Tourisme Au Maroc

Επίσης:
Χασάν Β’ του Μαρόκου “Οι Αναμνήσεις ενός Βασιλιά”
Σκιαγραφόντας την κουλτούρα του Μαρόκου μέσα από τον ηγέτη του, όπως αυτός παρουσιάζεται στο πρόσφατο βιβλίο “Hassan II La mémoire d’un roi”

Also:
Hassan II of Morocco “The Memories of a King”
Outlining the culture of Morocco through his leader, as he is presented in the recent book “Hassan II La mémoire d’un roi”

Άρθρα του Μουχάμαντ Σαμσαντίν (τότε Κοσμά) Μεγαλομμάτη στο περιοδικό Τρίτο Μάτι, 32 (Φεβρουάριος 1994), σελ. 48-54 και 56-57

Articles by Muhammad Shamsaddin (then Cosmas) Megalommatis in the monthly review Trito Mati (Third Eye), 32 (February 1994), p. 48-54 and 56-57

First published online on 6th June 2021 here:
https://profmegalommatistextsingreek.wordpress.com/2021/06/05/μαρόκο-ταξίδι-στην-άκρη-του-κόσμου/

Le présent article a pour objectif d’évaluer l’activité des riads de luxe à Fès en rapport avec les principes du marketing de luxe.  Ce mode d’hébergement  connait un véritable essor et il est intéressant d’identifier les possibilités d’amélioration de ce secteur grâce à  l’exploitation des principes du marketing de luxe en vue de confirmer sa compétitivité et de conforter la place qu’occupe la destination Fès par rapport au marché du tourisme de luxe. Dans ce sens, il a porté dans un premier temps sur la clarification d’un point de vue théorique du concept du luxe et des fondements du marketing de luxe, puis sur l’étude exploratoire de l’hôtellerie de luxe pour mieux appréhender l’étude qualitative sur l’hébergement touristique de luxe en prenant l’exemple des riads de Fès. Il ressort de cette étude que ce type d’hébergement continue de progresser grâce aux atouts de la destination mais l’offre n’est pas suffisamment mise en valeur en raison de certaines carences observées, telles que l’absence de démarche marketing, l’inadéquation des actions commerciales ou le manque de qualification du personnel. Sur la base des constats et d’une analyse SWOT, des recommandations sous forme de stratégies à adopter par les riads de luxe à Fès ont été suggérées,  au niveau du marketing de luxe, du management  et de leur engagement dans la démarche de tourisme durable et de responsabilité sociale de l’entreprise.

Le tourisme fait partie des sources historiques potentielles de croissance du Maroc et représente un enjeu pour le développement durable et la compétitivité socio-économique de ses destinations, notamment de la ville de Fès, réputée destination touristique à vocation culturelle. Le marketing territorial semble être un levier efficace pour développer une destination de tourisme touristique. L’objectif de cet article est de déterminer des axes de développement territorial pour la ville de Fès en s’inspirant de l’expérience réussie de la ville de Lyon en France. Nous nous sommes basé sur une étude benchamrking des deux territoires suivi d’une analyse SWOT de la ville de Fès, pour justifier la mise en œuvre d’une démarche de marketing territoriale lui permettant d’utiliser ses atouts différentiels et attirer les capitaux, les talents, les chercheurs, les cadres, les entrepreneurs et les touristes

Estudio sobre los anuarios de Marruecos de la Editorial Ibero-Africano-Americana dirigidos por Manuel L. Ortega y en los que colaboraron firmas como Antonio Ramos, Juan Beigbeder, Cándido Lobera, Antonio Got, Ignacio Bauer y otros muchos. Obras singulares que nos ofrecen buenos estudios histórico-descriptivos de las ciudades, así como la composición profesional y social de las poblaciones de Marruecos, Ceuta y Melilla

Le 13 avril 1847 le Cherif Boumaza s’est rendu au colonel de Saint-Arnaud après avoir soutenu dans l'oasis des Ouled Djellal son dernier combat contre le général Herbillon, le bourreau des Zaatcha (Biskra).
C'est le capitaine Richard, chef du bureau d'Orléansville, qui est chargé de conduire le prisonnier jusqu’à Paris, où il devient la coqueluche des Parisiennes. L’Hôtel de la rue François-Ier où vécut un temps Boumaza, est situé dans le 8e arrondissement de Paris. Il jouxte l’allée d'Antin (actuelle avenue Franklin D. Roosevelt)..C'est là qu'il connut la princesse italienne Belgiojoso.

Au Maroc, le tourisme est un secteur clé du développement. La place qu’il occupe lui confère un rôle de moteur du développement économique, social et culturel du pays. C’est pourquoi le secteur jouit d’une considération importante dans les hautes sphères de l’Etat. Depuis plusieurs décennies, le tourisme a permis au Maroc d’ouvrir de vastes champs de développement socio-économique. Son apport dans le PIB du pays est considérable (7%) et il a créé entre autre un nombre considérable d’emplois (plus de 600 milles à la veille des années 2000)1 et surtout, le tourisme a permis au royaume d’engager des projets de développement sur toute l’étendue du territoire national. Avec une telle position, le tourisme est l’un des secteurs principaux de l’économie du Maroc.
Ce présent travail s’inscrit dans le cadre de nos travaux sur le tourisme et l’aménagement territorial dans la formation Tourisme, patrimoine et développement durable. Il s’agit précisément d’un rapport de sortie d’étude sur la province de Guelmim, Es-Smara, dans le Sud du Maroc, que nous avons effectué entre le 30-31 Mai et 01 Juin 2014 sous la direction des professeurs BOUJROUF Saîd, EL AKLAA Mohamed et Abdullah Ahmed.
Durant trois jours, nous avons sillonné la province de Guelmim, Es-Smara afin d’étudier les potentialités touristiques de la région, observer les aménagements entrepris et d’autres encours de réalisation. Nos rencontres avec des acteurs avaient également pour but de comprendre comment se mobilisent les différents acteurs du secteur dans la province.

Les Ksour de Tafilalet constituent un symbole de l'architecture historique de la région sud-est du Maroc, en plus des traditions et des coutumes qui abondent dans les différentes zones tribales, ce sont des facteurs importants qui indiquent la richesse de la civilisation en témoigne du grand Tafilalet, la capitale des caravanes commerciales qui dans le passé voyagent à travers Sijilmassa vers le désert.
Les ksour de la province d'Er-Rachidia comptent plus de 360 ksar, mais malgré cette diversité de l’habitat traditionnel dans cet espace oasien, on peut dire que le ksar, dans sa version dégradée actuelle, est voué à la disparition car il est devenu synonyme de pauvreté pour les populations qui y résident encore. Certes, il existe encore des ksour occupés mais c'est parce que leurs occupants ne disposent pas de terrain et de moyens financiers pour réaliser de nouvelles constructions en dehors de l’enceinte. Il est malheureux que la survie des Ksour, soit liée à la pauvreté et à l’exclusion d’un ensemble de citoyens.
De ces quelques constatations, une intervention rapide pour protéger cette unique installation culturelle est indispensable, et ainsi prendre toutes les actions et les mesures nécessaires afin de les préserver, et se qualifier pour jouer pleinement leur rôle, car ils constituent l'un des fondements de l'identité culturelle et historique qui peux représenter une valeur ajoutée dans l’économie local par son attractivité culturelle.

Au Maroc comme partout ailleurs, l’activité touristique est un agent conflictuel efficace sur l’ensemble du territoire, même si la pression varie selon les lieux. De plus en plus envahissante, sa présence se manifeste par une consommation boulimique d’espaces naturels et agricoles, mais aussi par des déséquilibres engendrés sur les activités économiques préexistantes et par les mutations sociales, professionnelles et culturelles de la population locale.

En termes de développement et de gestion de l'espace périurbain, Marrakech est un cas bien particulier. Malgré sa labellisation en 1985 en tant que Patrimoine Universel de l'Humanité, la ville évolue à un rythme effréné et son patrimoine millénaire subit une dilapidation impitoyable et rapide. En l'espace d'une vingtaine d'années, la ville à l'image des cités-jardins d'Europe a été victime d'une déprédation de son patrimoine foncier et culturel, considéré par Forestier au début du siècle dernier comme l'une des plus grandes qualités de cette ville et estimait qu'une gestion saine aurait pu permettre une expansion judicieuse des parcs et des espaces verts de façon à soutenir et à aérer la ville nouvelle. L'on estime que le vandalisme patrimonial de Marrakech semble être orchestré par une concertation entre les lobbys politiques et privés. Les territoires et les paysages environnants, comme la Palmeraie, sont grandement affectés par ce fléau moderne. Dans cet article, nous examinons les raisons et les facteurs de la nouvelle installation touristique et de sa prolifération au sein de la Palmeraie de Marrakech. Nous tâcherons aussi d'explorer les conditions de cette occupation avant de présenter ces différentes formes et caractéristiques. Mots clés : paysage culturel, tourisme, aménagement urbaine, palmeraie, patrimoine. Abstract In terms of development and management of the peri-urban area, Marrakech is a very special case. Despite being recognized as a world heritage site in 1985, the city is changing at a frantic pace and its millennial heritage is being ruthlessly and rapidly destroyed. In twenty years, the city, like the garden cities of Europe, has been culturally devastated.

Au Maroc comme partout ailleurs, l'activite touristique est un agent conflictuel efficace sur l'ensemble du territoire, meme si la pression varie selon les lieux. De plus en plus envahissante, sa presence se manifeste par une consommation boulimique d'espaces naturels et agricoles, mais aussi par des desequilibres engendres sur les activites economiques preexistantes et par les mutations sociales, professionnelles et culturelles de la population locale. Mots cles : tourisme, Marrakech, impacts socio-economique, environnement.

En termes de developpement et de gestion de l’espace periurbain, Marrakech est un cas bien particulier. Malgre sa labellisation en 1985 en tant que Patrimoine Universel de l’Humanite, la ville evolue a un rythme effrene et son patrimoine millenaire subit une dilapidation impitoyable et rapide. En l’espace d’une vingtaine d’annees, la ville a l’image des cites-jardins d’Europe a ete victime d’une depredation de son patrimoine foncier et culturel, considere par Forestier au debut du siecle dernier comme l’une des plus grandes qualites de cette ville et estimait qu’une gestion saine aurait pu permettre une expansion judicieuse des parcs et des espaces verts de facon a soutenir et a aerer la ville nouvelle. L’on estime que le vandalisme patrimonial de Marrakech semble etre orchestre par une concertation entre les lobbys politiques et prives. Les territoires et les paysages environnants, comme la Palmeraie, sont grandement affectes par ce fleau moderne. Dans cet article, nous examinons l...

Le tourisme fait partie des sources historiques potentielles de croissance du Maroc et représente un enjeu pour le développement durable et la compétitivité socio-économique de ses destinations, notamment de la ville de Fès, réputée destination touristique à vocation culturelle. Le marketing territorial semble être un levier efficace pour développer une destination de tourisme touristique. L’objectif de cet article est de déterminer des axes de développement territorial pour la ville de Fès en s’inspirant de l’expérience réussie de la ville de Lyon en France. Nous nous sommes basé sur une étude benchamrking des deux territoires suivi d’une analyse SWOT de la ville de Fès, pour justifier la mise en œuvre d’une démarche de marketing territoriale lui permettant d’utiliser ses atouts différentiels et attirer les capitaux, les talents, les chercheurs, les cadres, les entrepreneurs et les touristes

ENCG Dakhla. Forum international de Dakhla sur le développement de l'économie du désert du Sahara et le Management des Régions Arides : Économie de l'Énergie entre Déserts et Océans. L'École Nationale de Commerce et de Gestion, Dakhla, Maroc

La finalité du Congrès International sur l'Économie du Désert – Dakhla, est d'être une plateforme de recherche scientifique interdisciplinaire  sur l'économie, le management, et le développent du désert (développement rural), du Sahara et des régions arides (zones arides, semi-arides, hyperarides,  sèches,  oasis et zones rurales éloignées), afin de contribuer efficacement dans la bonne gouvernance et le développement durable des régions désertiques, partout dans le monde, en passant par l'encouragement et la promotion des investissements dans le Sahara et les déserts, et en suscitant des rencontres entres toutes les parties prenantes à l’échelle mondiale: Universitaires, professionnels, décideurs politiques, société civile et les ONG,  en vue de favoriser la coopération et le partenariat entre les pays désertiques : l’Afrique et les pays du Golfe (MENA et Sahel ...), les États-Unis d'Amérique, l'Australie, la Chine,  l’Inde, l’Amérique du Sud…, dans le but de valoriser et de promouvoir la connaissance du désert et les conclusions et recommandations des études et conférences qui y sont en relation, et de créer un environnement propice d’échange d’expériences, d’expertise, de formations, de pratiques pédagogiques et d'innovation,  autour des thèmes relevant de l’économie du désert et du management des régions arides, tels que L'industrie et l’économie du tourisme et du voyage; Économie, gestion et production de l'élevage; L’agriculture, l'aquaculture et l’économie agricole (l’économie rurale); L'économie de l'eau; Les énergies renouvelables, l’économie de l'énergie et la gestion de l'énergie; Les mines et la gestion des ressources naturelles; Le transport et la logistique; La pêche maritime, l'économie de la mer et l'économie (bleue) océanique; L'industrie spatiale et l'économie de l'espace; La technologie et l’innovation;  Les sports nautiques et loisirs, l'économie et la gestion du sport (management du sport);  Le patrimoine culturel, matériel et immatériel;  Conservation et gestion de la nature, de l'environnement, de la biodiversité et des zones humides… Ainsi chaque année une édition sera organisée.

L'Association "Desert Action" a été à l'origine de l'idée de la création d'un Prix annuel nommé « Le Prix Théodore Monod du Désert », pour rendre hommage, célébrer et honorer la mémoire de cet homme d'exception qui a consacré sa vie à la recherche scientifique sur le désert et les zones arides, en guise de reconnaissance et d'appréciation pour ses qualités humaines et pour ses efforts de pionnier dans l'étude et l'exploration du désert et du Sahara. L'idée était de décerner annuellement ce Prix dans le cadre des éditions du Congrès International sur l'Economie du Désert - Dakhla, pour encourager et valoriser les études et la recherche scientifique sur les déserts (Sahara, zones arides), sous ses aspects : scientifiques, économiques...
Une excursion ( Sahara Desert Excursion ) dans le désert de la région de Dakhla, est organisée après chaque édition du congrès, cette excursion entre dans le cadre du programme post-congrès du Congrès International sur l'Économie du Désert – Dakhla,  c’est l'occasion de savourer la beauté du désert de cette région, et de profiter de moments les plus paisibles et joyeux au milieu de nulle part, "le désert de Sbita", avec ses horizons sablonneux, orné par le plus prodigieux arbre du désert: l’Acacia (raddiana), sous ses ombres rafraîchissantes, tout en écoutant quelques tons classiques du désert (La musique Hassani), vous assisterez à "un barbecue du désert" et vous dégusterez le plat traditionnel de  provinces du Sud: "Le riz à la viande de dromadaire" (riz à la viande de chameau). Bien sûr, ce temps de divertissement est entrecoupé par trois moments rituels et spéciaux, ceux de la présentation des fameuses trois tasses de "Thé saharien", préparées sous une tente du désert.
Ce moment de détente et de contemplation, n’est pas un moment d’inactivité, mais aussi une occasion de joindre l'utile à l'agréable: Des temps d’exploration, de curiosité et de vulgarisation scientifique. La lumière sera mise sur certains phénomènes qui se déroulent dans le désert: Météorologiques (les précipitations et les plantes du désert), géologiques (formation de dunes), archéologiques ...
Ce sera également l'occasion de sensibiliser les étudiants et les lycéens sur l'importance de l'expérimentation et de la simulation astronomique et spatiale dans le désert, et aussi c'est une opportunité pour mettre en évidence le potentiel économique de l'industrie spatiale, de l'économie de l'espace et de toutes les activités économiques liées à l'espace et qui se déroulent dans les déserts, le Sahara et les zones arides.
Le Congrès International sur l'Économie du Désert - Dakhla (ICDED) est co-organisé chaque année par l'École Nationale de Commerce et de Gestion (ENCG Dakhla) de Dakhla-Maroc et le Conseil Régional de la région de Dakhla Oued Eddahab. A noter que comme chaque année, cette troisième édition devait être organisée les 21 et 22 avril 2020, mais en raison de la situation pandémique actuelle liée au Covid-19 (Coronavirus), elle est reportée à l'année prochaine, pour les 20 et 21 Octobre 2021. Outre le thème principal de cette troisième édition intitulée «Économie de l'Énergie entre Déserts et Océans», elle sera également consacrée à des questions générales relatives à l'économie et au management des régions arides, du Sahara et du désert et à leur développement durable.
Outre le thème principal de cette troisième édition intitulée « Économie de l'Énergie entre Déserts et Océans », elle abordera divers thèmes liés à l'économie de l'énergie et au développement des régions arides, du désert et du Sahara, entre autres:  Initiatives et mégaprojets transsahariens (transafricains) : Le projet Desertec (Énergie propre et renouvelable), l'Initiative de la Grande Muraille Verte pour le Sahara et le Sahel (Verdir le Sahara et lutter contre la désertification), le projet «Trans Africa Pipeline, TAP» (l'Eau), l'Initiative «Power Africa», l'Initiative «Desert to Power», le gazoduc  Maroc – Nigeria, la Zone de libre-échange continentale Africaine ZLECAf (la route de la soie Africaine), l'Initiative des États-Unis d'Amérique: « Prosper Africa », l'Initiative Chinoise « La nouvelle route de la soie: Une ceinture, une route» (la route maritime de la soie); Coopération internationale en matière de R&D autour des régions arides; Business, entrepreneuriat et investissements dans les régions arides et les zones  éloignées; Business et entrepreneuriat dans le secteur de l'énergie et gestion de l'énergie;  Énergie, désertification, changement climatique et environnement; Énergie renouvelable offshore, énergie éolienne marine et énergie solaire marine (énergie océanique). Énergie des vagues (houlomotrice) et Énergie des marées (marémotrice); Énergie sobre en carbone: Power-to-X et hydrogène vert (aspects économiques, sociaux et environnementaux); L'économie de l'eau, énergie et la gestion des ressources hydrauliques;  L'énergie dans l'industrie du tourisme, de voyage et de l'hôtellerie; L'énergie dans l'agrobusiness, dans l'aqua-business (l'aquaculture) et dans d'industrie de la pêche (halieutique); Énergie et sécurité alimentaire dans les terres arides, agriculture aride (agriculture du désert) et agriculture biosaline; Économie, gestion et production de l'élevage; L'industrie spatiale et l'économie de l'espace; Nouvelles technologies (Intelligence Artificielle, Blockchain ...) et efficacité énergétique; Industrie du tourisme des voyages et d'hôtellerie dans les régions arides (déserts et Sahara)...
Dr. Elouali AAILAL. Professeur à l'École Nationale de Commerce et de Gestion - Dakhla, ENCG  Dakhla.
Président et Fondateur du Congrès International sur l’Economie du Désert - Dakhla. Maroc.
Président de l’Association « Desert Action »  – Dakhla.
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يعد المغرب من الدول التي تعرف السياحة بها اهتماما كبيرا نظرا لمساهمتها الكبيرة في الاقتصاد، وقد انعكس هذا الاهتمام على واقع السياحة في المغرب الذي يضعها في المرتبة الأولى إفريقيا من حيث عدد السياح الوافدين عليها، بالإضافة إلى طاقة فندقية وإيوائية متناسبة مع عدد السياح مما زاد من مدة الإقامة بها باعتباره بلدا مضيافا ومسهلا لكل الظروف التي تجعل من السياحة بالمغرب تجربة فريدة تشجع على إعادتها. للمحافظة على هذه المكانة وحتى التقدم مستقبلا تعتمد المغرب على رؤية مستقبلية متكاملة تخدم القطاع السياحي وتجذب مزيدا من السياح بدءا من تنويع العروض السياحية وصولا إلى توفير المناخ الملائم لذلك.  Morocco is one of the countries that pay great attention to tourism due to its large contribution to the economy which is reflected on the reality of tourism in Morocco, making it ranked first in Africa in terms of tourist arrivals, in addition to the hotel capacity in proportion to the number of tourists, increasing the length of stay in a hospitable country that make tourism in Morocco unique experience and encouraged them to return.
To maintain this position, and even progress in the future, Morocco depends on an integrated vision of the future serve the tourism sector and attract more tourists starting to diversify its tourist offers up to provide the appropriate environment

Quand on est né et grandi au Maroc, le phénomène de Toukal que je traduit par la sorcellerie par voie culinaire ou buvable est devenu tellement banal, que les Marocains et Marocaines s’y résignent et à chaque fois les drames qui s’en suivent ne semblent ‘’arriver qu’aux autres’’. Toute la population évoquent ce qui est arrivé au voisin ; atteint de désordres mentaux, décès brutal ou après une dégradation de la santé de la victime due à des produits toxiques distillés à son insu,  dans un café, une boisson ou un plat cuisiné.
Pourtant il y a de quoi mettre sous les verrous des charlatans sous les habits de savants (Cheikh) en sorcellerie appellent au meurtre selon une méthode couramment utilisée au Maroc et certains Marocain (e) s dans le monde. La complaisance de la population marocaines et des autorités du pays à tous les niveaux vis-à-vis de la magie de la mort est ce lien ambigüe entre la religion musulmane et les pratiques de la sorcellerie et l’exorcisme, sous habillage religieux. D’ailleurs les sorciers et les sorcières introduisent leurs propos par des versets du Coran et se revêtent en habit religieux.

The profession of tour guiding serves to manage and organize tours in a methodological and effective way. Tour guides are charged of providing these services. They give different types of help to tourists, such as accompaniment and protection since their arrival till the departure. Besides, tour guides provide tourists with a lot of explanations and informations. Because of these and other reasons, it can be obvious to the researcher in the sector of geographical tourism that the profession of tour guiding is of high importance as part of the services provided to tourists.
In this context, tour guides have sensitive professional roles which are undeniable. They can be seen as complementary to the other activities in touristic structures which contribute in the improvement of this sector. As an example, it is enough to know that tour guides are the ones who take charge of managing the various tours accomplished along with the accompaniment of tourists, and this can be eventually results in either positive or negative reactions according to the work of tour guides and their communication with the visitors. This is what can help tourists cope with the various aspects of cultural and social life that are related to the touristic space.
Among the attractive places that their tour guides commercialize them, we find the city of Fes as it is considered as a cultural angle for Morocco, and which profit somehow from the profession of tour guiding to commercialize its cultural local heritage which has been known worldwide for a long time. This is why, the main aim of this article is to study the professional reality of tour guides in Fes city as one the oldest cities in the world which has been practicing this profession.
Keywords: Tour Guiding, Tourist, Tour Guide, False Tour Guiding, Tour.

En février 2006, pour la première fois, s’ouvrait un séminaire, jugé nécessaire par les responsables de l’UNESCO autour du tourisme et de l’archéologie. Deux idées rythmaient le débat : la première traitait de l’importance de la « mise en tourisme » pour les Etats, au niveau national permettant de véhiculer la mémoire du pays, mais également au niveau international et touristique – pour des raisons culturelles bien entendu, mais… également économiques !

Cependant, et c’était là l’objet du débat, le patrimoine archéologique est certainement le plus vulnérable des patrimoines: fragile, souvent objet de pillages et en perpétuelle mutation du fait des recherches qui s’y poursuivent. Et, il faut s’en douter, le tourisme de masse ne le ménage pas, les exemples ne manquent pas : souvenons-nous de la fermeture du Machu Picchu en février 2012 suite aux destructions dues aux touristes, mais également les dégradations de la Muraille de Chine, ou encore de la région du Petén et en particulier du site précolombien du Tikal au Guatemala.

Si le débat, en 2006, annonçait déjà les dangers du tourisme de masse pour les sites archéologiques, qu’en est-il aujourd’hui? Comment faire pour mettre en valeur les sites archéologiques sans les abîmer, voire les détruire? Qu’est-ce que le tourisme durable en matière d’archéologie?

Pour en parler avec nous ce matin, trois invités:

Marc Terrisse, muséologue, spécialiste des enjeux de la mise en tourisme de l’archéologique, notamment au Maroc et en Tunisie, auteur du Musée dans tous ses états,  publié cette année aux Editions Complicités.

Puis par téléphone Philippe Ridet, journaliste correspondant du Monde en Italie, autour de L’Italie, Rome et moi (Flammarion, 2013) pour nous parler de Pompéi.

Et enfin, Bertrand Lobjois autour des dégâts du tourisme de masse au Mexique.



Intervenants

Philippe Ridet

Journaliste politique au Monde


Marc Terrisse

muséologue et consultant en ingénierie culturelle pour la mise en valeur du patrimoine archéologique au Maroc.


Bertrand Lobjois

archéologue, professeur à la Faculté d’Archéologie et de Paléontologie, Universidad Humanista de las Américas, (Monterrey, Mexique), Auteur du blog "Mexique ancien".

Lien vers le podcast

Aside from the primary motives of creating foreign cash income·and jobs, the development of tourist areas in countries outside the OECD is often coupled with the expectation that economic impulses can thus be created in peripheral areas. Both Morocco and Tunisia as nations are ·relatively wellsuited to such a strategy, being well established as tourist areas, and so a redirection of the tourist now into new areas within both countries can make use of and build on foundations and infrastructures already present.
In Tunisia the state attempted al the end of the 80s with the tourism project Tabarka to develop a completely new complex for beach tourism on the Non hem coast of the country. The creation of new tourism areas in Morocco is primarily focused on the south of the country, with the Ouarzazate region at the fringe of the Sahara constituting the centre of the area to be developed.
The establishment of an important new economic activity in a perifer region should function as a growths pole with forward and backward linkages in addition to its direct effects on the labour market. However, the efficacy of the linkage effects hoped for in stale industrialisation policy has often proved itself to be limited in scope. According Vorlaufer (1996) one can assume that forward and hack ward linkages are only partially developed in the initial phase of a tourism project. The reason for this is that the regional economy of peripheral regions frequently lacks the factors thar are necessary for the development of integrative relationships (capital, skills, production capacity).