Commande Vectorielle MAS
Commande Vectorielle MAS
Commande Vectorielle MAS
TW54
Commande Vectorielle d’une MAS
REMERCIEMENTS
Je tiens tout d'abord à remercier l’encadreur M. FODOREAN Daniel pour m’avoir aidé tout au
long de ce projet afin de rendre mon travail effectif durant tout ce semestre. Je le remercie encore pour
m’avoir guidé et encouragé dans les moments difficiles, pour sa gentillesse, son écoute et ses conseils,
et pour nous avoir toujours fait part de ses suggestions et de ses idées.
Introduction générale.............................................................................................................................4
Principe de la commande vectorielle.....................................................................................................5
Hypothèses simplificatrices....................................................................................................................6
Transformation de Concordia.................................................................................................................6
Transformation de Concordia inverse ...................................................................................................7
Transformation de Park..........................................................................................................................7
Équations électromécaniques de la MAS...............................................................................................8
Equations sur le stator........................................................................................................................9
Equations sur le rotor.........................................................................................................................9
Expression des flux statorique et rotorique .....................................................................................10
Équation mécanique.........................................................................................................................15
Méthode de saturation de tension. .....................................................................................................17
Régulation............................................................................................................................................18
Méthode de compensation de pôles....................................................................................................19
La commande des rapports cycliques...................................................................................................23
Mots clefs :
Commande vectorielle, Machine asynchrone, DSpace, Régulateur anti-windup (anti-
emballement), Park, Concordia, Commande de Flux Orienté (IRFO), MLI, SVM (Space
Vector Modulation) pour MLI vectorielle.
Résumé :
L’objet des travaux présentés dans ce rapport est l’étude par simulation numérique et
expérimentale de la commande vectorielle indirecte, proprement dit « la méthode de la
commande de flux Orienté ». Le travail sera divisé en plusieurs parties afin d’étudier cette
commande parmi lesquelles nous verrons :
Les entraînements électriques pilotés par des machines à induction sont très utilisés dans
le domaine industriel. Ces machines sont très robustes et de faible coût d’entretien et peuvent
fonctionner dans des conditions très sévères. Les performances dynamiques de cette machine
dépendent beaucoup de la qualité du découplage entre le flux et le couple. Ce découplage
dans le cas d'une machine à courant continu à excitation séparé est naturel. Cependant, ce type
de machine ne convient pas pour les grandes puissances. C'est l’une parmi d’autres raisons
qui a conduit à l’utilisation de la machine à induction. La stratégie du type contrôle vectoriel
par orientation du flux est une technique particulièrement performante surtout en régime
dynamique. Le choix d'une orientation du flux rotorique a l'avantage de permettre la
linéarisation et le découplage entre le flux et le couple mais son inconvénient majeur reste une
forte dépendance vis-à-vis des variations paramétriques de la machine (la robustesse). La
structure de la commande vectorielle abordée est du type indirect. Les régulateurs utilisés
pour le contrôle des grandeurs mécaniques et électromagnétiques sont du type proportionnel
intégral (PI) et calculés en temps continu dans le but d’une implantation expérimental.
Figure 1:représentation idéale de la MAS triphasée
Où :
A,B,C représentent les indices des trois phases au stator.
a,b,c représentent les indices des trois phases au rotor.
La méthode étant d’annuler un des termes contenus dans la parenthèse en rendant nul le
flux sur un axe de Park, en général l’axe q. Dans le cadre de ce travail, nous étudierons la
commande vectorielle indirecte à flux rotorique orienté (IRFO), qui est la plus utilisée et la
plus simple à implanter.
On a vu que le couple électromagnétique représente une somme « croisée » des flux et des
courants dans la représentation de Park. On dit alors que le couple est fortement découplé ou
découplage non naturel. Cela implique une complexité au niveau de la régulation de la
vitesse.
De manière générale, pour piloter une machine à induction, il faut d’abord réguler le
courant i sd pour magnétiser la machine. Quant au courant i sq , la régulation s’impose afin de
contrôler le couple. En effet, avec la méthode IRFO, on alignera le phaseur sur le composant
vectorielψ rd dans le but d’éliminerψ rq . On remarquera que la notion de découplage non
naturel disparaît.
Hypothèses simplificatrices
Pour modéliser la machine à induction les hypothèses simplificatrices suivantes sont
adoptées:
• Entrefer constant et effet des encoches négligeable,
• Distribution spatiale sinusoïdale des forces magnétomotrices d’entrefer,
• Circuit magnétique non saturé et parfaitement feuilleté,
• Pertes ferromagnétiques négligeables,
• Influence de l’échauffement sur les caractéristiques non pris en compte,
• Répartition sinusoïdale de l’induction le long de l’entrefer.
Représentation vectorielle
La représentation vectorielle d’une grandeur triphasée peut être obtenue dans différents
repères. Le repère (S) lié au stator, le repère (R) lié au rotor et le repère (T) lié au champ
tournant de la machine à induction. De plus des formules de changement de référentiel
permettent aisément de passer d’un repère à un autre. Cela nous amène à introduire quelques
outils de transformation.
Transformation de Concordia
Le passage d’un système triphasé (a, b, c) à un système biphasé ( α , β ):
1 1
1 − − xa
xα 2 2 2
= . . xb
xβ 3 3 3
0 2 − 2 x c
2 1 1
xα = . x a − xb − x c
3 2 2
⇔
x = 2 . x + 3 x − 3 x
3
β a b c
2 2
Équation 2 : Transformation de Concordia
Transformation de Concordia inverse
T
1 1
xa 1 − −
2 2 2 xα
xb = . .
3 3 3 xβ
x c 0 2 − 2
1 0
xa
2 1 3 xα
⇔ xb = . − .
3 2 2 xβ
xc
1 3
− 2
−
2
x = 2 .( x )
α
a 3
2 1 3
⇔ xb = . − xα + xβ
3 2 2
x = 2 . − 1 x − 3 x
3 2
c α β
2
Équation 3 : Transformation de Concordia inverse
Transformation de Park
x d cos(θ ) sin(θ ) xα
= .
x q − sin(θ ) cos(θ ) x β
xd = xα . cos(θ ) + xβ . sin(θ )
⇔
xq = − xα . sin(θ ) + xβ . cos(θ )
Équation 4:Transformation de Park
d
⇔ V sdq = [ R s ].[ Pm (θ ) ]..I s + [ Pm (θ ) ]. ψ s
dt
I sdq
Avec
d
V s = [ R s ].I s + ψ s
dt
d
⇔ [ Pm (θ ) ].V s = [ Pm (θ ) ].[ R s ].I s + [ Pm (θ ) ]. ψ s
• dt
V sdq
d
⇔ V sdq = [ R s ].[ Pm (θ ) ]..I s + [ Pm (θ ) ]. ψ s
dt
I sdq
d
• ψ s = [ Ls ].I s + [ M sr ] Ir
dt
ls Lm Lm
• [ Ls ]. = Lm ls Lm
Lm Lm l s
Rs 0 0
• [ Rs ]. = 0 Rs 0
0 0 R s
d
⇔ Vrdq = [ Rr ].[ Pm (θ ) ]..I r + [ Pm (θ ) ]. ψ r
dt
I rdq
d
• ψ r = [ Lr ].I r + [ M sr ] Is
dt
lr Lm Lm
• [ Lr ]. = Lm lr Lm
Lm Lm l r
Rr 0 0
• [ Rr ]. = 0 Rr 0
0 0 Rr
Quelques notations :
• θ g : l’angle à l’instant t que fait le repère tournant d’axe (d,q) avec le repère fixe dont
l’axe de référence se confond avec l’axe de l’enroulement statorique.
• θ : l’angle do rotor par rapport au stator
• θ r : l’angle entre le repère du rotor avec le système d’axe (d,q)
On détermine les équations en tension dans le repère générale de système d’axes (d, q)
d
V sdq = [ R s ].I sdq + [ Pm (θ ) ]. ψ s
dt
d d
V sdq = [ R s ].I sdq + [ Pm (θ ) ]. [ Ls ].I s + [ M sr ] I r
dt dt
d
v sd = R s .i sd + dt ψ sd − ω g .ψ sq
v = R .i + d ψ + ω .ψ
sq s sq
dt
sq g sd
Représentation en complexe :
d d
u s ' = v sd + j.v sq = R s .i sd + ψ sd − ω g .ψ sq + j R s .i sq + ψ sq + ω g .ψ sd
dt dt
d
⇔ u s ' = R s .i s '+ j.ω g .ψ s '+ ψ s '
dt
De la même manière, on détermine la notation en complexe des tensions rotoriques.
d d
Vrdq = 0 = [ Rr ].I rdq + [ Pm (θ ) ]. [ Lr ].I r + [ M sr ] I s
dt dt
d
v = Rr .i rd + ψ rd − ω r .ψ rq
rd dt
v = R .i + d ψ + ω .ψ
rq r rq
dt
rq r rd
d
(
v rd = Rr .i rd + dt ψ rd − ω g − ω .ψ rq )
⇔
v = R .i + d ψ + ω − ω .ψ ( )
rq r rq rq g rd
dt
d
u r ' = v rd + j.v rq = Rr .i rd + ψ rd − ω g − ω .ψ
dt
( ) rq
d
+ j Rr .i rq + ψ
dt
rq + ω( g )
− ω .ψ rd
( ) d
⇔ u r ' = Rr .i r '+ j. ω g − ω .ψ r '+ ψ r ' = 0
dt
Flux statorique
ψ sd = Ls .i sd + Lm .i rd
ψ sq = Ls .i sq + Lm .i rq
ψ s '= ψ sd + j.ψ sq (
= Ls .i sd + Lm .i rd + j. Ls .i sq + Lm .i rq )
⇔ ψ s ' = Ls .i s '+ Lm .i r '
Flux rotorique
ψ rd = Ls .i rd + Lm .i sq
ψ rq = Ls .i rq + Lm .i sq
(
ψ r ' = ψ rd + j.ψ rq = Ls .i rd + Lm .i sd + j. Lr .i rq + Lm .i sq )
⇔ ψ r ' = Lr .i r '+ Lm .i s '
Regroupons les équations des tensions et des flux dans la notation complexe.
d
u s ' = R s .i s '+ dt ψ s '+ j.ω g ψ s '
r r g (
u ' = R .i '+ j. ω − ω .ψ '+ d ψ ' = 0
r r
) dt r
ψ s ' = Ls .i s '+ Lm .i r '
ψ r '− Lm .i s '
ψ r ' = Lr .i r '+ Lm .i s ' ⇒ i r ' = Lr
Calcul de flux rotorique
(
u r ' = Rr .i r '+ j. ω g )
− ω .ψ r '+
d
ψ '
dt r
⇔
d
(
ψ ' = − Rr .i r '− j. ω g − ω . Lr .i r '+ Lm .i s '
dt r
)( )
⇔
d
( )(
ψ ' = − Rr .i r '− j. ω g − ω . Lr .i r ' − j. ω g − ω . Lm .i s '
dt r
) ( )( )
⇔
d
( (
ψ ' = − i r '. Rr + j. ω g − ω .Lr − j. ω g − ω . Lm .i s '
dt r
) ) ( )( )
ψ '− Lm .i s '
⇔
d
dt
ψ r '= − r
L
( (
. Rr + j. ω g − ω .Lr − j. ω g − ω . Lm .i s '
) ) ( )( )
r
⇔
d
dt
R L .R
(
ψ r ' = − r ψ r '− m r i s '+ j. ω g − ω ψ r '− j. ω g − ω .Lm .i s ' − j. ω ) ( ) ( g )(
− ω . Lm .i s ' )
Lr Lr
R
⇔
d
ψ '=
dt r
L .R
− r ψ r '− m r i s '+ j. ω ( g )
− ω ψ r '
Lr Lr
Lr
On pose Tr =
Rr
1
d
ψ '=
dt r
L
− ψ r '− m i s '+ j. ω ( g )
− ω ψ r '
Tr Tr
1 Lm
⇔
d
dt
ψ r ' = − + j. ω g − ω ( ) ψ
i s ' '−
Tr T r
r
ψ
−
1
( L
ψ rd + ω g − ω .ψ rq + m i sd
)
d rd Tr Tr
⇔ =
dt ψ rq
(
ω g − ω .ψ rd −
1
)
ψ rq +
Lm
− i sq
Tr Tr
u ' = R .i '+ d ψ '+ j.ω ψ '
s s s
dt s
g s
ψ s ' = Ls .i s '+ Lm .i r
ψ r '− Lm .i s '
i r ' =
Lr
d
u s ' = R s .i s '+ ψ '+ j.ω g ψ s '
dt s
⇔ u s ' = R s .i s '+
d
dt
( ) (
Ls .i s '+ Lm .i r + j.ω g Ls .i s '+ Lm .i r )
d is ' d ir
⇔ u s ' = R s .i s '+ Ls . + Lm . + j.ω g .L s .i s '+ j.ω g .Lm .i r
dt dt
d is ' d ir
⇔ Ls . = u s '− R s .i s '− Lm . − j.ω g .Ls .i s '− j.ω g .Lm .i r
dt dt
d is ' d ir
⇔ Ls .
dt
( )
= u s '− i s '. R s + j.ω g .Ls − j.ω g .Lm .i r − Lm .
dt
d is ' d ir
⇔ Ls .
dt
( )
= u s '− i s '. R s + j.ω g .Ls − j.ω g .Lm .i r − Lm .
dt
d is ' ψ '− L m .i s ' ψ '− Lm .i s '
⇔ Ls .
dt
( )
= u s '− i s '. R s + j.ω g .Ls − j.ω g .Lm . r
Lr
− Lm . d
dt
r
Lr
d is ' d ψ '− Lm .i s ' ψ '− Lm .i s '
⇔ Ls .
dt
( )
= u s '− i s '. R s + j.ω g .Ls − Lm . r
dt Lr
− j.ω g .Lm .
r
Lr
d is ' 2 2
⇔ Ls .
dt
( ) L d
= u s '− i s '. R s + j.ω g .Ls − m ψ r '+ m
Lr dt
L d
Lr dt
L
i s '− j.ω g . m ψ
Lr r
'+ j.ω g .
Lm
Lr
.i s '
d is ' 2 2
⇔ Ls .
dt
( ) L d
= u s '− i s '. R s + j.ω g .Ls − m ψ r '+ m
Lr dt
L d
Lr dt
L
i s '− j.ω g . m ψ
Lr r
'+ j.ω g .
Lm
Lr
.i s '
d is ' L 2 Lm d L 2 d L
⇔ Ls . = u s '− i s '. R s + j.ω g .Ls − j.ω g . m − ψ r '+ m i s '− j.ω g . m ψ r '
dt Lr Lr dt Lr dt Lr
L 2 d is ' Lm 2 Lm d L
⇔ Ls − m . = u s '− i s '. R s + j.ω g . Ls − − ψ r '− j.ω g . m ψ r '
Lr dt
Lr Lr dt Lr
Posons :
2
Lm Lr
σ = 1− et Tr =
Lr .Ls .Rr
Lm 2 d i s ' Lm 2 Lm d L
⇔ Ls − . = u s '− i s '. R s + j.ω
g . L s − − ψ r '− j.ω g . m ψ r '
Lr dt
Lr Lr dt Lr
d is '
⇔ .σ Ls .
dt
(
= u s '− i s '. R s + j.ω g .σ Ls − ) Lm d
Lr dt
L
ψ r '− j.ω g . m ψ r '
Lr
1 Lm
D’autre part, on sait que −
T
d
ψ '=
+ j. ω g − ω
dt r
( ) ψ r
'−
Tr
i s '
r
d is ' L 1
⇔ σ Ls .
dt
(
= u s '− i s '. R s + j.ω g .σ Ls + m
L r Tr
+ j. ω ) ( g ) L L
− ω ψ r '− m i s ' − j.ω g . m ψ r '
Tr Lr
d is ' L L 1
2
⇔ σ Ls .
dt
= u s '− i s '. R s + j.ω g .σ Ls − m + m
Lr .Tr Lr Tr
L
+ j. ω g − ω ψ r ' − j.ω g . m ψ r '
Lr
( )
d is ' L 2 L 1
⇔ σ Ls . = u s '− i s '. R s + j.ω g .σ Ls − m + m − j.ω ψ r '
dt Lr .Tr Lr Tr
d is ' u s ' 1 L 2 Lm .ψ r ' 1
⇔ = − i s '. j.ω g . + Rs − m + − j.ω
dt σ Ls
σ Ls
Lr .Tr σ .Ls .Lr Tr
1 L R .T L − Lm
2 2 2 2
R .L − R r L m
Posons a = Rs − m = s r r = s r , b = σ .Ls .Lr
σ Ls
Lr .Tr σ Ls Lr .Tr σ Ls Lr 2
Récapitulatifs :
d is ' us ' Lm .ψ r ' 1
dt
=
σ Ls
(
− i s '. j.ω g . + a + ) b Tr
− j.ω
1
d
ψ '=
dt r
− + j. ω ( g ) L
− ω ψ r '− m i s '
Tr Tr
Il faut noter que ces équations sont en notation complexe. Il va donc falloir les décomposer en
partie réelle et imaginaire pour trouver les expressions de chaque composant d et q.
Tr
d u u L ψ ψ rq
⇔ ( i sd ) + j d .i sq = sd + j. sq − (i sd .a − i sq .ω g + j ( a.i sq + i sd .ω g )) + m rd + .ω ψ rq + j( − .ω ψ rd )
dt dt σ Ls σ Ls b Tr Tr
Par identification :
d u L ψ
( i sd ) = sd − (i sd .a − i sq .ω g ) + m rd + .ω ψ rq
dt σ Ls b Tr
d u sq L ψ rq
.i sq = − (a.i sq + i sd .ω g ) + m − .ω ψ rd
dt σ Ls b Tr
Flux
1
d
ψ '=
dt r
− + j. ω ( g ) L
− ω ψ r '− m i s '
Tr Tr
⇔
d
dt
ψ ( rd + j.ψ rq ) = − T1 + j. ω ( g
)(
− ω ψ rd + j.ψ rq )− Lm
Tr
(
i sd + j.i sq )
r
1
⇔
d
dt
ψ ( rd + j.ψ rq ) = − + j. ω ( g − ω ψ )( rd + j.ψ rq )+ Lm
(
i sd + j.i sq )
Tr Tr
ψ rq Lm
⇔
d
dt
ψ ( rd + j.ψ rq ) = − ψT rd
− ω ( g −ω ψ ) rq + j − ω ( g
+
−ω ψ )
T i sd + j.i sq
rd ( )
r Tr r
ψ rq
⇔
d
dt
ψ ( rd + j.ψ rq ) = − ψT rd
− ω ( g −ω ψ ) rq
+
Lm
Tr
i sd + j ( L
− ω g − ω ψ rd + j.i sq m )
r Tr Tr
ψ ψ rq
⇔
d
dt
ψ rd + j.
d
dt
ψ rq = − rd − ω ( g −ω ψ ) rq
L
+ m i sd + j ( L
− ω g − ω ψ rd + j.i sq m )
Tr Tr Tr Tr
Par identification
ψ L
d
dt
ψ rd (
= − rd − ω g − ω ψ rq + m i sd )
Tr Tr
ψ rq
d
dt
ψ rq = ( L
− ω g − ω ψ rd + i sq m )
Tr Tr
Équation mécanique
d Lm
• dt Ω = N pp J .L . ψ ( rd .i sq −ψ rq .i sd )− Cr
J
f
− vΩ
J
r
ψ L
d
dt
ψ rd (
= − rd − ω g − ω ψ rq + m i sd )
Tr Tr
ψ rq
d
dt
ψ rq = ( L
− ω g − ω ψ rd + i sq m )
Tr Tr
d u L ψ
( i sd ) = sd − (i sd .a − i sq .ω g ) + m rd + .ω ψ rq
dt σ Ls b Tr
d u sq L ψ rq
.i sq = − (a.i sq + i sd .ω g ) + m − .ω ψ rd
dt σ Ls b Tr
d
dt
L
( C
Ω = N pp m . ψ rd .i sq − ψ rq .i sd − r − v Ω
J .Lr J
f
J
)
Par conséquent,
d ψ rd Lm
ψ rd = − + i sd
dt Tr Tr
( )
0 = − ω g − ω ψ rd + i sq m
L
Tr
d L ψ
u sd
( i sd ) = − (i sd .a − i sq .ω g ) + m rd
dt σ Ls b Tr
d u L
.i sq = sq − (a.i sq + i sd .ω g ) − .ω ψ rd m
dt σ Ls b
dt J .Lr
( )
d Ω = N pp Lm . ψ rd .i sq − C r − f v Ω
J J
Équation 6 : Équations finales de la commande vectorielle
Notion de découplage
d u L ψ
( i sd ) = sd − (i sd .a − i sq .ω g ) + m rd
dt σ Ls b Tr
d u sq Lm
.i sq = − (a.i sq + i sd .ω g ) − .ω ψ
dt σ Ls
rd
b
d Lm ψ rd
σ Ls dt ( i sd ) + σ Ls i sd .a = u sd + σ Ls i sq .ω g + σ Ls b T
r
Usd 1 ed
σ L d .i + σ L a.i = u − σ L i .ω − σ L .ω ψ Lm
s sq
dt
s sq sq s sd g s rd
b
Usq 1
eq
u sd 1 = u sd + ed
u sq1 = u sq + e q
Équation 7 : Equations de découplage
On peut remarquer que l’expression u sd dépend de isq , ψ rd et de isd . Au niveau de la régulation,
cela est impossible puisque cela fait appel au courant de découplage isq et le fluxψ rd qui n’a
rien à voir avec la régulation tension/courant sur l’axe du repère tournant d.
Méthode de saturation de tension.
Dans cette partie, nous allons décrire l’algorithme assez classique qui régule l’amplitude de la
tension tout en gardant la phase. Ici nous précisons que la phase entre les tensions V d et Vq ne
pourrait pas être déphasée puisque cela pourrait provoquer une mauvaise estimation de la
position angulaire. Donc, une mauvaise estimation pour la transformée de Park. Il faut savoir
que cette étape est facultative dans le cadre de simulation car le système ne représente pas de
danger apparent. Mais dans un système réel, il est nécessaire d’implanter ce système. D’autre
avantage serait de garder l’équilibre des tensions.
2 2
V= Vd + Vq
Il est important de préciser que l’on effectue une saturation entre 1 et ∞ . Autrement, si la
valeur à l’entrée du bloc saturateur est inférieure à 1, on aura une valeur égale à 1 à la sortie
de ce bloc.
V
Posons k =
Vmax
Vd lim = Vdsat = Vd
Si k ≤ 1 ⇒
Vq lim = Vqsat = Vq
Vd
Vd lim = Vdsat = k
Si k > 1 ⇒ Vq
V = Vqsat =
q lim
k
Vq
ϑ = arc tg
Vd
4 cas se présentent :
2 2
V Vd + Vq
• Si Vd > Vmax alors k= = >1
Vmax Vmax
Vd Vd
⇔ Vdsat = = .Vmax
k V
V Vd
⇔ Vdsat = d = .Vmax < Vmax
k 2
Vd + Vq
2
Vq Vq
⇔ Vqsat = = .Vmax
k V
Vq Vq
⇔ Vqsat = = .Vmax < Vmax
k V d + Vq2 2
Dans ce cas de figure, on aura les tensions V d et Vq qui sont limitées par Vmax .
• Vq > Vmax
• Vq > Vmax et Vd > Vmax
V
• Si Vq < Vmax et Vd < Vmax alors k = V < 1
max
Nota bene :
• Voir le cours de EL56 par M.TERIEN Franc
• Saturation : [1,inf[
Régulation
Un régulateur doit satisfaire aux objectifs généraux de performances. Dans le cas d’un
régulateur PI et à cause du manque de degré de liberté qu’il nous impose, seule la poursuite
des références pour un point de fonctionnement donné pourra être envisagée. En effet, un
régulateur PI ne peut pas assurer, avec les seuls paramètres de correction KP et KI, les
objectifs de régulation en boucle fermée pour un système à l’origine d’ordre supérieur à un. A
notre niveau d’étude un simple régulateur PI suffira pour respecter notre exigence puisque
toutes les fonctions de transfert que l’on étudie sont du type premier ordre. Par conséquent, les
calculs des paramètres des régulateurs se simplifient énormément.
On réalise une régulation en cascade flux – courant, la sortie du régulateur de flux étant la
référence du courant. Comme le contrôle vectoriel utilise le flux rotorique, on régule ce
dernier en posant ψ rq = 0 puisque l’on aligne le phaseur ψ r ' sur l’axe d du repère tournant
(Introduction de la commande de flux orienté).
• ψ rd : flux rotorique
Lm
d ψ rd Lm Tranformée de Laplace Tr
ψ rd = − + i sd → ψ rd ( p ) = i ( p)
dt Tr Tr 1 sd
p+
Tr
Avec
K pψ
.p + 1
K iψ
Reg Phi ≡ PI ≡ Rψ ≡ K iψ et
p
Lm
Tr Lm
H ψ ( p) ≡ ψ rd ( p) = i sd ( p) = i sd ( p)
1 Tr . p + 1
p+
Tr
τ ψ BO = TR
• Régulation isd
1
σ Ls a
σ Ls
d
( i sd ) + σ Ls i sd .a = σ Ls d ( i sd ) + i sd .a = U sd1 TL
→ i sd ( p ) = U sd 1 ( p )
dt dt p
1+
a
1 K pid
τ ψ BO = =
a K iid
K pid 1
.p + 1
K iid σ Ls a
Reg Id ≡ PI ≡ Rid ≡ K iid et H id ( p) ≡ i sd ( p) = U sd 1 ( p)
p p
1+
a
U ab = Van 0 − Vbn 0
U bc = Vbn 0 − Vcn 0
U = V − V
ca cn 0 an 0
Les tensions simples des phases de la charge issues des tensions composées ont une somme
nulle, donc :
Van = (1 / 3)[U ab − U ca ]
Vbn = (1 / 3)[U bc − U ab ]
V = (1 / 3)[U − U ]
cn ca bc
Elles peuvent s’écrire à partir des tensions de sorties de l’onduleur en introduisant la tension
du neutre de la charge par rapport au point de référence n0. (En appliquant la loi de
Kirchhoff)
Van 0 = V an + Vnn 0
Vbn 0 = Vbn + Vnn 0
V = V + V
cn 0 cn nn 0
Équation 8
1
Vnn 0 = [Van + Vbn + Vcn ]
3
On suppose que les interrupteurs sont des interrupteurs parfaits. Pour i = {a, b, c}, on appelle
S i l’états de chaque interrupteur (1 = passant, 0 = bloquant)
U0
Vin 0 = S i .U 0 −
2
Équation 9
On a donc
U0
Van 0 = S a .U 0 − 2
U0
Vbn 0 = S b .U 0 −
2
U0
Vcn 0 = S c .U 0 − 2
2 1 1
Van = 3 Van 0 − 3 Vbn 0 − 3 Vcn 0
1 2 1
Vbn = − Van 0 + Vbn 0 − Vcn 0
3 3 3
1 1 2
Vcn = − 3 Van 0 − 3 Vbn 0 + 3 Vcn 0
Van 2 − 1 − 1 Van 0
V = U0 − 1 2 − 1 . Vbn 0
bn 3
Vcn − 1 − 1 2 Vcn 0
1 1
− − Van
Vα 2 1 2 2
V = . Vbn
β 30 3 3
− Vcn
2 2
Équation 10 : Calcul tension de référence
La combinaison de commutation des bras de l’onduleur forme 8 vecteurs dont 2 vecteurs nuls.
Sa Sb Sc Va 0 Vb 0 Vc 0 Van Vbn Vcn Vi Vα Vβ
U0 U0 U0
− − − 0
0 0 0 2 2 2 0 0 V0 0 0
U U U0 U0 U0 2.U 0 1 1
− 0 − 0 − − V5 − U0 − U0
0 0 1 2 2 2 3 3 3 6 2
U U0 U U 2.U 0 U 1 1
− 0 − 0 − 0 − 0 − U0 U0
0 1 0 2 2 2 3 3 3 V3 6 2
U U0 U0 2.U 0 U0 U0 2
− 0 − V4 − U0 0
0 1 1 2 2 2 3 3 3 3
U0 U U 2.U 0 U U 2
− 0 − 0 − 0 − 0 U0
1 0 0 2 2 2 3 3 3 V1 3 0
U0 U U0 U0 2.U 0 U0 1 1
− 0 − V6 U0 − U0
1 0 1 2 2 2 3 3 3 6 2
U0 U0 U U0 U0 2.U 0 1 1
− 0 − U0 U0
1 1 0 2 2 2 3 3 3 V2 6 2
U0 U0 U0
1 1 1 2 2 2 0 0 0 V7 0 0
Tableau 1 : Commutations –Tensions
Si on rapporte ces valeurs sur un plan 2D, on fera apparaitre la figure suivante
3
1
U0
1
2Vα ref _ 2Vβ ref
1
U0
( 2 .Vβ ref )
1
1 3 1
1
− 3 1
V + V β ref Vα ref + V β ref
U 0 2
α ref
2 2 U0 2 2
1
1
U0
( 2 .Vβ ref ) U 0
−
3
2
Vα ref +
1
2
V β ref
3
1 3 1 1 1
− Vα ref + V β ref − V β ref
U0 2 2 U0 2
4
1 3 1
1
3 1
− Vα ref + V β ref Vα ref − V β ref
5 U 0 2 2
U0
2 2
1
−
1
U0
( 2 .V β ref ) U 0
3
2
Vα ref +
1
2
V β ref
6
t i = α i .Th
Avec Th = t i + t i + 1 + t 0 : le temps de hachage de l’onduleur.
t i + 1 = α i + 1 .Th
Secteur i ti ti+ 1
3
1
U0
1
2Vα ref _ 2V β ref
.Th
1
U0
( 2 .Vβ ref .Th )
1
1 3 1
.Th 1
− 3 1
.Th
Vα ref + V β ref Vα ref + V β ref
U0 2 2 U0 2 2
2
1
1
U0
( 2 .Vβ ref .Th ) U 0
−
3
2
Vα ref +
1
2
V β ref .Th
3
1 3 1 1 1
− Vα ref + V β ref .Th − V β ref .Th
U0 2 2 U0 2
4
1 3 1
.Th 1
3 1
.Th
− Vα ref + V β ref Vα ref − V β ref
5 U 0 2 2
U0
2 2
1
−
1
U0
( 2 .V β ref .Th ) U 0
3
2
Vα ref +
1
2
V β ref .Th
6
Secteur i α Ta α Tb α Tc
1 3 1 1 1 3 3 1 −1 3 1 1
Vα ref + V β ref + − Vα ref + V β ref + Vα ref + V β ref +
2.U 0 2 2 2 2.U 0 2 2 2 2.U 0 2 2 2
1
1 3 1 1 3 1 − 1 3 1
Vα ref + V β ref + V β ref +
U0 2 2 U0 2 2 U 0 2 2
2
1 3 1 1 1 3 1 1 −1 3 3 1
Vα ref − + − Vα ref + + +
2Vα ref + 2 V β ref
V β ref V β ref
2.U 0 2 2 2 2.U 0 2 2 2 2.U 0 2
3
1 3 1 1
+ 1 3 3 1 − 1 3 1 1
Vα ref + V β ref − Vα ref + V β ref + Vα ref + V β ref +
4 2.U 0 2 2 2
2.U 0 2 2 2
2.U 0 2 2 2
1 3 1 1 3 1 − 1 3 1
Vα ref + V β ref + V β ref +
U0 2 2
U0 2
5 2 U0 2 2
1 3 1 1 1 3 1 1 − 1 3 3 1
Vα ref − V β ref + − V + V + V + V β ref +
2.U 0 2 2 2 2.U 0 2
α ref
2
β ref 2 2.U 0 2
α ref
2 2
6
Tableau 4 : Rapports cycliques sur les secteurs
Mais en faisant une analyse sur chaque secteur on s’est rendu compte que l’on peut
généraliser les rapports cycliques qui est valable quelques soit le secteur où on travaille.
α Ta =
1
(Van + min( Van , Vbn , Vcn ))
U0
α Tb =
1
(Vbn + min( Van , Vbn , Vcn ) )
U0
α Tc =
1
(Vcn + min( Van , Vbn , Vcn ))
U0
Figure 6 : simulation de la modulation vecteur espace
Interface de la simulation MATLAB/SIMULINK
Control Desk
C’est une interface graphique permettant une interactivité simple avec la structure de
commande.
Il permet la visualisation, le stockage et le traitement en temps réel des grandeurs physiques
mesurées (opérations mathématiques entre signaux, extraction d’harmoniques, calcul de la
valeur efficace etc.). Il permet aussi le démarrage, l’arrêt d’un programme ou le changement
des paramètres de la commande (consignes, paramètres de contrôle etc.).
Figure 8 : Interface control Desk
Conclusion
Le contrôle vectoriel est introduit afin de pouvoir commander la machine a induction avec le
maximum de performance que ce soit au niveau de la poursuite ou au niveau de la régulation.
La synthèse des régulateurs utilisés en l’occurrence des régulateurs PI a été effectuée en
continu pour une éventuelle implantation expérimentale. La mise on œuvre numérique de la
commande vectorielle a été effectuée entièrement sous l’environnement Matlab/Simulink
pour être par la suite implantée expérimentalement en utilisant la carte DSpace 1104 pour le
calcul des commandes en temps réel dans le cadre d’une commande en boucle fermée de la
machine à induction. La simulation de la commande vectorielle avec des régulateurs PI
(continu) a permis de constater l’obtention de très bonnes performances dynamiques mais
pouvant être très sensible aux variations paramétriques.
Résultats de simulation
Figure 37 : SVM
Figure 38: Bloc SVM1
Figure 39 : Subsystem3/SVM1
Figure 40:Subsystem4/SVM1
Tension de découplage
ed : Tension de découplage sur l’axe d
eq : Tension de découplage sur l’axe q
ψ rd
ψ = : Flux rotorique sur l'axe d et q
ψ
rdq
rq
Grandeurs mécaniques
ω g : Pulsation de glissement
ω n : Pulsation naturelle
ω s : Pulsation électrique statorique
ω r : Pulsation électrique rotorique
Ω : Vitesse rotorique mécanique
Cr : Couple résistant imposée à l’arbre de la machine
Fichier.m 1
%PROJET TW54
%Hazrul MOHAMED BASRI (GESC04)
%Jamel ID-OUADDI (GESC04)
%Yacin MAKHLOUFI (GESC04)
%Encadreur :
clear all, clc
f=50; %frequence du reseau EDF
Npp=9; %nombre de paire de poles %Npp=2
%Rs = 9.65;
Rs=.836; % rezistenta statorica pe faza
%Rr = 4.3;
Rr=.726; % rezistenta infasurarii rotorice
%Ls = 0.471;
Ls = 0.471;
%Lr = 0.4718;
Lr = 0.4718;
Lm = 0.4475; % M
sigma=1-(Lm^2/(Lr*Ls)); %Coefficient de Blondel
a=(Rs*Lr^2-Rr*Lm^2)/(sigma*Ls*Lr^2);
b=sigma*Lr*Ls;
J=0.2;
%J=0.2271; %Inertie (kg.m2)
fvis=0.005; %coefficient de frottement visqeuse (N.m/rad/s) %fvis=0.005;
Phirdref=1; %consigne du flux Phirdref=0.01
Tr=Lr/Rr; %tau rotorique
%Cr=6; %couple resistant
Cr=0.1;
C=Lr/(Npp*Lm);
Un=230;
In=6.6;
Wnom=157;
Pn=Un*In^2;
C_nom=Pn/Wnom;
Cmax=1.1*C_nom;
Vmax=400;
Imax=In*sqrt(3);
alpha=Npp*Lm*Phirdref/(Lr*J);
%Reglages des regulateurs
K=1; %rapport dynamique BF/BO
%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
%regulateur phi
Kiphi=K/(Lm*Tr); Kpphi=Tr*Kiphi;
%regulateur Id
Kiid=(sigma*Ls)*K*a^2; Kpid=Kiid/a;
%regulateur Id
Kiiq=(sigma*Ls)*K*a^2; Kpiq=Kiiq/a;
%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
%KiOmega=fvis/J; %KpOmega=1;
KiOmega=1e10*(fvis/J)^2; KpOmega=1e10*fvis/J;
Table des figures
BIBLIOGRAPHIE
50
TW54 : Commande vectorielle d’une Machine Asynchrone
[1] : J-P. Caron, J-P. Hautier, ‘‘Modélisation de la Machine Asynchrone [CAR 95]’’. 1995. Téchnip
[2] : Philippe de Larminat ‘‘Automatique appliquée [PHI 07]’’, Hermès Lavoisier, 2007
[3] : Carlos Canudas de Wit, ‘‘Modélisation Contrôle Vectoriel et DTC [CAR 00]’’, Hermès
Lavoisier, 2000
[4] : Marek ZELAZNY, Fouad GIRI, Taïeb BENNANI, ‘‘Système asservis : Commande et
Régulation : Tome 2 [MAR 94]’’, Eyrolles, 1994
[5] : Claude CHAIGNE, Erik ETIEN, Sébastien CAUET, Laurent RAMBAULT, ‘‘Commande
Vectorielle Sans Capteur des Machines Asynchrones [CLA 95]’’, 2005
[6] : Eduardos MENDES, Alain GLUMINEAU, Jean-Pierre BARBOT, ‘‘Commande et Observation
de la Machine Asynchrone [EDU 02]’’, Hermès Lavoisier, 2002
[7] : Egon HUBERT, Marie MICHEL, Porée PASCAL, ‘‘Traitement du signal et automatique
Traitement du signal et asservissements analogiques[EGO 00]’’, Hermann Editeurs des Sciences et des
Arts, 2000
[8] :Cours EL56 par M.TERIEN Franck (Ingénieur à CONVERTEAM)
[9] :Thèse de M. CIMUCA Gabriel-Octavian. ‘‘Système inertiel de stockage d’énergie (SISE)’’
[10] :Thèse de M. GHANES Malek, ‘‘Observation et commande de la machine asynchrone -Sans
capteur’’
51