Late Iron Age Gaul

Throughout history, the Druids have always been seen as sorcerers who had a strong bond with nature. Ancestral knowledge holders within Celtic society, directed all religious activity as the highest authority linked to the gods, practiced human sacrifices and festivals organized as Imbolc, Beltaine, Lugnasad or Samain, etc.. all aspects of which are discussed in this article.

Le secteur de la Croix-Saint-Charles se trouve à la pointe orientale du Mont-Auxois et sa configuration permet un accès relativement aisé à l’oppidum. Deux sections de murus gallicus furent fouillées au début du XXe siècle, respectivement par Espérandieu et par G. Fourier. Les dernières campagnes de fouilles (1991-1996) eurent pour objectif de déterminer notamment si ces fortifications avaient pu faire partie du système défensif de l’oppidum pendant le siège d’Alésia. L’étude des deux tronçons, dont la construction n’est pas identique, a permis d’avancer qu’ils ne sont pas contemporains. La datation du tronçon Espérandieu, bien qu’imprécise, est antérieure à celle du tronçon Fourier ; celui-ci être daté de l’époque gallo-romaine, mais constitue un réaménagement d’un dispositif plus ancien. Ici se pose la question des réaménagements des muri et de leur signification. Un rapprochement est fait avec d’autres remparts, tel celui d’En-Curiot sur le même site, Vertault et d’autres présentés dans cet ouvrage.

The sector of La Croix-Saint-Charles is at the eastern point of Mont Auxois and its configuration allows relatively easy access to the oppidum. Two sections of murus gallicus were excavated at the beginning of the 20th century, by Espérandieu  and G. Fourier respectively. The most recent excavations (1991-1996) were aimed at determining in particular whether these fortifications might have been part of the defensive system of the oppidum during the siege of Alésia. A study of the two sections, whose construction is not identical, allows us to suggest that they are not contemporary. The dating of the Espérandieu section, although uncertain, is earlier than that of the Fourier section. The latter dates from the Gallo-Roman period but is a redevelopment of an earlier construction. Here we look into the issue of the redevelopments of the ramparts and their significance. A comparison is made with other ramparts, such as the En Curiot rampart on the same site, the Vertault rampart and others presented in this book.

Le site d'Esbérous est un des plus vastes agglomérations protohistoriques du sud de la Garonne. Il n'avait jusque-là pratiquement pas été étudié du point de vue archéologique. Des sondages et une fouille de sauvetage ont permis de dater l'occupation, de mieux cerner l'occupation et d'aborder la question du statut politique du site.

À l'occasion du centenaire de la mort de Joseph Déchelette, une journée d'étude a été organisée le 10 décembre 2014, à  l'Université de Toulouse Jean Jaurès pour évoquer un des concepts les plus emblématiques de la Protohistoire européenne, la « civilisation » ou « culture des oppida ». D'où vient-il et quel est son champ d'application ? Est-il toujours d'actualité ?

Considérer le IIe siècle comme un tournant n’est sans doute pas une nouveauté, mais essayer d’en faire une « histoire à part égale » peut amener à renouveler le regard de l’historien et ses conclusions. Il s’agit
de repérer les indices du changement aussi bien chez les Romains que chez leurs voisins, limités ici aux Gaulois. Chercher à cerner le changement dans les Gaules ne doit pas faire oublier cependant l’horizon européen et méditerranéen, ne serait-ce que parce les opérations menées par Rome ailleurs dans le bassin de la Méditerranée impactent les relations avec les Gaulois qui deviennent alors essentielles, secondaires ou imbriquées.
La question des sources est capitale car cette dernière est parcellisée : bribes tirées des fonds littéraires, informations très hypothétiques issues de la numismatique et de l’archéologie.
Dès le début du IIe siècle, une rumeur, qui se confirme quelquefois dans les faits, fait état d’une menace qui viendrait d’outre-Alpes alors même que Rome est impliquée en Cisalpine et dans les Balkans. Cette
situation semble aboutir à un effort supplémentaire de Rome pour contrôler le bassin occidental méditerranéen dont l’alliance éduenne est peut-être une première conséquence et l’intervention en Transalpine une seconde.
À partir de 113, la migration germano-gauloise, connue sous le nom de celle des Cimbres et de Teutons, traumatisante qu’elle soit, ne remet pas en cause réellement le processus car elle permet de part et d’autre de fabriquer une histoire commune fondée sur l’idée d’un grand chambardement. Fruits de cette époque, l’organisation de la Provincia, d’un glacis en Gaule Chevelue, du développement de la ciuitas en
Gaule et des liens diplomatiques. La diplomatie semble alors l’instrument le plus adéquat pour mettre en oeuvre cet espace partagé.

Les travaux de terrain repris depuis 2001 sur l’oppidum du Camp de César, à Coulounieix – Chamiers (Dordogne), conduisent à modifier le schéma traditionnel selon lequel cet oppidum laténien, habitat principal du peuple des Pétrucores, aurait été abandonné peu après la Conquête romaine au profit d’une nouvelle capitale : Vesunna (Périgueux). Les fouilles montrent, au contraire, que les deux sites ont coexisté pendant au moins un demi-siècle : le Camp de César est encore habité, en effet, dans la première moitié du 1er siècle p. C. Cette occupation présente une forme structurée (voirie, bâtiment, fosses), dont la nature et la fonction restent cependant à déterminer.

Nex excavations on the Camp de César (or La Curade) oppidum near Coulounieix-Chamiers (Dordogne); show that this site, considerd as the major settlement of the Petrucorii during Late La Tène, was not abandoned immediatly after the Roman conquest for a new capital, Vesunna (Périgueux), as it was traditionnaly presumed. On the contrary, the two sites existed together for at least half a century, since the Camp de César was still inhabited in the first half of the first century p.C. This occupation (road, wooden buuildings, pits) is yet to be precised.

Presentation, abbreviated text only, given at NESAT / North European Symposium for Archaeological Textiles, in Hallstatt, Austria, 2014.

Christopher Tilley’s theory of phenomenology (1994), useful in interpreting space, can also be applied to dress.

There is a tendency to reconstruct clothing as an expression of technical ability in a group; however, the way people wish to appear is, and has always been, culturally determined, and is therefore very much ‘of that person, and of that moment’ (if not looking backward, in the comfort of tradition).
Clothing is intrinsically of a very practical nature, too, yet outside of circles of re-enactors, the way a person might have best used his or her clothing is not often described; the anecdotal often being a mere sideline to researchers working on costume’s broader genealogy.

When taking the phenomenological approach to the way people in the past chose to appear, however, clues appear to aspects of life hitherto undiscussed. An enigmatic find from southern Germany, some five and a half thousand years old, seems to throw light on a Neolithic costume silhouette with perhaps a ritual association. Sex sneaks into the clothing of northern Europe’s Bronze Age, and possibly, a fear of the violence of men.
In contrast, strongmen of the later Iron Age groomed themselves with almost effeminate coiffures; the evidence is there on bog bodies from Germany and metalwork from Gaul, often surprising in their almost modern look, sometimes of a baffling complexity.

Warlords played a key political role inside their civitates. The growth of their power affected the social structuring of the community, as they expanded their client networks. But it also crossed political boundaries, as warlords established pacts with prominent men from other civitates. In the process tension arose in these communities, as a result of the clash between the warlords’ bids for individual power and the senates and assemblies that usually governed them.
Therefore warlords’ interests and ambitions represent one of the main factors in the political and military development during the Gallic Wars. Analyzing their role sheds light over the political articulation of Gallic civitates and their relationships, and, on the reverse, over the tensions and fragmentation that eased Roman conquest

Important progress has been made in the study of the Gallic world in recent years thanks to new perspectives on classical texts, advances in archaeological research and the use of interdisciplinary approaches. After providing an exposition of the main levels of socio-political organisation present in Gaul at the end of the Iron Age, this article offers a brief introduction to the most prominent political institutions of the civitates: popular assemblies, aristocratic senates and the monarchy.

Les fouilles recentes ont revele la topographie des sites agglomeres de la region toulousaine aux IIe et Ier s. av. n. ere. Pour la premiere fois a ete mise en evidence la trame urbaine de l'oppidum de Vieille-Toulouse, trame apparue entre 150 et 125 et maintenue, avec des ajustements, jusqu'a l'abandon du site vers - 10. Dans la plaine a Saint-Roch, l'occupation gauloise couvre une surface de l'ordre de 80 ha, sans structuration de grande ampleur. Il s'agit d'une agglomeration secondaire sans doute dediee a des activites specifiques liees a la Garonne.