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Since the first days of domestication, high mountain agropastoral societies have provided an exceptional example of adaptation and resilience to inhospitable territories, as the maintenance of population groups requires a delicate balance... more
Since the first days of domestication, high mountain agropastoral societies have provided an exceptional example of adaptation and resilience to inhospitable territories, as the maintenance of population groups requires a delicate balance between transhumance and cultivation activities. Archaeological research into these societies has left numerous questions about the relationship between humans and the mountain environment unresolved. These questions have motivated the authors to explore the materiality of the daily life of the agropastoral populations of the Jbel Sirwa. Thus, with this proposal, the ARCHEOMOBAS project outlines an interdisciplinary methodological approach intended to carry out ethnoarchaeological studies of this kind of community in mountainous territories.
Desde los orígenes de la domesticación, las sociedades agropastoriles de alta montaña han sido un ejemplo excepcional de adaptación y resiliencia a territorios inhóspitos, ya que requieren de un delicado equilibrio entre las actividades... more
Desde los orígenes de la domesticación, las sociedades agropastoriles de alta montaña han sido un ejemplo excepcional de adaptación y resiliencia a territorios inhóspitos, ya que requieren de un delicado equilibrio entre las actividades de trashumancia y cultivo para poder asegurar la continuidad del grupo. Los trabajos arqueológicos sobre estas sociedades han dejado tras de sí numerosas preguntas sobre la relación entre los humanos y el medio de montaña. Todos estos interrogantes nos han llevado a estudiar la materialidad de la vida cotidiana de las poblaciones agropastoriles del Jbel Sirwa. Así pues, desde el proyecto ARCHEOMOBAS, ofrecemos esta propuesta metodológica interdisciplinar para llevar a cabo estudios etnoarqueológicos de este tipo de comunidades en territorios montañosos.
Desde los orígenes de la domesticación, las sociedades agropastoriles de alta montaña han sido un ejemplo excepcional de adaptación y resiliencia a territorios inhóspitos, ya que requieren de un delicado equilibrio entre las actividades... more
Desde los orígenes de la domesticación, las sociedades agropastoriles de alta montaña han sido un ejemplo excepcional de adaptación y resiliencia a territorios inhóspitos, ya que requieren de un delicado equilibrio entre las actividades de trashumancia y cultivo para poder asegurar la continuidad del grupo. Los trabajos arqueológicos sobre estas sociedades
han dejado tras de sí numerosas preguntas sobre la relación entre los humanos y el medio de montaña. Todos estos interrogantes nos han llevado a estudiar la materialidad de la vida cotidiana de las poblaciones agropastoriles del Jbel Sirwa. Así pues, desde el proyecto ARCHEOMOBAS, ofrecemos esta propuesta metodológica interdisciplinar para llevar a cabo estudios etnoarqueológicos de este tipo de comunidades en territorios montañosos.
Ce travail1 regroupe des termes de l’art du zellige au Maroc et surtout a Fes. Le corpus recueilli est classe selon la methode onomasiologique : classement semantique des denominations partant du concept et recherchant les signes... more
Ce travail1 regroupe des termes de l’art du zellige au Maroc et surtout a Fes. Le corpus recueilli est classe selon la methode onomasiologique : classement semantique des denominations partant du concept et recherchant les signes linguistiques qui lui correspondent (Dubois : 2002, Lerat : 2006 et 2005). Les termes collectes seront classes selon les rapports qui les unissent dans le domaine du zellige, en l’occurrence d’apres des champs semantiques referant au lieu du travail, les materiaux utilises, l’outillage employe, les etapes de fabrication, les couleurs, les formes, les motifs et les artisans travaillant dans ce secteur de l’artisanat. Dans chaque rubrique, les termes seront transcrits phonetiquement selon la methode des semitisants et classes selon l’ordre alphabetique arabe adopte par De Premare (1993-1999). L’auteure principale de cet article est issue d’une famille de carreleurs ayant une longue experience dans le domaine du zellige.
Cette contribution ne prétend pas être une approche scientifique. Elle est essentiellement de nature polémique et vise à prendre position par rapport à deux conceptions que nous considérons non opérationnelles pour la description d’une... more
Cette contribution ne prétend pas être une approche scientifique. Elle est essentiellement de nature polémique et vise à prendre position par rapport à deux conceptions que nous considérons non opérationnelles pour la description d’une situation culturellement hybride de fait et pour la consolidation d’une diversité culturelle positive, juste, équilibrée et riche.
La première conception entraîne un amalgame conceptuel entre ethnie
et culture, tandis que la seconde implique une séparation nette entre civilisation occidentale et civilisation orientale.
Abstract: It is generally considered that the territory of Jbala, in the northwest of Morocco, is bounded on the south by the Oued Ouergha Basin, on the north by the Strait of Gibraltar and on the northeast by the Rif and the Oriental... more
Abstract: It is generally considered that the territory of Jbala, in the northwest of Morocco, is bounded on the south by the Oued Ouergha Basin, on the north by the Strait of Gibraltar and on the northeast by the Rif and the Oriental region. The dialect of Jbala, pertaining to the prehilalian type, would be limited to this geographical region. However, as it has been suggested and indicated by some colonial times Semitists and confirmed by recent work, some dialects showing similar features to Jbala dialects are attested in the southeast and southwest of this geographical area. This paper synthesizes the collaborative work recently done in this field and analyses some of the collected data that show the kinship links between Jbala dialects ant other dialects spoken in areas outside of this territory, which should be regarded as an extension of it.

Résumé : On considère, généralement, que le territoire des Jbala, au nord-ouest du Maroc, est limité, au sud, par le bassin de l'Oued Ouergha moyen, au nord, par le détroit de Gibraltar et, au nord-est, par le Rif et l'Oriental. Le parler des Jbala, de type préhilalien, se limiterait donc à cet espace géographique. Or, comme l'avaient déjà pressenti et indiqué des sémitisants de l'ère coloniale et comme l'ont confirmé des travaux récents, des parlers présentant des caractéristiques similaires aux parlers des Jbala sont attestés au sud-est et au sud-ouest de cette aire géographique. Cet article fait la synthèse de ces travaux et analyse des données recueillies récemment qui montrent la parenté entre le parler des Jbala et des parlers appartenant à des zones situées en dehors de ce territoire et qui en constituent, probablement, l'extension.
Présentation : Ce travail regroupe des termes de l'art du zellige au Maroc et surtout à Fès. Le corpus recueilli est classé selon la méthode onomasiologique : classement sémantique des dénominations partant du concept et recherchant les... more
Présentation : Ce travail regroupe des termes de l'art du zellige au Maroc et surtout à Fès. Le corpus recueilli est classé selon la méthode onomasiologique : classement sémantique des dénominations partant du concept et recherchant les signes linguistiques qui lui correspondent (Dubois : 2002, Lerat : 2006 et 2005). Les termes collectés sont classés selon les rapports qui les unissent dans le domaine du zellige, en l'occurrence d'après des champs sémantiques référant au lieu du travail, les matériaux utilisés, l'outillage employé, les étapes de fabrication, les couleurs, les formes, les motifs et les artisans travaillant dans ce secteur de l'artisanat.
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Ce papier part de la constatation suivante : du fait de l’existence d’une communauté musulmane lusophone au Portugal et dans les anciennes zones sous influence portugaise (communauté d’origines diverses : africaine, indienne,... more
Ce papier part de la constatation suivante : du fait de l’existence d’une communauté musulmane lusophone au Portugal et dans les anciennes zones sous influence portugaise (communauté d’origines diverses : africaine, indienne, pakistanaise, arabe, turc, portugaise aussi puisque certaines conversions à l’Islam se faisaient de la part de Portugais ou de fils et filles de Portugais), l’adaptation linguistique de cette communauté à un environnement qui n’est pas exclusivement musulman et où la langue utilisée n’est pas censée véhiculer, en principe, des valeurs islamiques devrait prendre nécessairement une allure particulière. Il s’agit, pour nous, d’essayer d’appréhender ce mode spécifique d’adaptation linguistique. Le corpus que nous allons étudier fait toujours partie du portugais : il est constitué du même fond lexical et basé sur les mêmes règles syntaxiques de cette langue, avec, cependant, quelques variations régionales selon l’origine du locuteur. Néanmoins, du fait de la tendance de tout groupe social à se distinguer au niveau comportemental des autres groupes sociaux, la communauté musulmane lusophone n’échappe pas à cette règle. Les marques distinctives de cette communauté sont visibles, ainsi, même sur le plan linguistique.
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D’après les les auteurs de Initiation au Maroc (Lévi-Provençal et d’autres, 1937), les parlers pré-hilaliens de type citadin et montagnard se subdivisent, d’une part, en parlers septentrionaux, plus anciens, s’étendant du détroit de... more
D’après les les auteurs de Initiation au Maroc (Lévi-Provençal et d’autres, 1937), les parlers pré-hilaliens de type citadin et montagnard se subdivisent, d’une part, en parlers septentrionaux, plus anciens, s’étendant du détroit de Gibraltar jusqu’à l’est de Ouezzane et regroupant la confédération des Ghomara, anciens occupants et, d’autre part, les parlers méridionaux, s’étendant de Ouezzane à Taza regroupant les Senhaja et les Botr (Zenètes : Mernisa, Branes et Tsoul), nouveaux arrivants, de parlers relativement plus récents.
A ces deux groupes, les auteurs ajoutent « deux petits îlots méridionaux : les montagnards de la région de Sefrou, au sud-est de Fès (Bhalil, Bni Yazgha, etc…), et les Ghiyyata du sud de Taza ; ils constituent vraisemblablement les derniers vestiges d’un bloc arabophone continu qui s’étendait au sud du couloir de Fès-Taza et dont l’existence est attestée au XIIe siècle par le géographe Idrissi ».
Cette citation permet de situer le parler des Bni Yazgha, présenté ici, dans le paysage linguistique pré-hilalien.
Nous présenterons, dans cet article, les spécificités les plus marquantes de cette variante linguistique sur le plan phonique, morphosyntaxique et lexical.
Le parler étudié dans cet article, celui de Talembote, plus précisément celui du douar Ouslaf, localité située au nord de la ville de Chefchaouen, dans la tribu Ghomara, fait partie des parlers Jbala. Il s’agit de variantes... more
Le parler étudié dans cet article, celui de Talembote, plus précisément celui du douar Ouslaf, localité située au nord de la ville de Chefchaouen, dans la tribu Ghomara, fait partie des parlers Jbala. Il s’agit de variantes pré-hilaliennes, englobant les parlers des vieilles cités ainsi que les parlers ruraux environnants appelés aussi parlers « villageois » (W. Marçais, cité par D. Caubet (2000-2001)).
Le parler rural de Ouslaf présente des particularités assez proches de celles du parler de Chefchaouen tel qu’il a été décrit par Emma Natividad (1998).
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Cet article aborde quelques éléments linguistiques relevant du substrat berbère présents dans quelques parlers arabes marocains de type préhilalien, éléments qu'on peut qualifier de résiduels et qui apparaissent soit de manière patente... more
Cet article aborde quelques éléments linguistiques relevant du substrat berbère présents dans quelques parlers arabes marocains de type préhilalien, éléments qu'on peut qualifier de résiduels et qui apparaissent soit de manière patente (en particulier au niveau des emprunts lexicaux et des structurations morphologiques), soit de manière plus discrète, tels que les calques de structure et les transferts de sens.
La maison d'édition qui a publié l'ouvrage collectif en hommage à Ahmed Boukous dont fait partie cet article n'a pas reproduit, malheureusement, les quelques modifications apportées à ce texte, ce qui est un peu dommage. Nous tenterons d'y remédier dans une publication où nous comptons réunir un ensemble d'articles relatifs à la dialectologie marocaine.
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The dialect presented in this paper is attested in Tazghadra village which is located in the outskirts of Ghafsay, a town a hundred kilometers north of Fez. This village is home to the mausoleum of ʔimām ʔăš-šuṭaybī ʔal-ʔandalusī (883-963... more
The dialect presented in this paper is attested in Tazghadra village which is located in the outskirts of Ghafsay, a town a hundred kilometers north of Fez. This village is home to the mausoleum of ʔimām ʔăš-šuṭaybī ʔal-ʔandalusī (883-963 AH). This dialect shares a number of common characteristics of di-alects belonging to the Moroccan northwest and Andalusi Arabic: phoneti-cally, the QAF consonant has a voiceless pronunciation, the consonant /h/, part of the feminine toneless affix pronoun, becomes silent in post-consonantal position, and there is a strong tendency to Imāla, for instance. We present some phonetic, morphological and lexical features of this dialect, knowing that the data corpus available is still not enough to illustrate all as-pects usually covered in dialectology variants of the pre-Hilalian Arabic.
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Morrocan Arabic does not enjoy a law status, but it has a de facto status which is manifested in a number of information materials both oral (radio, theatre…) and written (newspapers, private or public billboards...). We will try to... more
Morrocan Arabic does not enjoy a law status, but it has a de facto status which is manifested in a number of information materials both oral (radio, theatre…) and written (newspapers, private or public billboards...). We will try to examine a corpus of colloquial Arabic in Moroccan newspapers from a number of viewpoints: fields of use (politics, sports, caricature ...), extent of use (vocabulary, phrases, phraseology ...) and dominant language variety.
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La région située au nord-ouest de Fès connaît la présence d’un certain nombre de parlers de type préhilalien et hilalien, souvent en contact les uns avec les autres. Nous présentons, dans ce papier, la description de quelques variantes... more
La région située au nord-ouest de Fès connaît la présence d’un certain nombre de parlers de type préhilalien et hilalien, souvent en contact les uns avec les autres.
Nous présentons, dans ce papier, la description de quelques variantes dites hilaliennes attestées dans cette zone, esentiellement des données des Chraga (Kariat Ba Mohammed et région) et des Ouled Aissa de la rive droite de l’Ouergha.
Du fait de la présence de parlers préhilaliens aux limites nord est et nord-ouest de cette aire (Fechtala, proximité des Beni Mzguelda et de Ouezzane), ces parlers s’influencent les uns les autres.
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A partir de plusieurs variantes arabes d’un conte recueilli dans un certain nombre de localités de la région de Fès, nous tenterons de dégager les variations linguistiques qu’on peut y déceler ainsi que la variation dans le paradigme des... more
A partir de plusieurs variantes arabes d’un conte recueilli dans un certain nombre de localités de la région de Fès, nous tenterons de dégager les variations linguistiques qu’on peut y déceler ainsi que la variation dans le paradigme des personnages qui y sont impliqués.
Nous comparerons en particulier les éléments linguistiques qui relèvent des parlers dits pré-hilaliens et ceux qui relèvent des parlers dits hilaliens.
Enfin, l’examen d’une version amazighe de ce conte appartenant à la même aire géographique tentera d’apporter un éclairage supplémentaire.2
La structure de base de ce conte et de ses variantes peut être schématisée ainsi:
A la suite d’une perte (objet, partie du corps), le personnage principal (humain ou animal) tente de combler ce manque et s’adresse, dans ce but, à une série de personnages dont chacun le revoie à un autre avec une nouvelle demande multipliant ainsi, théoriquement à l’infini, les objets substituts du manque. A un certain point, la série est refaite à rebours positivement avec satisfaction de chaque demande le rapprochant peu à peu de la satisfaction de la demande initiale. Au dernier moment, la satisfaction peu être totale ou partielle (dans ce dernier cas, l’objet perdu est récupéré trop tard).
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Ce texte constitue un compte rendu de l’ouvrage d’Ahmed Boukous intitulé : Revitalisation de la langue amazighe et sous-titré : Défis, enjeux et stratégies, publié par l’Institut Royal de la culture amazighe, série : Etudes n° 22,... more
Ce texte constitue un compte rendu de l’ouvrage d’Ahmed Boukous intitulé : Revitalisation de la langue
amazighe et sous-titré : Défis, enjeux et stratégies, publié par l’Institut Royal de la
culture amazighe, série : Etudes n° 22, Imprimerie Top Press, Rabat, 2012.
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La dialectologie est une partie de la linguistique qui étudie le fonctionnement des langues non standardisées et se préoccupe du domaine de la variation linguistique dans une perspective essentiellement interne mais, aussi, en relation... more
La dialectologie est une partie de la linguistique qui étudie le fonctionnement des langues non standardisées et se préoccupe du domaine de la variation linguistique dans une perspective essentiellement interne mais, aussi, en relation avec l'évolution diachronique ainsi que l'infuence sociale sur cette variation.
Le domaine spécifique abordé dans ce guide est constitué par l'analyse des parlers dits "chamito-sémitiques" ou "afro-asiatiques" attestés au Maroc (et en Afrique du nord, en général). Ce type d'approche a toujours été accueilli, au Maroc, au sein des départements de langue, faute de pouvoir s'établir dans un département indépendant. Il a, cependant, l'avantage d'ouvrir les yeux des étudiants sur le fonctionnement de la langue enseignée au sein de leur département d'appartenance, en comparaison avec des parlers qui leur sont familiers. Ce qui constitue un outil facilitateur de l'apprentissage de leur langue de travail.
Ce guide vise à fournir aux étudiants de licence, master et doctorat préparant leur projet de fin d'étude en dialectologie chamito-sémitique, des instruments permettant de les assister dans la rédaction de leur monographie et des indications leur permettant de mener au mieux leur recherche.
Après un déblayage des obstacles conceptuels et méthodologiques qui compliquent l'approche des langues parlées, le guide propose des méthodes et des outils d'analyse englobant les divers niveaux et composants des variantes linguistiques étudiées (phonique, morphologique, lexical et syntaxique, avec une ouverture sur la dimension stylistique).
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Cette publication s'inscrit dans une lignée d'ouvrages qu'un collectif d'universitaires et chercheurs (constitués en Groupe Pluridisciplinaire d'Étude sur les Jbala, puis en CERIJ, Centre d'Étude et de Recherche Interdisciplinaire sur les... more
Cette publication s'inscrit dans une lignée d'ouvrages qu'un collectif
d'universitaires et chercheurs (constitués en Groupe Pluridisciplinaire d'Étude sur les Jbala, puis en CERIJ, Centre d'Étude et de Recherche
Interdisciplinaire sur les Jbala) a ouverte, dès 1991, à l'étude des populations du Rif occidental et central.
Elle réunit les travaux de quatre colloques qui se sont tenus successivement à Chefchaouen en 2011 et 2012, à Taounate en 2014 et à Larache en 2014. Toutes ces rencontres ont bénéficié, à chaque
fois, de l'appui essentiel d'institutions de recherche nationales et internationales : le MAGREC (Projet transversal pour la culture, le développement et la coopération locale en Méditerrranée - Programme Espagne-Frontières extérieures de la Commission européenne), la Fondation A. Lindt, puis le programme de recherche « La montagne
et ses savoirs » développé dans le cadre d'un PICS (Programme international de coopération scientifique, 2012-2014), financé par le CNRST, du côté marocain, et le CNRS, du côté français. Ainsi
qu'avec celui non moins nécessaire des autorités locales : Province et Commune urbaine [...].
Telle qu'elle se présente, cette publication se veut une invitation à un approfondissement de la recherche sur une montagne méditerranéenne
qui partage avec d'autres massifs de la région des propriétés physiques mais aussi culturelles, portées par leurs hommes et leurs traditions, leurs savoir-faire villageois et leurs érudits. Toutes propriétés qui ont concouru à la sauvegarde d'une civilisation.
Notre principal objectif en publiant un nouvel ouvrage sur les Jbala est d'attirer l'attention des chercheurs sur un mode de vie, une mémoire et une identité que les Jbala ont souvent en commun avec
le reste de la Méditerranée. Une communauté qui n'écrase pas les différences mais qui s'en enrichit. Ce que, déjà, des ethnologues, des historiens, des géographes, des linguistes et des botanistes avaient compris.
Cet ouvrage collectif regroupe des regards croisés sur la langue, l'enseignement et la communication qui reeètent les préoccupations académiques des membres du laboratoire Langues, Littérature, Communication et Didactique. La rééexion sur... more
Cet ouvrage collectif regroupe des regards croisés sur la langue, l'enseignement et la communication qui reeètent les préoccupations académiques des membres du laboratoire Langues, Littérature, Communication et Didactique. La rééexion sur les langues englobe des langues aussi diverses que le français, l'arabe (et ses variantes locales) et le portugais. Le regard littéraire explore les ressources de l'imaginaire, du fantas-tique et de l'exotique. L'approche didactique examine les modalités actuelles d'enseignement du français au Maroc qui cherchent à se dégager déénitivement des procédés traditionnels en tenant compte en parti-culier de la réalité du plurilinguisme dans ce pays. Ce contexte plurilingue est mis en évidence dans les textes traitant de variantes de l'arabe marocain aussi bien dans son expression littéraire (le malhoun) que dans sa fonction dans la communication publicitaire urbaine. Le texte sur le portugais s'interroge sur l'existence d'un registre religieux islamique particulier dans cette langue qui utiliserait des modalités linguistiques spéciiques. Le texte sur l'image examine la manière celle-ci est utilisée dans l'enseignement/apprentissage du français langue étrangère.
Nous publions ici les textes que nous avons reçus relatifs aux actes du colloque tenu à Fès puis à Taza, organisé à la mémoire de notre défunt collègue Professeur Abdelaziz Mdibeh (1943-1998), lexicologue et chercheur éminent dans le... more
Nous publions ici les textes que nous avons reçus relatifs aux actes du colloque tenu à Fès puis à Taza, organisé à la mémoire de notre défunt collègue Professeur Abdelaziz Mdibeh (1943-1998), lexicologue et chercheur éminent dans le domaine du langage spécialisé des métiers de l’artisanat, en particulier dans la ville de Fès. Ce colloque a été organisé conjointement par le Groupe de Recherches et d’Études Linguistiques (GREL) de la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de Dhar el Mahraz – Fès et le Laboratoire : Relations culturelles Maroco- méditerranéennes de la Faculté polydisciplinaire de Taza, en 2011.
Il s’agissait d’un colloque international sous le thème : « La situation linguistique au Maroc : description et constitution de lexiques ».
Les actes publiés ici s’articulent autour de deux axes principaux :
- Les questions du lexique ordinaire et spécialisé, de la variation lexicale et de la morphologie.
- L’examen des rapports entre la langue, la société et les politiques d’aménagement linguistique.
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Les textes réunis ici sont relatifs aux actes de la journée d’études, organisée par le Groupe de Recherches et d’Études Linguistiques (GREL) de la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de Dhar el Mahraz – Fès, le 11 mai 2011, sous... more
Les textes réunis ici sont relatifs aux actes de la journée d’études, organisée par le Groupe de Recherches et d’Études Linguistiques (GREL) de la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de Dhar el Mahraz – Fès, le 11 mai 2011, sous le thème : « Linguistique de terrain : description de faits et présentation de modèles ».
Les actes publiés ici s’articulent autour de quatre principaux axes :
- Linguistique comparée et description de langues.
- Contact des langues et sociolinguistique.
- Questions de lexique et de sémantique.
- Modèles syntaxiques.
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Colloque en hommage à Fouad BRIGUI,
Présentation et signature du livre: Jbala: peuplement, langue et ruralité.
The first Issue of the online Journal 'Etudes Anthropo-Linguistiques Afro-Asiatiques' (EALAA) is reachable via the following link:
https://revues.imist.ma/index.php?journal=EALAA