La basilique de la Nativité à Bethléem
Histoire et archéologie
(Mosaïques et colonnades – description et restauration)
1. L’historique de la basilique de la Nativité
Trois sont les périodes de construction et restauration de la basilique de la nativité :
constantinienne, byzantine et croisée.
Le lieu saint était déjà un lieu de culte pour les premiers chrétiens qui y vénéraient la grotte
dans laquelle était né le Messie. Mais c'est en cette période que se multiplieront les révoltes juives,
qui deviendront toujours plus fortes et seront réprimées sous la domination d'Hadrien, qui décida de
construire à Bethléem un temple païen dédié au dieu Adonis sur la grotte de la Nativité, détruite et
enterrée avec tous ses symboles chrétiens.
Après le 312. Avec le concile de Nicée, par forte volonté de la reine Hélène, et après
d'intéressantes fouilles, commença la construction de la basilique de la Nativité, redonnant ainsi toute
sa dignité au lieu saint protégé à cet endroit. La fin du chantier a lieu en 333, comme le mentionne le
pèlerin de Bordeaux dans ses écrits (Itinerarium 598).
Bethléem devient alors un grand centre religieux, et avec l'arrivée de Saint Jérôme en 384,
débute une nouvelle phase, puisqu'elle devient pôle d'une nouvelle expérience monastique. Une autre
figure d'importance pour le développement du monachisme autant masculin que féminin dans la ville
de Bethléem, fut la patrizia romaine Paola, qui avec sa fille Eustache, rejoins Bethléem en 386 et
consacra beaucoup de son patrimoine à l'édification de deux monastères aux environs des lieux de la
Naissance de Jésus.
En 420, après la mort de Saint Jérôme, la vie monastique à Bethléem est très peu suivie, entre
autre la ville est conquise par les Samaritains de Naplouse, qui, après les révoltes contre l'empereur
de Byzance de 521-528, saccageront les églises et les monastères, attaquant durement les chrétiens
(529). Après ces saccages et après la destruction de la Basilique de la Nativité, en 531 Justinien, sur
la demande de Saint Saba, restaura le sanctuaire et reconstruit la ville qui était en ruine.
A cette occasion, est réalisée une mosaïque sur le tympan majeur, décoré par la représentation
des Mages en vêtements perses. Ce détail particulier prend un caractère important lors de l'invasion
dirigée par Chosroês II en 614, puisque la basilique est préservée de la destruction, et la vision de la
mosaïque effraye les armées perses. En 629 l'empereur Héraclius reconquit les territoires palestiniens
occupés par les Perses.
Avec l'occupation arabo-musulmane de la part du Calife Omar en 638, Bethléem fut soumise
à ce nouveau pouvoir. Le climat de tolérance et de cohabitation entre musulmans et chrétiens, fut
garanti par le geste symbolique du Calife, qui, après l'occupation de la ville, entra pour prier devant
l'abside sud de la Basilique. Depuis ce moment, la basilique devient un lieu de prière autant pour les
chrétiens que pour les musulmans.
Ainsi cette église fut préservée miraculeusement, très probablement à cause de l'importance
que le lieu avait aussi pour la religion islamique, mais aussi par le fait que la basilique accueillait une
petite mosquée.
A cause des difficiles conditions vécues dans les territoires de Bethléem, les chrétiens
demandèrent de l'aide à Godefroy de Bouillon en poste à Emmaüs. L'arrivée des croisés exacerbèrent
les rapports entre les musulmans et les chrétiens : ceux-ci espéraient la libération de la ville par les
croisés.
Entre 1165-1169, par volonté de l'évêque Rodolfo, débute la restauration de la basilique, avec
la contribution économique du roi croisé Andronic Ier et de l'empereur de Constantinople, Manuel
Comnène Porphyrogénète, comme en témoigne du pèlerin Phocas. Cette collaboration est un signe
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clair de l'unité entre Eglise d'Orient et d'Occident. A la suite de la défaite des croisés en 1187 à Hattin
en Galilée contre Saladin Salah al-Din ibn Ayyoub, Bethléem est de nouveau occupée.
Fig 1. Plan de la basilique constantinienne avec Narthex
Fig. 2 Reconstitution de l'abside octogonale du IVe siècle clôturée par un chancel et dont l'autel
central serait bâti selon la tradition juste au-dessus de la grotte de la Nativité.
2. L’archéologie de la basilique de la Nativité
Phases des fouilles
1932: premières enquêtes sur la place en face du sanctuaire W. Harvey, E.T. Richmond, H.
Vincent, R. W. Hamilton
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1934: enquêtes internes au sanctuaire W. Harvey, E.T. Richemond, H. Vincent , R. W.
Hamilton: sont découverts des éléments appartenant à l'édifice sacré de Constantin du IV siècle, et en
particulier des mosaïques de la nef centrale et de la zone du presbytère de forme octogonale. S'en
suivra une abondante littérature que les archéologues produiront à la suite des fouilles. Nous pouvons
mettre en évidence les textes suivant: W. Harvey in Archaelogia , v.87(1937), E.T. Richemond in
QDAP, vv. 5 e 6 e P. Vincent in revue Biblique, (1936-1937), J. W. Crowfoot in Early Churches in
Palestine (Londra 1941), R.W. Hamilton in the Church of the Nativity, Bethlehem (Gerusalemme
1947).
1947: P. Bagatti prit en considération la zone du terrain franciscain adjacent à la basilique
byzantine, et le cloître de Saint Jérôme qui était à l'époque soumis à une restauration générale. S'en
suit la découverte des restes de l'époque croisée. P. Bagatti expliqua les différentes phases de fouilles
et d'études dans le volume « Les Anciens édifices sacrés de Bethléem » (Jérusalem 1952), qui resta
une des dernières publications complètes sur les caractéristiques archéologiques du Sanctuaire et des
régions voisines.
1962-1964: fouilles sur le terrain du couvent de la part de P. B. Bagatti: des grottes qui
entourent la Grotte de la Nativité.
Fig. 3 Plan de l’église originelle en noir, dans le plan actuel
3. La décoration de la basilique de la Nativité : les mosaïques et les colonnades
Il n’est pas aisé, à première vue, de comprendre la structure architectonique du complexe
basilical, qui a subi des siècles d’Histoire et de transformations. L’édifice, qui remonte au VIe siècle,
est l’œuvre des architectes de l’Empereur byzantin Justinien, lequel voulut reconstruire la basilique
du IVe siècle, détruite après la révolte des Samaritains. En observant la façade, il est possible de
distinguer quelques-unes des parties qui constituent le complexe de la basilique et les structures
annexes.
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La basilique semble construite comme une forteresse : une conséquence de l’exigence,
manifestée au cours des siècles, de rendre le sanctuaire plus sûr, ainsi que les habitations des moines
qui en étaient les gardiens.
Le narthex que l’on peut voir actuellement a été modifié par rapport à l’original, et il en est
beaucoup plus réduit. Le pavement est celui du IVe siècle, mais les murs, recouverts de plâtre, ne
restituent pas leur beauté originelle, puisque la basilique entière devait être revêtue de plaques de
marbre blanc. L’on suppose, sur la base des études d’architecture byzantine, que le narthex était
décoré, non seulement avec du marbre, mais aussi enrichi de mosaïques.
Intérieur de la basilique
La Basilique a conservé, en son intérieur, tous les éléments architecturaux du VIe siècle.
L’Empereur byzantin de l’époque de l’élaboration du projet, n’approuva pas les choix de l’architecte,
l’accusa d’avoir dilapidé les fonds, et le condamna à la décapitation. En dépit de l’insatisfaction de
l’Empereur, la structure prouva sa solidité, demeurant intacte jusqu’à aujourd’hui.
Le sol, à l’époque constantinienne, était entièrement revêtu de mosaïques finement travaillées,
comme l’ont montré les fouilles en 1932. A l’époque byzantine, suite au changement de dimensions
du plan de la basilique, le sol fut recouvert d’un revêtement de marbre blanc. Au travers des trappes
faites dans le sol, il est possible encore aujourd’hui de contempler les mosaïques antiques, qui ont été
restaurées en 2018. L’espace intérieur, divisé par les colonnes en cinq nefs, est sombre, et peu
illuminé.
La facture des mosaïques est vraiment minutieuse et raffinée, surtout dans la nef centrale.
L’on a calculé 200 tesselles sur 10 cm2 de surface, tandis que sur des mosaïques normales, la densité
des tesselles est de 100 pour 10 cm2. Tout cela montre à quel point ces décorations sont précieuses,
puisque la grande densité de tesselles permettait d’élaborer des images raffinées, et de reproduire plus
de nuances de couleur. Le résultat est une mosaïque plus détaillée, et représentative de l’importance
du Lieu Saint. Ces mosaïques, qui recouvraient la nef centrale et l’abside, représentent des éléments
géométriques et décoratifs (svastikas, cercles, cadres, bandes entrelacées). Plus rares sont les éléments
végétaux, comme les feuilles d’acanthe et de vigne. La représentation d’un coq, dans le transept nord,
est assez exceptionnelle ainsi que la mosaïque conservée à gauche du presbyterium, où, en soulevant
la trappe en bois, on peut observer le monogramme IXΘYΣ, « poisson » en grec, que les anciens
utilisaient pour désigner le Christ. L’absence de figures animales est conforme à la tradition moyenorientale, dans laquelle on ne trouve jamais de figures animales et humaines.
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La colonnade, qui se termine aujourd’hui à hauteur de la zone absidale, devait continuer en
une sorte de déambulatoire à l’intérieur de la Grotte de la Nativité. Ce type de structure architecturale
est visible dans plusieurs Lieux Saints, spécialement pour les Martyria, puisque selon la Tradition, le
pèlerin devait faire plusieurs fois le tour du lieu, pour obtenir des grâces. Les colonnes et les
chapiteaux, faits en pierre rouge de Bethléem, sont d’époque byzantine, œuvres d’artisans locaux.
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La décoration des colonnes, restée inaperçue jusqu’à 1891, quand le père Germer-Durant
l’étudia, représente un des éléments plus intéressants de la décoration interne. La technique utilisée
est celle de la peinture à l’encaustique, peinture qui imprime les pigments mélangés à la cire, sous
l’effet de la chaleur.
Les périodes de production varient ainsi que le travail de l’artiste : l’on peut donc penser que
les travaux furent demandés par des clients individuels à divers peintres. Il est sûr que toutes les
images remontent à l’époque croisée, époque de transition et de divisions entre l’Eglise d’Orient et
l’Eglise d’Occident. Un fait confirmé par la présence de saints, autant de la tradition occidentale
qu’orientale. Chaque saint a son nom écrit sur un parchemin au-dessus de lui, ou placé entre ses
mains. La fonction de ces dessins est décrite par le pèlerin Arculfe, qui témoigna de l’usage de
célébrer des messes à proximité des colonnes, le jour de la fête du saint. Pour les ecclésiastiques de
l’époque, les colonnes peintes servaient à rappeler de manière métaphorique la présence des saints en
ce lieu. Il est coutume de penser, dans la tradition vivante de l’Eglise, que les saints représentent ceux
qui supportent le poids de l’Eglise. On peut dire qu’il s’agit des « fresques » à finalité votive, puisqu’il
est très probable qu’ils attestaient qu’un pèlerinage avait été effectué.
Les mosaïques murales
La nef centrale est particulièrement obscure mais l’effet produit par les mosaïques sur fond or
et argent incrustées de nacre, qui recouvraient autrefois tous les murs de la basilique, reste malgré
tout fascinant. Les décorations murales, sûrement d’époque croisée, disposées sur différents
segments, sont en partie recouvertes de plâtre.
Le témoignage plus direct et précis sur les décorations est celui du père Quaresmi, qui, dans
les Elucidatio Terrae Sanctae (1626), décrit minutieusement les mosaïques murales.
Au premier niveau, sur le côté droit, sont représentés saint Joseph et les ancêtres du Christ
selon l’Evangile de saint Matthieu. Symétriquement sur le côté gauche, devait être représentée la
généalogie selon l’Evangile de Luc.
Au second niveau, entrecoupés de bandes de feuilles d’acanthe, sont représentés les sept
conciles œcuméniques (Nicée, 325 ; Constantinople, 381 ; Ephèse, 431 ; Chalcédoine, 451 ;
Constantinople II, 553 ; Constantinople III, 680 ; Nicée II, 787), les quatre conciles provinciaux
(Antioche, 268 ; Ancyre, 314 ; Sardique, 342 ; Ganges, IVe siècle), et les deux synodes locaux
(Laodicée, IVe siècle, Carthage, 254). Chaque concile est représenté par un édifice sacré, et expliqué
à l’aide d’un cartouche, dans lequel sont explicitées les décisions prises à l’occasion.
Au niveau supérieur, nous trouvons la représentation d’anges en procession vers la Grotte de
la Nativité ; ils ont les traits féminins, et sont vêtus de tuniques blanches.
Aux pieds d’un de ces anges, l’on a découvert la signature des mosaïstes, « Efrem et Basile »,
probablement d’origine syrienne. On peut également supposer que des maîtres et artistes grecs soient
intervenus dans ces projets, mais il est également clair que ceux qui ont élaboré ces décorations,
connaissaient parfaitement les grands monuments de Terre Sainte, exécutés par des artistes
d’Occident. Par exemple, dans la bande décorative de la nef, celle qui sépare les conciles des anges
du haut, où sont les fenêtres, se trouve une étroite bande décorative, dans laquelle apparaît un masque
animal, typique de l’art romain européen.
Sur la façade il est bien d’évoquer de manière toute particulière la représentation des Mages
(avec des vêtements perses) qui arrivent à Bethléem pour adorer Jésus. L’histoire veut que les soldats
perses, qui envahirent la ville en 614 après JC, furent intimidés à la vue de cette mosaïque, et se
dissuadèrent de piller la basilique, qui resta intacte.
Dans la traversée de la basilique, aujourd’hui encore, on peut observer des scènes tirées des
évangiles : l’incrédulité de saint Thomas, qui semble mieux conservée, l’Ascension, et la
Transfiguration au nord ; l’entrée de Jésus à Jérusalem au sud. Dans l’abside principale, selon le
témoignage de Quaresmi, devait être représentée la figure de la Vierge à l’enfant, et dans l’arc absidal,
l’Annonciation à Marie, entre les prophètes Abraham et David. Sur les murs, se succédaient des
scènes de la vie de la Vierge Marie, tirées des évangiles apocryphes. Dans la contre-façade, au-dessus
du portail d’entrée, l’arbre de Jessé, avec Jésus et les prophètes, était représenté. La mosaïque est
maintenant recouverte de plâtre blanc.
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Les mosaïques ont dû être réalisées avant 1169, dans les dernières décennies de la présence
croisée en Palestine, qui prit fin en 1187. Les commanditaires de l’œuvre sont autant le roi croisé de
Jérusalem, que l’Empereur byzantin : un exemple de collaboration, -pratiquement le seul dans
l’Histoire-, et qui souligne l’importance du Sanctuaire en son temps.
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L’entrée à Jérusalem
Le concile de Carthage
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La généalogie de Jésus Christ selon saint Mathieu
La représentation de saint Thomas apôtre et l’ascension du Christ au ciel
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La basilique de la Nativité avant la restauration des mosaïques en 2018
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4. La restauration des mosaïques
Cela fait partie de la première restauration connue de la basilique depuis 1479 en plus il faut
dire que comme la plupart des autres édifices consacrant les Lieux Saints de Palestine, la basilique de
la Nativité à Bethléem, épuisée de sa vétusté millénaire, avait beaucoup souffert du tremblement
déterre dévastateur de juillet 1927.
Les travaux minutieux sur les sols en mosaïque ainsi que sur les murs ont pris fin le
21 décembre 2018. Durant 15 mois, 125 m² des 2.000 m² des mosaïques originales, dessinées à
l'époque des Croisades entre 1154 et 1169, ont été minutieusement nettoyés et réparés par une équipe
italienne et palestinienne.
Marcello Piacenti, responsable de la restauration, a expliqué que son équipe se consacrait à la
protection de l’œuvre d’art historique. Un solvant de protection fut appliqué sur chaque minuscule
carreau de mosaïque à la main ou avec des pinceaux de petite taille.
Il faut noter aussi qu’outre la menace des infiltrations d’eau de pluie, les années d’utilisation
constante de lampes à huile ont également décoloré les carreaux d’or scintillants sur les mosaïques
des murs. Les travaux de nettoyage des mosaïques a été extraordinaire. Les photos des mosaïques des
murs de cet article en montrent la qualité.
Egalement les restaurateurs ont fait resurgir les peintures des saints datant de la même époque,
sur les colonnes dont on a parlé ci-dessus. "Ces portraits étaient à peine distincts", raconte Marcello
Piacenti. A présent, les silhouettes se détachent parfaitement sur les colonnes rosées. Seuls manquent
les visages, effacés par les musulmans après la conquête islamique.
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5. Conclusion
En conclusion il faut dire que cette basilique de la Nativité nous permet de constater encore
une fois que les mosaïques chrétiennes de pavement et des murs couvrant des superficies importantes
fournissent une série d'informations très complexe. Elles permettent d’élargir tant la connaissance de
la religion, de l’histoire de l’église et de la communauté religieuse que de l’épigraphie, de
l’onomastique, de la chronologie, de l’économie régionale, ou encore de l’iconographie, de
l’esthétique et de la technique des mosaïques.
A cela il faut ajouter que l’iconographie, qui est un langage symbolique, donne à son tour, une
gamme d’indices sur le culte, l’architecture, les vêtements, la faune et la flore, l’ornementation et le
goût esthétique de l’époque.
Finalement il faut dire que dans les mosaïques de la basilique de Bethléem, se vérifie le rapport
étroit entre art byzantin et art occidental, dans une commune harmonie. Les dernières recherches
affirment que, du point de vue décoratif, la basilique contient la plus grande expression, à l’époque
croisée, de la rencontre entre art byzantin et art croisé. Les mosaïques présentent ainsi le trait d’union
entre les Eglises d’Orient et les Eglises d’occident.
P. Silvio MORENO, IVE
Cathédrale de Tunis
Décembre 2020
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Sources
- L. Vincent, F. Abel, Bethléem, le sanctuaire de la Nativité, Toronto, 1914.
- L. Vincent, Le sanctuaire de la Nativité d’après les fouilles récentes, Revue
biblique, vol. XLVI, 1936.
- J. T. Milik, Notes d’épigraphie et de topographie palestiniennes: IX. — sanctuaires chrétiens de
Jérusalem à l’époque arabe (VII e - X e siècles), Revue biblique, vol. 67, n. 4 (octobre 1960).
- P. B. Bagatti, Les anciens édifices sacrés de Bethléem, Jérusalem, 1952.
- Marek-Titien OLSZEWSKI, L’image et sa fonction dans la mosaïque byzantine des premières
basiliques en Orient, Ecole française de Rome, 1992.
- P. Giuseppe Ricciotti, Vita di Gesù Cristo, Mondadori, 1962, §244.
- P. René Laurentin, Les évangiles de l’Enfance du Christ, Paris, 1982.
- https://www.middleeasteye.net/fr/reportages/bethleem-la-restauration-des-mosaiques-de-lanativite-est-un-cadeau-de-noel, 22 décembre 2018.
- https://www.custodia.org/fr/sanctuaries/bethleem.
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