique. Ils sont classés jardin remarquable et accueillent annuellement 5 000 à 6 000 visiteurs par an[33].

Les jardins de Séricourt ont été labellisés jardin remarquable par le ministère de la Culture en 2004[34].

La commune fait partie des villages labellisés Village Patrimoine[35], qui œuvrent à mettre en avant leurs patrimoines matériels et/ou immatériels (historique, culturel, naturel, architectural, etc.).

Enseignement

[modifier | modifier le code]

Postes et télécommunications

[modifier | modifier le code]

Justice, sécurité, secours et défense

[modifier | modifier le code]

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].

En 2021, la commune comptait 48 habitants[Note 5], en évolution de −12,73 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
604751566058716448
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
557262556374676975
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
717675685868536147
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
413948475360505154
2014 2019 2021 - - - - - -
555148------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Selon son maire, la commune est en 2016 la treizième plus petite commune du Pas-de-Calais[39].

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,4 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 27 hommes pour 25 femmes, soit un taux de 51,92 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
4,0 
3,8 
75-89 ans
4,0 
26,9 
60-74 ans
24,0 
19,2 
45-59 ans
24,0 
19,2 
30-44 ans
8,0 
7,7 
15-29 ans
16,0 
23,1 
0-14 ans
20,0 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2021 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,6 
75-89 ans
8,9 
16,7 
60-74 ans
18,1 
20,2 
45-59 ans
19,2 
18,9 
30-44 ans
18,1 
18,2 
15-29 ans
16,2 
19,9 
0-14 ans
17,9 

Équipements communaux

[modifier | modifier le code]

En 2016, la mairie occupe la salle de l'ancienne école communale, qui ne répond pas aux normes d’accessibilité aux personnes à mobilité réduite, et n'est pas adaptée aux besoins. Le conseil municipal a donc décidé la construction en 2017 d'une salle de convivialité de 100 m2 environ, exemplaire en matière énergétique, pouvant être utilisée en tant que salle de réunion associative et comme mairie[27],[39].

→ Conseils pour la rédaction de cette section.

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
La petite chapelle entourée de quelques tombes.
  • Chapelle Saint-Martin, du XVe siècle : L'édifice, en mauvais état, est fermé depuis la fin des années 2000, il est à l'écart de la zone habitée, dans un cadre boisé et sur un versant. Sa réhabilitation, évaluée en 2016 à 350 000 , semble hors de proportion avec les moyens de la commune[42].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :
d’argent au chevron d’azur chargé de cinq coquilles d’or.

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau des Ayres (E5400550) » (consulté le )
  2. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  3. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du Ternois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Séricourt et Humières », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « ZNIEFF 310007267 - La haute vallée de la Canche et ses versants en amont de Sainte-Austreberthe », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Séricourt ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 358.
  17. Inventaire des journaux des marches et opérations des grandes unités, Brigades et groupes de bataillons, Brigades et groupes de bataillons d'infanterie, Brigades d'infanterie, , 9ebrigade, : J.M.O. 16 mars 1915-27 août 1915, p. 56, lire en ligne.
  18. Inventaire des journaux des marches et opérations des grandes unités, Brigades et groupes de bataillons, Brigades et groupes de bataillons d'infanterie, Brigades d'infanterie, , 9ebrigade, : J.M.O. 16 mars 1915-27 août 1915, p. 57, lire en ligne.
  19. n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
  20. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  21. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  22. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
    Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
  23. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
  24. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  25. « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069,‎ , p. 37-39 (lire en ligne).
  26. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. a b et c Hélène Lancial, « Séricourt – « On veut construire un bâtiment communal écologique » : Betrand Castelain, le nouveau maire de Séricourt, 53 habitants, a bien l’intention de faire bouger les choses. Deux projets sont prévus : la construction d’un bâtiment communal écologique qui accueillera, entre autres, la mairie, et la réfection de l’église », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « « Le Bilan de maire » à Séricourt : trois années de crise municipale, entre démissions, élections, différends… : Le conseil municipal de Séricourt a vécu un mandat très difficile, et c’est peu de le dire tant les divisions ont été nombreuses entre le maire et les autres membres de l’équipe. Invité à plusieurs reprises ces dernières semaines à s’exprimer dans nos colonnes, Francis Gouillart a finalement décliné nos demandes de rendez-vous. C’est donc sans lui qu’on revient ici sur ces années agitées », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. Fabien Bidaud, « Le maire, une guéguerre de village et un terrain «maudit» à la barre du tribunal », Francis Gouillart a-t-il profité de sa position de premier magistrat de Séricourt, village de cinquante-quatre habitants du Saint-Polois, pour valoriser un terrain qu’il avait acheté ? Le paysan retraité semble surtout avoir été la cible de l’opposition féroce de son conseil municipal de l’époque…,‎ (lire en ligne).
  30. Anthony Hoyer, « Un dernier mandat pour M. Castelain », L'Abeille de la Ternoise, nos 8595-1644,‎ , p. 19 « Voilà près de trente ans que celui qui vient de franchir la barre des 60 ans est élu. Son investissement au sein de la municipalité débute en 1989. Pendant six ans, il siège en tant que conseiller municipal. En 1995, il devient le premier magistrat. Le fauteuil majoral, il l’occupera pendant six ans avant de passer la main à M. Gouillard pour des raisons professionnelles. Bertrand Castelain est revenu aux affaires en 2014 après une période agitée. Directeur de l’association Mobil I.T. qu’il a fondée, il nous l’assure, ce sera son dernier mandat ».
  31. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  32. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  33. Anthony Hoyer, « La trentaine passée, les Jardins veulent franchir un autre cap... de fréquentation », L'Abeille de la Ternoise, nos 8570-1619,‎ , p. 21.
  34. « Les jardins de Séricourt », sur le ministère de la Culture (consulté le ).
  35. Alexis Degroote, « Arrageois-Ternois : Séricourt, nouveau «Village patrimoine», un atout touristique mais pas seulement », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. a et b Anthony Hoyer, « Une nouvelle « mairie » à la fin de l’année 2017 ? », L'Abeille de la Ternoise, nos 8595-1644,‎ , p. 19.
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Séricourt (62791) », (consulté le ).
  41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  42. Anthony Hoyer, « Chapelle : l’impossible restauration ? », L'Abeille de la Ternoise, nos 8595-1644,‎ , p. 19.