Middle and Late Bronze Age

Сборник посвящен археологическим работам на памятнике Кангурттут в 2015-2016 гг. Приводятся результаты изучения культурных слоев гиссарской неолитической культуры и расположенного непосредственно над ним земледельческого поселения поздней  бронзы,  а  также  материалы  исследования  двух могильников, относящихся к поселению. В книге освещено важное открытие поселения и могильника среднебронзового века на противоположном берегу р.Кангурттут, позволившее найти ответы на некоторые вопросы более раннего заселения юга Таджикистана в бронзовом веке. Тем самым отвергается утвердившаяся до настоящего времени гипотеза о доживании неолитической гиссарской культуры в южном Таджикистане до прихода племен поздней  бронзы  и  убедительно  указывает  на  вхождение Кангурттута-2 в круг памятников  Бактрийско-Маргианского археологического  комплекса.  На  основе  анализа  вопросов палеогеографии и палеоэкологии региона и окружающих его стран, радиоуглеродных датировок и палинологических данных стоянок неолита и памятников позднебронзового века в регионе делается попытка членения голоцена на юге Таджикистана на хронологические периоды и фазы.
Книга рассчитана на археологов, историков, работников музеев и интересующихся историей Таджикистана.

The distribution analysis of the types with Adriatic diffusion documented at Manaccora Cave (Peschici-FG) confirmed the existence of a preferential relationship between northern Apulia and Dalmatia; the Karstic-Istrian elements could have reached Apulia either through Dalmatia or through less intense connections. At this stage of the research, it seems possible to identify a peak of contacts during MBA 2 and 3, while during the RBA , when the diffusion of Aegean pottery reaches the areas north of the Gargano, the link between the two opposite shores seems reduced or transformed.

Découvert il y a une quarantaine d’années, le Monti Barbatu domine la rive nord du golfe du Valincu de ses 515 m. Le site accueille plusieurs occupations entre le milieu du Néolithique et la fin du Moyen Âge. Il a fait l’objet de plusieurs prospections et de quelques sondages menés dans les années 1980 par O. Jehasse. En 2013, une première fouille d’ampleur limitée avait été menée contre l’enceinte cyclopéenne installée sous le sommet. Ces travaux avait mis en évidence des niveaux d’occupation du Néolithique récent endommagés par les aménagements successifs, un niveau de l’âge du Bronze moyen et un remblai d’époque médiévale. L’opération avait en outre consisté à réaliser des relevés topographiques et architecturaux, ainsi qu’à décrire la statue-menhir MBI, découverte quelques années auparavant sur le plateau inférieur du site.
En 2017, il s’agissait de poursuivre les investigations sur la zone subsommitale (secteur C). L’excavation, d’une surface originelle de 9 m², a atteint une aire de près de 30 m², toujours contre l’enceinte mais en direction du centre du plateau. L’analyse de la stratigraphie montre que la première occupation est datable du début du IVe millénaire et rattachable au faciès basien. La zone investiguée correspond vraisemblablement à la limite d’un espace habité, matérialisée par un mur en pierre sèche, structure inédite à l’échelle insulaire pour cette phase. Au début du Bronze moyen, un rempart en gros blocs est aménagé juste à l’ouest de la terrasse formée par ce mur et un remblai-dépotoir est constitué à ses pieds afin d’aplanir les aspérités du terrain. Monti Barbatu devient alors un imposant casteddu non pourvu de torra, à moins que celle-ci n’ait été démantelée à l’époque médiévale. L’enceinte protège des habitations dont la forme n’a pu être approchée. Les mobiliers associés illustrent d’importantes connexions économiques et culturelles avec la basse vallée du Taravu et un impact stylistique de l’Italie septentrionale et centrale. Un nouveau chapitre d’occupation s’écrit au Bronze final. Cette phase, mal documentée, caractérise peut-être un repli sur les zones supérieures du site, là où se trouve une enceinte en petit appareil qui date de cette époque et/ou du Moyen Âge. Sur le niveau d’abandon protohistorique est posé un sol équipé d’un foyer, daté au radiocarbone du Xe siècle apr. J.-C., percé plus tard par des fosses non datées. Ultérieurement, un important remblai constituant vraisemblablement le niveau d’implantation du village et de la chapelle du castrum, est édifié sur ces vestiges. Son sédiment inclut une grande quantité de mobilier du Néolithique récent et du Bronze moyen, preuve que le sédiment a été pris sur le site, mais également des ensembles terriniens, campaniformes, Bronze ancien, antiques et médiévaux, qui attestent de la longue perduration de l’occupation et donc du caractère stratégique du site.
La campagne a également consisté à fouiller un aménagement à l’origine considéré comme un coffre sépulcral, situé sur le plateau inférieur (secteur B). Très vite, il a été possible d’observer qu’il s’agissait en réalité d’un double mur de dalles constituant la limite d’une grande habitation subrectangulaire implantée au pied du massif rocheux du secteur C. Ces sondages ont révélé un colmatage essentiellement alimenté par les colluvionnements. Néanmoins, l’homogénéité du mobilier sur le secteur a permis de reconnaître une chronologie de fonctionnement placée entre le Néolithique moyen 2 et le Néolithique récent. L’individualisation d’une telle structure pour ces époques constitue une nouveauté pour les zones littorales du sud de la Corse et offre un contrepoint aux habitats de Fuata, Monte Revincu, Guaita ou Presa.
Les prospections réalisées sur le secteur B ont également permis de recenser la statue-menhir MBII, un tronçon mésial portant une épée disposée en oblique. Un sondage sera pratiqué en 2018 dans cette zone. En limite méridionale du site, deux structures interprétées comme des habitations de l’âge du Bronze, de forme subrectangulaire à elliptique, matérialisées par des solins de gros blocs. L’une d’entre elles, la structure A, fera l’objet d’une fouille partielle en 2018.

A partir del estudio de cuatro objetos metálicos (una daga y tres puntas de flecha) procedentes de otras tantas cuevas del entorno geográfico de Castro Urdiales, culturalmente encuadrables entre el Calcolítico final y el Bronce medio, y cuya analítica ha proporcionado su fabricación en cobre de origen foráneo a la costa cantábrica, se concluye que llegaron hasta aquel prolífico lugar de la costa tanto desde diferentes puntos de la Península como por diferentes caminos. Se reflexiona en torno a la especial presencia de objetos foráneos en la etapa media de la Edad del Bronce, llegados hasta el centro de la cornisa cantábrica desde todos los puntos cardinales.
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Four metal objects (a dagger and three arrow-heads) from four caves in the Castro Urdiales area can be dated culturally from the late Chalcolithic to the Middle Bronze Age. Their analysis has shown that they were made from copper not present on the Cantabrian coast, with the conclusion that these objects came to that prolific coastal place from different parts of the Iberian Peninsula and by different routes. The particular presence of allochthonous objects, which reached the middle sector of the northern Spain from all points of the compass in the middle Bronze Age, is discussed. PALABRAS CLAVE: Arqueometalurgia. Bronce antiguo. Bronce medio. Calcolítico final. Campaniforme. Cobre. Metalistería prehistórica. Metalurgia prehistórica.

The new ABR Shiloh excavation sheds light on the occupational history of the site and proposes a revised stratigraphy. Of note, the IA 2 and ER periods were more extensive than previously thought. The use of cutting edge technology portends insight into the interface between the Amorite and Israelite eras and the possible destruction around 1075 B.C. at the hands of the Philistines.

The recent salvage excavations conducted by the Hatay Archaeological Museum at Toprakhisar Höyük (Altınözü) in the highlands surrounding the Amuq Valley on its southwestern side have revealed architectural data regarding re-urbanization patterns in the Middle Bronze Age (2000-1600 BC). This archaeological data is discussed under the larger theme of materiality, function, and conscious symbolism in the use of space. It is argued that rural sites likewise contained administrative complexes with stylistic attributes similar to well-known and larger palaces from the urban centers of the region.

Beshtasheni cemetery is located in South Georgia, in Kvemo Kartli region, north-west from the village Beshtasheni in Tsalka municipality, directly on the road from village Beshtasheni to village Shua Kharaba
(formerly known as Saphar-Kharaba), on the right bank of the river Geriak-Chai. Cemetery belongs to ‘Beshtasheni Cyclopean Settlement’.
In this article we would like to give brief description of the graves found in 2015-2016, which contained artefacts and osteological material. Focus will fall on the features and material of special importance for the archaeological investigations of the Late Bronze-Early Iron Age period of South Caucasus.