Auteur : l'obsédé 2.

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Année : licence 2 FDCV
 Essentiels de
révision 2.0
Acte juridique : Une manifestation de volonté destinée à
produire un effet quelconque de droit .
Convention : accord de volonté destinée à produire des effets
de droits quelconques
Prestation : Ce qui est dû par le débiteur
La représentation : procédé technique qui consiste pour une
personne, le représenté de donner le pouvoir à une autre
personne , le représentant d'accomplir plusieurs actes
juridiques pour son compte et en son nom . Elle peut être
conventionnelle ( mandat ) , légale ( Administrateur légal ) , et
judiciaire ( accordé par le juge )
Le prête-nom : c'est celui qui , fait figurer son nom dans un
contrat alors qu'en réalité , il agit au nom et pour le compte
d'une autre personne , le représenté
Pourparlers : période preleminaire , dans laquelle les deux
parties négocie sur les clauses du contrat , la forme du contrat ,
le contenu du contrat , explorant donc une possibilité de
conclure un contrat
Avants-contrats : accord de volonté par lequel deux ou
plusieurs personnes s'engagent à conclure dans l'avenir un
contrat ( promesse de vente , promesse de prêt ) , on les
appelles aussi contrat préalable , contrat préparatoire , contrat
provisoires .
Offre : Manifestation d'une seule volonté , faisant connaître
l'intention d'une personne à conclure un contrat . L'offre doit
être précise et ferme . Si elle n'est ni précise ni ferme , elle
devient une invitation à entrer en pourparlers.
Acceptation : l'agrément pure et simple , du destinataire de
l'offre . Elle doit en aucun cas assortie d'une expression , du
genre "" oui mais "" ; "" a débattre "" . Dans ce cas l'acceptation
devient une contre proposition ou contre offre
Autonomie de la volonté humaine : principe régissant la nature
du contrat , et qui signifie que la volonté humaine est sa propre
loi . Elle engendre des conséquences que sont : la liberté
contractuelle ; la force exécutoire et l'effet relatif
Pacte de préférence : Convention par laquelle le propriétaire
d'un bien , au cas où il le vendrait , le réservé au bénéficiaire de
la clause , de préférence à tout autre personne , pour un prix
déterminé ou déterminable
Conditions de sanction de l'erreur : l'erreur doit être
déterminant , l'erreur doit être excusable , il peut être de fait
ou de droit et enfin il doit être prouvé
Les types d'erreurs : L'erreur obstacles , l'erreur vice de
consentement et l'erreur indifférente
Conditions de sanction du dol : il doit être déterminant , il doit
émaner d'un tiers , et doit être prouvé
Dol incident : le dol qui émane d'un tiers non complice
Dol principal : L'erreur provoqué , sans laquelle l'autre partie
n'aurait pas contracter
Conditions de sanction de la violence : la violence doit être
déterminant , elle doit être illégitime , elle doit émaner soit
d'un tiers , soit d'un contractant
Révision I : les obligations
Section 1.- Classifications des obligations..
Paragraphe 1.- Classification selon l'objet.
A.- Obligation de donner ou de dare..
B.- Obligation de faire (Facere).
C.- Obligation de ne pas faire ou de non facere.

Paragraphe 2.- Classification d'après la portée de l'engagement

du
débiteur.
A.- Contenu de la distinction..
1.- Obligation de moyens..
2.- Obligation de résultat..
B.-Intérét théorique de la distinction: La preuve de
l'inexécution...
1.- Preuve de l'inexécution d'une obligation de
moyens...
2.- Preuve de l'inexécution d'une obligation de résultat
 L'obligation de donner , sont des obligations tantôt de résultats
, tantôt de moyens
L'obligation de donner , est l'objet des obligations qui est la
prestation promise , dans le contrat de vente par exemple :
X , veut acquérir un bien déterminer
Y qui est un vendeur , lui fait une offre dont les éléments
essentiels du contrat sont déterminés , X adhère donc à cette
offre .
Le contrat de vente est formé . L'objet de l'obligation est donc
les prestations promises .
Y , le vendeur va transférer la propriété du biens acheté
( obligations de donner ) par X qui lui s'oblige en retour de
transférer la propriété de l'argent , le prix du biens vendu à Y
( obligations de donner )

Grosomodo , l'obligation de donner , est une obligation qui

consiste à transférer la propriété d'un bien
En cas d'inexécution, soit de X , soit de Y , l'une des parties qui
s'est exécuté peut demander une exécution forcée
L'obligation de faire ou de ne pas faire sont des obligations de
résultats .
L'objet de l'obligation est donc l'accomplissement d'une
prestation positive de la part du débiteur au profit du créancier
. Dans le contrat de travail par exemple :
X technicien supérieur en informatique
Y qui est un chef de direction de service qui a un soucis avec le
fonctionnement de ses services informatiques ( ordinateur et
autre ) , fait une proposition d'offre ( dont les éléments
essentiels du contrat sont déterminés ) à X qui adhère à cette
offre .
Le contrat de travail est donc formé
X , s'oblige à assurer le fonctionnement informatique , de
l'entreprise du chefs de direction ( prestation positive ) au
profit de Y qui lui s'oblige à le payer une somme déterminer
considérer comme la renumeration du travail de X
Grosomodo , l'obligation de faire est une obligation qui consiste
pour le débiteur d'effectuer une prestation positive au profit de
son créancier . En cas d'inexécution du débiteur , elle se resoud
sous le fondement de l'art 1142 du code civil )
Nota bene
: les obligations de résultats , obligent leurs débiteur d'atteindre
un résultat déterminer en ce sens que le débiteur s'engage à
atteindre ce résultat qui doit être atteindre
L'exemple : un Chirurgien , est tenu d'une obligation de
résultats
Les obligations de moyens n' obligent pas leurs débiteur mais
les commande de se comporter comme un bon père de
famille . Le débiteur ne s'engage pas à atteindre un résultat
déterminer , mais s'engage à faire de son mieux , pour atteindre
le résultat déterminer
C'est l'exemple : du médecin qui donne des soins mais ne
permet pas là guérison
L'exemple d'une société de gardiennage , qui surveillera mais
ne promet pas qu'il n'aura pas de vol ou de cambriolage

L'intérêt de la distinction se trouve au niveau de la preuve :

La preuve dans l'obligation de résultats est présumé . Alors
que , la preuve de l'obligation de moyens incombe au
créancier .
Révision II : la rencontre de consentement
Paragraphe 1.- La période de négociation du contrat ou période
précontractuelle...
A.- Les pourparlers contractuels..
B- Les promesses de contrat.
1.-Le domaine de la promesse de contrat....
a.- La promesse unilatérale de contrat...
b.-La promesse synallagmatique de contrat...
2.- Le régime de la promesse de contrat....
a.-Les conditions de la promesse de contrat....
b.- Les effets de la promesse de contrat...
Paragraphe 2.- La conclusion du contrat..
A.-La conclusion du contrat entre présents.
1.-L'offre ou pollicitation..
a.-La notion d'offre...
b.- Les effets de l'offre..
2-L'acceptation.
a.- Définition et caractères de l'acceptation..
b.-Le problème de l'acceptation par le silence.
Le contrat se forme desh le seul accord de volonté , des deux
parties . Le seul échange du consentement des deux parties
suffisent à conclure un contrat valide . On a donc pas besoin de
réaliser une formalité légale pour que le contrat soit valide .
C'est ce que l'on appel le consensualisme.
Le contrat avant sa formation , necciste d'abord une période de
discussion , pour décider la forme de contrat , du contenu du
contrat ,c'est ce que l'on appelle la période précontractuelle .
C'est donc une période durant laquelle les deux parties négocie
sur la forme et le contenu du contrat explorant donc une
possibilité de conclure un contrat . Toutefois , il y a certaines
fois où l'on prépare la conclusion d'un contrat , les deux
parties , préparent la conclusion d'un contrat qui sera définit .
C'est ce que l'on appel un avant-contrat ou encore un contrat
provisoires . Cet avants-contrats , ce qui est plus répandue c'est
la promesse de contrat . Qui est une convention parfaite par
laquelle une parties s'engage envers une autres ( promesse
unilatérale de contrat ) , ou plusieurs parties s'engagent
réciproquement ( promesse synallagmatique de contrat ) a
conclure un contrat définitif dans l'avenir .

1. La promesse unilatérale de contrat est une convention par

laquelle une personnes , le promettant s'engage envers une
autres , le bénéficiaire qui accepté ce engagement de
 conclure dans le futur un contrat definit dont les conditions
sont déjà déterminé et le bénéficiaire disposant d'une
option pour parfaire le contrat définitif.
2. La promesse synallagmatique, c'est les deux parties qui
s'engagent à conclure un contrat dans l'avenir . Cela peut
porter sur la conclusion d'un contrat définit sollenel ou
encore réel . Dans les deux cas , il est prévue de parfaire le
contrat . Mais le contrat est déjà former mais est
provisoires.
C'est l'exemple , d'un contrat de vente d'immeubles dont les
deux parties se sont engagés à conclure . On sait déjà que le
contrat est formé puisque ici on a pas besoin de levée d'une
option . Puisque ce qui reste à faire , c'est de parfaire le contrat
puisque c'est un contrat qui porte sur la vente d'un
immeuble .et donc un contrat solennel . C'est pourquoi on dit
que la promesses de vente vaut vente . Puisque les deux parties
se sont engagées et donc en réalité on sens la ferme volonté
des deux parties à conclure un contrat. Ce qui est précité en
vaut pour la promesse synallagmatique de prêt
Puisque la promesse synallagmatique de contrat vaut déjà un
contrat ,on ne peut engager de responsabilité, car il y a ici
aucune certaines obligations , du genre , celui de maintenir un
bien jusqu'à la levée d'option , ce qui est dans la promesse
unilatérale de contrat .
La promesse unilatérale de contrat le promettant , celui qui
s'engage doit maintenir l'objet de la promesse de contrat
jusqu'à la levée d'option . Avant que passe ce délais , si le
promettant vend l'objet du la promesse de contrat , il engage sa
responsabilité .
Un problème se situe ! Si le promettant meurt avant
l'expiration du délais de la levée d'option , qu'en est il ?
Pour moi , et je pense que c'est logique , c'est un peu comme
une offre , elle est transmissibles , et si le promettant n'a faire
part de cet engagement à ses héritiers ou même à son conjoint
(e) et que ces derniers vend l'objet de la promesse de contrat ,
il y a une faute à l'égard , du promettant . Puisque a mon avis , il
était ténu d'une obligation de faire car il devrait faire en sorte
que l'objet de promesse de contrat ne fasse objet de vente et
aussi tenu d'une obligation de ne pas faire , celle de ne point
vendre l'objet de la promesses de contrat .

Et comme il est tenu d'une obligation de faire et de ne pas

faire , une faute du promettant , liée à la vente du bien ou au
péril du bien de l'objet de promesse de contrat , le bénéficiaire
ne peut demander la conclusion d'un contrat forcée , mais peut
néanmoins demander , la répartition de dommage et intérêts
sous le fondement de l'article 1142 du code civil qui dispose
que : << les obligations de faire et de ne pas faire se resoud en
dommages et intérêts en cas de l'inexécution du débiteur >>
Lorsque le contrat est préparé , et qu'il est prêt à être
conclus , on parle , de l'accord de volonté . En ce sens que
pendant la période précontractuelle , on aura la présence
d'une offre et une acceptation .
L'offre est une intention de la part d'une personne qui veut
contracter . Elle émane de la seule volonté de la personne qui
veut être lié par un contrat . Elle doit donc être précise et
ferme . Précise en ce sens que tous les éléments essentiels
doit y figurer et ferme en ce sens qu'elle ne doit être assortie
d'une réserve subjective . Si l'un de ces deux caractères n'est
repsceter cela affecte l'offre et devient par la suite une
invitation à entrer en pourparlers.

Elle peut être tacite ou expresse , si l'offre est assortie d'un

délais , le délais doit être respecter , si elle n'a pas été parvenu
à son destinataire elle peut être rétracter . Si l'offrant meurt ,
l'offre est transmissibles à ses descendants , elle ne peut
devenir caduque qu'après , l'expiration du délais de l'offre .
Dans le cas contraire , le promettant peut la rétracter à tout
moment . Mais on suppose que une offre est toujours assortie
d'un délais resonnable et cela est apprécié par le juge . Elle ne
peut être transmissibles au descendants de l'offrant n'ayant pas
été assortie de délais , elle devient automatiquement caduque
en cas de décès de l'offrant .
La caducité de l'offre est aussi liée à l'incapacité de l'offrant .
L'offre qui est donc , une proposition à contracter , n'est qu'en
réalité , une partie de la formation du contrat . A elle seule elle
ne peut former le contrat en ce sens qu'il y a une seule
volonté . Elle doit donc être suivie d'une deuxième volonté
qu'est l'acceptation .
L'acceptation fait le rappeler c'est l'agrément , pure et simple
du destinataire d'une offre . L'acceptation se caractérise par
"un oui " qui ne doit être suivie en aucun cas d'une condition .
Elle peut être expresse ou tacite , en ce sens que l'acceptation
peut être exprimé mais encore elle peut l'être pas le
comportement du destinataire de l'offre .
C'est l'exemple , de X un professeur de TD , qui demande à l'un
de ses étudiants d'aller lui prendre un café , et l'étudiant
accepte de prendre l'argent , que lui a donné le prof et vas
chercher le café et reviens sans dire un mot .
Faut il dire que , c'est un contrat , entre le prof et son
étudiants , en ce sens qu'il y a accord de volonté , mais en
réalité , l'étudiant fait deux contrat .
Premier contrat : celui avec le prof , qui est un contrat de
mandat non salarié ( contrat a titre gratuit )
Deuxième contrat : puisque quand il va aller acheter le café , il
ne dira pas que c'est son prof qui lui envoie , donc au lieu d'agir
comme un représentant , il agit comme un prête-nom
( représentation imparfaite ) , donc le contrat de vente , ne va
engager que l'étudiant ....mais à l'égard du prof il reste un
représenté .
L'acceptation peut être aussi donner par silence . On se
demande alors si le silence vaut il acceptation ?
En principe non ,car qui ne dis mot consens , si l'on veut tenir
compte du fait que le silence vaut acceptation c'est aliéner
même ,le principe de l'autonomie de volonté humaine , qui
veut que l'homme ne peut être assujetti par une obligation que
lorsque il a voulu .

Exceptionnellement , fait il le dire , il y a certaines circonstances

dégagée par la jurisprudence , qui donne au silence , une
acceptation :
Ce sont : les relations antérieure , lorsque cela est fait dans
l'intérêt du bénéficiaire et lorsque cela est lié à un usage de
milieu professionnel .
Révision III : La théorie des vices de consentement 1
Paragraphe 1.- L'erreur.
A.- Les différents types d'erreur.
1.-L'erreur obstacle.
a.- Erreur sur la nature du contrat.....
b.- Erreur sur l'identité de la chose objet du contrat
C.- Erreur sur la cause du contrat.
2.-L'erreur vice du consentement (ou erreur nullité)..
a.- L'erreur sur la substance...
b.-L'erreur sur la personne
3-L'erreur indifférente..
a.- L'erreur sur la valeur...
b.- L'erreur sur les motifs...
B.- La sanction de l'erreur...
1. Condition de la sanction de l'erreur
L'erreur , faite dans la formation d'un contrat , constitue un
vice de consentement qui entraîne la nullité du contrat .
Toutefois , toutes erreurs ne peut entraîner la nullité du contrat
. On fait référence a l'erreur indifférente.
Ainsi à côté de ce type d'erreur , on a l'erreur obstacles qui
entraîne la nullité absolue du contrat pouvant être demandée
par le procureur de la République en ce sens qu'il s'agissent de
l'intérêt général , et l'obligation pour le juge , de relevé
l'existence d'une telle erreur , dans le cas qui lui est connu .
A) on parle d'erreur obstacles en ce sens que on pense , que les
deux volontés des parties contractantes ne se sont en aucun
cas rencontré parce qu'il n'ont vue la même chose . L'une des
parties à cru à la conclusion d'un contrat que l'autre parties ,
elle a cru a la conclusion d'un contrat autre que celui cru par
l'autre partie .
C'est l'exemple de X qui fait une donation à Y qui accepte en
croyant que c'est une donation , alors que X lui pense à un
prêt .
Lorsque X va refuser de rembourser , par exemple la somme
objet de la donation , et que Y va intenter une action en justice
pour le paiement de sa créance ,
Le juge devra relever l'existence d'une erreur obstacles et
prononcé une nullité absolue , débutant donc Y de son action .
Cette décision revêtira de l'autorité de la chose jugée et
l'impossibilité pour Y de saisir la cours d'appel .
Le juge va se fonder sur le faites que entre X et Y il y a jamais eu
de contrat de donation puisque les deux volontés ne se sont
pas rencontrée , et que X et Y n'ont pas vue en la même chose.
B) l'erreur vice de consentement . C'est celle là même qui
entraîne une nullité relative du contrat , on est dans l'optique
de protéger un intérêt particulier . L'erreur vice de
consentement porte sur la substance et la qualité substantielle
de la chose et in concreto .
La substance , au sens objectif porte sur la matière de la chose
qu'on a voulu . L'exemple d'une boucle en or , mais qu'on nous
a vendu une boucle en cuivre
Au sens subjectif , la qualité substantielle , la particularité de la
chose . L'exemple , d'une œuvre d'art fait de la main de Picasso
et on nous a vendu une ouvre d'art de Picasso mais pas faire
par lui . L'exemple , d'un cheval de course et qu'on nous a
vendu une jument en gestation . L'exemple de l'achat d'un
terrain pour construire et qu'on nous a vendu un terrain
inconstructible . Ect ..........
L'erreur est in concreto , lorsqu'il s'est trompé sur l'identité de
la personne , l'âge de la personne , la capacité de la personne ,
ect ....
L'exemple d'un mineur se faisant passer pour un majeur .
L'exemple de conclure un contrat avec une personne et que
cette personne est là jumelle de la personne avec qui on voulait
Contracter . L'exemple , d'une personne se faisant passer pour
tel personne qu'il ne l'est pas ...'...
Nb : en principe , l'erreur sur la personne ne peut entraîner la
nullité du contrat sauf si c'est en considération de la personne
C) L'erreur indifférente
C'est l'erreur qui entraîne pas la nullité du contrat , ce sont les
erreurs sur les motifs et les erreurs sur la valeur .
L'erreur sur les motifs , est ce pourquoi on s'est engagé ,
l'exemple d'une personne ayant dans les coulisses entendu ,
d'une affection à Man , conclu un contrat de bail à Man , le
résultat définitif dévoilé , c'est une affection à Daoukro . Il ne
peut donc demander la nullité du contrat sauf si cela était
impropre à l'usage auxquels il voulait la destiné .
L'erreur sur la valeur , c'est l'erreur portznt sur l'appréciation
économique de la chose .
L'exemple d'une montre acheté à une valeur de 50.000 alors
qu'en réalité elle coûte 25.000 . L'exemple de la vente d'un
immeuble à 1.000.000 alors qu'elle coûtait en réalité ,
70.000.000 . Ect'..........
Tous ces erreurs précités , pour qu'elles soient sanctionable ,
doit remplir certaines conditions que sont :
L'erreur doit être déterminante , elle doit vicié les
consentement ; l'erreur doit être excusable et enfin elle doit
être prouvé .
Paragraphe 2.- Le dol.
A.- Les éléments constitutifs du dol
1.-L'élément matériel du dol...
2.-L'élément psychologique du dol (ou élément
intentionnel).
B.-La sanction du dol..
1.-Conditions de la sanction..
a.- Un dol déterminant.
b.- Un dol émanant du cocontractant...
C.-Un dol prouvé..
2-La nature de la sanction du dol...
a.- La nullité du contrat.
b.- Les dommages-intérėts..
Le dol , est une erreur provoquée , c'est état de déloyauté.
Le dol est constitué par un élément , matériel et
psychologique . Matériel , toute manœuvre destinée à tromper
la personne et psychologique , l'intention de vouloir tromper
ou pousser le cocontractant à l'erreur . Faut il dire aussi , que
ne peut constituer un dol :
Une personne qui se prévaloir du fait que le cas litigieux était
en Français , et que étant illettrés , on a profité de l'absence de
son fils pour lui faire signer le contrat
Une personne qui se prévaloir du fair que , son mécanicien ne
lui a pas faire savoir que les dépenses occasionnée à la
répartition de sa voiture pouvait acheter une autre voiture .
Pour être sanctionné le dol doit remplir tout comme l'erreur
certaines conditions :
Le dol doit être déterminant , sans le dol , l'autre partie n'aurait
pas contracter ; le dol doit émaner du cocontractant , ou d'un
tiers complice et le dol doit être prouve par la victime .
Si le dol émane du cocontractant , c'est le dol principal , il est
sanctionné d'une nuitée relative ;
Si le dol émane d'un tiers , c'est le dol incident , il expose le tiers
à la réparation de dommage et intérêt
Paragraphe 3.- La violence
A.- Les éléments constitutifs de la violence.
1.-L'élément matériel de la violence.
a.- La nature des actes de violence..
b.-Les personnes visées par les actes de violence
2.-L'élément psychologique de la violence.

B.-La sanction de la violence.

1.- Les conditions de la violence..
a-Les caractères de la violence sanctionable
b.-L'origine humaine de la violence
La personne à l'origine de la violence .
La question de l'état de nécessité..
La violence ste une contraintes exercée sur une personne
Elle est constitué d'un élément matériel , elle peut être une
contraintes physiques ou morales et peut porter sur l'un des
prêches de la victime ( ascendant , descendants , conjoint ) et
d'un élément psychologique , les menaces portée ont suscité
une crainte chez la victime , qui était obligé de contracter
Pour être sanstionner , elle doit remplir certaines contraintes :
Elle doit être déterminante , sans cette violence , la victime
n'aurait pas contracter ; elle doit être illégitime ; elle doit
émaner du cocontractant ou d'un tiers .
Fait noter aussi que si , on a poussé un personne , qui était dans
un état de nécessité a contracter , cela est considéré comme
une violence illégitimes. C'est l'exemple d'un père de famille qui
son fils étant gravement malades , n'ayant pas d'argent pour le
soigner , on l'oblige à vendre sa plantation pour un prix qui
n'était pas dans son intérêt , ou un prix bidons .
 L'erreur , le dol et la violence , la victime dispose de 10
ans pour demander la nullité relative , pour le mineur il
dispose de 5 ans .

Pour l'erreur et le dol , lorsqu'ils ont été constatés ; pour la

violence , lorsqu'elle à cesser .................................................
Qui peut demander l'action en nullité ?
Ce sont les personnes qu'on entend protéger , et les ayants
causes ( ayants cause z titre Universel et à titre particulier )
 ayant causé à titre Universel , ce sont les descendants de
la personnes à protéger .
X conclu un contrat , il constate sa nullité , il confirme le contrat
conclu . Ses héritiers ou ses desencendants peuvent saisir le
juge pour demander la nullité de ce contrat .
 Ayant causé à titre particulier , c'est l'acheteur du vendeur
Y mineur conclu un contrat avec X , le contrat est nul , mais le
confirme , et à sa majorité , le bien ayant fait l'objet du contrat
précité , il le vend à B . B peut saisir le juge pour demander la
nullité du premier contrat de Y avec X . Dans le litige oppssant B
à X , B va l'emporter parceque , X a conclu le contrat quand Y
était Mineur
Que signifie la confirmation ?
La confirmation c'est , lorsqu'une personne dispose d'un droit
d'une action en nullité mais ne le fait pas . C'est le cas de Y
précité .
Que signifie la prescription ?
C'est l'extension du délais de demande de l'action en nullité . La
prescription décennale, pour le délais de 10 ans( nullité
relative ) et la prescription trentenale pour le délais de 30 ans
( nullité absolue ) .
C'est la rétroactivité de la nullité ?
Ça veut dire qu'elle agit le passé , elle est caractérisée par la
restitution . Lorsque la nullité est prononcée , chaque partie
doit , restituer la chose dans son état antérieur .
Le juge prononcé la nullité du contrat de X avec Y, sur le
fondement du dol , la rétroactivité s'applique : X doit restituer
l'objet qui fait erreur , et Y doit restituer le prix , la somme
versée par X .
Ça c'est le principe mais il existe une exception , l'exception
perpétuelle :
La restitution n'est possible dans les contrats successif ( contrat
de bail , de travail )
Les fruits sont gardé par le possesseur si il est de bonne foi ,
mais si il est de mauvaise foi , il doit restituer le fruits

X qui conclu un contrat de vente de terrain avec Y , sachant que

le terrain à faire l'objet d'un cas litigieux , il entretient le terrain
en le ne nettoyant et le met en location , il perçoit comme fruits
une somme d'une valeur de 100.000.000 de Franc . O ayant
demander l'action en nullité , du contrat de vente conclu entre
X et Y , et que le juge ayant fait droit à sa demande , il dispose
d'une nullité du contrat .
X étant de mauvaise fois puisqu'il savais que le terrain a fait
l'objet d'un cas litigieux , et qu'il a quand même acheté , alors il
doit restituer le fruit qui est la somme de 100.000.000
Lorsque c'est le cas d'un mineur , il restituer ce qui a tourné à
son profil
Un mineur , ayant contracter un contrat de vente , revoit
500.000 . Le contrat est frappé de nullité par le juge . La
rétroactivité de la nullité demande la restitution .
Le mineur , puisque il restitue ce qui a tourné à son profil , s'il il
a toujours les 500.000 , il restitue les 500.000 . Si il lui reste
100.000 dans les 500.000 , il restitue les 100.000 , si il ne lui
reste rien , alors il restitue rien

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