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Hommages à Pierre CADIOTInternational audienceNotre observable consiste en quelques-uns des emplois, dits « temporels », que véhiculent des énoncés où la préposition pour se construit avec le verbe rester et régit un complément de temps... more
Hommages à Pierre CADIOTInternational audienceNotre observable consiste en quelques-uns des emplois, dits « temporels », que véhiculent des énoncés où la préposition pour se construit avec le verbe rester et régit un complément de temps exprimant un rapport de « durée »
International audienceAlthough the oral modality has received more attention in the field of language didactics (Lhote,1995 ; Parpette, 1997 ; Weber, 2012), the documentation of its characteristics by linguists still only rarely crosses... more
International audienceAlthough the oral modality has received more attention in the field of language didactics (Lhote,1995 ; Parpette, 1997 ; Weber, 2012), the documentation of its characteristics by linguists still only rarely crosses the threshold of the classroom; the teaching of grammar remains firmly tethered to written language, and only marginally takes into account oral phenomenons, a fact lamented by several didactics researchers (Delahaie, 2010). Frequently, the teaching of oral language is limited to a phonetic or sound-based approach, usually made to correspond to the written language, which acts as a base to the establishment of grammar, and the only one benefiting from a constructed metalanguage. Furthermore, the didactic representation of the structural characteristics of oral language concerns itself little with the fact that oral production remains proportional to the interaction situation that generates it.This book bases itself on the argument that linguistic research is assuredly relevant to didactic consideration, which must, to support it, particularly focus on oral data. Based on the observation of a lack of description of the oral modality in fields related to the study of language, we will take up the triple challenge of: i) problematizing the interactional characteristics of the use of spoken language and ii) describing them from a structural standpoint to establish their status relative to language, and finally, iii) allowing the field of didactics to benefit from these descriptive and theoretical developments by transposing them into the classroom, whether in French as a First (FLM), as a Second (FLS), or Foreign Language (FLE).The various contributions present in this book forge links between recent trends in interactional linguistics and the elaboration of didactical frameworks, with the aim of stimulating the emergence of real interaction skills in learners (5), from an interactional linguistic standpoint (C. Kerbrat‐Orecchioni, K. Ploog, A.-S. Calinon, S. Fiorèse & C. Sarré, and four suggesting a didactic exploitation of (large) corpora: M. Pires, C. Vaguer, M. Skrovec & B. Hamma).This book is aimed at French teachers (whether of FLM, FLS, or FLE), as well as researchers in linguistics and the didactics of French or other languages. It also hopes to stimulate interest among PhD students and junior researchers in didactics for topics related to linguistic corpora—a field that is still largely under-exploited in research on the teaching of French.Si l’oral a bénéficié d’un gain d’intérêt en didactique des langues (Lhote,1995 ; Parpette, 1997 ; Weber, 2012), la documentation de ses caractéristiques par les linguistes ne franchit encore que ponctuellement le seuil de la salle de classe : l’enseignement de la grammaire reste attaché à l’écrit et ne tient compte que très marginalement des phénomènes d’oralité, ce que déplorent certains chercheurs en didactique (Delahaie, 2010). Bien souvent, l’enseignement de l’oral se limite à son approche sonore, en outre bien souvent mise en parallèle avec l’écrit, base de constitution de la grammaire, et seul à bénéficier d’un métalangage construit. En outre, la re-présentation didactique des caractéristiques structurelles de l’oral est peu soucieuse du fait que la production orale reste proportionnelle à la situation d’interaction qui la génère.Cet ouvrage se base sur l’argument que l’étude linguistique possède une pertinence certaine pour la réflexion didactique, et, pour ce faire, de focaliser en particulier les données orales. Partant du constat d’une sous-description de l’oral dans les domaines relatifs à l’étude de la langue, nous tentons de relever le triple défi de i) problématiser les caractéristiques interactionnelles des usages parlés et ii) les décrire du point de vue structurel pour en expliciter le statut par rapport la langue, et enfin, iii) faire bénéficier la didactique des acquis descriptifs et théoriques en les transposant à la salle de classe, aussi bien en FLE qu’en FLM. Les contributions tissent des liens entre les tendances récentes en linguistique interactionnelle et l’élaboration des dispositifs didactiques, visant ainsi à faire émerger une véritable compétence d’interaction chez les sujet apprenants (5 dans l’optique de la linguistique interactionnelle (C. Kerbrat‐Orecchioni, K. Ploog, A.-S. Calinon, S. Fiorèse et C. Sarré et 4 proposant une exploitation didactique de (grands) corpus (M. Pires, C. Vaguer, M. Skrovec, B. Hamma). Cet ouvrage s’adresse aux enseignants du français — FLM, FLS ou FLE — et aux enseignants-chercheurs en sciences du langage / didactique du français et des langues. Il a pour objectif par ailleurs d’encourager les doctorants et jeunes chercheurs en didactique à investir dans des problématiques autour des corpus linguistiques, champ encore largement sous-exploité dans la recherche sur l’enseignement du français.Cette publication s’appuie sur les Journées d’étude Linguistique de l’interaction,…
Conférence invitée, dans le cadre du séminaire du laboratoire Lexique & Grammaire, le 07 mars 2005, à l’Université de Marne-la-ValléeInternational audienceDans cette conférence, j'ai traité de la place du sens dans les grammaires... more
Conférence invitée, dans le cadre du séminaire du laboratoire Lexique & Grammaire, le 07 mars 2005, à l’Université de Marne-la-ValléeInternational audienceDans cette conférence, j'ai traité de la place du sens dans les grammaires cognitives, dans un premier temps, depuis Aristote et je me suis attardé sur le modèle plus récent qu'incarnent les mentalistes américains (entre autres Ray Jackendoff, Georges Lakoff et Bernard Talmy) s'adossant au programme minimaliste chomskyen de la grammaire générative ; ces thèses ont été confrontées à la conception européenne du sens, entre autres, chez Ferdinand de Saussure dans une perspective autonomiste ou aussi chez Maurice Gross, Gaston Gross ou aussi chez Danielle Leeman) pour qui la question du sens est avant tout une affaire de formes linguistiques
Cette etude est consacree a l'etude du pronom "personnel" soi et ses soi-disant "allomorphes" (on, se, il...) du point de vue syntaxique et semantique. Les notions de "reflexivite" et... more
Cette etude est consacree a l'etude du pronom "personnel" soi et ses soi-disant "allomorphes" (on, se, il...) du point de vue syntaxique et semantique. Les notions de "reflexivite" et d'"equivalence" y sont debattues a travers des exemples oraux pris dans les ESLO et des tests syntaxiques appropries.
(2009), « Esprit, tête, main et autres « lieux de passage métaphoriques » se construisant avec la préposition par », Colloque International RSP 5 « L’espace et le Temps », du 22 au 24 avril 2009, à l’Institut de langues de... more
(2009), « Esprit, tête, main et autres « lieux de passage métaphoriques » se construisant avec la préposition par », Colloque International RSP 5 « L’espace et le Temps », du 22 au 24 avril 2009, à l’Institut de langues de Gabès/Tunisie.International audienceIl s'agit de traiter des emplois dits "métaphoriques" ou "abstraits", souvent délaissés dans les travaux sur la préposition PAR, qui ne concernent la plupart du temps que ses emplois dits "spatiaux
L'examen attentif d'un corpus de 3598 enonces pris dans les bases de donnees orales, les ESLO, a permis d’etendre la liste des emplois non-canoniques connus et reconnus en tant que tels, en particulier, du point de vue de... more
L'examen attentif d'un corpus de 3598 enonces pris dans les bases de donnees orales, les ESLO, a permis d’etendre la liste des emplois non-canoniques connus et reconnus en tant que tels, en particulier, du point de vue de l’agencement des arguments syntaxiques et des fonctions syntaxiques qu’ils peuvent occuper aussi bien du point de rectionnel que du point de vue macro-syntaxique. En effet, le passif est souvent presente dans des phrases simples decontextualisees, correspondant au schema canonique vu supra : AR1[sujet passif] est PPe [proces passif] (par/de AR2[agent passif]) Or, on a pu relever dans notre corpus un certain nombre d’ecarts par rapport a cette forme canonique dont les plus significatifs quantitativement parlant sont le fait que chacun des elements constitutifs de cette structure peut se trouver affecte de cet ecart. C’est pourquoi nous proposons l’appellation « segment passif » a la place de « phrase passive » ou enonce « passif » qui presupposent que le passif ne peut etre que l’unite superieure phrastique ou enonciative.
Le but de ce travail est de voir si le prefixe PAR- entretient une relation de continuite avec la preposition PAR dans des exemples comme "parcourir les rues" et "courir par les rues".
International audienceJe me propose de traiter de la locution verbale "finir par V infinitif". Il ressort de cette étude que FINIR PAR est susceptible d'exprimer une certaine valeur inchoative, en addition à la valeur... more
International audienceJe me propose de traiter de la locution verbale "finir par V infinitif". Il ressort de cette étude que FINIR PAR est susceptible d'exprimer une certaine valeur inchoative, en addition à la valeur qu'on lui attribue habituellement dans une série d'actions à faire
Nous nous proposons de traiter de l’un des points de chute inherents a l’elaboration des bases de donnees orales par des linguistes, a savoir l’exploitation des enregistrements recueillis, leurs transcriptions et les informations... more
Nous nous proposons de traiter de l’un des points de chute inherents a l’elaboration des bases de donnees orales par des linguistes, a savoir l’exploitation des enregistrements recueillis, leurs transcriptions et les informations sociolinguistiques y afferentes, a des fins didactiques en classe de francais, en FLM comme en FLE. Le fait linguistique sur lequel nous avons choisi de travailler ici est le passif et, plus particulierement, ses emplois « acheves » (Dubois, 1967), c’est-a-dire ceux avec un « agent » explicite. Nous montrerons, ainsi, en quoi le fait d’ecarter l’oral des activites de grammaire peut s’averer prejudiciable dans les differents contextes d’apprentissage. Notre demonstration repose sur les corpus oraux orleanais, les ESLO.
etude contrastive de trois prepositions appelees "dynamiques" dans les approches cognitivistes dans trois langues differentes (l'anglais, le francais et l'arabe) ; il s'agit essentiellement de "a travers",... more
etude contrastive de trois prepositions appelees "dynamiques" dans les approches cognitivistes dans trois langues differentes (l'anglais, le francais et l'arabe) ; il s'agit essentiellement de "a travers", de "through" et de "xilala". Le but de cette communication est de montrer en quoi la conceptualisation du deplacement et des "chemins" empruntes et des "entites" en mouvement (souvent consideres comme universels) sont en realite tres differents.
Ce numero de Linx se presente sous une forme particuliere. L’essentiel du volume est consacre a la publication des actes d’une journee d’etude pluridisciplinaire organisee a Nanterre par Sophie Hamon et Mathieu Amy autour de la notion de... more
Ce numero de Linx se presente sous une forme particuliere. L’essentiel du volume est consacre a la publication des actes d’une journee d’etude pluridisciplinaire organisee a Nanterre par Sophie Hamon et Mathieu Amy autour de la notion de cause. Les Sciences du langage en effet, par leur objet, sont amenees a entrer en relation avec d’autres sciences humaines, theoriques ou pratiques (philosophie, psychologie, sociologie, sciences de l’education, par exemple). Par leur visee – degager des « lois » de regularite – elles se confrontent aux modeles des sciences dures et des sciences de la nature. Dans une epoque ou l’on dit la linguistique en mutation (si ce n’est en crise), il nous a semble opportun d’accueillir les regards croises que differentes disciplines portent sur une notion qui leur est commune. A la suite de la publication des actes de cette journee, on trouvera le texte de deux conferences d’Anna Wierzbicka, qui prolonge la confrontation disciplinaire autour de la notion de c...
compte rendu d'un livreCompte-rendu d'un livre d'ELISABETTA JEŽEK, THE LEXICON. AN INTRODUCTION,OXFORD UNIVERSITY PRESS, 2016, 234 PAGE

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